Avis : Stars 80, la suite - Page 2

C'est sûr il est moins bien que le premier volet, il y a moins d'effets de surprises puis on rit moins aussi mais je le trouve pas si mal que cela quand même, certes le duo est toujours convaincant. voilà, il se laisse voir une fois.

Bien franchement. Un Gilbert montagné et un Bruno lochet toujours excellent. Timsit super. Moi je le trouve aussi bon que le 1 que j'ai découvert le lendemain sur la UNE. Voir mieux. c'te crise quand ils font croire à G. Montagné qu'il se trouve dans une chambre d'hotel de 300 m2.... Ca a bien ri dans la salle tt le long du film en tout cas.

Cette suite du concept "Stars 80" est clairement un ratage. Richard Anconina et Patrick Timsit sont à bout de souffle pour nous "vendre" ces icônes de leur époque qui ont pris un sérieux coup de vieux. Le film sent le réchauffé à plein nez et comble son scénario léger par des grands classiques démodés. Seuls, Bruno Lochet et Jean-Marc Généreux apportent un peu de peps au film spoiler: et l'apparition finale de Renaud dans ce navet m'a déçu venant de sa part
. A éviter!

Je ne comprends pas ces commentaires ultra négatifs ! une comédie avec beaucoup de chansons des années 80 des gags voilà ce qui vous attend
J ai passé un bon moment j ai bien rit eût quelques émotions, tout y est
Et le final est top j’ai adoré
Faites vous votre propre opinion le film en vaut le coup moment de détente absolue

Et oui, je me suis fait piégé comme un bleu. Je pensais passer un petit moment sympathique chez des amis, et boom, je me retrouve traîné de force au cinéma pour regarder ce... film...
C'est un peu comme regarder les photos de vacances d'un couple d'ami pendant une soirée, en fin de repas. On ne s'y attends pas, on est pris au dépourvu, on sait qu'on va passer un sale moment, mais pas moyen d'y échapper. Alors on subi, et on croise les doigts pour qu'il n'y ai pas 3 120 photos à regarder : "là c'es nous devant notre place de parking"... là c'est nous devant devant notre stand de glace préféré... tu te souviens Bernard, elles étaient bonnes ses glaces, hein ?"
Et bien ce film, c'est la même chose : On a l’impression d'être tombé dans un faille temporelle ou les minutes durent des heures. C'est long, c'est pas drôle et c'est aussi bien joué que les pubs pour "sport élec 3000" dans téléshooping, avec le mec tout musclé et le doublage fait par un stagiaire en compta qui s'est retrouvé bien malgré lui à faire se boulot pour payer l'opération de la prostate de son hamster.

evidemment tres difficile de faire aussi bien que le premier, mais il est quand meme interessant, les artistes sont mis en retrait cette fois ci et ca m'a plus, hormis 2 a 3 pots pourris par ci par la, le scenario est bien, de nouveaux personnages entrent dans la danse, c'est bien ficele, et la demi etoile pour la scene finale, inattendue, une surprise "gagnante"

Déçu de cette suite. On ne retrouve pas le cote musicale du 1er opus. L’enchaînement paraît désordonné. Un point positif cependant : la participation de Renaud.

Horror Night

20h15 : Il est plus de vingt heures et le Mal menace dans l'ombre. Sous le clair de lune, tu vois un regard qui te glace le cœur. Tu essayes de crier mais la terreur s'empare du son avant que tu ne l'exprimes. Tu commences à être gelé pendant que l'horreur te regarde droit dans les yeux. Tu es paralysé. Parce que c'est un Thriller, la nuit du Thriller… Un peu comme une impression de déjà vu, non ? Cette sensation qui se profile au loin sans même devoir parcourir ton corps. Car tu le sais déjà, Stars 80 La Suite ne sera pas ce chef d’œuvre tant espéré, ni cet objet difforme plein de vitalité. La file d’attente vient de se former. Distribution de perruque oblige, la foule s’anime, grossit à mesure que le temps défile. Des sons disgracieux s’élèvent alors dans ce long et infernal corridor. C’est elle. La foule. Pleine de fans de la première heure et d’individus sentant le massacre émerger. A peine le temps de google-iser les raisons de ma présence ici (404 File Not Found), les portes de l’enfer pailleté s’ouvrent. Un de mes amis m’envoie : « Il est encore temps de te sauver ». Déterminé, j’ignore son message et m’engouffre dans la salle de cinéma. Grossière erreur.

20h30 : La salle se remplit. Quelques sièges restent vides. L’espace d’une seconde, je pense à cet espace libre et à la possibilité que j’avais de laisser mon siège vacant en restant dans mon lit devant la programmation Arte du lundi soir. La Peur devient totale lorsqu’une bonne partie de la salle enfile cette perruque aussi colorée qu’elle en est gênante. L’équipe du film se fait applaudir sous une marée d’applaudissements alors qu’un désespoir latent se met à pénétrer mon esprit, déjà enrhumé par ce festival de beaufitude. Le temps de chantonner un petit Born to be Alive et un léger Besoin de rien envie de toi, l’équipe s’éclipse alors que les dégénérés quinquagénaires se précipitent aux pieds de leurs idoles.

