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    13 Hours
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    3,8
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    261 critiques spectateurs

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    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 avril 2016
    Le FPS se mue en film de genre, et Michael Bay saisit l'opportunité pour rebondir sur un fait d'actualité. Toutes les scènes d'assaut sont vraiment à mettre au crédit de ce film. Film de guerre entre un état nation et un adversaire jamais vu de l'intérieur. Très manichéen, le mal est forcément pourri et le bien forcément bénit. Très (trop) long, il y a rien à voir de positif là-dedans.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 avril 2016
    20 octobre 2011, Kadhafi meurt, c'est la fin de la révolution en Libye. Et après? C'est la question que nous pose Michael Bay, un réalisateur et producteur spécialisé dans les blockbusters américains. Après "No Pain No Gain", c'est un nouveau film tiré d'une histoire vraie qu'il nous propose.

    Le 11 septembre 2012 à Benghazi, l'ambassadeur est attaqué par de nombreux assaillants. Seuls six hommes armés et entraînés peuvent tenter de le sauver et repousser l'attaque. Mais cela s'annonce plutôt mal pour les américains largement inférieurs en nombre. Le combat au déroulement incertain durera 13 heures.

    Bien rythmé avec des plans vraiment très intéressants, le spectateur est plongé au coeur de l'histoire et partage le même point de vue que les espions américains: ils découvrent la Libye après la révolution: c'est toujours l'enfer. Entre les guerres de territoires entre commandos et la progression de l'état islamique, la paix ne semble pas pour bientôt. C'est donc avec grand étonnement que l'on découvre les habitants locaux qui vivent leur vie en plein combat (certains regardent un match de foot à moins de 50 mètres d'une fusillade par exemple). spoiler: Ce film ne valorise en rien l'Amérique: les généraux attendent le dernier moment avant d'envoyer leur troupes sauver l'ambassadeur américain pris au piège ou encore les cadavres que les soldats laissent derrière eux, laissant la Libye sombrer toujours plus dans le chaos
    . Très informatif sur le déroulement des batailles entre les forces armées américaines et l'état islamique, ce film comporte aussi une bonne dose d'explosions et de tirs à coups de Kalachnikov et de RPG.

    Un film recommandé pour tous les amateurs de films de guerre et de violence, il l'est aussi pour ceux qui veulent voir un film qui retranscrit le plus réellement possible l'ambiance présente pendant une bataille avec les forces spéciales contre l'état islamique.
    Punisher 03
    Punisher 03

    18 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 avril 2016
    Excellent, à ranger à côté d'American Sniper, Du Sang Et Des Larmes, La Chute Du Faucon Noir, j'ai adoré.
    Jo R
    Jo R

    23 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 avril 2016
    Excellent film de guerre où on en prend plein la vue tout le long du film.
    L'histoire inspirée de faits réels est incroyable, on va crescendo, on ne sait pas quand est ce que ça va s'arrêter et on ressent une tension à chaque fin d'assaut.
    Michael Bay nous sort un très bon film.
    dagrey1
    dagrey1

    86 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 avril 2016
    Le 21éme siècle a marqué l'entrée du monde dans l'âge des ténèbres. L'absence de vision géopolitique et les "coups de pokers" (de Bush -Irak- à Sarkozy -Lybie- en passant par Merkel récemment) ont rendu le monde beaucoup plus dangereux. L'une des conséquences de cette faillite fut l'attaque de l'ambassade américaine de Benghazi par des rebelles Lybiens le 11 septembre 2012.

    Je ne suis pas trop fan du cinéma de Michael Bay que je trouve peu subtil et "patriote pompier" mais j'étais curieux de voir ce qu'il ferait de ce sujet réaliste. Le film décrit essentiellement les 13 heures d'assaut subies par l'ambassade et l'annexe de celle-ci par des rebelles Lybiens décidés à éradiquer toute vie américaine de Benghazi. Le sujet réaliste n'est pas sans rappeler "la chute du faucon noir" de Ridley Scott ou "Du sang et des larmes" de Peter Berg.

