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Pascal I
664 abonnés
4 048 critiques
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3,5
Publiée le 30 avril 2018
4 thèmes dans ce drame (pas thriller). Le terrorisme, le deuil, la justice, la vengeance. Ces 4 sujets mis à l'écran ne sont pas d'égales intensités, d'où une certaine déception. La prestation magistrale de D. Kruger sur l'item du deuil "écrase" de par sa prestance la suite de l'histoire, devenant assez insipide et attendue au final. Quelques longueurs. A voir ! 3.5/5 !!!
Prix d’interprétation à Cannes franchement mérité pour Diane Kruger qui livre une prestation magistrale dans un rôle il est vrai taillé pour les récompenses. Côté mise en scène c’est plutôt inégal, on alterne entre des moments très forts comme pour les scènes de procès et d’autres passages plus plats. Problématique, surtout qu’on y fait d’autant plus attention que scénario n’est pas follement original et ne demande pas beaucoup d’efforts d attention. Ce n’est pas un très grand drame, mais on peut y voir un grand personnage dramatique.
Même si Diane Kruger porte le film avec force en donnant toute la souffrance et l'incompréhension à cette femme meurtrie, le film de l'excellent réalisateur Fatih Akin manque souvent de crédibilité que ce soit lors du procès, du verdict ou même de la scène finale. Dommage.
Excellent film, mettant en scène une Diane Kruger plus convaincante que jamais. "In the fade" est découpé en trois parties de niveau égal, que j'ai autant apprécié. C'est un film qui brasse nombre de sujets, du deuil d'une mère à la quête de vengeance, en passant par le système judiciaire allemand. Tout est traité avec une grande justesse de ton et avec une mise en scène de qualité, qui est surtout mise en évidence dans la troisième et dernière partie.
Quoi qu’on puisse en dire, difficile de rester insensible à ce "In the fade". Articulé autour de 3 chapitres (l’attentat, la (in)justice, la vengeance), le film suit la détresse d’une femme qui perd son mari et son fils. Diane Kruger (Prix d'interprétation à Cannes) est parfaite dans son rôle et si la réalisation ne permet pas de réelles envolées, il n’en reste pas moins que le sujet est d’actualité et pour le moins intéressant ...
Diane Krueger a reçu un prix d'interprétation à Cannes pour ce film dans lequel elle est magistrale avec cette femme endeuillée par le crime atroce de son mari et son enfant. Par contre, le film pose question, déjà car c'est un film mineur, le découpage en 3 actes surligne, et il aurait pu faire un John Wick-like si il y avait eu de l'action et du rythme. Sans compter les méchants nazis qui prêtent presque à sourire tant cela est facile et ressemble à un fantasme de l'extrême gauche... bref, c'est bof.
Un très bon scénario, mais une mise en scène un peu légère. Grâce au talent de Diane Kruger, la mauvaise prestation des autres acteurs passe au second plan. Sans elle, je ne pense pas que ce film aurait aussi bien marché.
Le spectateur est comme Katja, il ne connaît pas les terroristes. Il est placé un peu comme elle, dans l’incompréhension et l'ignorance. Ceci pour dire que le récit ne s’attarde pas sur la psychologie des terroristes. Le pourquoi, le comment, ce qui les conduit à agir aussi crapuleusement. Un couple ordinaire qui passerait inaperçu sur une plage de Grèce. Diane Kruger campe un personnage brut, vrai, et évidemment déchiré par la perte de son mari et de son fils. On la sent instable, enragée et déterminée à ce que la justice réponde à ses attentes. A cela s’ajoute une suspicion sur Katja, alors qu’elle est victime. S'il est impossible de rester indifférent à cet attentat odieux, au sort de Katja et à son errance, il est possible de rester à distance. A partir du procès, jai ressenti moins d'intensité. A voir en V.O parce que c’est très rare d’entendre Diane Kruger dans sa langue d'origine. A noter, son prix d'interprétation à Cannes est mérité.
Le film ne brille pas vraiment par son scénario ni sa mise en scène. Tout repose sur le personnage principal en quête de justice. Diane Kruger nous offre ici une interprétation nickel. Le spectateur vit sa douleur, sa peine, sa haine, sa soif de vengeance.
Un drame assez classique dans la forme. Le scénario s'appuyant sur des faits réels rend l'ensemble touchant mais le rythme du film est franchement trop lent... Diane Kruger est comme souvent impeccable mais sa seul présence ne parvient pas vraiment a maintenir a flot tout le film.
In The Fade est un drame/thriller noir, poignant et traité avec une réelle justesse. Diane Kruger est tout bonnement phénoménale et les 3 chapitres abordés sont à vous glacer le sang tellement ils sont réalistes. Une bien bonne surprise, simple, mais drôlement efficace.
Film sans grand intérêt, comme bon nombre de critiques ici, toutes aussi longues et vides que le film lui-même. Diane Kruger en fait des caisses, le scénario tient sur un post-it et la réalisation est fade à souhait. En plus il vous faudra vous manger un procès qui dure une quarantaine de minutes, avant d'espérer autre chose de différent, et profitez en ça ne dure pas bien longtemps. Bref, un film à ne regarder que si vous n'avez pas le choix, comme beaucoup d'autres.
Diane Kruger a reçu à Cannes le prix d'interprétation féminine, peut être pour faire connaître le film car sa performance n'est pas exceptionnelle. Le film ne doit pas être jugé pour son message politique ou le comportement de Katja. Donc si on retire cela, il reste un style cinématographique classique d'un film de vengeance. Le scénario est très réaliste mais triste et banal.
Certes tiré d'une histoire vraie qui défraya la chronique en allemagne, mais le manque de rythme n'arrive jamais a nous prendre aux tripes malgré la puissance du sujet. Les dialogues ne vont pas assez loin, certaines scènes sont inutiles ou bien une peu trop métaphoriques car difficilement compréhensibles. Seul côté positif la présence de Diane Kruger
Excellente interprétation de Diane Kruger (en VO of course) d'un film qui reste un peu simpliste sur la vengeance, néanmoins il se regarde très bien. Mais qui a eu l'idée du titre : "in the fade" ? Qui ne permet pas de comprendre le propos du film. Par ailleurs le père est un acteur qui est présent très faiblement à l'écran mais qui dès qu'il apparaît on le remarque. Il a un grand charisme.