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antony Z.
68 abonnés
1 038 critiques
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2,0
Publiée le 5 novembre 2018
Thriller?.. Le seul suspense, c'est de savoir comment les victimes se font massacrer.. Juste une légère tension et encore.. mais pas narrative !.. juste sur la crainte d'assister à une séquence gore..
Heureusement, nous ne sommes pas vraiment non plus dans le genre "épouvante/horreur" donc pas d'éffusions de sang démesurés.. ce qui constitue au demeurant un des points positifs du film avec sa légendaire bande son.. au moins, on ne supporte pas en plus l'horreur des massacres..
Mais objectivement, le film remplit parfaitement son "cahier des charges".. Sans aucunes surprises ! C' est ce à quoi on s'attend ! A mon plus grand regret malheureusement.. Tant pis pour l'aspect psychologique !.. dont le début prometteur laissait présager un vrai thriller
Voici le retour du terrifiant Michael Myers qui après 40 ans de captivité revient semer la terreur. L'œuvre n'est ni ratée, ni réussie car elle reprend les fondamentaux du genre (le couteau, le masque…) avec de bonnes séances de frayeur mais force est de constater que ce n'est guère innovant. Jamie Lee Curtis tire son épingle du jeu dans un rôle de grand-mère s'attendant à prendre sa revanche sur le tueur. spoiler: La fin, elle, semble les prémices d'une énième suite.
A fuir ! Un soit-disant film d'horreur qui n'a rien d'effrayant : tous les clichés des films de ce genre sont réunis et ne sont même pas exécuté correctement. Une perte de temps, un film à éviter absolument... La seule étoile que j'accorde à ce film est uniquement pour Jamie Lee Curtis qui est une super actrice mais malheureusement qui ne suffit pas à améliorer ce film médiocre.
Hoyé , Hoyé mes amis! Le bon temps du NANARD est revenu! Hé oui, autant , le retour de "Ça" fut une belle surprise, largement au dessus de la moyenne, dépoussiérant ainsi et pour notre plus grand plaisir l'ancienne version tv , autant ce nouvel opus d'Halloween, s’avère être donc un nanard lourdingue pur jus! Oui mes amis, j'ai du rire une bonne dizaine de fois!: Entre le jeu approximatifs de TOUS les acteurs(désolé Jamie Lee, je t'adore mais là...), les situations les plus grotesques jamais filmées, et les comportements des personnages , je n'ai pas été déçu! Un "Scarie movie " sur Halloween n'aurait pas fait mieux! En fait la seule idée visuelle intéressante digne d'un David Lynch, fut cet immense jeu de dame surréaliste du début du film, sorte de "cour de récré" pour cinglés dangereux...puis tout se gâte e quelques secondes avec ce duo de psy ... Notons aussi quelques scènes gore, mais c'est bien peu... Je ne pourrai donc décrire ici tous ces moments hilarants, mais ne vous encouragerai pas non plus à payer une place de ciné pour voir cette "chose" , qui , à ma grande surprise à été plutôt bien notée par les critiques pro,certainement assoupis par le manque de "film de l'année".
Finissez vos pop-corn dans les vingt premières minutes, sinon après vous allez en mettre partout. N’étant pas un fidèle du genre, je suppose que les ficelles de la frayeur et de l’angoisse sont toujours les mêmes : des cris horrifiques, une musique crispante, des apparitions qui ne préviennent pas, des ustensiles plus ou moins bien aiguisés, un serial killer mutique mais efficace, et un instinct de survie familial qui a déjà fait au moins trois guerres. De ce point de vue le film est un chef-d’œuvre puisqu’aucun cliché ne manque. Ce qui est chouette dans ce genre de film c’est qu’il n’y a aucun suspense. On sait à peu près qui a une tête à la perdre rapidement et qui va survivre. Un scénario ? Pourquoi faire ? Tout ce qu’on attend c’est de flipper sans risquer sa vie, manière de recycler nos angoisses quotidiennes. Côté casting il ne semble y avoir que des seconds rôles. J’ai pleuré sur Jamie Lee Curtis, moi qui gardais d’elle le souvenir de True Lies et d’Un poisson nommé Wanda. Pourquoi cette coupe de cheveux ? A part Michael Myers, quelqu’un lui veut du mal ?
" halloween " est le remake plutôt prenant du désormais culte " halloween, la nuit des masques " sortie il y a déjà 40 ans. En effet cette suite se veut plus drôle, moderne et renouvelle un peu le genre horrifique cependant nous sommes bien loin de l'authenticité du premier volet et certaines invraisemblances sont difficiles à digérer.
N'est absolument pas réaliste, les personnages prennent des décisions plus nul les unes que les autres ce qui nous donne à la fin du film l'envie qu'ils meurent. Énervant, dommage l'histoire avait l'air bien.