    Le film est réussi. Sur un drame dont on connait l'issue, le réalisateur américain parvient à entretenir un certain suspense et évite les écueils d'un patriotisme triomphant qui, sur le dossier du Moyen-Orient, aurait été assez mal venu eu égard à ce qu'ont fait les américains depuis 2003 dans la région...La réalisation est alerte, les acteurs crédibles, notamment John Krasinski, dans le rôles de "durs à cuire" issus des rangs des marines et des rangers.

    Indépendamment des scènes de guerre bien filmées, le film montre bien, tant du point de vue de l'image que du son, l'ambiance de chaos, le pouvoir des milices Lybiennes difficilement identifiables même pour celles adoubées par les américains et l'absence totale de sécurité qui règne en permanence dans la ville.
    Flaw 70
    Flaw 70

    253 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 avril 2016
    Michael Bay à opéré un tournant assez intéressant au sein de sa filmographie depuis son Pain and Gain en 2013. Même si il n'a pas foncièrement changé, il a gagné une certaine maturité, calmant quelque peu son style outrancier pour offrir un cinéma moins patriotique et plus ouvert à l'ironie et à la satire de l'Amérique. Réfléchissant sur la suprématie américain, principalement constitué de valeurs beauf, de stupidité et de lâcheté parfois, il porte aussi un regard sur son propre cinéma, sur sa propre beaufitude et sa propre stupidité au point d'en faire une parodie astucieuse et savoureuse, mais pas subtile, avec son Transformers : Age of Extinction. Il reste un bourrin manquant de finesse, mais il porte un regard plus pertinent sur ses valeurs et ce qui le défini. Venant accomplir sa mutation dans son nouveau film, probablement le plus mature et le plus classique de sa carrière mais assurément un des plus réussis.
    Scénarisé par Chuck Hogan, écrivain mais aussi co-créateur de la série The Strain qui adapte les romans qu'il avait écrit avec Guillermo del Toro, le film tend à retranscrire les événements qui se sont déroulé à Benghazi en Septembre 2012. Inspiré d'une histoire vraie, il suivra donc tout les poncifs de ce genre de scénario, commençant quelques jours avant les événements principaux pour nous présenter les personnages et l'univers dans lequel ils évoluent. Les personnages sont très stéréotypés et leurs relations sont caricaturales, pour nous faire connecter avec eux le plus vite possible, le film use de beaucoup de clichés propre aux films de guerre qui tendent à rentre notre limiter notre intérêt pour eux. On reste assez en retrait émotionnellement pour véritablement se concentrer sur les faits et lorsqu'il tente de toucher la corde émotionnelle, le tout tombe dans le pathos. Les scènes avec la famille du héros sont mal écrites et vraiment agaçantes tombant souvent dans le ridicule. C'est vraiment l'univers et la manière dont l'ensemble s’enchaîne qui nous maintient en haleine, le film faisant le choix intelligent de ne pas trop en révéler aux spectateurs pour le maintenir dans le même état d'incertitude que les personnages. Qui sont les alliés ? Les ennemis ? Pourquoi tout cela arrive vraiment ? Jamais les tenants et aboutissants de ce chaos ne sera vraiment expliqué ou alors de manière éclipsée et discrète au détour d'une phrase. Le récit à le bon goût de ne pas tomber dans le manichéisme, même si l'on suit le point de vue des américains, il ne va pas jusqu'à tomber dans le patriotisme qui aurait pu être de rigueur, ne diabolisant pas les assaillants et ne présentant pas le système américain comme une chose clean et sans faille.
    Les protagonistes étant des mercenaires et non pas des soldats de l'armée américaine, ils font office d'outsiders. Devant faire le sale boulot sans être pleinement soutenu en étant même globalement méprisé par leurs supérieurs. Ici on nous montre l'histoire d'hommes abandonné par leur hiérarchie au sein d'une situation impossible. On se retrouve donc face à une certaine critique de l'impérialisme américain, qui veut se mêler de tout - même de ce qui ne le regarde pas - dans le plus grand des secrets, fait preuve de condescendance mais fini par détourner le regard quand la situation lui échappe, laissant seuls leurs hommes en première ligne. Il se montre assez ironique dans son rapport avec les symboles américains, les moquant sans détour même si sur ce point il aurait mérité plus de mesure et de subtilité. Le propos est bien trop lourd et manque de nuances, car même si il est très satirique sur l’Amérique, il reste très grandiloquent dans sa tendresse envers le soldat, ici peu importe son origine et son pays. Après on reste dans quelque chose d'assez classique en terme de récit, mais c'est un film plus réfléchi que la moyenne du genre arrivant même à traité le trouble du soldat qui se bat pour une cause qui le dépasse, quitte à délaisser sa famille, avec justesse et donne une dimension beaucoup plus mélancolique et noble à ceux qui sont généralement considéré comme les ennemis. La fin se permet même de montrer les répercussions sur eux et leurs familles de manière sensible et bien amené.
