Avis : Jurassic World: Le Monde d'après - Page 2

Je pense de ma vie de cinéphile n'avoir jamais vu un film avec autant d'erreurs et d'ignominies. C'est complètement éclaté au sol, du début à la fin, tout est impardonnable quand comme moi on avait des étoiles plein les yeux au cinéma en 1993.

Absolument rien ne va dans ce film et il serait beaucoup trop long et barbant de tout citer. Sachez juste que c'est une longue souffrance bourrée d'erreurs, d'incohérences, absolument tout est mal réalisé, idiot et caricatural.

Comment est-ce possible de valider cette immense escroquerie et d'en faire la promotion alors que c'est la plus grosse arnaque du siècle ?

Mention spéciale aux dinosaures qui se déplacent sur la pointe des pieds jusqu'à arriver dans le champ de la caméra avant de faire trembler le sol à chaque pas.

"J'ai une famille, j'ai des frais", dit le professeur Malcolm quand on l'interroge sur son travail. A croire que son interprète Jeff Godblum veut nous glisser un message subliminal. En effet, qu'allait il faire, lui et les 2 autres acteurs historiques de Jurassique Pak, dans cette galère ?
Je n'irai pas par quatre chemins. Ce film est mauvais. Pire que mauvais : ennuyeux à mourir.
Si vous souhaitez regarder un film sans prétention mais avec de l'action et des images stupéfiantes, vous n'aurez même pas cette satisfaction. Ce dernier Jurassic World n'est qu'un condensé de prechi prêcha incroyablement niais et puéril. Le babillage moralisateur a remplacé le fun et l'action. Pas question que le spectateur s'éclate, il est là pour être sensibilisé.
Pire encore : Jurassic World, dénué de scénario et d'intérêt, se paie le luxe d'être un film à rallonge. D'où la légitime colère qui s'empare du spectateur : ce film n'a rien à offrir, rien a dire, mais se permet de nous maintenir assis 2h30 a avaler ses inepties.
Je ne commenterai pas les niaiseries de ce film prétendu, sachez cependant qu'il enchaîne les énormités sans craindre le ridicule. Je soulignée tout de même la présence de très très nombreux héros, si nombreux qu'à la fin il faudrait un minibus pour trimballer tout ces braves gens. Comment tant de personnes armées de si belles intentions ne sont elles pas venues à bout de l'insipide et peu imaginatif méchant ? Mais las ! Chaque héros a besoin de son temps d'écran, on se contentera d'une surenchère d'actions farfelues. C'est aussi l'occasion de faire défiler vitesse grand V le fameux bestiaire du Jurassique : chaque héros a droit à 1 séquence avec 1 animal différent, sous le regard des autres. On se croirait à Fort Boyard tant ces épreuves de succèdent. Les scénaristes servent à chaque fois la même séquence avec un héros différent, ils ont jugé que l'enchaînement de péripéties équivalait a un scénario.
Ce film n'apporte ni amusement, ni spectacle, ni leçon utile. Ce gloubi goulba régurgité montre bien les limites du fan service et des sagas sans fin. Espérons que cette bouillie sera la dernière du genre

« - Vous n’avez pas le droit d’atterrir !
- Mais attendez vous êtes Denise ! Tu sais je peux révéler tout tes vilains petits secrets, tu te souviens de Dubrovnik ?
- *se tourne vers son patron* Elle parle d’une autre Denise, elle parle de celle de la compta… »
Comment dire… Quand tu as ce genre de dialogue dans un film de dinosaure, c’est qu’il y a un problème quelque part. Après un premier film reprenant sagement les codes de la saga et un deuxième qui divise, faisant tout valser avec un final plein de potentiel pour la suite, « Jurassic World : Le monde d’après » avait la promesse d’être un film inédit, questionnant sur la cohabitation difficile entre l’homme et les dinosaures, ramenant par la même occasion, les héros de la trilogie d’hier pour les faire collaborer avec ceux de la trilogie d’aujourd’hui. Ça devait être l’apothéose de 30 ans de films Jurassique. Au final, c’est une déception sur tout les points. Doté d’une réalisation fonctionnelle et peu inspirée, le long métrage pêche notamment sur son scénario, alternant cliché et dialogue mal écrit , dans une intrigue confuse et classique. Rendons nous bien compte qu’on attendait un film sur la cohabitation entre les dinosaures et les humains et on se retrouve avec des sauterelles génétiquement modifiées ?! Malgré quelque moment d’action sympa (la course poursuite à Malte), tout reste très générique et interchangeable. On en ressort épuisé par ces deux heures trente et au final on se demande : à quoi ce film servait ? (A part pour l’argent ?). Le long métrage commence par un point A, continu vers un point B et C, puis se termine en retournant au point A. Pas d’évolution, rien. Passez votre chemin.

