Derniers Avis : Sous le même toit - Page 6

Louise Bourgoin et Gilles Lellouche sont d’accord pour divorcer. Mais plutôt que de se décider sur qui garde la maison, monsieur rappelle qu’il en possède 20%. Les parents de deux enfants vont alors devoir cohabiter Sous le même toit. Le film s’ouvre sur un jeu de chien contre chat plus ou moins drôle qui doit surtout sa réussite à l’éternel gamin qu’est l’acteur et au charisme de l’actrice. Si le film aborde avec humour la période du divorce et la dépendance de l’un à l’autre, l’ensemble reste assez peu recherché pour vraiment percuter.
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Sous le même toit est une comédie tout juste hilarante . elle est aussi super bien jouer en même temps . Note 18/20. je vous le recommande a tous.

Comédie fraîche et dans l’air du temps jouée par 2 acteurs que j’apprécie beaucoup
Dommage que Louise Bourgoin ne soit pas plus sollicitée

Moyen, car le scénario c'est du réchauffé et du prévisible. Les acteurs principaux sont bons, Gilles Lellouche et Louise Bourgoin en tête, et les seconds rôles également. Divertissant mais pas incontournable.

Si vous avez vu la bande annonce, vous avez vu l'essentiel. Le film aurait pu être drôle si le côté des 20% aurait poussé plus loin (il n'y est fait allusion réellement qu'une fois) mais il s'embourbe dans des situations tellement improbable que ce n'est même plus amusant.
Attention séquence émotion spoiler: le gamin qui est victime de harcèlement scolaire
qui est pliée en 2min (je me demande encore ce que ça vient faire ici).

Moi qui en ai ras le bol des comédies "feel good" à la Française qui envahissent les écrans depuis 10 ans, là pour le coup j'ai trouvé celui là différent . Ou alors c'est juste Gilles Lellouche en acteur principal ... Quoi qu'il en soit j'ai passé un bon moment . 😊

Dominique Farrugia une comédie sociale qui traite de sujet d'actualité. Le cout de la vie face à un divorce. C'est lourd, parfois peu réaliste mais on rigole bien par moments surtout avec l'excellent Gille Lellouche . Dominique Farrugia aime filmer ces histoires de couples du quotidien (Delphine Yvan déjà) avec un regard complaisant sur ces situations.

Les couples en plein divorces et parfois obligés de vivre « sous le même toit » est un thème très fréquent en 2016 avec notamment une autre comédie : « Tout pour être heureux » ou un drame « L’économie du couple ». Nouvelle année, même thématique. Ici encore Yvan et Delphine mettent un terme à plusieurs décennies de vie en couple, malheureusement Yvan (oui, curieusement dans ces trois films, c’est toujours le père qui est un raté sans le sou….), n’a pas d’argent et donc pas les moyens de quitter le domicile familial, mais comme il copossède la maison, pas de soucis il peut aussi y vivre. Sans suspense, la cohabitation va être tendue. Pour être honnête, je me suis raisonnablement amusé devant cette comédie. Elle fournit suffisamment de moments drôles pour qu’elle ne soit pas totalement ratée. Malheureusement, au-delà d’un sujet qui commence un peu à être usé, l’intrigue du film ne manque pas d’être trop souvent peu crédible pour la rendre autre chose que juste sympathique. Les dialogues sont aussi parfois un peu limite dans leur écriture ce qui rend les scènes peu réussies. L’interprétation est solide (si on passe le fait que le couple Lellouche, 45 ans, Bourgoin, 35, c’est un peu limite pour deux personnes qui sont censées s’être connues à la fac..). Bref, une comédie tellement dans l’air du temps qu’elle semble déjà-vu, à l’humour intermittent, à l’intrigue avec des trous d’air et dont l’ensemble est divertissant si on n’est pas trop exigeant. Pas franchement raté, mais très loin d’être réussi.

« Sous le même toit », ce sont quelques bonnes scènes de comédie noyées dans un ensemble laborieux. J’aurai dû m’y attendre puisque la filmographie de Dominique Farrugia a une certaine constance dans la qualité ou plutôt dans l’absence de qualité ! Relire mes critiques de « Traffic d’influence » (1999) ou de « L’Amour c’est mieux à deux » (2010) pour avoir un aperçu de mes sentiments à son égard. Ce constat et la déception qui en découle sont d’autant plus incompréhensibles pour moi que j’étais un grand fan des Nuls et que j’avais trouvé son premier film « Delphine 1 – Yvan 0 » (1996) très prometteur. Heureusement, le casting est parfait avec une mention particulière pour les deux enfants du couple que l’on va sans nul doute revoir au Cinéma sous peu !

comment cette comédie est tellement lourde et pas drôle et encore une comédie qui fait l'apologie de la drogue dans certaine scène ce qui est bien avec le cinéma français on se dit il peuvent pas faire pire et bah si il arrive

J'attendais une superbe comédie déjantée et originale avec au passage le plaisir de dévorer des yeux Louise Bourgoin. Mais que nenni, c'est du ultra classique, déjà vu et franchement pas extraordinaire. Je ne comprends vraiment pas pourquoi car gros casting et Farrugia à la réalisation mais là, franchement, c'est plat... Si c'est votre tout tout premier film du genre, foncez car c'est sympa, mais comme c'est probablement pas le cas, ne perdez pas votre temps.

Des situations grotesques mais des dialogues de grandes qualités. Il était risqué de reprendre les personnages d'Yvan et de Delphine, mais on s'amuse bien plus vingt ans après grâce à Louise Bourgoin et Gilles Lellouche. Heureusement, au-delà des dialogues, deux trois séquences mémorables pour ne pas déjà regretter Maman ou Papa.

Passé le casting sympathique, le film est d'une platitude ronflante que rien ne vient sauvé de l'ennui.

Film sans grand intérêt racontant le divorce d'un couple obligé de cohabiter.
Détail horripilant : la femme est infirmière, l'homme au chomage, mais ils ont une maison à la Mouzai (20e arrondissement), que le scénario justifie par un héritage. On a l'impression que les comédies, même quand elles parlent d'un couple aux conditions modestes, sont incapables de d'affranchir des codes parisiens bobos.

A part ca, quelques gags vulgaires, mais pas grand chose à se mettre sous la dent.

La bande-annonce a au moins le mérite d'être honnête : elle est lourdingue de par son humour si on peut appeler ça de l'humour. Lellouche surjoue comme dans pas mal de ses films tout comme son ami Payet. On m'a offert la place de ciné sinon je n'aurais pas mis un kopeck dans cette daube sans nom. A FUIR.