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    Metropolis
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    290 critiques spectateurs

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    Shékiinä .
    Shékiinä .

    43 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 octobre 2012
    Metropolis est le meilleur film muet ! A voir au moins une fois dans sa vie. Les images sont magnifiques, la pellicule n'a pas pris une ride, et les techniques utilisées sont clairement en avances sur leur temps pour un film des années 20 par : les explosions, les transformations, les apparitions soudaines, les effets spéciaux, la ville imaginaire avec des voitures volantes, et Maria, la première androïde au cinéma. Les partitions de musique sont incroyables, elles nous plongent dans un tourbillon d'émotion et sublimes les scènes qui le sont déjà.
    Le film est bizarre je dois le reconnaître, notamment par la gestuelle assez particulière des hommes ; ils bougent telles des marionnettes. On ne saurais dire qui est vivant... les hommes eux-même ou les machines. Dommage que le film soit si long mais cela n'enlève en rien ses nombreuses qualités.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 décembre 2015
    Un superbe film en noir et blanc muet,je dirais même le meilleur, qui m'a fasciné et me fascinera toujours.Le jeu des acteurs est splendide.Les musiques sont mémorables,les personnages tels Rotwang le savant fou,Joh Fredersen,Maria,Freder et autres son magnifiques et l'histoire est époustouflante.Et le robot féminin est superbe et impressionnant pour l'époque.(en fait un cosplay porté par l'actrice jouant Maria) Le jeu de Brigitte Helm (Maria et Futura le robot du film) est magistral,avec ses mimiques qui expriment les deux Maria opposées,la vraie Maria,humaine,douce et chaste et l'autre qui est la fausse,étant le robot transformé en Maria par son créateur Rotwang,néfaste,brusque et faisant des mimiques sourcilières,ainsi que son immortel maquillage noir autour des yeux,symbolisant son caractère diabolique.
    Un film à voir et à revoir.

    spoiler: H-S J'attends pour ce Noël le roman de Thea Von Harbou qui semble encore plus palpitant. :)
    Fgiraut
    Fgiraut

    6 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 février 2023
    Dix ans avant Les Temps Modernes de Chaplin, la machinerie de la modernité urbaine érigée en Babel moderne à la recherche de son médiateur. L'invention de la dystopie urbaine et sociale sur fond d’expressionnisme futuriste.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 mai 2013
    Soyez avertis : ce film peut en décourager plus d'un par la lenteur de l'époque et par le fait qu'il soit muet. Il est donc indispensable que l'on se remette dans le contexte et l'époque dans lequel l’œuvre a été tournée lorsque l'on appuie sur play.
    Metropolis a été le premier film classé dans le patrimoine mondial de l'UNESCO.
    310 jours de tournage, 620 kilomètres de pellicule, 36 000 figurants, 1100 crânes rasés, 200 000 costumes, 50 véhicules imaginaires et 500 gratte-ciel de 70 étages : Metropolis est réellement le premier film de science-fiction avec des effets spéciaux, alors révolutionnaires. C'est du jamais vu pour l'époque ! Dans cette œuvre, Fritz Lang aborde deux des leitmotivs principaux de la science-fiction telle que nous la connaissons aujourd'hui : l'intelligence artificielle et la perte du contrôle des hommes sur leurs créations technologiques.
    La modernité de l’œuvre est assez stupéfiante. Deux exemples frappants : des immeubles illuminés vers la fin du film en mode « Time Square », ainsi qu'une conversation téléphonique avec caméra intégrée.
    Le gros bémol de cette histoire est la fin, où la modernité et la science-fiction s'évanouissent pour laisser place au Moyen-Age : « Burn the witch, burn the witch ! ». D'ailleurs, Fritz Lang regretta sa vie entière la fin de son film et ne l'assumait absolument pas. "Je n'aime pas Metropolis. C'est faux, la conclusion est fausse, je ne l'acceptais déjà pas quand je réalisais le film" (Les Cahiers du cinéma, septembre 1959).
    A voir lorsque l'on aime le cinéma un peu plus que ça, à ne pas voir le lendemain de la veille, et à ne pas voir si on n'aime pas la musique classique.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    361 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2016
    Film révolutionnaire à bien des égards, ne serait ce que la vision de la cité en tant que fourmilière en son sein, du relai entre le cerveau et les mains symbolisé par le médiateur, fils du gouverneur, j’ai aimé le côté grandiose des décors, l’orchestration, la mise en scène; la première partie pose bien le contexte dystopique, son histoire et ses symboles. La grande machine qui doit garder son équilibre tant bien que mal, le monstre vital, l’injustice des classes sociales, l’aliénation, la révolte … la construction du récit se développe avec une intelligence certaine. Niveau formel c’est souvent assez bluffant, quitte à tomber dans un certain excès de temps à autre, et je ne sais pas si la version restaurée aide à avaler le tout, je n’ai pas trouvé si utile que ça de rallonger des scènes, j’aurais limite préféré voir la version d’origine et ensuite pourquoi pas constater les ajouts selon mon bon plaisir plutôt que de me les imposer. Parce que j’ai quand même senti le temps passer à partir de l’intermède, heureusement la dernière partie propose beaucoup de bonnes choses, notamment de l’action et des effets spéciaux vraiment très bons, après le final (bien qu’il soit totalement cohérent par rapport à ce que martèle le film) m’a semblé un poil sur-idéalisé et sans grande dramaturgie contrairement à ce que j’en espérais.
    En bref j’ai apprécié voir (enfin) ce "Metropolis", je comprend tout à fait l’impact qu’il ai pu avoir dans l’histoire du cinéma SF et en général, notamment par son ambition et son aspect grandiose, mais j’ai ressenti quelques longueurs au coeur du long métrage, disons que ça dérive un peu, d’où une certaine perte de fluidité en terme de visionnage.
    Akamaru
    Akamaru

