Avis : Sous le même toit - Page 8

Sans plus.... Ca se laisse voir mais ce n'est pas impérissable, de loin. le sujet n'était pas mauvais mais je l'ai trouvé loin d'être exploité à fond...

pas mauvais mais pas non plus la comédie de l'année. il y a quelques bons petits gags mais rien de bien marrant généralement, l'on souri plus que l'on rit. le duo "louise bourgoin" et "gilles lelouche" fonctionne assez bien même si je trouve que c'est un peu exagéré parfois. dans le même genre le film "l'économie du couple" sorti l'été 2016 été beaucoup mieux c'est à dire plus dramatique plus sérieux et plus vraie, ce fût bien plus réelle je trouve. à voir si une carte illimité comme moi et où si l'on à rien d'autre à voir au ciné et passer un peu de son temps libre. le voir une fois suffit amplement.

Delphine et Yvan divorcent d’un commun accord. Pour eux, comme pour leurs deux enfants Violette et Lucas, la séparation se déroule dans le calme. Sa situation financière devenant critique, mais étant tout de même propriétaire de 20% de la maison, Yvan décide de retourner vivre avec Delphine.

Après "Tout pour être heureux" et "l'économie du couple", 2 films consacrés à la séparation en réalisés en 2016, "Sous le même toit" réalisé par Dominique Farrugia se penche sur la question de l'usure de l'amour au sein du couple et les conséquences pratiques de la séparation sous un angle délibérément comique. Pour ce faire, il réunit dans ce film Louise Bourgoin (Delphine), une infirmière qui n'aime plus son mari et Gilles Lellouche (Yvan), agent de joueur sur la touche un peu looser, un peu beauf et malheureusement pour son ex épouse, très fauché.

La comédie est une suite de gags plus ou moins efficaces mais l'ensemble se laisse tout de même regarder, je craignais que ce ne soit pire. Louise Bourgoin est toujours aussi pétillante et inspirée dans ses réparties tandis que Gilles Lellouche n'a pas trop à se forcer pour interpréter un type assez beauf et, au final, pas très intéressant.
Dans les seconds rôles, on retrouve Manu Payet (Nico) , Marylou Berry (Melissa), Julien Boisselier et Nicole Calfan.

Ne vous fiez pas à la bande-annonce, car elle est bien trompeuse ! Elle regroupe en effet toutes les scènes drôles du film. Le reste ? Ennuyeux et ennuyant. Une vraie déception, car le potentiel des acteurs aurait dû être mieux exploité. Mais les carences scénaristiques plombent l'ensemble d'une main de fer... Dommage !

Une petite déception pour ce que j'imaginais être un film très drôle. Il y a quelques scènes rigolote mais rien de follement drôle. G Lellouche reste par contre un bon acteur.

Gilles Le louche est toujours aussi mauvais acteur (surjoue, pas expressif, etc.) et louise Bourgoin reste également à elle même....sujet sympa mais globalement ça casse pas 3 pattes à un canard. A voir si carte UGC quand tu t'ennuie

Une comédie moyenne, un peu pataude, parfois drôle, bref attachiante.
Une critique plus détaillée et d'autres sur

J'attendais une superbe comédie déjantée et originale avec au passage le plaisir de dévorer des yeux Louise Bourgoin. Mais que nenni, c'est du ultra classique, déjà vu et franchement pas extraordinaire. Je ne comprends vraiment pas pourquoi car gros casting et Farrugia à la réalisation mais là, franchement, c'est plat... Si c'est votre tout tout premier film du genre, foncez car c'est sympa, mais comme c'est probablement pas le cas, ne perdez pas votre temps.

En pleine séparation, un couple est forcé de continuer à vivre sous le même toit ce qui va amener son lot de situations comiques. Les situations fonctionnent bien et sont souvent drôles et l’alchimie entre Gilles Lellouche et Louise Bourgoin est présente.

Cette "suite" à "Delphine 1 - Yvan 0", sorte de "guerre des Rose" un peu soft, souffre de la comparaison avec son ainé et ses modèles. Pas mauvais, mais sur le même thème on a déjà fait beaucoup mieux.

