Avis : Halloween - Page 4

Ca part bien avec une dimension psychologique au début avec deux jeunes journalistes puis ils sont vite évacués pour laisser place à une série de meurtres avec jump scares previsibles sans aucune consistance.

Un film qui aurait pu être tres bon si il n'avait pas eu de gros problème e cohérence de scénario, en particulier sur la fin. Car pendant une grande partie du film, tout va bien, et mis a part l'invulnérabilité de Myers ( qui fait parti du personnage), le tout est cohérent et bien filmé, avec des idées de mis en scène. Mais tout cela est gâché par la fin, avec le plan de la grand mère qui est incohérent au possible ( spoiler: on est au font d'une cave avec un seul accès, il suffit d'attendre qu'il commence a descendre pour le flinguer, mais non elle préfère sortir pour le traqué dans sa propre maison, en ayant pour aucune raison logique éteint les lumières elle même avant, dans le seul but de pouvoir faire sursauté les spectateurs en vérité
). Et c'est un gâchis car on nous vend une femme qui s'est préparé toutes sa vie a établir au final un plan incohérent. Après comme je l'ai dit, tous n'est pas à jeter.

Enieme ressucée de Halloween qui n’apporte pas finalement grand chose à l’histoire sauf le plaisir de revoir Jamie Lee Curtis. Plein de meurtres, un tueur dont on ne connaît rien. Un film qui ne fait pas vraiment peur.

Rien de nouveau dans la nuit d’halloween. On retrouve les acteurs , les lieux et la musique 40 ans plus tard. On a un peu peur (encore heureux!!!) Ça se laisse regarder.....riens de plus.

Un navet dans la plus pure tradition des navets, rien ne se passe, du scénario au casting tout est minable, économisez votre temps, allez plutôt prendre l'air vous en tirerez beaucoup plus de bienfaits!

J'ai sans doute eu trop d'attente… Sans pour autant dire que c'est un échec. LA transition est bien amené même si pourra regretter pas mal de hors champs et peut être pas assez d'hémoglobine^^. Le remake de Rob Zombie relancer la chose en étant plus bourrin, rapide.. Il y a pas de passage qui passe à un autre sans que l'on ait vu l'intérieur (je me comprends) ; du moins un autre plan ou passage un peu plus explicite (là le synopsis n'offre pas grande surprise et un twist final assez vite placé. Donc certes il reprends la majorité des codes de l'original (musique, suspens…). Quelques jumpscares relativement prévisible. Par contre je n'ais absolument pas vu le temps passé. Jamie Lee Curtis interprète avec brio son rôle, toujours préparant sa vengeance et aujourd'hui c'est le bon moment. Limite un peu plus avec quelques explication ou rappel, moins de plan à un autre sans rien entre les deux. Alors que l'empathie est guère présente, la tension tient tout de même le film et on passe malgré tout un moment sympa. C'est comme si il avait repris "mot à mot" de l'origine (même technique…) et c'est que l'on tout de même que c'est un bon retour à 0 pour le film. Un slasher movie comme on en a déjà vu quand c'était la mode il y une ou plusieurs décennie, attendant les fans au tournant qui ne voulais pas que le film s'égare de trop. La tension est vite palpable (la musique accentuant la chose^^). Mais la nouvelle génération qui y cherche un film plein d'hémoglobine, vous serez peut être déçu. Bref, un bon divertissement et pour un "reboot", "remake". Le réalisateur tient convenablement son cahier des charges ; idem pour la mise en scène. Il arrive a être réussi si l'on fait la comparaison des bons nombre de film d'une vingtaine d'années ou plus. Sa résurrrection^^ fonctionne avec quelques moment sympa. Pour les amateurs du genre ou tout ceux habitué aux films d'horreur de ses dernières années qui avaient délaissé les slashers pour des films de paranormal, zombie… Espérons que cela donne envie à certains réalisateur de se remettre dans cette gamme que beaucoup de jeune ne connaisse pas spécialement (à préférer, il tente un film récent qu'un de plus de 20 ans. A voir, pour le fun

J'ai toujours du mal à comprendre pourquoi il continue à nous réchauffer Halloween ou "les aventures de Laurie Stode contre Mike Myers". Ah oui l'argent :)

L'histoire n'est pas surprenante, reprenant la même trame que les épisodes précédents. Il s'échappe de l'Hôpital Psychiatrique le jour d'Halloween, et retourne dans la ville de ses méfaits (heu on a pas déjà vu ça plusieurs fois).
Il tue toutes les personnes qu'ils croisent de manière brutale et imprévisibles.
On perd un peu le coté mystique du tueur masqué en lorgnant vers le coté slasher movie.

