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    Je danserai si je veux
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    LeMagduCiné
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    61 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2017
    "Je danserai si je veux" est une ode à la ville de Tel Aviv et ses jeunes habitants. Une génération en décalage avec l'héritage culturel et religieux de ce pays tiraillé. Ce premier film de Maysaloun Hamoud oscille entre fiction et réalité, proposant une vision très peu étudiée de la position de la femme au Moyen Orient.
    Vincent M.
    Vincent M.

    14 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 avril 2017
    la liberté de la jeunesse et en particulier des femmes s'étend petit à petit, et ça fait plaisir de le contempler
    benji B.
    benji B.

    3 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 octobre 2017
    Ce film est génial. Une belle énergie positive en découle.
    L'homosexualité, la religion, la liberté... autant de thèmes abordés.
    Les actrices jouent tres bien.

    Je vous le recommande 👍🏼 ❤️
    Laurent C.
    Laurent C.

    239 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2017
    Le cinéma se plait de plus en plus à raconter le combat féministe au Moyen Orient ou au Maghreb. "Je danserai si je veux" est une nouvelle fois le récit lumineux et bruyant de trois jeunes-femmes, tout aussi belles que battantes et engagées. Layla et Salma habitent un appartement de Tel Aviv, profitant d'une vie faite de musique, d'amusement, de drogue, d'hommes et de rires. Jusqu'au jour la jeune Nour, voilée, les rejoint. Le contraste est saisissant, mais le spectateur comprend bien vite qu'elle sera conduite par les deux autres locataires sur le chemin de son émancipation. En cela, "Je danserai si je veux" n'a rien de bien original. Le plus du film se situe dans la bande-son. Non seulement les trois personnages principaux sont particulièrement attachants, mais la musique, omniprésente, rajoute à l'envie de participer à leur existence et de les rejoindre dans la danse. Ces 3 filles sont belles, courageuses, révoltées, et la musique qui accompagne leur existence les grandit. Alors, bien sûr, le scénario souffre de maladresses. Bien sûr, le trait est assez exagéré. Bien sûr, les hommes sont sinon caricaturées, en tous les cas peu mis en valeur. Mais "Je danserai si je veux" demeure un joli moment de cinéma où il fait bon de rire, de danser et de vivre.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    47 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2017
    Vu et avis le 20170413

    Destin croisé de trois femmes qui cherchent l amour. Intelligent, sympathique, riche

    .-.-.-.-.-.-.

    C est rare, mais je pense que le film réussi à vraiment cacher son vrai sujet et que la plupart verront dans ce film des femmes qui choisissent leur vie. Seulement, à la fin du film, on se rend compte que le seul choix qui leur coûte, qu elles ont du mal à partager avec leurs proches et/ou familles, c est de choisir qui elles aiment ou que qui elles aiment les accepte et assume.
    Jorik V
    Jorik V

    1 214 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2017
    Il y a certes de la bonne volonté à revendre et les meilleures intentions du monde dans ce long-métrage mais c’est aussi un condensé de banalités et de déjà-vu. « Je danserai si je veux » tente d’abord de dénoncer le poids des traditions religieuses et sociales pesant sur la femme arabe pour ensuite prendre plus généralement le pouls de la condition féminine à Tel-Aviv. Et, en filigrane, de délivrer un message prônant la paix entre juifs et palestiniens, ce que tout film de ce type tente généralement de faire.

    Après un début laborieux, où on hésite à dire si les scènes d’introduction sont expédiées ou trop longues, on se rend vite compte que le film aurait pu tout aussi bien se diviser en trois segments ou court-métrages différents, tant le fait de lier les trois protagonistes par une colocation n’apporte strictement rien au récit. Qui plus est, si les personnages sont bien dessinés, ils ne sont que des archétypes couvrant une partie du prisme de la femme arabe actuelle. Ici nous avons droit à la femme libérée, la femme soumise et religieuse et la lesbienne. Il ne manque plus que l’intégriste pour parfaire le catalogue un peu cliché de la palestinienne…

    Si le film se suit sans déplaisir pour autant, il est vraiment dommage que jamais nous ne soyons surpris par ce qui se passe sur l’écran et qu’on la désagréable impression d’avoir vu ça mille fois avant. L’ensemble des situations est téléphonée et l’énergie des trois interprètes ne parvient pas à nous sortir d’une certaine torpeur. Quelques rares moments éparpillés sur la durée du long-métrage viennent égayer un peu cette chronique anecdotique mais tout cela est tellement attendu que l’on ne parvient même pas à se les remémorer.

    On apprécie le côté revendicatif et cet esprit de liberté que la réalisatrice parvient à insuffler à « Je danserai si je veux ». Néanmoins, l’aspect documentaire voire trivial de la mise en scène accentue encore la ressemblance avec une palanquée de films du même type, issu du Printemps arabe et de la vague culturelle contestataire qui en a découlé. Les meilleures intentions ne font pas toujours les meilleurs films c’est connu, surtout quand ceux-ci enfoncent des portes déjà grandement ouvertes.
    traversay1
    traversay1

    3 177 abonnés 4 653 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2017
    Trois palestiniennes à Tel Aviv. Représentatives, chacune d'entre elles, d'une "catégorie" de femmes. Ce côté schématique et programmatique existe dans Je danserai si je veux mais il est vite bousculé par une énergie de tous les instants, une volonté de surmonter les tabous et une envie de se libérer de tous les carcans. Le premier film de Maysaloun Hamoud, qui se réclame des mouvements du printemps arabe, ne fait certes pas la part belle aux hommes mais c'est pour mieux rendre hommage au courage de femmes qui résistent à la pression sociale et religieuse. Elles sont colocataires et solidaires, Layla, Salma et Nour, et elles se dressent contre les préjugés, la patriarcat, la misogynie et l'homophobie. Vaste entreprise mais il ne faut pas croire non plus que Je danserai si je veux n'est qu'un film politique et/ou féministe. On y décèle de l'humour, de la légèreté, malgré la gravité des situations, et un dynamisme sous-tendu par une B.O affriolante, signée de la scène underground palestinienne. Parfois, dans cette alliance de femmes contre des forces obscurantistes, le film rappelle, sous certains aspects, Caramel de Nadine Labaki. Il y a ce même esprit frondeur à la conquête d'une émancipation compliquée et qui nécessite une belle dose d'optimisme et de vertus guerrières. Autant de qualités dont ne manque pas ce trio volontariste incarné par des actrices magnifiques et belles, chacune à leur façon.
    islander29
    islander29

    783 abonnés 2 287 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2017
    trois jeunes femmes en quête d'amour ou d'émotions fortes, on ne sait pas trop.....Elles sont palestiniennes à Tel Aviv ??? le film procure de jolies émotions et nous brosse un portrait qui varie entre comédie et tragédie....Les images sont fortes spoiler: (attention scène de viol explicite)
    et le scénario nous démontre que l'hypocrisie est partout, que les femmes sont victimes de certains comportements spoiler: ( même sous couvert de religion
    )....Le film est très agréable dans sa mise en scène et dans sa relation avec les acteurs , nous gratifie de certains panorama urbains ou de paysages chaleureux qui mêlent l'utile et l'agréable;;;;;
    Certains passages musicaux (un ou deux) sont un régal, et les trois jeunes femmes bien différentes nous montre dans un plan final superbe, que la solidarité féminine n'est pas un vain mot.....A voir,
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