Ce nouvel épisode de cette saga emblématique du genre horrifique ne manque pas d'efficacité. Il faut dire aussi que le film est très clairement sauvé par sa réalisation et sa mise en scène, rendant ce dernier plutôt sympa et divertissant. Cependant il est important de préciser que sans elles le film serait plus une farce qu'autre chose, vu son scénario et le jeu de ses acteurs... De plus, tout est tellement prévisible que l'on oublie même d'avoir peur.
Du reponpage de scènes déjà vu. On n'apprend rien mais on veut zapper 10 films. Un remake suite sans être un remake mais en tout cas aujourd'hui en 2018 ça ne marche plus. C'est nul...
Ce nouvel opus est divertissant mais il manque cruellement d'originalité. On ne sursaute presque pas et la tension n'est pas très présente... Jamie Lee Curtis rempile une nouvelle fois et ressemble plus à Sarah Connor...
Suite directe du premier opus, quarante ans après, Michael Myers est de retour. Jamie Lee Curtis est devenue traumatisée de cette période et a passé sa vie à se préparer à une éventuelle confrontation avec son bourreau. Elle a même entraînée sa fille étant petite. Cette dernière étant devenue adulte et mère de famille, elle a eu beaucoup de mal à se défaire de la paranoïa de sa mère. Trois générations donc, face à Myers. On revient sur le film d'horreur classique : pas d'esprit, pas de fantôme, seulement un mec muet et complètement fou qui ne prend plaisir qu'à tuer à la chaine. Il impose de sa présence par sa taille et sa force. La scène où il remet son masque est tout simplement géniale. Le réalisateur arrive à instaurer une tension mais qui est parfois inégale, et c'est mon principal reproche. « Halloween » est globalement une suite réussie, qui ne garantira peut être pas d'énormes frissons, mais qui ravira les spectateurs par le retour de Michael Myers et de cette musique d'horreur.
Michael Myers est enfin de retour sous la caméra de David Gordon Green qui prend directement le partis dans faire la suite du premier opus réalisé par John Carpenter en 1978. Un choix bien audacieux puisqu'il supprime pas moins de 6 films de la timeline sans compter l'épisode 3 qui n'a rien à voir ainsi que les deux remakes de Rob Zombie pour un total de 9 long métrages.
Certains pourrait y voir un irrespect, moi j'y vois au contraire une intention de bien faire en supprimant tout les subterfuges qui ont tronqué l'esprit de la franchise Halloween avec Myers devenant un véritable zombie étant capable de s'accouplé par psyché (j'en passe et des meilleurs tant c'est grotesque) qui conduisais fatalement ce titre culte à des épisodes atteignant le véritable rang de navet. Un bon coup de balayette qui viens faire honneur à l'oeuvre originale en lui retirant certaines suites considérés comme de vrai tare.
Toutefois, je donne une légitimité au second volume produit par Carpenter qui faisait figure de bonne suite , mais la révélation ultime comme quoi Michael Myers est le frère de Laurie Strode et que c'est pour cela qu'il s'en prenais à elle ne plaisait pas à tout le monde car cela donnais un but et une légitimité au tueur masqué. C'est pourquoi la aussi les scénaristes ont préférés faire un grand ménage et revenir à la base en faisant une suite direct ce passant 40 ans après. Avec de tel intention le cinéaste n'a pas droit à l'erreur même si celui-ci peut compter sur l'appuie de Big John.
Alors à présent que vos ce film?
Halloween 2018 s'enregistre dans le digne tracé de Carpenter, auquel il rend à la fois un hommage tout en ce positionnant comme une relecture expérimentale. On y retrouve ce qui fit le culte de Carpenter avec son ambiance 80's, ces différents plan méticuleux, ainsi que sa bande son épique composé par Big John qui pour l'occasion à rajouté un titre supplémentaire totalement bienvenu.
Mais la ou David Gordon Green tire son épingle du jeu c'est qu'il ne ce contente pas que de rendre hommage au support de base en l'imitant il ce détache et cherche à apporter sa pierre à l'édifice en rompant avec les codes de base du slasher. Une approche consciencieuse qui détonne. C'est ainsi que la ou Michael dans tout les films Halloween ce positionnait comme étant le chasseur ce retrouve cette fois-ci inversé dans les rôles avec pour bourreau l'ancienne victime Laurie Strode.
La mise en scène suit parfaitement ce bouleversement, allant jusqu'à nous opposés la situation de la disparition du meurtrier du champ de vision de la victime pour réapparaître la ou on ne s'y attend pas et frapper. Dans tout film d'horreur slasher qui ce respecte c'est toujours le martyriseur qui disparaît des yeux de son martyr pour mieux la surprendre par derrière et la tuée, et ici les rôles sont totalement inversé . Cela apporte un champ de vision qui contraste et change la donne.
