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    Annihilation
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    478 critiques spectateurs

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    kal-el 02
    kal-el 02

    97 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mars 2018
    Après Ex Machina, Alex Garland continue sa route dans le paysage fantastique avec brio. À mi-chemin entre Rencontre du troisième type, Alien et Premier Contact, Annihilation ne révolutionne peut-être pas le genre mais a le mérite d’aller à contre courant des autres propositions SF du moment apart blade runner 2049. À travers une invasion extra-terrestre non pas destructrice mais exploratrice, Annihilation propose une imagerie brillante et originale des thèmes de la création et de l’évolution dans un ordre établi bouleversé. L’alien s’apparente à Mère Nature qui reprend ses droits sur la Terre en proposant une alternative évolutive passionnante. Prenant comme socle la division des cellules et l’hypothétique survie des espèces par la fusion, Alex Garland a l’intelligence de faire réfléchir son public sur les conditions de notre existence et la dégradation de nos corps.Le casting s’en sort très bien, Natalie Portman est surprenante, Oscar Isaac fait le job et les autres (Jennifer Jason Leigh, Gina Rodriguez, Tessa Thompson et Tuva Novotny) apportent chacune leur touche à l’intrigue. Les personnages n’ont que peu de relief et de profondeur mais ce choix scénaristique explique le peu d’importance accordée à l’espèce humaine dans cette histoire qui la dépasse. Ce n’est pas le propos principal d’Alex Garland qui cherche plus à faire briller son univers et mettre en lumière ses conséquences que ses protagonistes. Ce qui permet au spectateur de se sentir impliqué et de développer son imagination et ses interprétations personnelles. Bref, Annihilation est une belle surprise, une pause lyrique et pleine de nuances dans un milieu SF trop prolifique et homogène. Le film possède un ingrédient essentiel que peu de films du genre peuvent se targuer d’avoir en ce moment : une âme.
    Yanick D
    Yanick D

    6 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 mars 2018
    « Annihilation » me fait penser à ces nanars de SF avec le développement d’une vie mystérieuse à bord d’un vaisseau spatial. un long prélude, une psychologie à deux balles, des personnages infectés qui perdent la raison et qui meurent, une scène ésotérique en guise de réponse et une fin ouverte. C'est comme Even Horizon, mais en forêt.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mars 2018
    J'ai pu lire que le réalisateur fût déçu de céder la diffusion à Netflix au lieu de pouvoir sortir en salle... Bien pour ma part je suis énormément ravis d'avoir pu en profiter sur mon home ciné sans avoir à attendre 5 ans pour un film de cette qualité. Puis vu le prix d'une place de ciné aujourd'hui...
    Bref passionné de SF j'ai trouvé ce thème merveilleusement bien abordé. Un mélange de psychologie humaine autour de la depression ou encore de la maladie comme le cancer rendue visuellement, avec un univers biologique à la fois beau et terrifiant... le petit plus à la Alien... bercé d'une ambiance sonore extraordinaire...
    Conclusion un très bon film moderne de SF tant beau par son aspect esthétique visuel, son ambiance, sa bande son, que son scénario et le jeu des acteurs. Envoûtant, c'est plaisant de pouvoir enfin voir un retour de la SF intelligente sur nos écrans !
    Herve A.
    Herve A.

    1 abonné 52 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mars 2018
    Ensemble assez décevant. L esthétique du film est parfaite, réalisation impeccable mais je n ai pas été touché par ce film qui reste trop contemplatif à certains moments et assez primaire. Des thèmes classiques (autodestruction, clonage humain, le regard de l homme sur son propre destin et l acceptation de la difference) maladroitement exploités. Bref visuellement ce film est à voir, mais je n ai pas accroché comme je l espérais.
    L'Otaku Sensei
    L'Otaku Sensei

