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    La Cible humaine
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    chrisbal
    chrisbal

    11 abonnés 591 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    Un Grégory Peck archi crédible en Jimmy Ringo, meilleur tireur de l'ouest, jalousé par tous les jeunes morveux du coin qui voudrait prendre sa place et connaître sa gloire, poursuivi par une tripotée d'individus revanchards ou encore harcelé par la gente féminine de la ville outrée par la présence d'un tel individu (pour la petite touche humoristique).
    Alors qu'il ne demande qu'à avoir la paix et retrouver sa femme et son fils (perdus de vue suite à une affaire qui a mal tournée), il peine à atteindre son but.
    il est pourtant épaulé par le shérif qui est joué avec brio par Millard Mitchell, les 2 étant liés par une belle complicité (ce dernier étant un de ses anciens compagnons).
    Henry King réalise un bon western, relativement court mais efficace, sur le thème de la rédemption, quête souvent inaccessible.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 809 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2022
    La Cible humaine est un excellent western, exploitant plutôt bien la figure récurrente de l'as de la gâchette. Ici tout tourne autour de ça, Gregory Peck est Ringo, le meilleur pistolero et comme dans toutes les bonnes histoires ce don vient avec une contrepartie lourde à assumer : tout le monde veut se frotter à lui pour être celui qui a vaincu le célèbre Jimmy Ringo et endosser à son tour le titre de meilleur tireur de l'Ouest.

    Partout où il va sa malédiction le suit, tout le monde le connait, tout le monde veut tenter sa chance et il n'arrive juste pas à raccrocher. On ne va pas se mentir le pitch est quand même assez similaire à l'Impasse de De Palma.

    Et en vrai, c'est vraiment rafraichissant de voir un western plutôt désabusé, où finalement il y a peu d'espoir pour le héros parce qu'il n'a pas de réelle solution pour enfin mener une vie paisible. Surtout que l'on sait assez vite qu'un autre membre de son ancienne bande s'est fait descendre quelques temps auparavant parce qu'il était aussi réputé pour être un gros dur. Il y a une véritable épée de Damoclès sur le personnage, parce que ce n'est qu'une question de temps avant que quelqu'un ne le prenne par surprise ou bien réussisse finalement à tirer plus vite que lui. Et finalement, même dans les films de supers héros c'est une question qui est trop peu abordée, le contre coup du super pouvoir (bon c'est un peu le cas dans X-Men, mais c'est un peu tout).

    Le film n'en fait jamais trop, le traitement est plus réaliste que d'autres westerns, le héros attend beaucoup, parce qu'il est lui-même impuissant pour régler ses problèmes.
    On se retrouve donc avec un film qui fait un peu l'effet d'un corbillard ou d'une marche funèbre, mais avec une tension qui monte au fur et à mesure que le danger se rapproche. Il y a trop d'ennemis, de gens qui veulent sa peau pour que ça puisse bien se terminer. Sa renommée semble amorcée inéluctablement sa perte.

    En somme c'est une approche du genre des plus appréciable, notamment dans ce que ça apporte dans la déconstruction du mythe. Quelque part ça m'a rappelé un peu Le train sifflera trois fois dans le genre. Le cowboy n'est pas sans peur.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    128 abonnés 675 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2022
    Excellent western, crépusculaire. Le mythe de l'ouest en prend un coup... Gregory Peck est parfait, et le reste du casting est de qualité. Encore un bon western, et un bon film tout court.

    Décidément, le genre du western est particulièrement riche en bons films. C'est amusant de voir Gregory Peck dans un rôle inhabituel (pour moi en tout cas qui le connais peu) de « tough guy » taciturne et bourru. Mais le côté tragique de son rôle lui donne une toute autre dimension, comme à tout le film, qui sonne comme la fin d'un ouest américain héroïque...