Tellement impatient de le voir et tellement déçu ! Des effets spéciaux minables indigne de spielberg. Aucun scénario et des acteurs qui s’ennuient. Dommage

J’ai passé un long mauvais moment. Or le casting du premier Jurassic qui reviens, il n’y a rien à retiré. Le film est long pour au final rien du tout, toute l’intrigue tourne autour d’un sujet plus qu’on sujet par rapport aux deux premiers films. Le fait de donner des sentiments aux raptors rends le film moins impactant. Et trop de questions sans réponses, pourquoi les personnages se retrouvent en 1 seconde dans tel ou tel endroit, pourquoi les dinosaures paraissent aveugles et n’attaque pas et attendent juste que leurs proies soient or de portées. En résumé le film est une réplique du premier en beaucoup beaucoup moins bien. Il y a bien trop de points négatif…

Bon , comment à t' on pu passer à ce point à coté d ' un énorme potentiel. Sur le final dantesque de Fallen Kingdom les possibilités étaient nombreuses d' offrir aux fans une fin satisfaisante à cette saga. Mais non , hélas , toutes les directions prises par la scénario sont les plus inintéressantes qui devaient êtres choisies.
Disséquons un mini naufrage ensemble voulez vous ?
Tout d ' abord le film met énormément de temps à ce lancer , dans sa première partie , on met en place la situation du monde 4 ans après que les dinosaures ont retrouvées leurs libertés , avec toutes les conséquences écologiques et sur la population que cela comprend. L' idée aussi plutôt bien venue d ' un marché noir organisé sur les dinosaures ayant vu le jour , mais sera très vite expédiée en une scène . C ' est aussi l ' occasion de retrouver nos " héros" du précédent film à savoir Owen , Claire et la petite Maisie , ici devenue adolescente , bien consciente de ce qu ' elle est , de sa condition de clone , et est forcée de se cacher de la population.
En parallèle , parce que c' est comme ça que vas être construit l ' intrigue pendant une bonne partie du film , on retrouve nos vieilles gloires de la première trilogie. Et autant dire , que même si c' est avec un réel plaisir que j ' ai retrouvé le Dr Grant , Satler et Ian Malcolm , leur arc narratif lui , est le moins bien construit. Et le soucis avec ses anciens personnages , aussi attachants et bien interprétés soit ils , c ' est qu ' ils n' ont a proprement parlé aucune évolution personnels.
Dans cette première partie , peu d' action , on prend plus le temps de mettre en place les nouveaux enjeux , et de laisser le temps aux anciens persos de se retrouver ( les retrouvailles entre Ellie et Alan sont tellement expédiés c' est dommage).
Fait rare pour un film de cette saga , j ' ai trouvé toute la première heure vraiment sans intérêt. Il ne s' y passe pas grand chose , et au final le scénario ( bourrés d ' incohérences et d' éléments foireux mais on y reviendra) met peu l ' accent sur les conséquences qu ' ont pu avoir les dinosaures sur la population ou leur interaction avec ceux ci.
Autour des personnages principaux ( déjà nombreux) , gravitent de ( trop , beaucoup trop !) personnages secondaires , qui sont présents uniquement pour faire avancer brièvement l ' intrigue ( le personnage de Kayla , qui arrive aussi comme un cheveu sur la soupe, très mal amenée , est celle qui s ' en sort peut être le mieux , avec une personnalité quelque peu fouillée et attachante) ou alors sont la pour gonfler le body count ( maigre sois dit en passant ). Passons très brièvement sur le " méchant" de l' intrigue , très manichéen et aux intentions forcément mauvaises , mais heureusement sa mort à elle seule sauve le personnage.
Par contre de nombreux personnages n ' ont absolument aucun intérêt et disparaissent comme ils sont apparus , ils servent dans une séquence , un pti tour et puis s' en vont ( Pourquoi faire revenir Omar Sy et Justice Smith qui étaient déja insipides dans les précédents volets? )
Avant l ' arrivé sur l' ile de Biosyn ( ou vas se dérouler le climax en somme) , on passe entre beaucoup de lieux ( MALTE , le Texas et j en passe ) , mais jamais assez longtemps pour que ça est un réel intérêt.
Alors j' ai parler du traitement ridicule des humains , mais celui des dinosaures n ' est guère mieux. Cet opus est celui qui contient peut être le plus de dinosaures ( tous très bien faits c ' est vrai et avec des designs réalistes vraiment sympas) , mais alors aucun n 'est réellement marquant , ni n' est présenté comme une réel menace ( excepté la scène à Malte mais j' y reviendrais) Le sort réservé au Tyrannosaure et à Blue m' a fait peine à voir. Non seulement le temps de présence est très limité, mais en plus les deux plus grands prédateurs , les plus grandes menaces de la saga Jurassic Park ne font aucune victime ! Ils sont passés tellement à coté du traitement de ses deux dinos mythiques , relayés au second plans et totalement inoffensifs. ( Quand je pense que dans Jurassic Park ces deux espèces étaient proprement terrifiantes !)
