Avis : L'Ascension - Page 6

Très belle histoire qui rêverais d'un homme prêt à monter l'Everest pour conquérir le coeur de sa belle ? Je vous le conseille :)

Bel exemple de courage et de persévérance, le tout magnifiquement mis en scène.
Les émotions montent tout au long de son ascension. Difficile de retenir une larme au sommet.

3 ☄ Etoiles sur 5 Film à voir en famille. Tiré d un livre et d'une histoire vrai.
Quelques moment de rigolade. Bonne surprise du jeu d'acteur d ahmed sylla. les paysages sont magnifiques. C'est pas trop mon style de film d'où la note !
Mais ça reste un petit moment en famille.
Faut mieux attendre la sortie en Tv.

Cette comédie basée d'après un fait réel, un peu surréaliste, d'un réel exploit transformé en fait presque divers. Le scénario est très bien conçu et équilibré: avec de l'humour, de l'émotion, de magnifiques paysages et un final réussi. Les acteurs sont bien à dans leur rôle. On suit ce film du début à la fin.avec beaucoup de plaisir. On a passé une excellente soirée au cinéma, il y avait longtemps que cela ne nous était pas arrivé.

J'ai vu ce film en avant première avec les acteurs hyper sympthique et marrant ! Pour en revenir au film il très bien , familiale et marrant ! Il y a de magnifiques paysages ! je le recommande vivement !

J aime Ahmed Sylla, je me sens concernée et intéressée par la vie dans les banlieues et toujours contente quand le regard qu on y porte est positif, je suis une marcheuse et très très très très loin d avoir gravi l Everest, j'aime particulierement la marche en montagne... donc logiquement j aurais dû aimer ce film...mais déception...je n ai cru à rien, tout était trop attendu et survolé et les quelques jolis plans sur la montagne n ont pas suffi à m 'éviter l ennui...vraiment dommage car l histoire de départ est réelle! Le réalisateur aurait peut etre dù se contenter de l adapter avec moins de liberté et se passer de cette histoire d amour convenue qui selon moi gâche le propos. Je vais donc me rabattre sur le livre de Nadir Dendoune, car loin d être un tocard, lui, il l a fait!

en deux mots un film à couper le souffle des paysages surprenant avec une bon scénarios une leçon de vie pour tous ! foncé voir ce film

l'ascension et un film qui et bien pour se qui veuleux avoir des émotion et être dans une vie de rêve pour l'amour

Un très bon moment de rire et d émotion à voir absolument je vous recommande ce film
Les paysages sont magnifiques

Rien ne pouvait nous préparer à passer un aussi bon moment devant L’Ascension. Découvrir une véritable comédie d’aventure française aussi drôle que trépidante n’était pas gagné d’avance surtout en mettant en scène un humoriste qui n’avait jamais tenu de grand rôle au cinéma et un assistant réalisateur qui signe ici sa première réalisation en chef. Au final, Ahmed Syla est une véritable révélation que les producteurs ne vont probablement pas tarder à se déchirer. De la graine d’Omar Sy qui promet pour l’avenir. Quand au réalisateur Ludovic Bernard, il était temps qu’il prenne enfin son envol car son film est vraiment très réussi. [lire la critique complète sur le site]

Tiré d'une histoire vraie, L'ascension arrive à toucher et à nous faire rire. Le cinéma français a encore du talent. Le réalisateur ne passe pas trop de temps à décrire la cité et se concentre sur le périple du jeune sur les pentes népalaises. Ahmed Sylla est excellent dans le rôle avec son coté insouciant et sympathique. Les paysages de montagnes (En Savoie et au népal) sont bons et permettent d'être dans l'ambiance assez vite.
En résumé une bonne comédie dans le style feel good movie qui nous donne la patate après une séance ciné.

