Avis : Par instinct - Page 3

très beau film, alexandra lamy joue très bien. on ne s'attend pas à ce que ce soit un si beau film, je conseille

un thriller dramatique assez bien même si pas extraordinaire. il y a un bon rythme, de bons acteurs aussi bien les personnages secondaires que l'actrice principale "alexandra lamy" et une belle histoire certes triste mais bien réelle sur l'esclavage des femmes.

Un film comme d habitude l actrice principales renvoie une émotion et s adapté et rendre le personnage parfaitement Audrey a su renvoyer le faite de perdre un enfant mais aussi d un protéger un autre qui n est pas le sien

Les formats courts (en-dessous d'une heure et demie) peinent souvent à convaincre par leur manque de profondeur et de détails scénaristiques. "Par instinct" en est un exemple et nous apparait comme un teaser retraçant les grandes lignes d'un film plus étoffé. Premier long-métrage de Nathalie Marchak, cette histoire sur la maternité contrariée conjuguée avec la rude condition de vie des femmes en Afrique ne fait pas bon ménage de par ses rebondissements trop évidents et parfois incongrus ainsi que ses personnages secondaires peu approfondis... C'est dommage car le socle construit par ces thèmes semble solide et fait écho à notre actualité, mais malheureusement, le manque de richesse du scénario dilue l'intensité du propos. Alexandra Lamy interprète de façon simple et juste le rôle de cette femme qui perd son enfant, tout comme sa partenaire Sonja Wanda dont le personnage subit les vices de l'esclavagisme moderne. Son rôle aurait pu être plus détaillé tout comme celui du mari ou du possible amant... Il manque une subtilité de nuances dans la palette d'émotions des personnages en règle générale, ce qui les rend caricaturaux et surfait. Le côté thriller et chasse à l'homme, amenant une urgence et un danger possible, viennent nous percuter mais pas assez pour nous toucher vraiment ! C'est très ambitieux voire trop pour le petit backround de cette jeune réalisatrice et toutes les bonnes intentions ainsi que la qualité de jeu sauvent le film de l'échec total. Je suis resté sur ma faim bien qu'emballé par l'idée de départ de ce premier film. Un peu plus de peaufinement aurait sans doute éveiller la curiosité des critiques pour mettre en valeur la force du film, mettant en scène Alexandra Lamy dans son meilleur rôle dramatique.

un film « complet ». En plus de la trame principale, des personnages et de la justesse de leur relation, le film aborde plusieurs sujets de société qui nous touchent. La maternité tardive, le désir d’enfant, les cercles de prostitutions, le consensus général qui voit, qui sait, qui fait avec, parce que conscient que c’est un système qui repose sur une misère économique. Bref, un film social et humanitaire à voir absolument !

Un navet bourré d’invraisemblances qui parle du sujet des migrants. Un film écrit par un bobo, pour les bobos qui arrivent à gober des histoires misérabilistes et irréalistes dans le but d’arracher la larmichette. Seul le francais qui ne connaît rien du sujet peut être ému devant une histoire qui ne tient pas debout. Regardez-le seulement si.vous avez 1H30 à perdre. Moi il m’a déçu et je suis étonné que Alexandra Lamy puisse jouer dans pareil film de m****.
Bref, passez votre chemin …

Bien que la cause soit grande, le scénario est ici peu crédible et le rythme très lent. Lamy tient son rôle !

Quand je lis la "critique positive la plus utile" de "Locat.S", il(elle) doit être un(e) ami(e) de la réalisatrice car trouver
que c'est "un film d'action au féminin, qui ressemble à un film américain" ; on ne doit pas regarder les mêmes films :o)
Le film est correct sans plus avec un rythme très lent et des personnages qui arrivent comme un cheveu sur la soupe (comme la fin d'ailleurs).
il y avait pourtant un gros potentiel dans le scénario mais on sent que le budget étant limité il n'a pas été exploité.
A.Lamy est très bonne comme souvent et maintient le film à flot dans la moyenne sans plus.
A voir mais on en sort frustré.