Par contre , le dilophosaure à lui , les meilleurs scènes du film et pour le coup ça à le mérite d' être noté.
Et c ' est un des gros points négatif de ce troisième volet , sa générosité sur tout , fait que on se focalise sur peu de chose.
On doit se concentrer sur trop de personnages , trop de lieux et trop de dinos , pour que au final aucun ne soit véritablement marquant.
Passé donc une première partie ronflante , au discours écologique floue , mais avec de beaux plans , ayant le devoir de réunir tous les personnages au plus vite dans le même lieu pour faire avancer l' intrigue ( ah les facilités scénaristiques !) , le film prend un peu plus d' intérêt dés l ' arrivé sur une nouvelle ile.
On comprend vite les intentions funeste du président du groupe Byosins , capable de bouleverser tout un écosystème pour servir ses intérêts. Et justement , meme si ça reste facile , les personnages principaux se retrouvent tous sur cet ile protégée , avec des motivations différentes.; Claire et Owen pour retrouver leur fille , tandis que Alan et Ellie veulent tout simplement dénoncer une catastrophe écologique imminente.
Ce deuxième acte est beaucoup plus prenant , et on sent enfin que Trevorrow et son équipe de scénaristes comprennent un peu plus les possibilités qu' offrent ces retrouvailles.
Plusieurs scènes de tensions ( elles sont rares croyez moi ) sont plutot bien créées ( Comme celle de Claire dans la jungle pour rester vague) , aussi bien dans leur gestion de l ' environnement ou du suspense ,et on aperçoit des embryons de bonnes idées de ci de la. Des scènes qui indépendamment au reste ( spoiler: l ' atterrissage forcé par exemple
) , fonctionnent à merveille et démontre encore un peu de talent ( mais aucune patte , ni personnalité ) de la part de Trevorrow derrière la caméra.
On sent bien ( et encore plus dans ce nouveau film) , que Trevorrow n ' avais pas les épaules pour mettre en scène cet opus , tellement son travail est sans éclats . Fonctionnel , efficace sur les scènes d' action , mais le réal ne comprend pas grand chose au lexique de Jurassic ParK . La où justement dans le précédent , Bayona , avait réussi à imposer sa patte , une vision d ' auteur , de véritable beaux plans marquants , ici quasiment aucune scènes n ' impriment la rétine.
Certaines sont efficaces et rythmées c' est vrai , et le tout est bien aidé par des SFX et animatroniques toujours superbes à mon gout , mais le tout est emballé sans charme. C' est comment je pourrais résumé la réalisation de Trevorrow , fonctionnelle , efficace par moment , mais sans personnalité. et évidemment sans prises de risques à aucun moment.
Ici le zéro prises de risques est de rigueur et est la note d ' intention de Trevorrow , ne vous attendez pas à etre surpris par le sort de tel ou tel personnages , c ' est facile de savoir qui restera en vie ( quasi tout le monde en faite ) et ceux qui sont voués à mourir. Le carnage annoncé n ' est jamais présent , et cet opus est surement le plus sage au niveau de la violence et des morts montrés à l' écran.
Là où Spielberg ( vous me manquez tellement Mr Spielberg sur un tel projet !) savait mélanger parfaitement les genres ( l ' émerveillement et la terreur ) tel un équilibriste, ici oubliez le soupçon d' horreur de Jurassic park , il à disparu au profit d ' un film d 'action au message écolo , mélangé à du Indiana Jones fadasse.
Dans sa dernière partie ( la meilleure donc ) le film se rapproche un peu plus de l ' esprit du premier film , en réinventant quelque peu les scènes de l ' original tout en le dénaturant de tout sentiment de danger. Une scène en particulier évoque ce que je viens de dire , réunissant Claire et le Professeur Satler , qui aurait pu être un sommet de tension , surtout que le décors et le sentiment d ' être prise au piège s'y prêtait , mais hélas non. Le degré zéro absolue de tout sentiment de danger je vous dis.
Et pour le climax , et par manque d' idée absolue je ne sais pas , Trevorrow singe son grand final du premier Jurassic World , avec un combat entre trois dinosaures , vite expédié , ne faisant aucun blessé , et spoiler: terminant sur un happy ending typiquement hollywoodien