20h45 : Sur un air de Relax, le film commence. Les mains se claquent et les pieds se tapent. Première évasion spirituelle : non, mais, tu te souviens de ce passage dans Body Double où De Palma mettait en scène le clip de Relax avec une virtuosité si singulière. Ça avait quand même plus de gueule que ce ramassis de lourdeur. Un vrai sens du cadre, de l’espace, des lumières et de la place de la caméra pour susciter l’orgasme émotionnel. Pas comme ces intermèdes musicaux où le directeur de la photographie semble avoir tenté de se suicider après avoir découvert le projet qu’on lui avait confié. Mais que voulez-vous ? On ne fait pas du De Palma avec du Langmann.

21h : Alors que mon esprit divague, des mots doux viennent toucher mon tympan : La La Land. Non, pas de chorégraphie millimétrée, pas d’envolées nostalgiques ni même d’Another Day of Sun, juste une référence inutile alimentant une blague tout aussi inutile.

21h03 : Qui suis-je ? Où suis-je ? Pourquoi ? Autant de questions soulevées que d’Images à gerber. Car, avouons-le, le métrage de Langmann ne se mesure pas en terme de qualité visuelle, loin de là. J’assiste, impuissant, à ces effets de montage et ces plans non travaillés, à vous faire passer du Pécas pour du Chaplin. Tiraillé entre l’envie de fuite et celle de fête, je m’embarque dans l’odyssée moderne au plus profond des ténèbres de l’ennui, là où la folie s’immisce insidieusement dans le corps, comme un radeau sur le cours d’une rivière inexplorée. Werner Herzog n’est jamais loin, et son Klaus Kinski semble s’être mis à dos le Colonel Kurtz, pour une histoire de 45 tours de Jean Luc Lahaye. J’adore l’odeur du pas calme au petit matin…

21h22 : Comment manier avec subtilité l’art de la dissimulation ? Ce film n’en est pas un exemple. Quelques minutes viendront d’ailleurs nous le rappeler avec une ferveur si peu commune : la joyeuse bande s’amuse sur le jeu de société Stars 80, entonnant les tubes de leurs confrères dans un placement de produit tout en délicatesse ; démonstration bâclée de publicité, là où tout le monde semble rigoler sans se soucier de l’énormité à laquelle ils sont en train de participer.

21h36 : Une nouvelle fois, l’esprit s’éveille. On honore le nom de Madness (dont l'affiche tente, non sans finesse, de reproduire la pochette d’album culte) et son One Step Beyond. 3 secondes de bonheur instantané dans un ensemble foiré. Autant dire que pour le coup, la peine est grande, et la seule écoute du vinyle chez moi en aurait décuplé l’impact.

21h50 : Ce soir, c'est la nuit où on va y arriver. Ce soir, nous mettrons toutes les autres choses de côté. Je vais perdre le contrôle et je pense que j'aime ça. Car, dans cette chute libre à hauteur de scénario, un petit remontant des Pointer Sisters ne serait pas de refus pour ramener cette excitation perdue dans le néant de la stupidité. La transe musicale façon Sister Act se veut amusante, sympathique sans pour autant dégager l’euphorie attendue. Tant pis, l’exaltation attendra : il aurait été difficile, à ce moment là, de s’imaginer que deux heures plus tard, je me déchaînerai sur cette même chanson dans l’espace vide de mon salon. Totalement habité par la musique, comme ce Tom Cruise en caleçon sur un bon vieux rock de solitude…

22h15 : Puis la gaieté laisse soudainement place à la pitié. Des stars déchues qui, encore aujourd’hui, tentent de respirer cette gloire passée pour retarder l’instant fatidique que constitue l’oubli. Car sous cette apparente bienveillance, les stars se meurent, se complaisent dans cette célébrité de la nostalgie, toujours prêtes pour leur gros plan, allant jusqu’à batailler dans le grotesque pour conserver ce statut voué à disparaître.

22h30 : Les pensées fusent, alors que l’écran projette encore des morceaux de néant. Puis vient la déception. La déception dans un film voué à l’indifférence, pathétique non ? Car, je dois quand même avouer avoir ressenti une profonde contrariété en apprenant que Bonnie Tyler n’allait pas assurer l’apothéose du spectacle. Tout cela pour se voir remplacée par une star soi-disant de grande envergure : Renaud, ou celui qui est « toujours vivant ». A ce prix là, j’aurai quand même préféré m’enjailler sur le Total Eclipse of the Heart…

22h40 : Heureux d’apprendre que le mauvais goût serait absent du montage final. Cependant, le film est dans son unité, la parfaite représentation du mauvais goût à la française. L’arrière goût est amer, et pourtant, s’en dégage un appétit à force de nostalgie : Stars 80 La Suite et son seul réconfort, l'envie de réécouter quelques tubes des années 80. Visuellement, par contre, j'en suis resté au niveau de Gilbert Montagné...