    2 799 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2012
    C'est seulement depuis sa restauration récente que le monument de Fritz Lang,peut-être appécié à sa juste valeur,dans toute sa complexité et son avant gardisme."Metropolis(1927)préfigurait en effet la montée du nazisme,à travers cette métaphore de la dichotomie d'un monde,régit par des lois intolérables,avec des puissants vivant dans des grattes-ciels effrayants,et des ouvriers se suant à la tâche dans des usines dangereuses,pour les servir.Les décors expressionnistes,étaient particulièrement adaptés à cette architecture gothique,menaçante.Le film est intégralement muet,avec des panneaux d'interstices riches de signification.L'imagerie de la femme-robot imprègne immédiatement notre rétine.Lang joue sur la relation subliminale entre la femme de la révolte et le fils du magnat,pour orchester la réconciliation utopique des classes.Le discours a d'incroyables résonnances encore aujourd'hui.La musique,grandiose,ne souffre aucune contestation.Il n' y a plus qu'à s'imbiber d'un univers intemporel,visionnaire,et des milles et une trouvaille esthétiques de Lang.
    NoSerious Man
    NoSerious Man

    163 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2019
    Bien avant la version réorchestrée par Giorgio Moroder (1984), "Metropolis" de Fritz Lang, réalisé en 1926 et initialement sorti l'année suivante, a connu un destin bien difficile. Entre les ressorties en version restaurée ou intégrale, les réorchestrations de la bande originale, ainsi que les morceaux de pellicules perdus puis retrouvés aux quatre coins du monde, il va de soi que 93 ans après, cette production n'a pas fini d'entendre parler d'elle. Mais à quel prix.
    Quand, en 1965, le compositeur Konrad Elfers (trilogie du "Docteur Mabuse") créé une nouvelle bande-son à cette dystopie ayant traversé les âges, il ne lui reste alors que de quoi concevoir 80 minutes de film, raccourcissant considérable le chef d'oeuvre de Fritz Lang dont l'intégralité des bobines réunies duraient au-delà des trois heures. Nous sommes en 2026 (soyons prêt...) et la ville de Metropolis divise son peuple en deux: les familles aisées et intellectuellement dirigeantes occupant la partie supérieure, et les ouvriers, acharnés au travail du fonctionnement des machines occupant la partie inférieure. En dépit de ce monstre prépondérant qu'est la mécanique, Freder (Gustav Fröhlich) s'enlisse dans un projet sentimental avec Maria (Brigitte Helm), femme de la basse ville souhaitait instituer la paix entre ouvriers et dirigeants. Rotwang, inventeur, atteré par l'épuisement et les actes manqués des ouvriers, décide illégitimement de mettre en place un automate à l'effigie de Maria, dont le discours social le consterne. Le savant réussit à capturer la jeune fille à l'égard des soupçons de Freder, sans se douter qu'elle anéantira la ville dans le chaos. Au point de se demander qui, entre la femme et le robot, a pris le pas sur l'autre... Cette réhabilitation sortie en 1965, en plus de réussir le pari de réduire une telle fresque en quatre-vingt minutes, bénéficie d'une nouvelle bande-son inouïe composée par Elfers. Loin de la bande-son, plus commerciale de Giorgio Moroder (en collaboration avec des artistes populaires tels que Bonnie Tyler, Jon Anderson et Freddy Mercury), elle transpose le film en un véritable opéra aux sonorités religieuses, voire sonores. spoiler: Les images de l'incipit se centrant sur les machines, sont rythmées par les sons de trompette issues de la musique, quasi-substitut du son avant l'heure.