Hélas , avec toute la sympathie que j ' ai pour cette saga , avec laquelle , comme de nombreux fans, j ai grandit , quand c ' est loupé , c 'est loupé.
Trevorrow à beau s ' être entouré des meilleurs équipes techniques , faire revenir le trio d ' origine , et livrer quelques scènes d' actions visuellement spectaculaires , on voit bien avec ce film qu' il ne comprend pas l ' essence même de Jurassic Park.
On se retrouve alors avec un énième blockbuster sans âme , bien exécuté et avec du talent devant la caméra mais sans prise de risques.
Je pense qu ' il est grand temps maintenant après deux trilogies , de laisser cette saga en paix avec ses réussites et ses échecs , pour les prochaines 65 millions d' années.

En regardant le reboot Jurassic World dans son entièreté, c'est difficile de ne pas penser à la postlogie de Star Wars. Le premier volet de ces trilogies respectives fut souvent taxé de remake à peine assumé, compte tenu des nombreuses redites avec son modèle. Arrivent des seconds opus nettement plus aventureux qui font mine de répéter pour au contraire suivre (enfin) leur propre voie. En clair, Fallen Kingdom acceptait sa nature de série B délirante au lieu de courir après l'héritage laissé par Spielberg. Le consensus autour de cet épisode charnière saluait l'arrivée de Juan Antonio Bayona derrière la caméra tout en regrettant certains choix scénaristiques escamotés. Pour le dernier tour de piste, le réalisateur Colin Trevorrow (qui a lancé les festivités en 2015) revient aux manettes, on fait monter la sauce avec un point de départ fantasmé depuis belle lurette et on rappelle la clique de vétérans pour refermer le cycle avec tambour et trompettes. Comme pour...Vous avez deviné. Si vous avez vu l'épisode 9 de Star Wars, vous savez donc que le dernier tournant nous amène droit dans le mur. L'autopsie du crash s'impose.

