Avis : Si j'étais un homme - Page 6

Le degrés 0 de la comédie française. Tout ce qu’on pouvait imaginer de clichés, de ridicule de lourd avec ce pitch nous est servi et resservi jusqu’à la nausée. Ça devient rapidement gênant pour celles et ceux qui participent au film Audrey Dana en tête en étant devant derrière la caméra et aussi au scénario elle en ressort avec une image de beauf au féminin qui en plus ne s’assumerait pas totalement. C’est un nouvel exemple de comédie qui est tellement médiocre qu’elle en devient irritante et pénible.

la comédienne en surjeu ferait presque passer Clavier pour un acteur introverti, c'est peu dire. Tous les pires poncifs s'enchaînent dans une lourdeur navrante et seul le comique de situation utilisé jusqu'à la moelle rend le produit totalement indigeste. Affligeant...

Ce n'est pas la comédie la plus nulle. Disons qu'elle est surtout maladroite ! Audrey Dana a voulu prôner un discours féministe mais le message s'est melangé dans le cafouilli du film. Les gags sont surtout des gags de situation pas toujours réussi mais au moins on essaye. Les acteurs ne font pas de grandes prouesses mais emmène plutôt bien ce film.

Audrey Dana ressort ses griffes dans un film au scénario déjà casse-tête : une jeune femme se réveille et devient un homme. Bref, une histoire dont le cours du film va être relativement lissé pour qu'il en devienne une comédie relativement moche, où Christian Clavier agace malgré quelques minutes d'apparition et où l'humour est lâche. On rigole à peine, on souffre de la longueur pourtant courte du film, mais on subit !

Rempli de nombreux clichés et de blagues pas drôles, ce film n''est clairement pas bon...Je ne sais pas ce qui est le pire chez Audrey Dana : sa réalisation catastrophique ou son jeu d'actrice exaspérant....

Le sous-titre, l’affiche, le casting, le pitch, tout sentait le coup fourré. Maman célib’ paumée, Jeanne se réveille un matin avec un sexe d’homme entre les jambes. Elle qui ne supporte plus les mecs, va devoir faire avec ce machin. Disons-le tout net, plus c’est gros, plus ça marche. Il y a dans cette comédie potache les ingrédients d’un délire à la Apatow ou à la Farrelly. La première moitié du film est très réussie et on rit de bon cœur. Alors bien sûr, c’est hyper caricatural et simpliste mais c’est le genre qui veut ça. Et puis les comédiennes dépensent une belle dose d’énergie pour porter ce récit foutraque. Quant à Clavier, pas de surprise, il fait du Clavier (tendance sobre). Mais le buddy movie féminin vire à la comédie romantique et c’est là que le scénario s’avère moins efficace. L’émotion n’est pas au rendez-vous malgré le petit vent d’air frais du ton potache. Et puis on pourra franchement reprocher au film de s’être emmêlé les pinceaux entre sexe, genre et orientation sexuelle. Ainsi, avec un pénis, l’héroïne devient un mâle beauf qui courre … les jupons. En clair, qui dit individu muni d’un pénis, dit attirance pour les femmes. Mouais … Disons que le propos est parfois intéressant quand il permet de fustiger les injustices sexistes ou les préjugés mais dommage qu’il dise tout et son contraire. Pour autant, celui qui cherche une comédie sympathique et efficace sera servi et c’est déjà ça.

Un film raté, au script baclé, aux dialogues médiocres, avec de bons acteurs qui font ce qu'ils peuvent, mais la magie a ses limites; si les terrains est friable, allez construire une maison...

Tous les gags tournent autour de Popol...et rien d'autre. Pas un gag qui vient sortir du cadre (très restreint) du scatophile, et cela en devient vite redondant (ou épuisant, au choix). L'intrigue aurait pu être intéressante, mais Audrey Dana passe complètement à côté de son sujet : on ne sait au final pas pourquoi cela est arrivé, c'est bourré de clichés à ne plus savoir comment les insérer dans l'intrigue (on dirait qu'on essaie de faire une liste exhaustive, alors que quelques-uns étaient largement suffisants pour amuser tout en variant le comique) et les acteurs sont au spectacle de kermesse. Aucun ne joue avec crédibilité : Audrey Dana en fait des tonnes, Christian Clavier ressort une resucée fade de son talent passé, et surtout Éric Elmosnino est complètement à côté de la plaque. Certains pieux seront peut-être surpris de la scène de lit entre cette "femme à kiki" et une autre femme rencontrée à la va-vite (romantisme bonjour), mais subjectivement je n'y voit qu'une scène médiocre de plus, perdue dans les autres où l'on nous dit que les hommes (je cite) "sont tous obsédés", habillés comme des gangsters des années 50, où l'on ne fait que parler de Popol... Le scato c'est drôle cinq minutes, mais ce film hyper-poussif, inutilement vulgaire et très mal interprété est épuisant.