La musique est toujours aussi flippante et résonne dans notre tête comme un coup de couteau dans une courge d'halloween.

Bon, j'ai mis deux étoiles, mais franchement, c'est vrai qu'on ne peut pas s'attendre à mieux. Le scénario est hyper poussif, complétement similaire au Halloween 78. Ce qui n'est pas resté de la version 78, malheureusement, ce sont les lenteurs et les points de vue dans les yeux du personnage qui déambule longuement dans les maisons. Ici, le temps passe plutôt vite et pourtant, le scénario est très vide d'intérêt. Les personnages, n'en parlons pas, on se déleste d'eux dès qu'ils ont apporté leur grain de sel au récit. C'est une bonne idée avec certains personnages auxquels on est attaché, mais un peu moins pour ceux qui viennent de s'éveiller dans le scénario ! Du coup, les scènes de meurtre commis par Myers sont pour la plupart superflu. Le réalisateur aurait gagné à mieux nous faire connaître les personnages et en butter cinq de moins. L'avantage est que le film est surprenant car tout peut arriver et Myers est plutôt en très bonne forme physique. Par ailleurs, la psychologie des personnages est assez raté. Laurie n'est plus qu'une grand mère parano, les souffrances de sa fille, on n'y croit pas, et la petite fille n'est pas beaucoup plus attachante. Malheureusement, ce film ne se détache pas des poncifs, qu'on se fait du film d'horreur et qu'on aimerait abolir : c'est un film médiocre avec des suspens gratuits et une histoire inexistante, une fin franchement prématurée et peu inspirée !

Film vu la semaine passée - le casting était prometteur, le scénario et l’intrigue pouvait l’être aussi... mais il a été bâclé et rend un final très décevant...

Pourtant il aurait franchement pu être un film passionnant... mais l’histoire a été décapitée...

Ce nouvel opus est vraiment médiocre.
On reste sur notre faim tant c'est du réchauffé, tant cela ne fait pas peur et tant cela est d'un grand ennui.
D'habitude je suis bon public et indulgente avec les films d'horreur/fantastique mais pas pour celui-là.

Quarante ans ont passé depuis la nuit d'Halloween où Michael Myers, un dangereux psychopathe échappé de l'hôpital psychiatrique où il était soigné depuis qu'il avait assassiné, à six ans seulement, sa propre sœur, a tenté d'assassiner Laurie Strode.
Laurie Strode (Jamie Lee Curtis) ne s'est jamais vraiment remise de cette nuit d'horreur. Elle a passé l'essentiel de sa vie à craindre d'être à nouveau face au mystérieux tueur. Elle a élevé sa fille dans cette hantise, provoquant sa brutale prise de distance à l'adolescence.

Le film mythique de John Carpenter, tourné en 1978, a initié un genre : le slasher, qui met en scène un tueur psychopathe et souvent masqué assassinant à l'arme blanche des jeunes gens. Il a connu bien des suites, même si John Carpenter a toujours refusé de repasser derrière la caméra.

"Halloween 2018" prétend revenir aux sources de la franchise en ignorant tous les autres films existants. On y retrouve Jamie Lee Curtis, désormais grand-mère avec sa fille et sa petite fille - qui a désormais l'âge qu'avait Laurie Strode quarante ans plus tôt et se retrouvera bon an mal dans les mêmes situations qu'elle. La musique est composée par John Carpenter qui avait déjà signé celle de son film en 1978.

Le problème de "Halloween 2018" est précisément d'arriver quarante ans après l'original et de vouloir en reproduire, sans y rien changer, les mêmes recettes. Ce qui était terriblement novateur en 1978 ne l'est plus guère en 2018. On a trop vu de slashers pour trembler devant un psychopathe masqué surgissant du placard en brandissant un couteau. On s'ennuie ferme d'autant que Jamie Lee Curtis semble trop invulnérable pour qu'on doute un seul instant qu'elle ne finira par prendre le dessus sur son atavique adversaire.

Pour commencer, je dois reconnaître avec honnêteté que je n'ai jamais été sensible au sous-genre du slasher movie, encore moins au mythe qui entoure Michael Myers. J'ai lancé le film sans attente particulière, et malheureusement, j'y ai vu ce que je craignais par avance : les poncifs du genre sont à peu près tous présents, et c'est ce qui arrive lorsque l'on décide de réaliser un film appartenant à un genre aussi codé. J'ai la sensation de revoir encore et toujours le même slasher. Si certaines exceptions, comme Wolf Creek, me convainquent qu'il est possible de me captiver par un slasher, les contre-exemples sont encore trop rares. Ici, le sempiternel tueur masqué, surhumain, lente machine de guerre, se met en tête de trancher la gorge de Jamie Lee Curtis, dont on se délecte de la présence à l'écran. Rien à dire, Curtis est une comédienne marquante dont on ne peut que regretter qu'elle n'ait pas eu la carrière qu'elle méritait. Autrement c'est assez convenu. Les cadavres s'entassent, les victimes courent sans se cacher, les effets gores sont limités, et l'on termine le film avec la désagréable sensation de ne pas avoir appris grand chose de plus sur le cinéma d'horreur.