    282 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 août 2018
    Alex, Alex, Alex ^^....décidément, je suis un mec qui a le chic pour partir du mauvais pied avec la filmographie de réalisateurs pourtant acclamés par la critique ! Pour la 3ème fois ça me fais le coup. D'abord Del Toro avec qui j'ai pris un mauvais départ en voyant trop jeune le macabre conte horrifique espagnol "Le Labyrinthe de Pan" (2006)....avant de d'être soufflé par son "Pacific Rim" et "La Forme de l'Eau", puis il y a eu Nicholas Winding Refn avec qui ça a très mal commencé entre nous à cause de son "Drive" (2011)...avant que je me réconcilie totalement avec lui après ma découverte de l'éblouissant diamant esthétique wtf "The Neon Demon" (2016), et maintenant Alex Garland.
    Alex Garland est un réalisateur Britannique novice encore débutant, romancier de formation, qui avait pourtant bien attiré l'attention en juin 2015 avec le succès critique de son second film "Ex-Machina"...qui s'était même vu récompenser par la suite par l'Oscar des meilleurs effets visuels à la 88ème cérémonie des Oscars en 2016. En bon romancier et intellectuel qu'il est, Garland avait démontré à travers "Ex-Machina" qu'il était un bon élève et connaissait sur le bout des doigts ses classiques; hélas, "Ex-Machina" fut pour moi une bien amère déception, à défaut de connaître de fond en comble les Nouvelles littéraires sur l'A.I d'Asimov sur le Cycle des Robots, les 3 lois ect, Sir Alex se contenta de rabibocher sommairement-scolairement l'exosquelette d' "I Robot" de Proyas (2004) en noyant toute réflexivité prétendu dans des dialogues ivres morts entre Oscar Isaac et Domhnall Gleeson qui pendant 1h50, passèrent leur temps à s'enfiler des bières.
    A partir de là, dur pour moi d'avoir envie de retrouver ce réalisateur qui m'avais tant gonflé avec son film Asimovien pseudo intellectuel ! ^^
    Ce n'est donc pas de gaieté de coeur que je me suis lancé dans "Annihilation", néanmoins, poussé par les bons retours (et par le synopsis vite fait), je me suis lancé dans le visionnage du nouveau film d'Alex.
    Bon, "Annihilation", troisième film d'Alex Garland après "Buck Murphy" (2002) et "Ex-Machina", dont il est également réalisateur (le gars a aussi une petite carrière de scénariste, notamment sur "28 Jours plus tard" de Danny Boyle en 2002 et "Sunshine" en 2007), adapté du roman éponyme de Jeff VanderMeer, nous raconte l'histoire de Lena, une biologiste et ancienne militaire. Lorsque son mari (également militaire) revient d'une mission commando sans le moindre souvenir, Lena le conduit alors à l'hôpital lorsque ces derniers sont interceptés par les autorités et endormis. Lena reprend ses esprits aux côtés d'une psychologue dans un étrange centre, a proximité d'un immense champ de force aux couleurs gondolantes. La jeune biologiste se voit alors conviée à participer à une mission commando en compagnie d'autres femmes, visant à pénétrer et l'intérieur du champ de force et à l'explorer afin de découvrir la source du phénomène inconnu. Cependant, il semble qu'il s'agisse de l'endroit ou son mari est allé....est et revenu sans le moindre souvenir de ce qu'il a vu ^^.
    Que vont-elles découvrir à l'intérieur de la bulle ? Quel est l'origine, la raison de ce phénomène ? Un tel phénomène est il seulement explicable par la science ?? Lena et les autres n'en sortiront pas indemnes.
    Voilà pour le pitch global.
    Verdict : Alors là...........Garland m'a complètement pris par surprise ! BAM ! Bonne grosse mandale qui réveille sur la joue !
    Je m'attendais vraiment pas à ça, je ne l'avais vraiment pas vu venir, même de loin !! Pfffiouuu, oh là là, quel film incroyable !! Et moi qui pensait que les films Netflix n'étaient pour la plupart que des série B sans moyens, dignes de téléfilms M6, là je viens d'avoir la preuve on ne peu plus clair que non. Ca va être compliqué mais compliqué de parler d' "Annihilation" clairement et synthétiquement sans s'égarer tant le film tant le fond, la forme, la réflexivité, les thématiques sont d'une profondeur intellectuelle abyssale !! "Annihilation" est un véritable casse tête, une énigme en soit, un rubix cube qu'on tourne et qu'on retourne tant il est flexible et insaisissable et tant la puissance qui le traverse est transcendante...atteignant presque le métaphysique !!
    "Annihilation" est un pur OVNI dans le cinéma de Science Fiction, un film savant non identifiable, plein de mystères, indécis à la croisée des genres de cinéma. Entre Science Fiction, Thriller, Aventure, Epouvaante-Horreur, le film est une véritable anguille, maline et intelligente, qui ne se laisse jamais prendre dans les mailles du filet, une peinture abstraite.
    Ce film est quasiment, au delà de la métaphore, un être vivant composé de noyau, de cellules, de tissus, de membranes suivant un métabolisme naturel.
