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    Hôtel Singapura
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    36 critiques spectateurs

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    dagrey1
    dagrey1

    86 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 août 2016
    "Hôtel Singapura" est un film à sketches relatant les relations entre amants,partenaires sexuels ou amis séjournant dans la chambre 27 de cet hôtel où Damien, musicien d'un groupe pop à succès est venur jouer avec son groupe.

    "Hôtel Singapura" a été réalisé par Eric Khoo. J'ai trouvé le film assez inégal et assez peu passionnant, les sketches étant basés sur des intrigues moyennes au mieux, voire médiocres. On passe d'un couple d'hommes qui doit se séparer à la fin de la guerre à la "consommation" par une femme mariée japonaise d'amants qu'elle jette "comme des kleenex" à un couple d'amis chinois formé par une fille en quête de sexe tandis que son ami est toujours puceau. Pas grand chose de passionnant dans ce long métrage pas franchement drôle, pas franchement dramatique, assez coquin mais complétement superficiel.
    Jeremy L
    Jeremy L

    19 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 août 2016
    Difficile d'apprécier ce film au rythme un peu lent. De belles scènes, un amour qui traverse le temps, de l'humour mais sporadique.
    alpha-pixel
    alpha-pixel

    26 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2016
    Unité de lieu : l’hôtel, chambre 27. (Le titre original est : In the room…)
    Unité d’action : l’amour.
    Le temps s’étale des années 50 à nos jours : passage par un beau noir et blanc, par un Technicolor saturé, par des images trash d’aujourd’hui. Inéluctablement, le temps coule et escorte la décrépitude de l’hôtel et des corps des divers personnages. Damien, lui, mort un nouvel an d’une overdose, est immuable : c’est un fantôme récurrent aux pouvoirs mirifiques présent dans toutes les scènes, posant son étrange regard sur les diverses péripéties sexo-sentimentales, et il donne au film l’unité de temps manquante. Damien apparaît ainsi tel un chœur antique, un chœur plein de compassion envers les relations difficiles. Car la banale chambre 27 en voit passer des amours délicates, bien confinées dans un secret propice. Ses seules ouvertures soulignent cet enfermement : au mur le tableau d’un paysage lumineux et tropical, et le trou de la serrure offert aux regards indiscrets. La caméra ne nous prive pas d’y placer son œil voyeur. Et à l’hôtel Singapura, les épisodes charnels ne manquent certes pas. Les chronométrer montrerait qu’ils font l’essentiel des 104 minutes. Ces scènes de sexe se succèdent, tour à tour émouvantes, cocasses, sensuelles, crues, drolatiques, tristes. Que nous dévoilent-elles tout au long du film ? Au début, le pouvoir du minou : ce bijou intime féminin autant capable de jongler avec des balles de ping-pong que d’envoyer les hommes au tapis. « La femme est comme une serrure, l’homme la contrôlerait avec sa clef ? Faux ! C’est la serrure qui a le dessus, car la clef peut casser », nous dit la formatrice en sexe. Et puis chambre 27, se succèdent les couples qui se mettent à nu, se découvrent ou se perdent. Les hommes s’échinent à faire jouir leur amante, plus ou moins joliment. Le film – puissance dramatique, dialogues bien menés– nous souffle alors que seul le sentiment compte, pas la transpiration. À la fin, de nos jours, Damien est triste, car tout passe et tout lasse. Le sexe, c’est la vie, mais le temps est inexorable, les rides profondes et les gros regrets sont là, occasions manquées et passions enfuies. Un couple a beau baiser en rythme, comme une horloge, l’hôtel tombe en ruine.
    Quel talent ! Quelle gageure que de réussir un tel film à sketches, original et poétique, sur un thème a priori délicat.
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    55 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2016
    Dans un hôtel délabré de Singapour, anciennement prestigieux, nous assistons au passage de différents clients dans une chambre à travers les décennies.
    Ce film montre de manière originale les préoccupations de personnes ordinaires le temps de leur descente à l'hôtel. Ainsi, l'histoire se présente sous forme de différentes scènes n'ayant pas de lien entre elles, si ce n'est la présence du fantôme d'un chanteur dans un groupe de hip-hop qui assiste plus ou moins passivement à ces séquences, qui ont pour point commun d'avoir comme thématique le désir, sous toutes ses formes et à travers de nombreuses scènes de sexe explicites. Le ton varie beaucoup en fonction des personnages, étant léger par moments ou parfois plus dramatique J'ai trouvé ce long-métrage élaboré dans sa mise en scène avec une réalisation faisant preuve d'une certaine sensualité pour mettre en valeur ce côté débridé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 août 2016
    Le film est poétique, mélancolique et imprégnée de sentiments. la mélodie des personnages et le mélange de toutes leurs solitudes en fait un film planant. On en ressort étourdi Avec l'envie de dormir à l'hôtel.
    dejihem
    dejihem