    Le casting est ici impeccable. Majoritairement composé d'acteurs de second plans, plus habitués aux seconds rôles et aux séries télés mais qui n'en sont pas moins talentueux que les grandes stars. On retient surtout James Badge Dale dans cette optique, étant un second rôle de plus en plus présent et qui hérite ici du personnage le plus marquant du film, celui du chef d'équipe. Il brille par son charisme et la justesse de son jeu. John Krasinski est lui aussi très convaincant dans le premier rôle, livrant une prestation toute en retenue et en émotions refoulés. Les autres acteurs seront surtout connus pour les fan de séries TV mais se montre tous très bon dans leurs rôles, même si ce ne sont pas forcément de grosses performances, ils font le job à la perfection.
    Pour ce qui est de la réalisation, Michael Bay n'a plus à prouver qu'il est un faiseur d'image hors pair. Il s'offre une photographie stylisée qui imprègne la rétine, surtout lors de somptueux passages de nuit et est soutenu par un montage nerveux, parfois déstabilisant dans la première moitié du film qui se montre chaotique appuyant la perte des repères du personnage, mais qui est admirable dans sa façon de s'harmoniser dans sa deuxième partie, donnant un rendu plus clair malgré la brutalité des combats et la densité des personnages présents à l'écran. On regrettera juste une musique de Lorne Balfe peu inspirée et carrément pompeuse lors des moments plus intimistes. La mise en scène de Bay reste totalement dans ses obsessions, on retrouve sa fascination pour le culte du corps déjà présent dans Pain & Gain. Que ce soit le corps bodybuildé de ses personnages ou le corps armée d'une bande d'individu qui prennent d'assaut une place, faisant corps comme un seul homme. Il filme ça de manière presque religieuse et galvanisante, notamment lorsqu'il offre de superbes travellings avant lors de courses effréné magnifiant l'effet de masse. Il retrouve aussi certains plans de ses anciens films, notamment un issu de Pearl Harbor qu'il retravaille avec habilité. Il cherche à représenter la fatalisme d'une situation, cherchant à y remonter à la source pour définir une trajectoire inévitable. C'est ce qui défini aussi sa passion pour la chaîne de commandement, étudiant et montrant d'où part un ordre et où il abouti pour en voir l'origine mais surtout les conséquences, chose très présente dans ses Transformers. Il s'impose vraiment, pour ceux qui en doute encore, comme un auteur visuel qui possède son propre langage de cinéma. Il filme comme personne le réalisme de l'affrontement, la tension que celui-ci entraîne et la manière dont il dépasse les protagonistes. Ayant toujours son amour des belles explosions, il s'en donne à cœur joie dans des scènes d'actions dantesques et rarement vu dans le genre prouvant qu'on peut encore faire dans l'inédit à partir d'une mise en scène en constante évolution et vraiment inventive dans sa manière de se confronter à la guerre. Il va même jusqu'à avoir une approche abstraite du conflit et de la violence qu'il entraîne, plongeant dans des phases plus mélancoliques ou allant même jusqu'à pousser son film vers le cinéma d'horreur. Il le fait sans subtilité mais en retire trois séquences formidables - les meilleures du film - avec un assaut dans une zone appelé Zombieland, tout un passage dans une maison en flammes et une scène sidérante par sa brutalité où après le combat il est temps de compter les morts et soigner les blessés.
    En conclusion 13 Hours: The Secret Soldiers of Benghazi est un bon film. Même si on lui reprochera un côté bien trop pompeux et empli de pathos ainsi qu'une absence gênante de subtilité, il faut aussi reconnaître qu'il se montre bien plus réfléchi que la moyenne sur le conflit qu'il retranscrit et sur l'aspect factice des symboles américains. Ici les vrais héros sont ceux contraints de se battre pour des bureaucrates lâches et méprisants, et peu importe le camp ou les raisons de se battre c'est le soldat qui est noble pas sa cause, ni son pays. Même si le message est simpliste, il évite au moins de tomber dans le patriotisme ou le manichéisme, présentant les "ennemis" non pas comme une menace diabolique mais comme un corps uni et désincarné qui se bat pour ce qu'il croit être juste. Un traitement qui est aussi appliqué aux "alliés". Michael Bay arrive donc à ne pas se renier tout en parvenant à gagner en maturité et en recul sur son propre cinéma. Faisant des films plus aérés et moins indigent étant plus dans un classicisme noble que l'hystérie incontrôlé de ses débuts. Il fait des œuvres plus aboutis visuellement, mieux rythmées et moins bourratives même si ici on aurait quand même pu se passer de 20 min de film, le tout étant un peu long. Il signe donc avec 13 Hours, un des meilleurs film de sa carrière, moins fulgurant qu'un Pain & Gain mais bien plus mature et maîtrisé que ses anciens films.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 avril 2016
    13 hours : Un film d’action géopolitique… et de vision du monde.