    L'histoire, le scénario est un noyau autour duquel les genres gravitent; SF, Horreur....tous sont des cellules obtenues de la division d'une seule et même cellule oeuf à la base de tout. La Science Fiction, le savoir Asimovien du romancier-réalisateur est la cellule mère qui féconde autour du film les autres cellules-genres. Le film n'a pas d'identité pointée, définitive nan, il est en gravitation continue, un organisme filmique en mutation constante, jamais cloîtré dans un genre près-établi, jamais coincé par les barrière d'une convention oppressante quelconque, le film n'a pas de "sexe", il se travestit et embobine, nous met à l'épreuve visuellement et émotionnellement !
    Le scénario d' "Annihilation" est absolument imprévisible, à l'image du champ de force appelé phénomène de "Miroitement" dans le film, toute prévisibilité apparente n'est que mirage et s'efface bien vite. Le spectateur n'est plus sûr de rien, plus sûr de ce qu'il regarde au bout de 15 petites minutes ^^; sa profondeur se trouve dans sa plus grande simplicité et il ne faut pas se fier aux apparences.
    Intriguant, fascinant, beau et onirique d'un côté...et pourtant sur l'autre facette de la même pièce: macabre, flippant, dérangeant, pendant 1h55, Alex Garland nous balade d'émotion en émotion et a un talent pour nous faire passer a l'émotion contradictoire de manière brutale sans avertissement.
    Presque semblable à un conte par moment, mister Alex laisse libre cours à ses influences. On ressent une ressemblance scénaristique avec "Alice au Pays des Merveilles" de Lewis Carol (tiens tiens, un roman anglais ^^) dans la dimension psychologique. On le comprend bien vite, Garland nous met au parfum a travers les dialogues et les mystères entourant le miroitement, tout le film s'articule autour d'une dimension et d'une réflexion psychologique ! spoiler: Au cinéma, on dit souvent que l'environnement caractérise les personnages, eh bien ici c'est tout à fait le cas. L'environnement sauvage et indompté qu'est la jungle à l'intérieur de l'immense champ de force circulaire représente/traduit concrètement à l'écran l'esprit des personnages. L'intérieur du miroitement EST l'intériorité des personnages, leur esprit dans lequel les héroïnes se perdent. Tout comme la petite Alice qui se perd dans les limbes de son esprit dans le roman de Carol, les héroïnes sont toutes des Alice en train de se perdre dans leur propre cauchemar; la jungle, les marécages, le sanglier zombie, caractérise l'errance des personnages sombrant dans la folie et le désespoir, une transposition concrète de leur état psychologique à travers l'environnement. On le comprend très bien car à vu d'oeil, cette immense bulle bleu-pourpre-mauve a tout d'irréel, d'anti-naturel.
    Une dimension psychologique complètement appuyée par les couleurs majoritairement froides, le bleu comme étant symbolique de rêve et de spiritualité, le vert qui au théâtre est une couleur associée aux superstition, le violet, couleur associée à la psychologie et à la mémoire. Toutes ces couleurs colorient cette toile filmique abstraite, cette "peinture de l'Esprit".
    On a ici une fusion entre la SF dépressive/pessimiste de Stanley Kubrick et le Fantastique onirique expressionniste de Tim Burton ! Une chimère, un croisement entre "Big Fish" (2003) et "2001: l'Odyssée de l'Espace" (1968). On ressent aussi une influence marquée dans le registre Science Fiction des Scott/Spielberg/Nolan/Villneuve,
    "Alien: le huitième passager" (1979), "Rencontre du Troisième type" (1977), "E.T" (1982), "Interstellar" (2014), "Premier Contact" (2016). Par dessus le marché, (comme si les influences n'étaient pas assez nombreuses déjà), Garland munit son récit d'une esthétique partageant quelques traits standards avec l'ADN des jeux vidéo ("Tomb Raider", "Uncharted", ou les jeux FPS). Là encore c'est tout sauf un hasard puisque Alex Garland a été....développeur de jeux vidéo (le CV de ce mec c'est du jamais vu o_O ^^). spoiler: En fait, je ne crois pas extrapoler en insinuant que le champ de force "Miroitement" du film est non seulement une matérialisation de l'esprit, la folie des protagonistes féminins du commando....mais en plus, en poursuivant dans ce sens, on pourrait même tenter de supposer....une transposition de l'esprit même du réalisateur !! (C'est compliqué et je vous comprends, je vais essayer d'être le plus clair possible ^^) Au cinéma, la question du point de vue est à ne jamais perdre de vue; dans un film on a le point de vue: du personnage, du spectateur et du réalisateur. Ici, nous observons dans la fiction l'esprit des personnages, mais le réalisateur porte lui aussi un point de vue sur l'état psychologique (supposé matériel ici ^^). Ainsi se tisse un vecteur entre les points de vue et à travers le point de vue du réalisateur sur ses personnages, on peut émettre l'hypothèse qu'on se trouve étroitement...dans l'esprit du réalisateur, dans son esprit ou toutes les références de tous les genres se mélanges dans un chaos ordonné !! Nous sommes dans la tête d'Alex Garland en étant dans la tête des personnages, tout est lié !