    117 abonnés 659 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 août 2016
    Des scènes souvent trop longues, pas vraiment bien jouées, un dispositif artificiel, des histoires souvent caricaturales, ce film un peu poussif n'égalera jamais les films japonais des années 70 sur ce sujet (vaste, profond, moite, sulfureux) qu'est le sexe.
    cinono1
    cinono1

    253 abonnés 1 985 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 août 2016
    Quand on prend pour sujet et décor une chambre d'hôtel, on s'applique au moins à bien la filmer. Ici, ça sent surtout le carton-pate, la lumière est crue, ça sent le factice, aucune atmosphère, aucune poésie ne se dégage des lieux. Et comme il s'agit d'un film à sketchs, l'intérêt est très inégal, passant de l'ennuyeux au (légèrement) intriguant. Un hôtel qui a été une pénitence pour moi.
    cylon86
    cylon86

    2 256 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2016
    Nous sommes à l'hôtel Singapura et plus précisément dans la chambre 27 : on y voit deux hommes qui s'aiment se quitter, des femmes apprendre à asseoir leur pouvoir sur l'homme grâce au sexe, un compositeur faire une overdose après être tombé amoureux, un transsexuel venu se faire opérer pour changer de sexe, une femme japonaise coucher avec son amant ou encore deux amis venus faire du tourisme. Autant d'histoires qui se déroulent dans la chambre et qui laissent apercevoir un panorama de la société singapourienne à partir de 1942. Par le biais de ces histoires d'amour et de sexe (allègrement montré, ce qui valu au film d'être censuré dans son propre pays), "Hôtel Singapura" dépeint l'évolution des mœurs d'un pays et offre un large panorama d'histoires plus ou moins tragiques qui en disent long sur l'être humain et son rapport (forcément complexe) à l'amour et au sexe. Sans être totalement brillant, le film fascine par la lenteur de son rythme et par la façon dont la réalisation épouse plusieurs styles (noir et blanc, couleurs pop) pour mieux s'imbriquer dans le contexte des histoires qu'il raconte. Inégal (évidemment, c'est un film à sketchs) mais en même temps cohérent dans ses thématiques, "Hôtel Singapura" fascine et distille une jolie atmosphère mélancolique qui ne laisse pas insensible. Le charme des acteurs et la délicatesse de la mise en scène y sont pour beaucoup.
    petitbandit
    petitbandit

    75 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 août 2016
    Tantôt drôle, tantôt dramatique, souvent sexuel, Hotel Singapoura est un de ces ovnis venus d'extrême Orient qui nous vaut 1H40 de pur plaisir. Le film, découpé en sketches nous conte les histoires de couples et leur rapport à l'amour et au sexe ainsi qu'à leurs sentiment respectifs. J'ai beaucoup apprécié la japonaise et son jeune amant, beaucoup d'esthétisme et de poésie dans ce film aussi. Les actrices sont aussi très belles et l'impression "farfelue" de l'ensemble donne une touche originale non négligeable. Les amateurs de ce type de cinéma apprécieront ce petit bijou.
    nadia22
    nadia22

    6 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2016
    Je sais pas si j'étais fatiguée ou quoi mais moi qui suis habituellement plutôt "bon public", j'ai pas pu entrer dans ce film pourtant bien noté par d'autres. Je l'ai trouvé surfait, figé, sans queue ni tête.
    Richard L.
    Richard L.

