Mon compte
    La Cible humaine
    Note moyenne
    3,8
    99 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Cible humaine ?

    23 critiques spectateurs

    5
    4 critiques
    4
    13 critiques
    3
    2 critiques
    2
    4 critiques
    1
    0 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 juillet 2012
    Magnifique chef d'oeuvre que "gunfighter" ou "la cible humaine" (d'ailleurs cette fois le titre en Français est très très bon). Une fois de plus, le demi-Dieu Gregory PECK interprète divinement bien son personnage, celui d'une légende vivante malgré lui nommée Jimmie Ringo. L'homme considéré comme le tireur le plus rapide de l'Ouest va être rattrapé par sa réputation et partout ou il passe, des hommes veulent être celui qui a tué Jimie Ringo. Son errance le mène à Cayenne là ou vis sa fiancée et son fils qu'il n'a pas vu depuis 8 années. Malheureusement il semble comdamné à une traque sans fin. 5/5
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 092 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2012
    On retrouve une nouvelle fois le personnage du tueur cynique dans cet excellent western d'Henry King. "Cet homme là est condamnè à mordre la poussière": c'est en ces termes que le tueur annonce le destin de Ringo alias Gregory Peck, qui a voulu devenir le meilleur tireur du Far West! Ce hèros taciturne excite la jalousie de ses rivaux qui le poursuivent impitoyablement dans le but de l'abattre en combat singulier pour lui reprendre son titre! Alors qu'il a dèjà sa renommèe et qu'il recherche à refaire sa vie, Peck est provoquè en duel dans un saloon, où la prèdiction du jeune tueur s'accomplit: Ringo "mords la poussière". Tout le talent de King est là, dans un final inoubliable! Etre le tireur le plus rapide de l'Ouest, jusqu'au jour où on l'on trouve à son tour une gâchette plus rapide que la sienne, tel est le thème de ce western bien fait avec un talent indiscutable dans la mise en scène où Peck, comme dans le mythique "Johnny Guitar" rèalisè quatre ans plus tard, conserve les gestes, les façons et les manies du professionnel! A noter la superbe photo en noir et blanc qui prouve que la couleur n’est pas vraiment nècessaire ici...
    Alasky
    Alasky

    289 abonnés 3 084 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 avril 2012
    Pas incontournable mais The Gunfighter est un western de qualité que les amateurs du genre apprécieront.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 avril 2012
    Voilà un western à la fois classique, avec un aspect psychologique intéressant et un cachet particulier. En effet, l'histoire d'un célèbre gunfight, qui veut se retirer et mener une vie tranquille, sort un peu de l'ordinaire. Henry King conduit ce scénario de main de maître. Gregory Peck est magistral dans la peau de Jimmy Ringo.
    La scène avec la cohorte de mégères moralistes qui intervient de manière impromptue dans le bureau du shérif est particulièrement amusante. A noter, l'apparition de Karl Malden, dans un rôle de barman hypocrite. Il se dégage une sensibilité et une morale qui rendent ce film d'une rare intelligence.
    Chrislynch
    Chrislynch

    9 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2011
    Attaque du mythe du héros. Le héros est la cible humaine, un mort-vivant ! Et le danger pour lui, c’est la foule, affamée de spectacle. Qu’il meurt ou qu’il vive, elle sera de toute façon rassasiée, jusqu’au prochain. Le héros se transforme en homme aux abois, en proie. C’est un magnifique scénario, très humain, qui chemine à contre-courant. A bien des égards, il préfigure « Le train sifflera trois fois ». La mise en scène qui peut paraître classique n’en reste pas moins subtile et efficace.
    TCovert
    TCovert

    63 abonnés 383 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2010
    The Gunfighter est un western sympathique sans plus, effet si Gregory Peck rempli bien l'écran on peut reprocher au film un certain classicisme que ce soit dans le scénario ou dans la mise en scène. Le film comporte peu d'action et aurait donc dû jouer la carte de la tension pour accrocher le spectateur comme son confrère High Noon sorti deux ans plus tard et placé depuis au panthéon des western. Autre défaut de The Gunfighter est l'absence de musique durant le film, pratique courante à l'époque où on utilisait la musique uniquement pour ouvrir et terminer le film, c'est dommage... Au final on passe un moment sympathique mais on regrette de passer à côté de l'excellent film que cela aurait pu être...
    AMCHI
    AMCHI

    5 087 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Avant de visionner ce western, je me doutais qu'il avait vieilli (le film date de 1950) mais la présence de Gregory Peck rehausse ce western plutôt lisse et sans grande saveur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le générique de début présage d'un western relativement classique: un fier cavalier dénommé Jimmy Ringo parcourt seul sur sa monture un vaste désert. Il a tout de l'archétype du justicier solitaire et, est pour cause considéré par certains comme le meilleur tireur de l'ouest. Cette image de départ s'estompe progressivement lorsqu’on découvre que dans le star-system des cow-boys, un bon tireur est aussi un meurtrier. L'entrée conventionnelle de Jimmy dans un saloon sert à caractériser cet état des choses ainsi qu’un éternel recommencement. Une fois encore, un gosse avide de gloire le défie et une fois encore, pour se défendre, Jimmy le tue et est obligé de fuir. D'abord intrigué par cette opération de démythification, on se trouve vite embarqué dans un suspens qui prend la forme d'une course contre la montre. Poursuivi par des cavaliers revanchards et risquant par sa venue dans une petite bourgade d’éveiller d’autres rancoeurs, Jimmy n’a que peu de temps pour revoir sa femme et son fils. Le film a le mérite d'inverser les conventions spectaculaires du genre, en réduisant presque essentiellement le champ des évènements au microcosme d’une petite ville où le personnage n’exerce que peu ses talents de tireur. Il gagne en consistance grâce à ce qui se dit autour de lui et grâce au jeu habité de Gregory Peck qui rend parfaitement compte de l’intention de son personnage de rompre avec son passé. Ce héros en quête de rédemption acquiert une dimension tragique, condamné à traîner dans ses errances, une mauvaise réputation qui le confronte sans cesse à un choix insoluble: Tuer ou être tué. En faisant de ce risque permanent, le pivot de l’intrigue de « La Cible Humaine », Henry King affirme un parti pris intimiste qui délaisse toute volonté d’en rajouter dans l’action au profit d’une tension accrue. En somme, si les bouches parlent plus que les flingues, l’histoire et le personnage sont suffisamment passionnants pour tenir en haleine. Un grand bravo.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top