Première raison de l'accident ? Colin Trevorrow lui-même. Pas par manque d'idées, c'est d'ailleurs le problème. Le cinéaste n'en manque pas, il est seulement plus doué pour les amorcer que pour les exploiter. Le cinéaste n'en manque pas, il est seulement plus doué pour les amorcer que pour les exploiter. Également co-scénariste sur la trilogie entière avec Derek Connelly (ils sont accompagné de Emily Carmichael) , il fait ici feu de tout bois jusqu'à rompre la cohérence avec ses prédécesseurs mais aussi lui-même. Nous nous retrouvons avec un brouillon qui ouvre beaucoup de pistes et torche les plus intéressantes : le monde post-arrivée des dinosaures chez nous, la famille recomposée (thème Spielbergien par excellence). Qu'en est-il des autres ? Le fil rouge, pour le coup inattendu, ne débouche littéralement sur rien. Le pourquoi du comment est salement délaissé, de la même manière que la figure d'antagoniste est traitée par dessus la jambe. Vous vous souvenez du Dr Wu, qui personnifiait les dérives génétiques hier ? Il est aujourd'hui réécrit de telle façon que Le Monde d'Après n'est même plus cohérent avec ce qu'installait son prédécesseur. Plusieurs autres éléments corroborent le désaveu de Fallen Kingdom. En premier lieu, le très attendu retour des vétérans Sam Neill, Laura Dern et Jeff Goldblum, véritable 180° qui replace cet épilogue dans la démarche copiste du tout premier Jurassic World.

Sans surprise, on prend plus de plaisir à retrouver les anciens qui y mettent de la bonne volonté, même s'il est clair qu'ils se tamponnent de ce que raconte le film. Quant à la nouvelle garde (Chris Pratt, Bryce Dallas Howard), une réplique qui leur est adressée lors d'une phase d'infiltration synthétise parfaitement leur rôle. "Soyez transparents". Message reçu 5 sur 5 et ce depuis 2015. Je ne m'étendrai pas sur les invraisemblances, poussées à leur maximum. Oui, tout film en a, ce n'est pas un problème quand elles n'altèrent pas le récit. Ici, elles dégradent autant les situations que les résolutions en passant par les protagonistes (DeWanda Wise, au hasard). Malgré tout, le plus embêtant demeure ce recyclage assumé de plusieurs séquences entières du premier Jurassic Park voire même Jurassic World (!) : le périple autour du système de sécurité, l'assaut sur la voiture, l'utilisation des Dilophosaurus, le final horripilant. Le Monde d'Après n'hésite pas à faire redire à Ian Malcolm le laïus qu'il prononçait devant le sénat, comme si de rien n'était. On en arrive au point où l'on ne sait plus si Colin Trevorrow s'en fiche ou s'il se moque. Plusieurs répliques méta ironiques lancées par Jeff Goldblum font pencher la balance en faveur de la deuxième option, ce qui n'arrange rien à l'affaire (malgré le talent du comédien) puisqu'elles confortent la dimension cynique qu'assume ce troisième opus (à l'instar du calamiteux premier).

Ne nous reste plus qu'à compter les bons points là où on en trouve. Je constate un effort à la mise en scène sur deux scènes d'action (le reste est au mieux passable), une à Malte et l'autre avec Claire dans la forêt, un moment de tension très bien géré. Depuis Fallen Kingdom, on constate une meilleure finition sur les effets visuels que Le Monde d'Après confirme. Sans retrouver la physicalité de Jurassic Park ou du précédent, le travail effectué sur les nouveaux dinosaures est globalement convaincant, notamment les espèces à plumes (le Therizinosaurus). On passera donc volontiers l'éponge sur quelques intégrations moyennes. Enfin, Michael Giacchino nous gratifie une fois de plus d'une bande-originale dans la lignée des sonorités offertes par John Williams. Ramenées à 2h26, les bonnes choses ne pèsent pas lourd. La postlogie de Star Wars fut un condensé assez précis des erreurs à ne pas commettre, cette trilogie Jurassic World n'est pas loin d'en être la jumelle. Cohésion en berne, direction artistique confuse, recyclage pompier et entre-deux l'espoir d'un renouveau pris en étau entre la paresse et la stupidité.