    Pour beaucoup Michael Bay est un réalisateur de blockbuster, bien calibré, et/ou les neurones peuvent se reposer. Il n’y a rien d’autres à voir lorsqu’on va voir un de ces films… Enfin, c’est ce que l’on pense, parce-que ça serait méprisant de percevoir Bay comme un réalisateur sans réflexion et le roi des films nanars et de type de série B.

    Parce que oui, que l’on le veuille ou non, Bay a une marque fabrique et ses films forment une œuvre. Son thème principal, son fil conducteur, c’est la confrontation de l’humain et de ses choix qui peuvent avoir de grandes conséquences.

    Il est vrai, qu’à première vue, Bay a une perception très nationaliste, patriotique de son pays : il y a le bien et il y a le mal ? Il y a toujours un ou des gentils et un ou des méchant. Reprenons, ses films :
    Bad Boys  : Les gentils, sont les deux guguss que sont Will Smith et Martin Lawrence et le méchant, Tchéky Karyo, un gros parrain de la drogue ;
    Vient ensuite Rock avec Nic cage en bon agent du FBI qui doit déjouer un commando ayant pris la prison d’Alcatraz, pour ensuite propager un virus monstre.
    Armageddon : les gentils astronautes face au terrible astéroïdes
    Pearl Harbor : les soldats américains face aux méga-méchants soldats hippons
    Transformers par exemple, les Autobots dirigés par Optimus Prime, face aux redoutables Decepticons dirigés par Mégatron .
    Bref, j’arrête. Une vision que vous me diriez très américaine, très conservateur et ou l’étranger est le méchant. ( Un peu raciste, tout ça… Allons y pourquoi pas…

    Sauf que voilà, ça serait trop simple et si on y regarde un peu plus près, il y a une vraie reflexion chez lui derrière la confrontation qui est souvent extérieures… C’est la confrontation même de l’intérieur. La confrontation entre hommes de terrain (soldats/ flics/ astronautes…) et hommes d’états qui pensent tout connaître, tout savoir, et que leur décision est toujours le meilleur choix sans avoir jamais été confrontée au terrain.

    13 Hours est peu être justement son meilleur film par rapport à ce que je viens d’énumérer. Chez Bay, même si l’action passe avant tout, il y a dans chacun de ses films un regard politique. Dans celui-là, c’est un regard géo-politique,. Celle d’un groupe de militaire qui se retrouve encerclé par des terroristes dans leur base en Libye, à Benghazi, quelques jours après l’attentat du 11 septembre. Cette histoire vraie qui a laissé la vie à l’ambassadeur américain J. Christopher Stevens résume bien que les films de Bay ne sont pas simplement divertissants.
    En effet dans ce film de guerre, la confrontation se situe des deux côtés :

    En premier lieu, les terroristes qui prennent l’assaut, tuant ainsi le politique, les soldats, des innocents etc… De l’autre côté le chef de la CIA qui lui refuse l’intervention de ses soldats pour venir en aide aux victimes, ( dont l’ambassadeur) car ils sont seulement observant pour garder une pacification avec le pays. Et enfin des soldats qui eux, ont pour mission de sauver des vies en reniant l’ordre et l’autorité de leur chef…

