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Thomas P
25 abonnés
507 critiques
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4,0
Publiée le 21 janvier 2017
Une ode à l'enfance et à ses rêves sacrifiés reflétant la dure réalité de la vie et l'arrivée précoce et féroce à l'âge adulte. On suit avec plaisir ce petit groupe dans leur voyage plein de péripéties à travers les beaux paysages de l'Oregon.
Un film pas trop mal tiré d'une nouvelle de Stephen King . Une histoire " simpliste " qui m'a parut moins interréssante en version ciné préferant la version du livre de Stephen King . Ce film se laisse voir malgré tout mais j'ai moins accroché au film et plus au livre .
Une mise en scène De Rob Reiner sans surprise ni artifice, qui nous délivre cependant quelques belles images. La Bof très discrète est néanmoins efficace. Le scénario, adapté d’une nouvelle (The Body) écrite par Stephen King, manque de consistance, l’action et le suspense se font sensiblement attendre. Une très jolie adaptation de Stephen King, qui cette fois ne fait pas dans l'épouvante mais dans l'analyse de l'enfance. Un film touchant, sincère et nostalgique, très bien interprété par les jeunes comédiens. le film alterne entre aventure, drame et humour, Un portrait touchant et candide sur l’enfance. River Phoenix illumine l’écran. Même si le film par moment ralentie et ralentie trop même parfois en devenant presque ennuyeux parfois c'est dommage quand même pournhne film aussi touchant et aussi émouvant, et mignon . c'est la que surtout du progresse l'écriture du scénario du film mais aussi de Stein King. Une sorte de goonies plus profond dans les échanges. On est moins dans les élucubrations d'adolescents que dans leurs peurs de grandir et de faire face à la réalité du monde qui leur tend la main.
Un road movie (le terme exact serait un foot movie) qui nous embarque en compagnie de 4 adolescents paumés résolus à trouver le corps d'un de leurs camarades disparus. Les 4 graines d'acteurs sont excellents et ont tous réussi une belle carrière ensuite (River Phoenix, Wil Wheaton). Le film est basé sur une nouvelle de Stephen King mais le réalisateur bascule davantage vers le psychodrame que le thriller et il est plaisant de suivre ces 4 gamins attachants. Bien moins connu chez nous qu'un goonies, c'est une très belle découverte.
La mélancolie diffuse de Stand by Me refuse de tomber dans le mélodrame, soucieuse de rester sur une ligne instable qui trouve dans le récit sa traduction visuelle en cette voie ferrée que suivent les gamins une heure durant, à la fois métaphore d’un destin contre lequel il serait inutile de lutter et signe d’une liberté d’entreprendre. Stephen King, auteur ici adapté, affirme d’ailleurs que rien ne raconte mieux l’enfance que la thématique du voyage : le quatuor d’amis, quoique caractérisé lors d’une introduction assez lourde, advient par l’expédition entreprise, et les individualités schématisées par le narrateur adulte échappent en partie au balisage moral et simplificateur pour s’éprouver face aux événements. Nous retrouvons la tension chère au romancier entre deux âges, et la contamination progressive mais certaine par le monde adulte de celui des enfants. Il n’est pas anodin que leur marche soit orientée en direction d’un corps qu’ils sont, au demeurant, certains de trouver ; Rob Reiner s’en saisit comme d’un mobile apte à mettre en route les compagnons, filmés avec élégance et simplicité, sans la grossièreté parodique et burlesque d’un Goonies (Richard Donner, 1985) sorti un an auparavant. Le paradoxe tient alors au contraste entre la douceur de la photographie, qui cultive les beaux plans et les cadrages iconiques, et la sècheresse tonale, le film étant porté par une musique discrète et minimaliste occupée à décliner la chanson de Ben E. King. Dès lors, la magie de l’enfance échappe aux artifices habituels pour se révéler par la complicité d’amis véritables, en opposition à la bande de voyous solitaires qui redouble leur périple ; elle s’estompera par petites touches, depuis l’arme à feu sortie en guise de pétard à la détermination manifestée par Gordie à offrir à la dépouille une prise en charge anonyme. L’écriture du roman, mise en abyme du long métrage tout entier, célèbre ainsi la beauté d’une tranche de vie qui n’a d’importance que pour ceux qui l’ont vécue, mais qui peut résonner en chacun par ce refus du feu des projecteurs.
Stand by me raconte le périple de 4 enfants. C'est un voyage lourd de sens car chacun va devoir s'affirmer, se trouver, faire face à qui il est vraiment, passer à l'âge adulte etc etc. Bref, vous l'aurez compris, le voyage est tout simplement iniatique et c'est plus une introspection des personnages qu'un petit périple dans la nature américaine qui intéresse réellement Reiner (et King à mon avis même si je n'ai pas lu le roman). Le film est plutôt sympathique à suivre et agréable, on s'attache plus ou moins à ces quatre enfants (certains sont un peu pénibles, mais bon, passons) et le film retranscrit de façon assez jolie cette amitié sans concession de l'enfance. C'est assez joli et la fin du film donne une certaine mélancolie du tout. On y voit, de façon malheureusement trop peu présente, une jeunesse complètement bloquée ou perdue, le plus beau moment du film est selon moi le passage où Rivers demande avec inquiétude... ou plutôt fatalisme au personnage principal, son meilleur ami, s'il va bien rester toute sa vie dans cet endroit. Ca m'a fait penser à la dernière séance de Bogdanovich ce genre de réflexion. Alors tout n'est pas aussi beau, mais le film propose comme ça quelques jolis moments et en terme de voyage initiatique de jeunes enfants, le film est réussi.