23h : Mes yeux souffrent encore, mais mes oreilles en veulent encore. Confidences pour confidences, je n’ai pas aimé. Mais par la force incroyable des choses, je m’endors l’esprit habité par ces tubes sans lendemain et ces titres qui font du bien. Sûrement l’effet gueule de bois procuré par cette piquette de fond de placard.

Malgré la très bonne partie musicale de ce film, il reste beaucoup de lourdeurs et des temps morts. On a un peu le sentiment qu'on a un peu cherché à faire du remplissage. Dommage car je reste fan des Stars 80.

Stars 80, la suite.... Le titre du film annonce bien la couleur : c'est une suite et donc qui dit suite, dit : difficile de trouver le renouvellement même si le casting est là. Je ne jette pas du tout la pierre sur l'affiche, bien au contraire car, si on s'attend un peu au scénario, ce film reste une très agréable suite, un très bon divertissement, drôle et même très émouvant, comme l'est le final au stade de France avec un Renaud poignant dans le souffle d'un Mistral Gagnant. On fredonne toutes les musiques, on les connait toutes en retrouvant le trio Antoine/Vincent/Willy qui s'agitent et mènent toute cette troupe comme le ferait un chef d'orchestre. Normal.. Il n'y a pas de musique sans chef d'orchestre :)

Le film semble avoir été coupé à de nombreux endroits, d'où une impression de manque, le scénario est malheureusement faiblard, les chanteurs des années 80 sont même relayés en arrière plan... Dommage car il y aurait eu matière à faire une suite sympa avec cette "colo sénior" à Courchevel...

J'écris volontiers cette critique sans avoir même l'idée d'aller voir le film, après avoir subi le 1er lors d'une soirée entre amis.

Je plains les spectateurs qui se seront laissé acheter par une opération industrielle de décérébration totale, où, sous prétexte de repasser quelques vieux tubes sympathiques, un producteur a déclenché la boîte à fric pour piocher dans les poches des crédules fatigués de fin de semaine, et leur fournir, tout en un, de mauvais acteurs, un film sans scénario et de style de comédie nauséeux à la française, façon vieux cassoulet froid, uniquement pour diffuser de la musique (j'aime bien les années 80, attention!), montrer des zombies sortis de leur retraite méritée. Même les spectateurs du dimanche qui ne vont jamais au cinéma, ne devraient pas avoir l'excuse de l'absence d'éducation cinématographique, tant ce film doit cumuler tout ce qui est haïssable dans la comédie lourde et malodorante à la française, alors que tant de réalisateurs méritants peinent pour réaliser de vraies comédies "faites maison" et procurer du plaisir avec intelligence (ex : Le Sens de la Fête).
A FUIR

Le 1er était déjà plutôt navrant, mais malheureusement et étrangement pas étonnant pour ma part (à la lecture du synopsis on sent déjà que cette pseudo suite à l'air d'être là pour tenter de "rehausser" un film ou il se serait rendu compte qu'il avait raté la 1ère prestation^^), cette suite ne déroge pas à la règle et tombe bien bas! LE casting n'arrive même pas à remonter quelques chose. Enfin si quelques chose avait a être remonté^^. LE scénario aurait pu nous laisser au moins une surprise. Mais rien, il est aussi insipide, qu'inutile tout comme les situations ou certains moments sont incompréhensibles. En bref, séquence bien souvent absurde, avec des faux raccords en veux tu en voilà. Et des enchaînements d'angle qui ont été fait on ne sait comment ; mais qui massacre ce qui par la suite est censé faire office de dialogue. Du total déconvenue et un échec complet, bien supérieur au 1er qui déjà avait déja de gros soucis (merci la carte illimité, de ne pas m'avoir fait payer la place!). Mais qui là, nous fout un coup de matraque! Ne tentez surtout pas s'il vous plaît un 3ème opus! Par pitié! J'ai même pas pu tenir jusqu'au final qui au vu des retours, n'a pas rehaussait un chouilla le reste du film. L'échec de l'année (tout genre ou production confondue). Oubliez cela vite!!!!!

Difficile de faire plus mauvais. J'ai vu pas mal de films moyens mais la c'est le pompon. Ennuyeux au possible.

Mal écrit, mal joué, mal photographié, mal présenté, et surtout tellement mal produit... Après le très intelligent et brillant Star 80, comment est-il possible que la même équipe ait pondu un tel navet ??