    15 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 août 2016
    Je ne crois pas avoir vu le même film que les critiques patentés, tant j'ai trouvé ce film à la limite de la pornographie, glauque, sans aucune poésie. A éviter
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 août 2016
    Un Anglais se sépare de son amant chinois ; une mère maquerelle enseigne à ses employées comment rendre un homme fou d’amour ; un groupe de rock fête son disque d’or ; un transsexuel thaïlandais attend l’opération qui lui permettra de changer de sexe ; une Japonaise trompe son mari avec un jeune Chinois ; une Coréenne visite Singapour avec son meilleur ami…

    Unité de lieu, mais pas unité de temps. La caméra de Eric Khoo ne quitte jamais la suite 27 de l’hôtel Singapura ; mais elle balaie près d’un siècle d’histoire depuis la prise de Singapour par le Japon en 1942 jusqu’à un futur de science-fiction où le sexe se pratiquera sous des formes étonnantes.

    Il y a deux façons de considérer le film de Eric Khoo. On peut y voir – et le titre français nous y invite – une radiographie en coupe de Singapour. C’est sans doute lui donner plus d’envergure qu’il n’y prétend. Même si, l’exotique brassage des langues (on parle anglais, chinois, coréen, japonais et thaï) est révélateur de l’étonnante mosaïque que constitue la cité-Etat.

    L’ambition de « In the Room » est différente. D’une saynète à l’autre, d’une époque à l’autre, le réalisateur pose la même question : comment aimer ? Le sujet est traitée de façon très pratique. Dans une chambre d’hôtel, on fait l’amour et on en parle. Le film, interdit aux moins de douze ans avec avertissement, n’est pas bégueule. Mais, aussi séduisants que soient ses personnages, féminins comme masculins, il ne se réduit pas à une succession de scènes de sexe. « Hôtel Singapura » lorgne du côté de « In the Mood for Love » et a le parfum envoûtant et sensuel des histoires d’amours impossibles.
    TchoSensei97
    TchoSensei97

    36 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 août 2016
    "Hôtel Singapura", c'est vraiment une oeuvre belle, riche, et aboutie. C'est aussi un film à sketch qui possède une cohérence parfaite dans sa construction. Le concept est superbe : on a le "fantôme" d'un musicien qui observera les tourments amoureux et/ou sexuels des occupants d'une chambre d'hôtel, spoiler: car il en aura lui-même vécu un dans cette fameuse chambre, juste avant sa mort.
    Seuls les deux premiers sketchs échappent à cette logique, ce qui est un peu dommage, surtout que le tout premier est assez moyen. Le second est plutôt drôle, bien mis en scène, et très sympa à regarder grâce à son ton décalé. Mais tout le reste du film est splendide ! C'est touchant, parfois bouleversant, et souvent très sensuel. Une scène de sexe en particulier, qui introduira l'un des sketchs, est vraiment belle, tendre, et passionnée, mais absolument pas sale. C'est érotique, sensuel, et pas pornographique. Et tous les sketchs ont aussi une vrai puissance dramatique, grâce entre autres à leurs dialogues profonds et très bien construits, mais aussi grâce à leurs sujets. On a différents cas de tourments, comme un cruel friendzoning, ou la frustration d'un amant amoureux... Et bien d'autres ! En bref, certainement l'un des films à sketch les plus beaux et les plus intelligents qui existent.
    desiles ben
    desiles ben

    30 abonnés 204 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 août 2016
    Les critiques et moi n'avons pas dû voir le même film...ou alors c'est moi qui manque d'humour. Je n'ai pas ri une seule fois. Dès le début, toutes ces bonnes femmes qui couinent en écoutant les conseils d'une strip-teaseuse sont insupportables.
    islander29
    islander29

    758 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 août 2016
    je n'ai pas aimé les "sketchs" du début, disons les trois ou quatre premiers qui n'ont pas grand chose à raconter au fond, et qui dans la forme des années 40 à 80 sont trop ordinaire et fades.....
    Mais c'est vrai aussi que la deuxième moitié (disons les deux tiers du film) l'époque moderne donc, apportent une lumière différente, plutôt très érotique (interdit donc au moins de seize ans pour moi), et aussi comme un paradoxe beaucoup plus romantique comme si l'esprit du film devenait pointu parfois dans le psychologique, et lorgnait du côté de IN THE MOODFOR LOVE de Wong Kar Wai, avec une musique et des images d'une forte sensualité......C'est donc un film qui peut ne pas plaire, beaucoup d'érotisme, mais qui aussi apporte un éclairage parfois original sur les rapports homme femme en amour qu'il soit physique ou spirituel.....A vous de voir.....
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