Sans aucun intérêt si vous connaissez la franchise Halloween.
Malgré le battage médiatique et certaines critiques positives sans doute expliquées par un copinage entre critiques, ce film n'est qu'un mauvais remake du 1er (ou de l'un des autres épisodes, je ne sais pas), sauf que:
- Jason est vieux, identifié et plus invisible
- Il ne fait plus peur à l'écran, à part les jeunes filles du film qui en font des masses pour crier dans la rue en plein jour.
- Les ressorts sont usés et rien de nouveau ne nous est proposé sinon que le monstre a juste envie de tuer un peu plus.
Bref, c'est une chasse à un Jason lent, même pas mystérieux ou caché, qu'une meute de policiers et de revanchards ne parvient pas à voir au milieu de la rue en plein jour.
Prétexte à une série de coups de couteau mortels, bien sûr, tout cela est d'un ennui sans fin, et notre pauvre Jamie Lee Curtis n'est plus que l'ombre d'elle-même, donnant l'impression de jour un rôle secondaire de série B.
Et le choix de garde la BO originale, seul élément évocateur d'une peur enfouie, ne rattrape pas le naufrage.

Michael Myers est de retour. Après cette nouvelle échappée des bas-fonds de la psychiatrie, le célèbre psychopathe masqué vient semer la terreur le soir d’Halloween. Petite nouveauté toutefois dans la mesure où s’engage une lutte entre Laurie Strode, sa victime du premier épisode et lui. Et c’est sans doute là le meilleur de cette nouvelle série. On découvre en effet une Laurie Strode qui a vieilli d’autant d’années et qui est devenue une sorte de grand-mère paranoïaque, à la limite de la folie. C’est le moins que l’on puisse devenir d’ailleurs après de tels traumatismes. On découvre même le policier qui avait aidé l’héroïne à se sortir des griffes de Myers.

Mais tout cela ressemble à du déjà -vu. Les sursauts sont rares voire inexistants. Tout est annoncé depuis la bande-annonce. Bien sûr, le cinéma a fait des progrès. Le fameux masque est plus effrayant et d’ailleurs le réalisateur a l’intelligence de suggérer sans jamais montrer le vrai visage du tueur fou.

Alors qu’il s’est fait prendre les devants par Luca Guadagnino sur la réalisation du remake de « Suspiria », David Gordon Green a choisi de célébrer le quarantième anniversaire de Michael Myers, le croquemitaine crée par John Carpenter en 1978. Pourtant le « Halloween, la nuit des masques » a déjà connu sept suites. Au lieu de se glisser comme le huitième épisode ou même procéder à une relecture du film culte, David Gordon Green a décidé de zapper toute la franchise et de s’imposer comme le deuxième épisode. Michael Myers a passé toute sa vie en prison psychiatrique et des débiles ont choisi un 30 octobre pour procéder à son transfert. On se doute bien que la nuit suivante ne sera de repos pour personne. Le cinéaste va rendre un véritable hommage à Carpenter. Déjà, le thème musical angoissant refait surface pour le plus grand plaisir des fans. Mais nous remarquerons également de nombreux clins d’œil à l’œuvre originale, comme ces fous lâchés dans la nature, la présence de Michael à l’arrière d’une voiture, la victime tuée sur un mur ou encore le drap de fantôme. David Gordon Green ne s’amuse pas seulement à nous faire peur avec des codes du genre réussis. Il ressuscite également le personnage de Jamie Lee Curtis, aujourd’hui devenu une grand-mère aigrie qui a passé sa vie à se préparer au jour où elle devra affronter de nouveau le croquemitaine. A l’image de son personnage, l’actrice est un véritable soldat entraîné et armé pour refaire surface. Celle-ci crève littéralement l’écran. Sa fille jouée par Judy Greer est également excellente. Formée également pour se défendre, elle a dû passer sa vie à surmonter la paranoïa transmise par sa mère. Mère à son tour, elle s’est refusé à lui offrir la même enfance. Entre psychologies et frissons, « Halloween » version 2018 écrase clairement toute la franchise avec cet hommage étonnamment accompli.
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