    Tout le film jongle, donc, entre les militaires de terrain et les militaires bureaucrates.
    Il y a même cette scène qui est très drôle ou un jeune loup du côté administratif avec pleins de diplômes demande au traducteur ce qui se passe dehors. L’un des militaires lui dit : « viens en haut avec moi. Et tu verras… » Refusant de le croire et de lui parler (puisque miliaire et neuneu d’après lui), il préfère demander confirmation au traducteur qui valide la gravité de la situation.
    Michael Bay avec une mise en scène brutal et vif, dénonce à travers ce film de guerre efficace et violent (certaines scènes sont insoutenables) la stupidité des bureaucrates. Qui en plus sont récompensé par leur inactivité.
    Une nouvelle fois, Bay derrière son blockbuster continue son engagement et son soutien aux hommes de terrain qu’on méprise, et qu’on oublie un peu trop souvent.

    En plus de ça, il y a une autre réflexion, qui montre que Bay tiens un engagement politique dans ses films… Ici dans 13 hours, c’est celle-là : faut-il absolument se mêler de la politique d’un pays pour le bien soi-disant de l’humanité et assassiné son prédisent-dictateur quand on voit ce qu’est devenu le pays par la suite ?

    Un très bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 avril 2016
    Dans la ligné de la Chute du Faucon noir et du Sang et des Larmes. Très bon film de guerre et une histoire vrais qu'on peut ce rappeler. De bon acteur bonne musique bon film!
    Nicolas.BSN
    Nicolas.BSN

    80 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2016
    Un super film d'action dans la lignée de La Chute du Faucon Noir et Du Sang et Des Larmes! Michael Bay nous plonge dans une bataille intense entre des agents de sécurité américains et des forces libyennes déterminées. En mentionnant que c'est une histoire vraie, on ressent vraiment ce qu'ont dû éprouver ces combattants de l'extrême.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 avril 2016
    Un dépaysement total. .on sens l ambiance stressante de se retrouver ds un endroit de guerre et surtout une difficulté à reconnaître les gentils des méchants. .assez perturbant à vrais dire, bref si vous avez aimez la chute du faucon noir,régale assuré 😊
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 avril 2016
    Un film hommage inutile… Michael Bay n'aurait jamais dû réaliser ce film…
    C'est nul de long en large et clichés à mort.
    Pour les effets pyrotechniques et réalisation stylée : ok
    Les amateurs aimeront.
    Pour un film de guerre, rendant hommage : c'est non
    Passez votre chemin
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 avril 2016
    Encore un chef-d'oeuvre de ce talentueux Mister Bay ! Respect !
    Aucun film de sa carrière ne m'a déçu.
    2h20 de régale en action émotion suspense ... 13 Hours est énorme et puis en plus histoire vraie quoi c'est pas rien !
    Steven Merlier
    Steven Merlier

    30 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2016
    Le voila notre nouveau michael Bay et comme a son habitude avec un bon gros film d action qui tache !
    mais la ou il surprend c est que c et pas des robots mais une histoire vraie , sur une attaque d une antenne de l ambassade des USA ! Lors du 11 septembre 2012 !

    Alors oui il y a une vingtaine de drapeaux américains tout le long du film mais la ou se plantait american sniper celui la voit plus large et ne me pas le cote : je me bat pour mon pays" en avant mais la famille , cela reste très cliche ! hey les mecs c est Michael Bay quand même!

    Plus dans la lignée d un chute du faucon noir dont il font reference dans le film ( du moins des événements ) le film est efficace , on s attache à cette escouade d homme qui traîne des pneus pour s entraîner ! mais alors on souffre pour eux car oui il est super hard core en terme de violence ! des membres arraches , des amputations et tout !

    mais le film prend au tripes on est avec eux , on a mal pour eux , on pleure avec eux !

    un grand film de guerre qui malheureusement peut faire écho aux événement qui ne sont toujours pas fini avec l état islamique !