    Un très beau western crépusculaire, proche du Train sifflera trois fois, de L'Homme qui tua Liberty Valence ou, dans un style plus moderne, de Seuls sont les indomptés.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2020
    L’aura de Gregory Peck dans le domaine du western n’atteint pas celles de John Wayne, Gary Cooper, Clint Eastwood ou même James Stewart. Pourtant il y œuvra avec conviction à dix reprises. « Duel au soleil » (King Vidor en 1946), « La ville abandonnée » (William Wellman en 1948), «Les grands espaces » (William Wyler en 1958), «Los Bravados » (Henry King en 1958) ou encore « la cible humaine » (Henry King en 1950) sont régulièrement cités dans les anthologies du genre. Idem pour Henry King qui au contraire de John Ford, Howard Hawks, Anthony Mann, Budd Boetticher ou William A. Wellman compte peu de westerns au sein de sa prolifique filmographie commencée au temps du muet. Les deux hommes qui travaillèrent ensemble à six reprises ont dès leur deuxième collaboration en 1950, uni leurs talents pour proposer avec « La cible humaine » une tragédie épurée et réaliste visant à déconstruire le mythe du hors-la-loi, ouvrant ainsi la route au subversif mais un peu empesé «Le Gaucher » d’Arthur Penn (1957). Le mythe en question fait partie de la geste westernienne mais il n’occupe pas si souvent que cela la place centrale d’un film. C’est André de Toth qui en aurait eu l’idée, ayant remarqué que des acteurs comme Clark Gable ou Errol Flynn étaient régulièrement défiés par de jeunes hommes mettant en doute la virilité qu’ils affichaient à l’écran. Il en fit part à son ami le scénariste William Bowers qui avait eu une discussion sur le même sujet avec Jack Dempsey, ex-champion du monde de boxe dans la catégorie poids lourds. Un scénario est alors vite rédigé par Bowers. Sous l’égide de la Columbia, le projet est proposé à John Wayne qui le refuse à cause de son inimitié avec Harry Cohn, le patron du studio. Les droits sont ensuite rachetés par la Twentieth Century Fox. Gregory Peck est positionné sur le rôle principal. Henry King, réalisateur maison qui vient de travailler avec Peck sur « Un homme de fer » dirigera le film. La gâchette rapide incarnée par Peck est inspirée de Johnny Ringo, cousin des frères Younger, ennemis de Doc Holiday et des frères Earp. L’homme qui lors du générique avance sur son cheval dans la noirceur de la nuit ne semble pas serein mais plutôt comme en cavale. C’est en vérité sa réputation qu’il fuit, retournant là où il a depuis plus de six ans laissé sa femme et son fils. La photographie crépusculaire du grand chef opérateur Arthur C. Miller ne laisse guère de doute sur la tonalité du film qui s’annonce. Inutile de tenter de se rendre anonyme, les affiches placardées dans tous les villages identifient aussitôt ces hors-la-loi devenus des héros pour les enfants, des épouvantails pour le quidam moyen et des cibles pour les plus jeunes en quête de gloire. C’est comme un rituel à chaque village traversé. L’inconscient qui perd la vie en provoquant le défi au saloon, les adultes raisonnables quittant à pas de loup les lieux de l’affrontement, les enfants quittant la classe pour guetter chacune des apparitions de leur idole et enfin le shérif désemparé tentant d’obtenir au plus vite l’évacuation du problème vers un autre village. spoiler: Jimmy Ringo (Gregory Peck) est fatigué de cette roue qui tourne de plus en plus vite à mesure que presque mécaniquement sa réputation grandit, ne lui laissant plus comme horizon que la balle qui l’atteindra au mieux de face par un plus rapide que lui ou au pire dans le dos
    . Avec une économie d’effets alliée à un sens du tragique qui lui est propre Henry King décrit sans rien omettre la soumission de cet homme à un destin qu’il ne maîtrise plus à force de l’avoir trop provoqué. Il confirme avec ce film complétement maîtrisé son statut de très grand réalisateur qui lui a quelquefois été contesté par la critique française. Quant à Gregory Peck dont Darry Zanuck pensait que son physique de professeur d’université lui interdisait ce type de rôle, il est parfait affublé d’une moustache qui lui donne la gravité nécessaire pour retranscrire le fatalisme de celui qui se sait devenu une cible de foire. Il s’est dit que Zanuck, horrifié à la vision des premières bobines aurait exigé que l’ensemble des scènes soient retournées avec Peck sans sa moustache. Heureusement, King et Nunnally Johnson, le producteur intriguèrent de concert pour convaincre le mogul que l’équilibre financier du film en serait gravement compromis. Les chefs d’œuvre du cinéma tiennent parfois à peu de chose. Ici à la ténacité, à la ruse mais surtout au talent d’Henry King.
    Estonius
    Estonius

    2 480 abonnés 5 227 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mai 2018
    La première heure comprend son lot d'idées intéressantes malheureusement noyées dans beaucoup de bavardage, il faut dire aussi que Grégory Peck est très monolithique et se fait voler la vedette pas un étonnant Millard Mitchell. La dernière partie tourne carrément au naufrage, Helen Westcott n'arrivant pas à donner correctement la réplique à Peck, et comme si ça ne suffisait pas on nous impose une mièvrerie avec un petit niard tête à claques. Quant à la mort de Peck qui aurait pu être grandiose, elle vire au mauvais théâtre.
    Benjamin A
    Benjamin A

    648 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2017
    La conquête de l'Ouest n'aura jamais terminé de me réserver de bonnes surprises, et La Cible Humaine en fait assurément parti, sachant allier classicisme et un brin de modernité avec un aspect psychologique particulièrement intéressant.