Ahmed Sylla à la "tête d'un film", bien loin du stand up habituel pour lui ; mais qui ne rate pas pour autant sa réalisation basé sur des faits réels. Nous voici donc en face d’une production porté par des valeurs universelles comme le dépassement de soi et l’amour notamment. Un synopsis original est intéressant sur différents points de vue. Mais si il adopte par contre la dynamique de plusieurs films américains, il parvient, contrairement à beaucoup de films français, à imposer sa propre tonalité, ajoutant un peu plus d'émotion sans le faire dans le "too much". Nous voilà devant un film vraiment dépaysant. On passe des HLM de la banlieue parisienne aux sommets de l’Himalaya en un clin d’œil et tout fonctionne à merveille. Sans être révolutionnaire, la réalisation est maitrisé et l'on sans un parallèle entre les 2 "milieux" totalement opposé. Avec de sublimes panoramas tout le long du film. Alliant comédie familiale, aventure et quelques peu une petite love story^^ (comme l'aurait fait toute production Américaine^^).Ce n'est pas le film qui fait franchement éclater de rire (ou quelques fois) mais qui fait régulièrement sourire et je pense que c'est mieux que lorsque c'est vaguement excessif et ponctuel.. Certaines vannes sentent un peu le réchauffé et on sent Ahmed Sylla partagé entre le désir d’y aller franchement dans l’humour ou de rester plutôt dans un registre plus mesuré. Touchant, le film encourage ainsi l’identification et fait passer une somme d’émotions pour nous toucher au vif lors du final... Les acteurs ne sont en rien, en l'efficacité du film ; car chacun y mets du sien et le fait bien même si Ahmed S. reste en tête d'affiche. Pour conclure, le film ne cède pas aux clichés de la comédie française franchouillarde mais s’efforce davantage de coller à un modèle anglo-saxon ayant fait ses preuves. Et ça fonctionne. Sans sacrifier son identité, sans cynisme, le film est aussi galvanisant que bienveillant. Une vraie bouffée d’air frais, en compagnie d’un acteur touchant à plus d’un titre, qu’il conviendrait presque de qualifier cet acteur de révélation. Et on passe un très bon moment, au même titre que 'il a déjà tes yeux" à peu nous l'offrir la semaine dernière. Une très bonne surprise!

Entre comédie et comédie romantique, un film maladroit, un peu naïf, mais particulièrement attachant. Ahmed Sylla est formidable.

