Derniers Avis sur La Course à la mort de l'an 2050

En l’an 2050, les États-Unis sont contrôlés par un conglomérat d'entreprises. Afin de lutter contre la surpopulation, une "Course contre la mort" est organisée durant laquelle tous les coups sont permis et où les participants gagnent des points en tuant des civils…

Plus de quarante ans nous séparent de l’oeuvre originale avec David Carradine & Sylvester Stallone. La Course à la mort de l'an 2000 (1975) était une très sympathique satire politique, soit tout le contraire de ce qu’a réalisé G.J. Echternkamp. La Course à la mort de l'an 2050 (2017) est la suite directe de l’oeuvre culte de Paul Bartel, le film s’en rapproche à bien des égards, mais en dehors des quelques similitudes, faire des comparaisons serait tout bonnement insultant envers le matériau d’origine, tant cette suite s’avère purement et simplement être une purge.

Pendant 90min, on jurerait avoir affaire à un film de fin d’étude (à savoir, totalement fauché et mal joué). On se croirait devant une course de caisses à savon avec des véhicules en toc et tournée sur fond vert. C’est bien simple, il n’y a rien qui va, tout est raté et abjecte, la réalisation ignoble a été torchée avec le ɔul, les CGI sont dégueulasses, ça transpire le fond vert, les acteurs font peine à voir dans leurs véhicules en carton faisant sembler de manier leur volant.

Non seulement c’est ridicule mais en plus de cela, ça fait réellement peine à voir. Il n’y a pas un seul acteur qui parvient à sortir du lot et ne comptez pas sur Malcolm McDowell (grimé en ersatz de Donald Trump), il cachetonne et rien d’autre.

Entre l’absence de direction artistique et une B.O particulièrement immonde, subir ce film relève du supplice, en plus d’être une perte de temps

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Ce film est vendu comme une suite de celui de 1975, mais en fait il s'agit tout simplement d'un remake avec de très légères différences (comme les noms des participants, sauf pour Frankenstein, ou encore le rôle de la résistance et du président), du coup aucun intérêt.

Roger Corman exploite à fonds le filon, qu'il a lui même engendré. Avec ce dernier en date il reprend le côté kitch et vintage de l'original. C'est pas un chef d’œuvre, mais cela diverti.

Alors la tout y est, des ninja a deux balles, des véhicules kitch à souhait, des acteurs de série B, cela aurait pu être comique mais même pas, on se demande ce que Malcolm McDowell et Manu Bennet sont venu faire dans cette production.

course à la mort 5 et nul se n'est plus que du gore et dans se film on tue tout le monde et ça ne ressemble plus à une course de voiture pour tué les pilotes course à la mort de 1 à 3 son de vrai course et la on vois qu'on tue les pilotes le dernier course à la mort ces juste de la tuerie se n'est pas un film d'action ça ressemble plus à des films comme chucky, le clow, scream

Mais comment est ce possible de sortir des navets comme ça ??? Histoire nulle, réalisation nulle, dialogue, effet spéciaux d une autre époque .... Au secours !!

A 90 ans Roger Corman retrouve son humour noir du début des années 1960 avec ce film inclassable aux influences multiples : un doigt de Russ Meyer, un doigt de Mad Max (les anciens), de la dérision, du sang et de la violence, du grand guignol, un peu de nudité, Malcom MacDowell en clone de Donald Trump, on nous évite (heureusement) les clichés de poursuite automobile, et on a même une petite réflexion sur la société du spectacle. Inutile de dire que même si c'est loin d'être parfait, on se régale, ça peut même être culte !

ou la la, navet 2017 !!!!
effets speciaux archi raté, on dirai les effets qu'on faisait il y a 40ans !!!
histoire pourri, personnages surjoué, voitures ridicules
metion speciale aux 3 ninjas qui savent pas se battrent mais font bien de la gym !!!!

passez votre chemin !!!!

Une potache à l'ancienne pas si folle et pas si bête. Ça va vite, ça crie beaucoup, ça charcute et ça explose pour des artifices du plus bel effet, bien ringues. Pour les amateurs de la première heure, pas pour les adeptes du remake, pour ceux branchés retro-barjo. Drive drive kill kill drive kill drive.

Une réussite. Alors, oui, lorsque les voitures roulent, le rendu est à la sauce "vieux effets spéciaux" et elles semblent en plastique, mais c'est voulu, puisque c'est un reboot de La course à la mort de l'an 2000. Je l'ai d'ailleurs préféré de loin au film original, sorti une quarantaine d'année avant celui-ci.
Le gore, le comique, l'action, tout est bien pensé et réalisé, avec des personnages plus profonds qu'on peut le croire au début. Et le côté "voici avenir des États-Unis" me semble ma foi tout à fait réaliste...

Bon dieu c'était quoi ce "truc" ! C'est pas un film on dirait un clip de Youtube ! On peut même le prendre comme une parodie tellement c'est poussé au second degré et abusé ! Rien à voir avec les deux premiers qui étaient plus qu’honnêtes, même le 3e était encore correct, mais "ça" franchement je vous le conseille pas ! 1/5

Encore un reboot de l'original avec David Caradine et Sylvester Stallone. Mais celui-ci, contrairement à ceux avec Jason Statham, respecte le scénario et le kitsch de l'original voire même le copie carrément. Frankenstein est toujours là mais exit Machine Gun Joe. Au niveau kitsch, au même titre que l'original, j'ai l'impression de voir des voitures tout droit sorties des Fous du volant d'Hanna & Barbera. Rien de bien transcendant dans ce reboot mais peut se laisser regarder.

La suite de La course à la mort de l'an 2000..... avec des voitures en cartons, une intrigue en carton, des acteurs en cartons mouillés et un film qui pique les yeux au point d'en pleurer..... pour amateurs de nanards... et encore, le fond du tonneau......

Bon gros nanard avec du sang qui gicle, des nanas moitié nue et des FX tres cheap ....
mais c'est marrant.

Death Race 2050 : La Course A La Mort De L’An 2050 c’est du grand n’importe quoi pleinement assumé. Il ne faut pas se poser de questions ou chercher le moindre réalisme dans ce long métrage clairement destiné à divertir. Du bon gros nanard qui se déguste entre amis pour une grosse tranche de rire à la limite de la moquerie. Bref tout ce qui fait une série B réussie. [Lire la critique complète sur le site]