Franchement perte de temps avec ce film vraiment beaucoup trop de clichés sur le Maroc, qui laisse entendre qu'ont peux être un vendeur raciste et malhonnête en même temps, mais aussi croiser des femmes sorcière et proxénète en même temps, ce film fait vraiment fort, sachez aussi que les armes sont strictement interdites au Maroc, et la prostitution existe partout y compris en France. D'ailleurs ce qui n'est pas faux c'est que les Français sont traités comme des princes et j'espère qu'avec des navets pareil sur le Maroc les choses changeront.

C'est souvent le problème du cinéma français actuellement : rien n'est vraiment mauvais, mais rien n'est vraiment bon non plus. « Par instinct » est en quelque sorte une synthèse assez parfaite de ce ressenti : dans l'absolu, ça se tient à peu près, le sujet est plutôt intéressant, ce trafic humain gangrenant le continent africain n'étant pas vraiment nouveau, mais toujours bon à rappeler. De plus, la manière dont évolue le récit, sa construction permet de rendre (plus ou moins) crédible le parcours de l'héroïne. Ce à quoi on croit en revanche beaucoup moins, c'est la psychologie de cette dernière, presque capable d'aller danser quelques heures après spoiler: sa fausse couche
, son comportement de façon générale laissant parfois perplexe, Alexandra Lamy décevant dans ce rôle à contre-emploi. Il y a bien ce personnage de médecin séducteur et presque fêtard, souvent à contre-courant de l'image que l'on peut avoir de l'humanitaire, sans doute le plus intéressant du film et bien interprété par Brontis Jodorowsky. À vrai dire, je n'ai pas grand-chose à écrire. L'œuvre devrait être prenante mais ne l'est pas vraiment. Elle devrait être intense, émouvante, mais ne l'est pas non plus. Ça se regarde, nous éclaircit légèrement sur les dérives épouvantables engendrées par le commerce de personnes (notamment à travers l'immigration illégale), tout en loupant son dénouement, tellement spoiler: « happy end »
(ou presque) que je ne pensais vraiment pas que Nathalie Marchak oserait. Aucune animosité envers « Par instinct », donc. Juste un drame de plus que j'aurais rapidement oublié.

Premier long-mètrage de Nathalie Marchak! Une oeuvre très inègale qui ne cesse de mènager des surprises incohèrentes! Le film arrive cependant à nous plonger durant 84 petites minutes dans le trafic d'êtres humains sur les terres d'Afrique du Nord dans lequel en tant que spectateur on arrive facilement à s'identifier au personnage de l'avocate française qui sort d'une fausse couche et surtout à ressentir de la compassion pour le parcours très cruel de la pauvre Beauty et de son bèbè! Cette partie fonctionne sans problème, le gros souci ètant que le thème de l'esclavage soit peu crèdible! D'autant plus que Alexandra Lamy se fait èclipser par la convaincante Sonja Wanda (les 2* sont d'ailleurs pour elle). et qu'au palmarès des personnages caricaturaux et bien sapès, le fils du grand Alejandro Jodorowsky serait plutôt bien placè pour la mèdaille! Ç'aurait pu être un film bouleversant, Marchak en a fait un drame tèlèfilmesque tirè par les cheveux! Dommage...

gentillet ,mignon mais pas très crédible en particulier le dernier tiers du film .
certes ça doit certainement partir d 'un bon sentiment mais parfois c 'est un peu neuneu

A. lamy va devoir faire attention à ne pas virer dans le pathos pour ses prochains films

On a beau se pincer devant l'invraisemblance des situations et les innombrables facilités du scénario, le fait est qu'on reste scotché, ou au moins touché, du début à la fin, qu'on partage malgré soi l'incroyable aventure du personnage principal incarné par Lamy et qu'on est réellement pris par les multiples péripéties de son histoire.

Très mauvais, mal filmé mal cadré un enfer à regarder
, de plus l'histoire tient pas debout on sent vraiment l'amateurisme à plein nez si j'ose dire.

Quel film raté !!!!!!! atroce !!! une vrai parodie écrite par une personne qui n'est pas sortie de sa prison doré.
Aucune intrigue crédible, le texte est mauvais, seule la superbe comédienne Alexandra Lamy sauve un peu le tout, c'est bien d'argent de l'argent mais cela ne donne pas le talent il faut bosse.