Film "cliché" par excellence, Si j'étais un Homme ne laisse que peu de place au doute. Les hommes sont de gros pervers adultères et débiles et les femmes sont de pauvres victimes ou des femelles vulgaires cherchant le coup d'un soir (pour rester poli). Au milieu, Christian Clavier tente de faire rire mais n'y arrive pas. A oublier au plus vite..

« Si j’étais un Homme » est une comédie très agréable, disposant d’une histoire sympathique qui n’est pas sans rappeler « Dans la peau d’une Blonde » (1991). Le développement permet à la réalisatrice de faire passer son message féministe. La distribution offre d’honorable prestation, mais clairement Christian Clavier qui apporte une réelle plus-value à ce métrage, en développant les scènes les plus hilarantes du film. Reste un agréable divertissement dans la joie et la bonne humeur.

J'avais beaucoup apprécié le précédent film de cette réalisatrice "sous les jupes de filles".
Ce nouveau film est dans la même veine.
C'est original, amusant et on passe un très bon moment de détente et de divertissement.
Certaines scènes sont vraiment justes et Clavier est très marrant.

Un film moyen malgré son originalité mais qui est malheureusement beaucoup trop loufoque.
L'histoire est par contre bien pensée et Audrey Dana est assez satisfaisante.
Christian Clavier est convenable et Eric Elmosnino et Alice Belaïdi sont corrects.
Tous les autres acteurs sont acceptables mais l'ambiance est en revanche particulière.
Les gags et les répliques sont quelques fois amusants même si la plus part ne sont pas transcendants voir dérangeant avec des scènes cocasses perturbantes, la morale sur le genre homme femme est par contre très intéressante.
Une comédie donc très mitigée avec un côté très spécial sur un sujet pourtant marrant de base mais qui n'est pas si bien exploité à cause du ton décalé trop mis en avant.

UN CARNAGE !!!! c'est une catastrophe !! bon au début ont a la fille dans un métier dominé par les hommes qui peine a s'en sortir et après le film est une cata seulement neuf minutes après le début SERIEUX elle ne devient pas un homme mais obtient seulement un pénis ce qui n'as STRICTEMENT RIEN A VOIR avec le fait d'être un homme.......le sexe et le genre sont deux choses différentes surtout qu'elle garde la plupart de ses comportement féminin et même son physique reste féminin ça prouve la TOTALE différence entre le sexe et le genre du coup LE FILM SE CONTREDIT TOUT SEUL ont ne la voit jamais vraiment en "homme" la stéréotype sexiste d'un homme bof qui pensent qu'aux filles et qui a des attitudes très déplacé ou parce qu'elle "fait pipi debout" suffi a la qualifier d'homme ce qui n'est évidemment pas le cas chez une fille transgenre....... ou encore quand elle as des "accidents"

Heureusement que Clavier et surtout Elmosnino sauvent un peu le film. Rarement vu un film aussi nul, vulgaire. Je n'ai même pas su à quel degré le prendre.

Caricatural, ridicule et nul au début – Audrey Dana a tendance à surjouer cette partie du film –, il faut avoir la force mentale de tenir, de ne pas sortir du film pour découvrir la suite qui remonte quelque peu le niveau sans atteindre néanmoins des sommets puisque cela reste globalement mauvais. En effet, pour résumer le propos du film, l’homme n’est qu’un pénis, enfin devrais-je dire une bite pour être au niveau du vocabulaire du film. On est vraiment loin de « Ce que veulent les femmes » (2001) qui volait beaucoup plus haut, au niveau du cerveau et pas au niveau de l’organe sexuel comme ici.