    Il est ici question d'un fameux tireur tentant de fuir sa réputation, mais évidemment ce ne sera pas aussi simple, et l'oeuvre mêle habilement vengeance, remise en cause et recherche d'un passé et d'une vie qui nous a échappé. Henry King n'hésite pas à égratigner les légendes de l'Ouest en mettant en avant un remarquable tireur voulant se retirer et mener une vie tranquille, regrettant même ses actes.

    Le début est assez rapide, comme le film en général d'ailleurs, et Henry King rentre directement dans le vif du sujet, dès la première séquence dans le bar, déjà remarquable et tout en maîtrise. Il mène avec brio le scénario, sachant en faire ressortir tout l'intérêt et l'intelligence, voire même un peu d'émotion tant on arrive à s'attacher à ce personnage principal, ainsi que quelques secondaires. Il y a une vraie sensibilité dans la description de Jimmy Ringo, aussi dû à la mise en image où chaque geste ou regard compte.

    Mettant en avant la façon dont une réputation peut être lourde à porter, et trompeuse, Henry King ne commet aucune faute ou excès, tout semble juste, parfois simple ce qui en fait aussi sa beauté et on se retrouve immergé dans ce western, ainsi que dans sa communauté qui ne manque pas de charme, d'humour et même de vérité. Gregory Peck prouve, à nouveau, quel immense acteur il était en livrant une forte, sensible et juste composition, tandis qu'il est aussi bien entouré.

    Une oeuvre surprenante, notamment par son intelligence et sa justesse, où Henry King égratigne l'Ouest pour mieux en faire ressortir une émotion et sincérité, le tout emmené par un immense Gregory Peck, parfaitement taillé pour ce rôle.
    Newstrum
    Newstrum

    30 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Très beau western sur un pistolero repentant qui veut renoncer à sa vie de tueur mais est poursuivi par les fantômes de son passé. Le scénario très bien construit, la belle photo aux dégradés de gris, et le découpage rigoureux de King en font un classique du western et du cinéma moral de King, sans compter que Peck est (pour une fois) particulièrement convaincant en assassin qui s'est découvert une conscience. Voir ma critique complète sur mon blog :
    this is my movies
    this is my movies

    619 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 octobre 2016
    Superbe western sur un sujet trop peu souvent traité à l'époque avant de devenir un cliché (ce qui n'est pas forcément vrai). G. Peck prête son immense talent à ce personnage marqué par la violence et surtout par les conséquences parfois inattendues de ses "exploits". Fuyant la bêtise et la violence, il décide de renouer avec ce qui le rattache à son statut d'être humain : l'amour et une possible paternité. Se déroulant presque en temps réel et à l'intérieur d'un saloon (la moitié du film au moins), ce western peu mouvementé mais non dénué de tension ou de rythme, est une petite merveille du genre. La mise en scène travaille énormément les arrières-plan, avec les figurants qui s'effacent au fur et à mesure de la montée de la tension, évoquant aussi avec savoir-faire la solitude de son "héros", la plupart du temps seul dans le cadre. On retrouve autour de multiples personnages marquants et remarquablement bien interprétés tandis que le drame, inexorable, se noue peu à peu. Un film magnifique, émouvant, prenant et bénéficiant d'une belle qualité d'écriture, un petit bijou du genre qui installe définitivement Peck comme un acteur majeur. D'autres critiques sur
    jean-paul K.
    jean-paul K.