Film très décevant, le pitch de départ du film est résolu à la fin mais on ne comprend pas bien pourquoi spoiler:
les dinosaures ne sont plus une menace spoiler:
, il n'y a pas vraiment d'histoire, si ce n'est spoiler:
détruire des sauterelles mutantes spoiler:
et résoudre les situations des personnages qui s'enchaînent, on fait spoiler:
revenir des personnages spoiler:
on y met tous les clichés habituels mais c'est très creux. La musique n'a rien de particulier, les dinosaures ne sont pas toujours bien faits au niveau effets spéciaux, le doublage en français laisse à désirer.
Ensuite j'ai été gênée par les expressions faciales et le jeu de l spoiler:
héroïne de la saga initiale, spoiler:

Un bon point on voit une belle diversité de dinosaures.
J'aurais aimé donner plus de bons points car c'est tout de même le genre de film régressif qu'on aime voir, mais pour cette avant-première je n'ai vraiment pas spécialement apprécié ce film.

Je suis toujours étonné de voir des actrices avec un super brushing ou maquiller a mort alors qu'elles sont dans la jungle comme la rouquine.
Bon on est dans le délire habituel on prend les anciens et on mélange avec les nouveaux sinon ça reste regardable sans plus.

jurassic Park a bercé ma jeunesse j'avais adoré les 3 premiers, moins fan des 2 jurassic World j'ai quand même apprécié mais celui là waouh sacré bouse aussi énorme que celle fait par un Diplodocus
quel massacre

Je ressors de la salle content d'avoir vu le dernier Jurassic World. Face aux mauvaises critiques, j'apporte mon soutien au film. L'équipe récente et les anciens acteurs c'est beau et merveilleux de les retrouver. Les décors sont très beaux, les dinosaures aussi. Pas le meilleur, mais non plus pas le pire des Jurassic. Je recommande le film.

Ce troisième volet de la saga "Jurassic World" est manifestement le film de trop. Comme le précédent, c'est une aventure survitaminée avec des dinosaures plus vrais que nature, mais sans aucune ambition scénaristique. C'est de plus en plus risible et invraisemblable. On se croirait littéralement dans un film "Fast & Furious" avec des dinosaures. Le film traine en longueur et se révèle insipide sous prétexte que le casting et le choc des générations compensera. Le retour des acteurs des originaux n'apporte rien, si ce n'est Jeff GOLDBLUM qui parvient à nous arracher quelques sourires. On connaît la fin dès les premières minutes, il n'y aucune inventivité au niveau de l'écriture. Sans oublier le fan service ubuesque et forcé avec des personnages invincibles et des méchants incompétents.

À part peut-être le spectateur fan naïf, le public est unanime, c'est le pire film du box-office et le pire de la saga. Même le fan service et les effets spéciaux n'arrivent pas à enrichir ce pauvre film. Jeu d'acteur, personnages, scénario stérile. C'est un massacre et une insulte pour la franchise et pour nous qui avons payer pour subir ce supplice. Espérons qu'une suite (fort probable au vu de son succès financier) soit le plus tard possible

Une suite efficace et prenante, la nostalgie de retrouver le trio des premiers films, des dinosaures toujours plus inventifs. Et un message sur la nécessite de préserver notre planète et cohabiter en harmonie avec les animaux.

Que dire ? Rendez-nous Jurassic Park ? Après trois films, la saga "World" a surfé sur le succès d'antan de la franchise JP, sans rien n'apporter de neuf. Si les moyens sont là, le tout est bien trop lisse et propre.
Ce troisième film est l'apogée des deux premiers films déjà très moyens.
Ici, le scénario est d'une platitude absolue et j'ai l'impression de voir et revoir les mêmes situations d'un film à l'autre. Pire, après trois films, on ne s'attache toujours pas aux personnages principaux que sont Owen et Claire. On ne parle pas des autres venus faire de la figuration, en premier lieu Omar Sy, dispensable comme jamais.
Est-ce pour palier à cela que la production à rappeler le casting original ? Toujours est-il que nous peinons à reconnaître Grant, Sattler et Malcolm. Les scénaristes ont-ils vu les films originaux ?
La cerise sur le gâteau étant le WTF permanent : course en moto avec des dinos, avion qui s'écrase...bienvenue dans Fast and Furious ! On y croît jamais, et on frôle le kitch comme l'autre grosse saga d'Universal, sauf qu'ici ce n'est pas désiré.
Bref, c'est nul du début à la fin, on veut oublier et l'histoire ne se souviendra pas de ce nouveau volet sans intérêt.