Une belle histoire d'amitié au moment du passage dans le monde pré adulte d'un groupe de copain dont les futurs vont être chamboullés. Les jeunes acteurs (de futurs grand pour certains) se sont bien impliqué dans les personnages et les émotions sont au rendez vous. Même 20 ans après ce film garde de son charme.
Ptit film qui rend nostalgique! J'ai trouvé ça franchement sympa de suivre ce petit groupe de potes qui s'en va en "mission", tout un programme pour eux! Scénario on ne peut plus simple mais bizarrement super captivant par l'émotion qu'il crée. Ses gamins m'ont rappelé de bons souvenirs et je pense que c'est la grande force du film.
"Stand by Me" est surement le plus grand film sur l'amitié jamais produit. Il fait parti des films qui ont bercé mon enfance, et encore aujourd'hui, je suis amoureux de ce petit chef d’œuvre des années 80. Les années passent, et pourtant, il ne prend pas une ride. C'est une histoire vraiment sympathique, attachante et émouvante. La plus grande puissance du film, c'est la nostalgie qu'il dégage, même à son premier visionnage. Un film unique, très émouvant, est filmé de manière saisissante par le réalisateur qui fait preuve d'une maitrise totale de la narration. Le casting est fabuleux. Film à voir, ne serais-ce que pour retomber en enfance le temps d'un visionnage. Ce film est une merveille.
Ce film de 1986 est particulier de différentes façons, il a une sorte de réalisme fort, récit de Stephen King qui ne fait pas intervenir de surnaturel. On remarque que le principal protagoniste narrateur a 12 ans en 1959 comme avait le réalisateur Bob Reiner. Il fait intervenir plusieurs acteurs connus dans un de leurs premiers rôles River Phoenix (1970-93) au caractère fort et Jerry O'Connell que l'on reconnait presque pas entre autres. Ce sont des jeunes un quatuor de 4 d'une douzaine d'années et une bande plus âgée d'une vingtaine d'années dominée par un Kiefer Sutherland terrifiant. Il y a pas mal d'attraits dans cette histoire mais le langage et le fond est peu recommandable, c'est une Amérique sordide pleine de violence et de préjugés, ce qui ressort dans de la désespérance de l'ensemble des personnages fouillés. Une humanité où chaque génération est fondée soit sur des préjugés bornés soit sur des traumatismes et si elle y surnage c'est juste lorsque la chance s'en mêle et permet de passer au travers d'une désespérance palpable. Dans cette histoire on ne sort de l'obscurité que de façon presque illusoire. C'est réaliste, prenant et bien réalisé mais ce n'est pas un bien.
Très bonne adaptation de la nouvelle de Stephen King, voire supérieure car la prestation des jeunes acteurs, particulièrement le regretté River Phoenix, est grandiose. Une ode à l'enfance et à l'amitié. A cette époque où rien ne comptait plus que les copains. Au temps des secrets, au temps des croix de bois croix de fer, où pour se réconcilier on "faisait la paix" en se serrant la main. Où on partait en vadrouille, à l'aventure parmi les champs, comme des explorateurs, sans vrai souci, vivant au jour le jour. L'innocence, représentée dans ce film, qui n'est déjà plus à la fin, bien sûr. Un grand merci au réalisateur et bien entendu à Stephen King pour cette histoire magnifique.
Réalisé par Rob Reiner, à qui l'on doit Princess Bride ou encore Des Hommes D'Honneur, Stand By Me a été adulé par des millions de jeunes enfants. C'est un road movie d'un groupe de jeunes qui suivent de nombreuses aventures toutes plus palpitantes les unes que les autres. C'est un excellent film que je conseille à tout le monde. Avec un joli 3.8/5 des spectateurs sur Allociné, c'est le film qui a inspiré Super 8, bien que Stand By Me soit très largement supérieur. Kiefer Sutherland et John Cusack y jouent l'un de leurs premiers rôles, à travers cette adaptation de Stephen King.
Un excellent film sur l'enfance et le passage à l'âge adulte. River Phoenix est mort bien trop tôt. Dans la lignée des Goonies, ce film est atterrissant, sublime, magnifique. On est tous des grands enfants. On voudrait tous retrouver notre âme d'enfance que nous avons perdu.
« Stand by me » est un film adapté d’une nouvelle de Stephen King qui, décidément, aime bien parler de groupes d’ados ou pré ados qui partent ensemble à pied ou en vélo à la recherche de quelqu’un ou de quelque chose ! Ici, quatre gamins vivant à Castle Rock (tiens étonnant !) à l’aube des années 60 partent en vadrouille pour retrouver le cadavre d’un garçon disparu afin de passer dans le journal local. Dans ce métrage, pas ou peu d’adultes sont présents et s’ils sont mis en scène, ils sont vieux et dépassés ou alors très cons, notamment quand ils sont plus jeunes que les parents (cf. la bande de petites frappes emmenée par un tout jeune Kiefer Sutherland !). Seuls les enfants finalement semblent matures sous leurs allures de gosses puérils au langage peu châtié, ce sont de vrais durs à cuire que les aléas de la vie ont fait grandir, tout comme l’aventure qu’ils vont vivre ensemble. Dans ce long-métrage de Rob Reiner, pas d’effets spéciaux, il n’en n’est pas besoin puisque le scénario est simplissime : un cadavre d’enfant est à retrouver dans la belle campagne américaine du Maine avec ses champs, forêts, marécages et autres collines. Plutôt des sentiments montrés à l’écran à travers l'amitié de ces quatre aventuriers en culottes courtes qui sera mise à l'épreuve en permanence. Un assez chouette film sur la perte de l’enfance qui malgré un casting de futures stars manque quand même cruellement de scènes chocs pour devenir culte.