    Avec seulement 80 minutes de film, cette version n'a rien à envier au film que nous connaissons tous, tant le traitement des sujet phares conserve toute sa rigueur et sa superbe. Si les parties manquantes sont raccourcies, nous, insignifiants spectateurs que nous sommes face à la grandeur de l'oeuvre, ne pouvons que nous incliner sec face à l'esthétique stupéfiante de l'univers imposé par un Fritz à la Lang cinématographique bien pendue et au scénario phare de la science-fiction. Effectivement, s'il y a bien quelque chose qui frappe indéniablement dans "Metropolis", c'est sa richesse analytique: les décors, avec ces tours gigantesques dont on ne voit pas le bout, ces grottes abyssales occupées par des centaines d'êtres vivants mystiques, ou encore ces autoroutes suspendues. Les thématiques de la frontière entre l'Homme et la Machine et de la division sociale sont servies par les paraboles majeures de l'expressionnisme allemand, dont le savant fou, reflétant les folies de la science et du progrès... Ainsi que la ville, à l'image d'une utopie déchue et ses créatures corrompues, sans oublier les formes géométriques diffuses, donnant un sentiment de domination... spoiler: (le monstre mécanique rond, échappant de la vapeur, sur lequel le travailleur peine à suivre le rythme)
    ...annonçant l'impossibilité radicale de fuir son destin sous la domination du tout puissant.
    Au-delà de la variété des thèmes, exploités ici mieux que partout ailleurs, les techniques scéniques sont incroyables, la photographie est fantastique et nous invite vers un ailleurs plus, ou moins proche de notre société. spoiler: Des images quasi-hypnotisantes telles que les hommes au travail sur leur machine, la foule d'ouvriers avançant sans faux-pas au cours de la scène d'introduction, les visages des deux Maria qui ne font plus qu'un, toutes ces plongées sur le monde du sous-sol accompagnées par les jeux de lumières, la condamnation à mort au bûcher de robot Maria faisant explicitement allusion à celle de Jeanne d'Arc, le règlement de compte final sur le toit de la cathédrale,... J'applaudis!
    Avec "Metropolis", nous touchons largement au domaine de l'œuvre d'art. Aussi farfelu qu'il en a l'air, l'univers, hybridation de science-fiction et d'architecture du début du XXème siècle, et la bande-son religieuse se marient bien, et rendent tout à fait justice à l'un des long-métrages omniscients, les plus impressionnants jamais imaginés. Serait-ce par hasard si des oeuvres en tout genre telles que "Le Roi et l'Oiseau" (1980), le manga "Gunnm" ou encore les romans de Philip K. Dick y font sans cesse allusion, d'une part avec leur univers, de l'autre avec une ré-investigation du discours social ? Un film hors du temps.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 octobre 2011
    Très beau film. Certainement le meilleur film muet de Lang. Belle reflexion sur l'homme et les machines.
    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    29 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2007
    Un long-métrage assez formidable dont la portée et l'évocation marquent forcément. F.Lang fait preuve ici d'un brillant sens cinématographique, la réalisation de Metropolis sublimant à de nombreuses reprises certaines scènes-clé. Très belle histoire.
    Plume231
    Plume231

    3 472 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2010
    Inutile d'attendre la fin de ma critique pour écrire que ce film est un MONUMENT, un chef d'oeuvre sans lequel le cinéma n'aurait pas été le même, preuve indéniable du génie précurseur de Fritz Lang. L'histoire est universelle, les décors sont extraordinaires, les effets spéciaux incroyables, la musique mémorable et l'interprétation excellente avec une mention spéciale pour la débutante Brigitte Helm, aussi convaincante en jeune fille pure qu'en femme-robot diabolique. Cet ensemble donne certainement les images les plus puissantes du septième art. La version avec 25 minutes supplémentaires à l'immense mérite de clarifier grandement certains points jusqu'ici obscurs et de donner plus d'importance au personnage du "Grand Echalas" incarné par la silhouette inquiétante de Fritz Rasp. Ces séquences que l'on croyait à jamais perdues donnent une consistance inestimable à l'ensemble. Une oeuvre légendaire qui est LE film de tous les superlatifs.
    Trelkovsky
    Trelkovsky