    Comme dirait le philosophe Français Gilles Deleuze (1925-1995) dans ses textes sur l'Art, le but de l'Art et de structurer et de donner à voir le chaos (ce qui n'a pas de forme défini), "Annihilation" c'est totalement ça, le film est un magnifique chaos d'idées, une réflexion sur la psychologie, l'Esprit, l'Art et le Cinéma, tout ça à l'extrême ! Ici, la réflexion ultime du film s'articule entre une comparaison métaphorique continue entre spoiler: la Folie/L'Esprit et le Cinéma. Garland est ici un véritable visionnaire qui vient juste de prendre une grosse longueur d'avance sur ses maîtres. Le cinéma peut il/est il le reflet, l'incarnation de la folie de l'esprit humain ? Ou bien la Folie est elle du Cinéma ? La comparaison avec le cinéma a tout lieu d'être puisque à la fin du film, Lena trouve une caméra dans le phare, de plus, le fait que le phénomène inexpliqué s'appel le "miroitement" n'est pas anodin puisque l'écran de cinéma a toujours été théorisé comme étant un miroir de la vie, un miroir de l'imagination et de l'esprit. Edgar Morin (1921-), dans son texte "Le Cinéma ou l'Homme imaginaire" (1956), avait théorisé l'hypothèse que si le cinéma est à l'image de notre psychisme, alors notre psychisme est à l'image du Cinéma.
    Le film a également une époustouflante dimension de réflexion métaphysique et dont la fin du film est encore plus énigmatique que celle de "Blade Runner" de Ridley Scott.
    spoiler: Lorsque dans le phare, Lena assiste à la naissance cellulaire de l'extraterrestre métallique sans visage. Sans doute une des plus belles et des plus profondes scènes qu'on ait vu dans un film de SF depuis fort longtemps. Ici, Garland va même jusqu'à matérialiser le métaphysique à travers cet être sans agressivité imitant les faits et gestes de Lena. Il est question de mettre l'homme au centre de thématiques métaphysique, d'interroger le rapport entre l'Homme et le Divin, entre la Science et le Divin, une bataille du spirituelle contre le rationnel au centre de la thématique d'une cellule unique à la source de tout. Le phare dans "Annihilation" serait en quelque sorte l'inconscient à l'intérieur de la sphère paranormal qui serait l'esprit. Garland laisse entendre que le fruit de la connaissance est dans l'inconscient, qu'accéder à l'inconscient serait de l'ordre du Pêché (pêché évoqué plus tôt déjà dans la séquence de l'enregistrement ou le soldat s'ouvre le ventre et découvre qu'il a un serpent à la place des entrailles).