La réalisation est soigné et plutôt technique nous offrant bon nombre de séquence superbe. On est bien loin d'un format de mise en scène classique d'un slasher qui en général ce contente de peu avec un rendu d'image plutôt fade et statique n'existant qu'à coup de jumpscare. Le cinéaste ne nous fais pas cet affront et ce permet d'être inventif et raffiner dans sa proposition; comme avec la scène ce passant dans l'asile ou on atteint le paroxysme de la tension ou encore le fameux plan séquence superbement amené et dynamisant la marche noire de Michael.
A présent parlons des personnages qui alimente cette fresque funèbre.
Michael Myers le croquemitaine véritable estampe chimérique fantomatique du mal, est toujours aussi radical, brutal, acharné et cruel nous offrant pour le coup une multitude de meurtre marquant. Armée de son fameux masque blanc et de son couteau de boucher nous le retrouvons déambulant de sa marche lancinante et de toute sa stature durant la soirée d'Halloween . Là ou dans le tout premier opus Michael prenais son temps en épiant longuement ses victimes tel un voyeur avant de les assassinées, cette fois-ci il prend moins le temps et va rapidement à l'essentiel. Comme si ces quarante années d'enfermement avait rendu Michael impatient et encore moins contrôlable ce qui lui ajoute plus de folie et de dangerosité.
Mon coup de coeur vient de Laurie Strode toujours incarnée par la seule et unique Jamie Lee Curtis qui revient complètement transmuté après toutes ces années. Finis le temps ou la babysitter fuyait en pleurant et criant se cachant du meurtrier. A présent l'heure est venu de ce battre et dans finir une bonne fois pour toute. Cet ainsi que la comédienne reviens devant la caméra plus badass que jamais rappelant sans mal les moments fort de notre chère Sarah Connor dans Terminator 2.La première partie du film ce focalise énormément sur la psychologie traumatisé de Laurie.
J'ai trouvé cet aspect superbement développé la ou un titre lambda ce contenterais de montrer vite fais que la victime est traumatisé 5 minutes pour revenir en forme juste après, la on nous montre à quel point les événements de 1978 ont était un réel choc une véritable lésion qui a alimenté et construit la vie de Laurie Strode à un point ou elle passerait presque pour une folle allant jusqu'à traumatisé sa propre fille.
Karen Strode jouée par la comédienne Judy Greer ma agréablement surpris la ou je la voyais comme une potiche chiante au possible donneuse de leçon se révèlera être un personnage plus profond et poussé qu'il y parait elle qui à partager l'enfer du trauma de sa mère. Pour ce qui est du reste du casting faut bien l'avouer c'est pas terrible. A la limite les deux journalistes s'en sortent bien et font bien leurs taff rendant l'intrigue intéressante pour mieux retombé dans la platitude pendant une quinzaine de minute mais heureusement Laurie Strode finis par arriver et l'on ce retrouve alors dans un long acte final jouissif.
L'on retrouve quelques rôles clichés comme les fameux ado idiot et pré-pubère en demande de sexe qui finiront inexorablement sous la lame de Michael. Une approche quelques peu cliché des jeunes mais pas inutile et gratuite vu qu'elle sert d'hommage. On a également quelques touche d'humour par-ci par-là qui fort heureusement tiennent peu de place (ouf on eu chaud car ras le bol de cet humour quasi obligatoire dans tout les genres).
CONCLUSION:
David Gordon Green signe après 40 ans une excellente suite qui fais honneur à la version originale de John Carpenter. A la fois désireux de respecter l'oeuvre de base et d'y inclure également sa propre conception, celui-ci réussit à joindre les deux bouts en nous offrant un retour du célèbre croquemitaine Michael Myers à coup de séquence anthologique fasse à une Laurie Strode plus badass et profonde qu'à l'accoutumé. Une réalisation dynamisant qui n'ont pas sans défaut (certain moment platonique, jeu d'acteur pas forcément crédible) réussit à sortir du cadre du petit slasher en offrant des séquences techniquement aboutie et inventive toujours appuyé par une bande son épique. Un affrontement au sommet auquel j'accorde un 4,5/5 bien mérité!
Cette suite est truffée d’incohérences par rapport à ce qu’on savait déjà en regardant les précédents opus, mais cette évidence est balayée d’un simple revers de main lorsque l’un des personnages du film déclare péremptoirement que certaines personnes ont inventé des choses qui n’étaient pas la réalité afin de nourrir la légende de Michael Myers. Autrement dit, en regardant les autres films « Halloween », nous avons été bernés par des mensonges. Cela explique que Laurie n’est pas morte, et sans doute aussi, que le psychopathe sexagénaire blessé mortellement des dizaines de fois, est en pleine forme comme un jeune sportif de 20 ans. De plus, ce malade interné sous haute surveillance durant 20 ans, donc totalement coupé du monde extérieur, sait exactement où et comment retrouver sa sœur immédiatement dès son évasion ! Une fois avalé ces sornettes, on assiste à une honnête suite horrifique, mais j’aurais vraiment préféré ne pas avoir gardé en mémoire l’historique des 8 premiers films.