    57 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2011
    En 1927, sort "Metropolis", de Fritz Lang. Ou le chef d'oeuvre de la science-fiction. Le génial réalisateur allemand nous immerge dans cette cité futuriste, démesurée (les décors sont vraiment exceptionnels, ils étonnent encore aujurd'hui) et totalitaire: c'est d'ailleurs sur ce troisième élément que se tient l'essentiel de l'immense valeur de ce film. En effet, la ville de Metropolis est à elle seule un Etat totalitaire, où les plus aisés vivent dans les hauteurs, et où les ouvriers croupissent dans les souterrains, dans l'enfer des machines. A la fois l'exemple même de l'expressionnisme allemand et une vision saisissante de l'avenir de l'époque, notre présent ... Reprenant certaines métaphores bibliques pour illustrer l'atmosphère apocalyptique régnant dans la cité, Fritz Lang maîtrise son film à tout les niveaux, aussi bien visuellement que scénaristiquement. Un monument ...
    lilybelle91
    lilybelle91

    44 abonnés 914 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2012
    Classique parmi les classiques, qui devient inattaquable au vu des critiques dithyrambiques et unanimes ? Pour ma part même si je consent beaucoup de qualité au film datant de 1927, il est tout de même un peu dur, aujourd'hui, de s'enthousiasmer totalement tant les scènes sont redondantes et ampoulés...dur dur, de tenir les 2h30 d'un film muet !!!
    Top of the World
    Top of the World

    54 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 septembre 2015
    Réalisé par Fritz Lang en 1927 et mutilé à sa sortie par ses producteurs, ce classique du film d'anticipation qui dépeint une société futuriste coupée entre riches et pauvres est, avec ses milliers de figurants évoluant dans d'impressionnants décors et ses superbes effets spéciaux, un récit de science-fiction à grand spectacle, dont l'incroyable ampleur visuelle est renforcée par la mise en scène virtuose de Lang. Mais c'est aussi une œuvre intimiste centrée sur des personnages forts, aux rebondissements constants et pessimiste dans son propos (l'absence de libertés d'une majorité permet le pouvoir absolu d'une minorité),sans oublier de troublantes références bibliques. Un film majeur donc, toujours formidablement pertinent malgré le poids des années.
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    93 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2011
    Je viens de voir "Metropolis" au cinéma en version longue (merci à ce collectionneur argentin qui a eu la bonne idée d'acheter une copie en 1927) et vous savez quoi? C'est du grand art (mais vous vous en doutiez probablement). Bon certes, sur une durée de 2 heures 30 tout n'est pas indispensable, il y a quelques longueurs et redondances, mais je ne vais pas faire mon rabat-joie: c'est quand même Metropolis, restons poli ! Un tournage pharaonique et tendu - Lang était d'une exigence rare et pouvait se permettre d'imposer ses conditions - qui engendra une oeuvre visionnaire mythique, dont l'influence s'est étendue à travers les âges. On avait eu droit à l'habillage "pop" de Giorgio Moroder dans les années 80, mais cette version colorisée pouvait sembler un peu sacrilège (Freddie Mercury et Pat Benatar qui roucoulent dans un classique du cinéma muet, c'est assez particulier), même si elle soulignait l'avant-gardisme et la modernité de l'oeuvre de Fritz Lang, et permettait une reconnaissance auprès d'un public plus jeune. Les thèmes de Metropolis sont universels: on y trouve les classes dominantes en haut de la structure pyramidale, qui vivent sur le dos des exploités épuisés, on y trouve le désir de révolte, les dérives d'une société mécanisée et sans âme, le besoin de cohésion sociale... Le besoin d'amour. La femme-machine reste une merveille d'esthétisme (Robocop et Terminator peuvent aller se rhabiller à la casse!) qui a fait fantasmer des milliers de cinéphiles et suscité des vocations artistiques. Hitler a été marqué par l'esthétique de Lang mais n'en a certainement pas compris le message essentiel: le coeur doit être le médiateur entre les mains et le cerveau. Lang s'est servi du sien et a quitté l'Allemagne quand le nazisme est devenu triomphant et lui a proposé de devenir un cinéaste de propagande. Il s'est réfugié aux USA, où il a su conserver une indépendance artistique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 mai 2010
    Même si la fin très sociale-démocrate (très allemande donc) peut paraître bidon au vu de ce qui a précédé, Metropolis, sur le fond, assez glaçant, et sur la forme, très en avance sur son époque, demeure l'un des films les plus influents de l'histoire du cinéma, et sans doute le meilleur de Fritz Lang (même si j'ai une tendresse particulière pour Fury, son premier film américain).
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