    Niveau jeu d'acteur, Nathalie Portman ("Star Wars" I,II, III, "Léon", "Black Swan", "Jackie") livre une performance tout à fait juste, bonne perf également de la part de Tessa Thompson, l'actrice de "Creed" (2016) et "Thror Ragnarok" (2017) continue d'améliorer ses talents en diversifiant ses registres dans différents types de prod auxquelles elle prouve qu'elle sait tout à fait s'adaptée.
    Bon, je pense en avoir laaaaaargement dit assez, en conclusion, "Annihilation" est une immense surprise, un véritable coup de génie inattendu qui m'a complètement assommé et retourné les tripes, un chef d'oeuvre unicellulaire !!
    christian c.
    christian c.

    7 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mars 2018
    Un film qui épouse bien son contenu (multiplicité cellulaire) puisqu'il emprunte génétiquement et multiplie les ficelles et l'intrigue de The Ritual, Village, Outlander, Blair Witch,etc. Un même dénominateur commun donc, qui donne une impression de déjà-vu. Sauf que certains films du même tonneau sont plus originaux que d'autres. Celui-ci fait pâle figure avec sa poésie de kaléidoscope.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 mars 2018
    Beaucoup trop lent. La photographie est top, les acteurs franchement bons mais... ça avance à deux à l'heure. Ok c'est un film d'ambiance mais ce n'est pas assez électrique, pas assez stressant... Clairement il y a un univers et une histoire fantastiques mais le réalisateur se regarde peut être trop le nombril? Ou alors c'est juste moi qui ne suis pas assez patient ou compatible avec ce genre de films contemplatifs!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 mars 2018
    un trip hallucinant et halluciné sur la psyché humaine , le rapport à l'autre , tout en étant à lui seul une petite révolution visuelle et scénaristique, ce film d'une grande qualité est d'ores et déjà un must see de cette année , à conseillé à tout le monde
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 mars 2018
    Le trailer était plaisant.
    La première demi-heure était thrilling et prometteuse malgré quelques petites invraisemblances.
    Et puis ça part vraiment en cacahuètes. Graduellement on atteint une débilité d'une profondeur insondable. Les scénaristes on indubitablement dû en prendre de la bonne!
    On se demande franchement ce que Nathalie Portman est allée faire dans cette galère?

    Bref, si vous voulez perdre 1h55, je vous le conseille vivement.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 mars 2018
    Super Nanar est arrivé ! Musique casse-tête inappropriée pour de la SF.SF très bas de gamme.
    Il n'y a pas grand chose qui tienne debout.
    Le manque d'action tente d'être comblé par un excès de paroles.Et comme les dialogues sont nuls...
    Encore un flop netflix.
    Grégory Dubreuil
    Grégory Dubreuil

    16 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mars 2018
    Déception face à ce film très prometteur à cause de son rythme lent et son montage que je n'ai pas compris du tout ... je m'attendais à un film oppressant ... étrange certe mais pas comme je l'attendait ... et ces lenteurs extrêmes ont failles me faire décrocher mais j'ai persisté ... mes étoiles vont aux acteurs et à la photographie sublime !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 13 mars 2018
    Comment perdre 2 heures de son temps dans un délire qui n'arrive ni à créer l'intérêt, ni à susciter l'émotion ou à être suffisamment bien ficelé pour être vraisemblable. La prestation de Nathalie Portman est toujours aussi parfaite mais mérite mieux.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 mars 2018
    mon Dieu c'était pourtant bien parti mais le final élan et j'ai l'impression que même le scénariste n'a pas compris si vous voulez faire
    Elisabeth M
    Elisabeth M

    27 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 avril 2018
    En regardant la bande annonce, j'ai pensé voir un bon film.
    Effectivement le film commence bien dommage que rapidement ça tourne au grand n'importe quoi. Certains y voit une symbolique avec l'autodestruction humaine.... Je veux bien mais pour moi cette symbolique m'échappe totalement, tout comme la fin du film...
    Belle déception..
    Il y a de très belles images, des paysages superbes qui cachent d'atroces danger...
    L'idée de départest bonne dommage que tout se dégrade rapidement et ça fini par n'avoir aucun sens...
    Il faut être un grand philosophe pour arriver à percevoir un messafe dans cette daube, ce n'est pas mon cas, donc je dirais, à éviter....
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 mars 2018
    Lena (interprétée par Nathalie Portman) est une biologiste confrontée à la disparition de son mari, un militaire parti pour une mission secrète depuis plus d’un an et dont il n’est jamais revenu. Alors qu’elle est résignée et commence à faire son deuil, celui-ci revient un peu trop soudainement d’ailleurs. Celui-ci est changé et tombe malade. Il va être pris en charge par un groupe militaire et scientifique secret qui va inviter Lena à rejoindre une expédition pour découvrir le mystère d’une zone contaminé par un météorite qui a tendance à changer l’environnement et à se propager à partir d’un phare. Lena va accepter de participer à cette expédition 100% féminin dans cette zone contaminée et plus particulièrement motivée pour trouver un moyen de sauver son mari. On est porté par cette aventure en terre hostile jusqu’au final car comme ces exploratrices on a envie de savoir ce qu’il en est. L’esthétisme du film ne laisse pas indifférent. C’est plutôt beau. On peut cependant s’interroger sur la faune de cette zone impressionnante, mais, elle apporte les scènes de tension du film. On peut rester perplexe sur la fin du film qui reste assez décevante voire limite ridicule ( spoiler: le clone inachevé assez mal fait de Léna qui imite ses gestes, sauf lorsque cela sert à l’intrigue
    ). Annihilation est une aventure de type survival plutôt bien fichue mais dont le scénario peut nous laisser parfois de côté par son caractère assez métaphysique et ses personnages pas suffisamment développés.
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