Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Trois amis, inséparables depuis l’enfance, rêvent de devenir danseurs de ballet. Leur formation, dans une Norvège de neige et de froid, leurs difficultés, leurs espoirs, leurs échecs et leurs réussites : un document passionnant sur la jeunesse, la danse, l’apprentissage de la vie.
La Croix
par Marie Soyeux
L'arabesque semble piquer du nez, quand le documentaire retrouve son équilibre en s'éloignant de la danse pour investir son véritable sujet : celui du choix.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
Son rappel, bienvenu au demeurant, qu'apprendre la danse n'est pas forcément une descente aux enfers, se fait cependant au prix de quelques ellipses autour des sujets sensibles (le coût des études, les blessures) maladroites et un peu frustrantes.
Première
par Eric Vernay
Monté cut sur une musique tonitruante et jalonné d’interviews façon téléréalité, ce documentaire ne s’embarrasse pas de subtilités de mise en scène. Mais les multiples soubresauts du récit assurent l’efficacité – formatée – du spectacle, généreux en dilemmes cornéliens (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par La Rédaction
C'est passionnant, même si le documentaire n'est pas exceptionnel en soi.
Télérama
par Cécile Mury
D'entraînements en concours, ce documentaire permet de les regarder grandir, travailler avec acharnement, rigoler, douter, espérer. Attachant, malgré une incessante et pénible musique de fond qui souligne tout, façon télé-réalité
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Un documentaire attachant, malgré des longueurs que l'on pourrait qualifier de disgracieuses dans une oeuvre qui célèbre l'art de la danse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si le documentaire leur donne beaucoup la parole, il les montre très peu à l’œuvre dans leurs chaussons. Difficile donc de juger de leurs capacités réelles. Dommage.
Les Fiches du Cinéma
par La Rédaction
Un projet audacieux dont le metteur en scène tire un documentaire inélégant et finalement assez creux.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Ce documentaire ne dégage guère de passion dans sa narration linéaire.
Positif
par Fabien Baumann
Les séquences de danse multiplient ralentis et effets d'accéléré matrixiens déjà datés. Plus étonnant, toute musique classique (ce truc bizarre avec du piano et des violons) est remplacée au mixage par des synthés pop décomplexés.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Jour après jour, la caméra les suit, déroulant le menu un peu trop prévisible de cet apprentissage de l'extrême. Tout en brisant parfois, grâce au montage, la logique sensuelle de cet art, pour en révéler une réalité plus brutale.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Alors qu’il avait sûrement pour ambition de se démarquer en montrant le long et dur parcours des danseurs en devenir, le documentaire ne ressortira vraiment des archives que si Lukas Bjørneboe Brændsrød a la carrière qu’on lui souhaite. Pour les deux autres, les fans risqueraient d’être. Un peu comme le spectateur lambda, en somme.
Le Dauphiné Libéré
Trois amis, inséparables depuis l’enfance, rêvent de devenir danseurs de ballet. Leur formation, dans une Norvège de neige et de froid, leurs difficultés, leurs espoirs, leurs échecs et leurs réussites : un document passionnant sur la jeunesse, la danse, l’apprentissage de la vie.
La Croix
L'arabesque semble piquer du nez, quand le documentaire retrouve son équilibre en s'éloignant de la danse pour investir son véritable sujet : celui du choix.
Le Monde
Son rappel, bienvenu au demeurant, qu'apprendre la danse n'est pas forcément une descente aux enfers, se fait cependant au prix de quelques ellipses autour des sujets sensibles (le coût des études, les blessures) maladroites et un peu frustrantes.
Première
Monté cut sur une musique tonitruante et jalonné d’interviews façon téléréalité, ce documentaire ne s’embarrasse pas de subtilités de mise en scène. Mais les multiples soubresauts du récit assurent l’efficacité – formatée – du spectacle, généreux en dilemmes cornéliens (...).
Sud Ouest
C'est passionnant, même si le documentaire n'est pas exceptionnel en soi.
Télérama
D'entraînements en concours, ce documentaire permet de les regarder grandir, travailler avec acharnement, rigoler, douter, espérer. Attachant, malgré une incessante et pénible musique de fond qui souligne tout, façon télé-réalité
aVoir-aLire.com
Un documentaire attachant, malgré des longueurs que l'on pourrait qualifier de disgracieuses dans une oeuvre qui célèbre l'art de la danse.
Le Journal du Dimanche
Si le documentaire leur donne beaucoup la parole, il les montre très peu à l’œuvre dans leurs chaussons. Difficile donc de juger de leurs capacités réelles. Dommage.
Les Fiches du Cinéma
Un projet audacieux dont le metteur en scène tire un documentaire inélégant et finalement assez creux.
Ouest France
Ce documentaire ne dégage guère de passion dans sa narration linéaire.
Positif
Les séquences de danse multiplient ralentis et effets d'accéléré matrixiens déjà datés. Plus étonnant, toute musique classique (ce truc bizarre avec du piano et des violons) est remplacée au mixage par des synthés pop décomplexés.
Studio Ciné Live
Jour après jour, la caméra les suit, déroulant le menu un peu trop prévisible de cet apprentissage de l'extrême. Tout en brisant parfois, grâce au montage, la logique sensuelle de cet art, pour en révéler une réalité plus brutale.
aVoir-aLire.com
Alors qu’il avait sûrement pour ambition de se démarquer en montrant le long et dur parcours des danseurs en devenir, le documentaire ne ressortira vraiment des archives que si Lukas Bjørneboe Brændsrød a la carrière qu’on lui souhaite. Pour les deux autres, les fans risqueraient d’être. Un peu comme le spectateur lambda, en somme.