    Michael Bay est capable de faire des bons films avec de grosses explosions !
    Yo Happy H
    Yo Happy H

    22 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2016
    Tout bonnement son meilleur en tant que réalisateur. Le castings est parfait. Humour, scènes d'action , émotion: Tout y est.
    RedArrow
    RedArrow

    1 527 abonnés 1 491 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2016
    "L'attaque de Benghazi" vu par Michael Bay...
    On a beau tenter de mettre nos doutes de côté (après tout le bonhomme est capable du pire, les derniers "Transformers", comme du meilleur, "No Pain No Gain" récemment), voir ce bourrin à la subtilité d'un rhinocéros en rut partir à l'assaut d'un film d'action ayant pour cadre la politique étrangère des États-Unis en Libye est quand même un brin flippant.

    Le 11 septembre 2012, c'est tendu comme pas possible à Benghazi : la résidence provisoire de l'ambassadeur américain puis un camp secret de la CIA (pléonasme) sont victimes d'attaques terroristes. Un groupe de 6 paramilitaires va résister 13 heures durant contre des vagues d'ennemis de plus en plus nombreuses pour protéger les agents sur place.

    "13 Hours" c'est un peu comme un gigantesque tour de montagnes russes entre le bon et le mauvais Bay.

    Dans la première partie nous introduisant au contexte de l'avant-attaque, le réalisateur surprend et de la meilleure manière grâce à une mise en place du sujet à base d'images d'actualités (guerre, exécution de Kadhafi, etc...) pour un maximum de réalisme et à une vision convaincante d'un Benghazi aux mains des milices tribales où l'on vend des armes et munitions de l'ancien régime comme des petits pains sur les étals des marchés.
    Cette ambiance de poudrière prête à exploser à chaque coin de rue est parfaitement retranscrite grâce aux diverses missions de routine nous présentant le quotidien de ces agents américains.
    Bon, Bay ne peut toujours pas s'en empêcher, pas un plan n'excède une durée de 5 secondes et, hormis quelques rares moments de pause ou de recueillement, ce sera le cas pour tout le film - amusez-vous à calculer, c'est flagrant !
    La ruche de personnages (bien trop nombreux) est de plus, malgré de maigres développements pour la plupart, interprétée par une belle brochette de comédiens, de vrais "gueules" pour nos soldats, sachant créés une empathie immédiate avec le spectateur. On retiendra bien sûr John Krasinski pour son premier grand rôle dans un film d'action et James Badge Dale, plus habitué au genre mais rarement en haut de l'affiche, tous deux sont excellents.
    Bref, c'est que l'on commençait presque à y croire à toute cette affaire mais Michael Bay va très vite nous rappeler qu'il est aussi capable du pire.

    Lors de l'attaque de l'ambassade provisoire, Bay va craquer, un peu comme si ça lui avait fait tout bizarre de faire aussi bien avant et qu'il fallait qu'il retourne absolument à ses mauvaises habitudes pour le bien-être de sa santé mentale.
    La mission de sauvetage de l'ambassadeur américain est une catastrophe dans tous les sens du terme. Pour nous plonger au cœur du chaos de l'attaque, le réalisateur... ben... nous met littéralement en plein chaos ! On ne comprend rien à ce qui se passe à l'écran : une multiplication bien trop importante des points de vue, une gestion de l'espace incompréhensible ("ils sont Porte A, j'suis Porte B, on se retrouve Porte C !" C'est bien, les gars, mais, nous, on l'a connaît vite fait cette vaste demeure !) et ces plans épileptiques de quelques secondes qui n'arrangent rien du tout.
    À la fin de cette séquence, c'est bien simple, tous les espoirs que la première partie avait su insuffler en nous ont désormais disparu.

    Le reste du film (les soldats retranchés dans le camp de la CIA affrontant les assauts terroristes) rattrapera heureusement un peu les dégâts, le côté siège ("Mais pourquoi je me retrouve au casting de Fort Alamo 2012 ?" dira un soldat) permettra à Bay de ne pas trop partir en vrille et de délivrer ce qu'il sait faire de mieux : un divertissement bourrin et efficace à base de fusillades.
    Tout ça restera très classique et sera entrecoupé de passages obligés gênants (les moments de pause où les soldats parlent bébés et mal du pays) mais on se surprendra finalement à s'être tellement attaché à cette petite bande de "résistants" que "13 Hours" ne semblera pas en durer autant.
    Et ce n'est déjà pas un moindre mal...
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