L’idée de départ de « L’ascension » est toute simple, il s’agit d’adapter la vraie histoire de Nadir Dendoune, premier habitant de Seine-Saint-Denis à gravir le toit du monde, avec une expérience de la montagne proche de zéro mais une volonté en acier trempé. Plonger un novice dans un univers pointu n’est pas un ressort nouveau au cinéma, « Rasta Rockett » il y a longtemps, « Good Luck Algeria » l’année dernière, mais le point commun de ces films, hormis qu’ils s’agissent de comédie plutôt réussies, est qu’ils sont le reflet d’une histoire vraie. Le savoir avant de voir le film est important car du coup, on est obligé d’y croire, on ne peut pas douter de la crédibilité de l’histoire. Et je vais être honnête, si je n’avais pas d’emblée appris que le film relatait l’histoire de Nadir Dendoune, je n’y aurais pas cru, tout simplement ! « L’ascension », et c’est bien normal, nous offre des décors naturels à couper le souffle. Tourné au Népal pour toute la partie « basse » de l’Everest et à Chamonix pour les 800 derniers mètres, parce que j’imagine qu’il est tout simplement impossible d’amener des acteurs et une équipe de cinéma sur un quelconque sommet himalayen ! Plans de nuits, contre plongée, utilisation de la lumière, du flou, plans à la verticale qui donne le vertige, Ludovic Bernard fait le job et il le fait bien, et surement dans des conditions difficiles. Il n’appuie pas ses effets par une musique trop envahissante, il sait alterner les scènes de comédie pure et les scènes un peu plus dures, il donne à son film un rythme soutenu, sans faiblir et qui fait que son « ascension » passe vite et ça, c’est toujours bon signe. Ahmed Sylla donne beaucoup de sa personne dans le rôle de Samy, lui aussi probablement dans des conditions pas évidentes et, mais c’est un peu inévitable, il relègue les seconds rôles quasiment à l’état d’anecdote. Nicolas Wanczycki lui donne la réplique de fort belle manière quand même, en guide taiseux et rugueux, qui mine de rien a compris qu’il a à faire à un baratineur mais qui, pour des raisons qu’on devine dans les 10 dernières minutes, l’emmène spoiler: (presque)
au bout. Le scénario peut paraitre simple, voire simpliste, mais assez vite, et sans que cela ne soit vraiment dit ou formalisé, le défi de Samy apparait bien être autre chose qu’un défi amoureux accepté trop vite. Ce n’est pas seulement l’amour et la confiance (et la reconnaissance) de Nadia que Samy va chercher au bout du monde et au bout de lui-même. Ce n’est pas non plus, même si ça compte, la reconnaissance de la valeur du 9.3 ou de la génération qu’il incarne. C’est lui-même que Samy va chercher au bout du bout de la Terre, sa propre estime de soi qu’il a du chercher vainement pendant son enfance et son adolescence dans la Cité. La bonne idée de « L’ascension », c’est de ne pas asséner quoi que ce soit, seulement de suggérer, de laisser entendre. De la même manière, sa rencontre et son amitié avec son courageux sherpa Johnny, c’est l’ouverture à l’autre montrée de façon plus subtile que toutes les leçons sur le « vivre-ensemble ». De ce point de vue, et c’est un tout petit peu dommage, le film est un peu déséquilibré car autant les scènes au Népal sont fortes, drôles, parfois poétiques, et souvent subtiles, autant les scènes à la Courneuve sont un tout petit peu décevantes. L’humour y est plus téléphoné, les clichés plus nombreux, scénaristiquement elles sont plus « faciles », les personnages sont même un peu stéréotypés. Mais bon, honnêtement, la magie qui se dégage de toute l’histoire de Samy mérite bien qu'on ferme pudiquement les yeux sur les scènes tournées en France pour ne garder en tête que l’ascension en elle-même. Le film effleure aussi d’autres sujets, comme la commercialisation à outrance de la course à l’Everest, mais aussi les dangers de l’alpinisme de l’extrême. spoiler: C’est fait en quelques scènes : un corps qu’on descend, un hélicoptère de secours écrasé au sol, et ça suffit, pas besoin d’en montrer davantage.
L’humour du film doit beaucoup à Ahmed Sylla, habitué à la répartie puisqu’il fait du stand-up, je crois. C’est un humour moderne, urbain, qui ne plaira sans doute pas à tout le monde mais moi je suis assez cliente. Même si on ne rit pas à gorge déployée, on a quand même le sourire aux lèvres pendant tout le film, et moi je n’attends pas autre chose d’une comédie. Même si « L’ascension » n’est pas un chef d’œuvre, c’est quand même, au final, une comédie de qualité, plus subtile qu’on pourrait l’imaginer et qui en met plein les mirettes avec des paysages très très dépaysant !

A force de voir le sourire de Ahmed Sylla, j'ai décidé de céder. Il fallait que je vois ce qui le rendait heureux comme ça. J'ai bien fait. Ça m'a rendu heureux à mon tour. Pourtant, le début du film n'incite pas à l'optimisme. Un loustic de banlieue qui fait la cour à une fille qui le rejette. Là-dessus, pour la conquérir, il fait le pari fou de grimper l'Everest alors qu'il n'a aucune expérience. Si lui est animé de pures intentions, ses copains de cité insisteront lourdement que chez eux il y a du chômage donc les gens s'ennuient et quand on leur donne un but : ils se donnent à fond. Oui, peut-être. Mais je connais aussi des gens qui habitent à la campagne. Eux aussi n'ont pas de travail. En prime, ils subissent la solitude et la fuite des services publics et des petits commerces. Moralité : selon moi, il n'y a pas de hiérarchie. Chacun a ses problèmes. Ne regardons pas uniquement son nombril. Ce projet un peu fou est en tout cas une aventure humaine formidable. Comme si Indiana Jones avait croisé Rocky. Sérieusement, le passage du pont, moi, ça m'a fait penser au Temple Maudit. Faut dire que c'est mon épisode préféré et que je l'ai vu un nombre incalculable de fois. C'est aussi un film sportif où on prône des valeurs d'effort, de dépassement de soi, de persévérance. On en oublierait presque qu'on est dans une comédie où les vannes sont moins rigolotes que tendres. Chaque rencontre, chaque personnage est attachant à sa manière : le sherpa Johnny, le guide, les allemands fan de foot. L'Ascension est une ode à l'amitié, au courage et à l'amour bien sûr. Je n'en attendais pas tant. C'est une belle surprise.