    8 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2016
    Excellent film avec un scénario bien différent des westerns traditionnels. Ici Henry King s'attaque au mythe du héros, que la foule se bouscule pour voir et qui ne peut avoir de répit. On voit aussi toute la bêtise humaine où il y a toujours un personnage (généralement jeune) qui se croit plus fort et plus malin que les autres. La mise en scène est efficace et l'aspect psychologique des différents personnages est bien pensé.
    bobmorane63
    bobmorane63

    154 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mai 2015
    "Hey, tu sais qui est dans la ville ? Qui? Jimmy Ringo". La légende du tireur rapide à la moustache, pourtant vrai, n'est pas aussi connu que celle, par exemple, de Billy le Kid, il a tué beaucoup de Gringos qui ont voulu le défier et demeure une cible. Le cinéaste Henry King, dont c'est le deuxième long métrage que je vois après l'excellent "Les Bravados", réalise un moment de sa vie pour 1 heure 25 ou l'histoire se passe dans une ville, plus particulièrement dans un Saloon que Jimmy Ringo, ami du shérif qui lui veut du bien, le hors la loi est là pour voir sa femme et son fils. Trois hommes sont à ses trousses, les enfants du coin encerclent le Saloon pour ne rien rater des supposés événements et quelques jeunes loups veulent défier la légende. J'ai adoré ce film, je lui mets un maximum d'étoiles car c'est parfaitement maitrisé niveau tension et le héros est montré comme le titre l'indique comme "La cible humaine". Henry King est un excellent metteur en scène, il offre à Gregory Peck un grand role mémorable, d'ailleurs, je trouve étrange que ce long métrage ne soit pas plus connu. A noter dans les seconds roles la présence de Karl Malden. Un chef d'œuvre.
    Danny Wilde
    Danny Wilde

    93 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2015
    Archétype du sur-western, ce film est un remarquable portrait de pistolero déchu, au seuil de la mort, campé par Gregory Peck qui livre une de ses meilleures prestations, broyé par la fatalité et l'oppression du destin. C'est un western psychologique d'une sécheresse voulue où Johnny Ringo est le desperado tragique, fatigué et las d'affronter ces godelureaux qui le défient afin de se faire une réputation. Henry King confère à ce thème du tueur usé, prisonnier de sa célébrité et contraint de toujours tuer pour survivre, une grandeur sereine dans le mythe de l'Ouest qui se meure, car ce n'est plus le western flamboyant à la gloire du vieux Far West, mais une oeuvre amère et désenchantée..
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    15 abonnés 299 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2015
    Un Western moralisateur, fondé sur un ressort incompréhensible pour les Européens: Savoir à tout prix qui est le meilleur tireur ! Comme c'est un western à message, c'est un peu lent et très bavard, assez prévisible aussi ! Gregory Peck est loin d'avoir son charme habituel !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 mai 2014
    Un western qui sortait de l'ordinaire à l'époque de sa réalisation. Son scénario nous évitait les clichés pitoyables sur les tireurs de bastringue, sans peur, qui sortent leurs revolvers pour un oui pour un non. Le héros incarné par Grégory Peck connait ses capacités mais il n'en joue pas à tout bout de champ, et surtout, il en a soupé des meurtres. Un vision humaine, inhabituelle du "Gunfighter".
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    518 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2013
    Ce western n’a plus la moindre chance de séduire le public des années 2010, il risque même de faire sourire jaune tant son scénario est obsolète...En 1950 il s’intégrait parfaitement à l’esprit du temps et les spectateurs aimaient ce genre de héros repenti devenu bien pensant .Comme la mise en scène est soignée avec quelques plans parfaitement réussis, d’autres fort émouvants, un noir et blanc étincelant, aucune erreur de script et comme il est toujours nécessaire avant de juger une oeuvre de la replacer dans son contexte historique, je lui accorde les 4 étoiles que je lui aurais mises à sa sortie. Il faut cependant dire que Gregory Peck n’est pas un grand comédien, qu’ il a besoin d’être dirigé avec plus de fermeté lorsque le rôle lui convient mal, Millard Mitchell (l’Appat) est meilleur que lui. Peck s’améliorera en vieillissant comme dans ‘’Les grands espaces’’ et “”l’homme sauvage’’.Je pense que Kirk Gouglas ou mieux encore Richard Widmark nous auraient tirés des larmes au final malgré le dialogue final lourdissime.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    666 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 novembre 2012
    Dans cet excellent western d’Henry King, Gregory Peck fait preuve de son charisme légendaire dans le rôle de Jimmi Ringo, un homme qui est considérer comme étant un des meilleurs tireurs de la region et qui est constamment défier par des hommes qui veulent se mesurer à lui. Si ce western ne possède pas beaucoup d’action, il n’empêche pas d’être bien passionnant à visionner, grâce à la très bonne tenue de son casting et aussi par rapport à la grande qualité de sa mise en scène, qui nous propose tout de même un excellent suspense.
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