Une comédie grinçante sur la séparation d'un couple avec quelques scènes amusantes, mais qui peine sur la longueur, malgré la presta convaincante du couple Bourgoin/Lellouche

Les coups d’éclats de Dominique Farrugia, réalisateur, sur grand écran sont rares ("Delphine : 1 – Yvan : 0" et "L’amour c’est mieux à deux" en fait) mais l’esprit des Nuls est encore très puissant chez lui, au point qu’on espère toujours qu’une fulgurance ou qu’un gag viendra titiller la fibre nostalgique de cette époque bénie. Avec "Sous le même toit", il aborde un sujet pas forcément hyper original (surtout après "Papa ou maman" et sa suite) avec ce couple qui se déchire sous les yeux des enfants, le tout sur un ton comique. Pour autant, le casting réuni et la bande-annonce semblaient alléchants et promettaient de passer, à tout le moins, un bon moment. Et, au final, c’est le cas… mais pas plus ! Le problème principal du film est assez aisément identifiable : c’est son ton ! Sous le même toit a le cul coincé entre deux genres (la comédie franchouillarde attendu et l’humour décalé) et a bien du mal à s’en dépêtrer, malgré tous ses efforts. On espère, souvent que l’histoire aille plus loin dans le trash… à tort puisque tout ça reste au fond assez convenu. On craint, parfois, des dérapages trop sérieux… qui dans l’ensemble sont évités. On a un peu de mal à comprendre l’angle qu’a voulu adopter Farrugia (vaudeville ? satire ?) et sa gêne parait palpable au vu de ses efforts pour dynamiser sa mise en scène (voire le montage en flash-back, pas forcément indispensable) et, surtout, pour trouver des fulgurances comiques. C’est, d’ailleurs, sur ce plan que "Sous le même toit" réserve ses meilleures surprises. Lorsque le scénario a tendance à ronronner, le film nous prend, régulièrement, à défaut par le biais d’un gag ou d’un dialogue improbable spoiler: (Yvan qui raconte qu’il s’est fait sodomiser par un SDF, Nico qui est content d’voir un ami avec une vie de merde parce que ça le rend heureux, Yvan qui va voir un pote handicapé pour lui demander de l’héberger alors qu’il a provoqué son accident, le plan cul de Delphine interrompu par Yvan…).
A ce jeu-là, Gilles Lellouche est époustouflant (et, bien sûr, hilarant !) et confirme, s’il en était encore besoin, qu’il est un de nos tout meilleurs acteurs. Manu Payet brille, également, même si on peut regretter que son rôle soit un copié-collé de celui qu’il tenait dans "L’amour c’est mieux à deux". Quant à Julien Boisselier, il s’avère excellent en conquête invraisemblablement coincé (ses réactions face aux assauts qu’il subit sont très drôles). Malheureusement, le casting féminin est moins bien loti, Marilou Berry assurant sans peine mais sans plus le rôle de la bonne copine, Marie-Anne Chazel semblant perdue dans un rôle mal dégrossie et, surtout, Louise Bourgoin souffrant d’un jeu un peu inégal (comme les enfants du reste, parfois bons, parfois faux). Pour le reste, la réalisation est trop sage, le montage aurait mérité d’être plus travaillé (ou plus efficace), l’histoire manque de structure et se perd dans certaines facilités (voir, notamment, la sous-intrigues avec le footballeur) et on ne nous épargne pas quelques moments gênants (la confrontation chez le nouveau mec avec le gamin armé d’un fusil, l’insupportable dernier plan avec les rires forcés). Sous le même toit est, donc, un honnête petit divertissement, qui sait se montrer vraiment drôle par moment… mais qui aurait dû valoir bien plus qu’un sympathique téléfilm.

Un certain plaisir à voir cette comédie qui remplit son objectif................................................2 étoiles et demie.....!!!!

Dominique Farrugia une comédie sociale qui traite de sujet d'actualité. Le cout de la vie face à un divorce. C'est lourd, parfois peu réaliste mais on rigole bien par moments surtout avec l'excellent Gille Lellouche . Dominique Farrugia aime filmer ces histoires de couples du quotidien (Delphine Yvan déjà) avec un regard complaisant sur ces situations.

TOIT TOI MON TOIT. Yvan égalise. 20% d'occupation de terrain, mais 3 tirs cadrés pour un match retour bien mieux maîtrisé. Gilles Lellouche ce gros chat sous un toit brûlant m'a bien fait rire. Papa et encore avec maman, et il falloir qu'ils vivent ou survivent ensemble. C'est les joies de la colocation, de la chaîne et du boulet.