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Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Layla, Salma et Nour, 3 jeunes femmes palestiniennes, partagent un appartement à Tel Aviv, loin du carcan de leurs villes d'origine et à l'abri des regards réprobateurs. Mais le chemin vers la liberté est jalonné d'épreuves…
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
une histoire superbe et d actualité sur 3 femmes palestiniennes a tel aviv ville de liberté confrontées a l homosexualité et la religion des actrices epoustouflantes une tres bonnes mise en scène et une bande son qui ne peuvent laisser indifférent a voir
Hannah C
38 abonnés
5 critiques
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5,0
Publiée le 15 avril 2017
Un CHEF D’ŒUVRE cinématographique où la recherche et l'envie de liberté sont au centre du film. Trois femmes oppressées, chacune d'une manière différente, par l'Homme et la religion (vous en conviendrez). Un film israélo-palestinien qui pulvérise tous les clichés ! Une vraie leçon de courage et surtout d'envie de ne pas vivre opprimées ! BRAVO !
Merci au réalisateur et au producteur !
Anouck G.
2 abonnés
1 critique
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5,0
Publiée le 15 avril 2017
Ce film est tout simplement puissant. Et cette bande originale...enivrante. Un grand bravo à la réalisatrice et aux actrices (qui en vrai sont tous aussi sublimes).
vincentasc
27 abonnés
147 critiques
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3,5
Publiée le 15 avril 2017
Très beau film. Très beau portrait de femmes. Il y a une telle puissance, une telle humanité, que l'on pardonne aisément certaines facilités du scénario (Le trait caricaturé sur les hommes). Le message : quelque soit la religion, les intégristes sont partout.
Premier long-métrage de Maysaloun Hamoud, née en 1982, Je danserai si je veux est né de l’impasse dans laquelle la cinéaste palestinienne se trouvait à l’époque de ses études de cinéma à l’université de Tel-Aviv. La nouvelle résistance palestinienne était en train de se mettre en place et les soulèvements populaires du Printemps arabe étaient très prometteurs. Elle se rappelle : "Ces grands changements étaient aussi annonciateurs d’une révolution
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Pluie de récompenses
Je danserai si je veux a reçu de nombreux prix dans divers festivals de cinéma : -Toronto 2016 – Prix NETPAC du Meilleur film asiatique-San Sebastian 2016 – Prix de la Jeunesse – Prix L’Autre Regard – Prix Sebastiane-Haïfa 2016 - Prix du Public - Prix d'interprétation pour les 3 actrices - Prix du Meilleur premier film-Zagreb 2016 - Prix du Public - Prix Spécial du Jury
Un producteur prestigieux
Je danserai si je veux est produit par le célèbre Shlomi Elkabetz, réalisateur, scénariste et producteur israélien connu notamment pour Le Procès de Vivian Amsalem et Les Sept Jours. La cinéaste développe au sujet de cette collaboration : "Si le film est mon bébé et que j’en suis la mère, Shlomi en est le père. J’ai rencontré Shlomi quand j’étais en 3ème année d’école de cinéma. Il donnait un cours sur la direction d’acteurs. Je suis tombée amour
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Bon... ben c'est pas trop mal quoi qu'un peu long , ça traîne pas mal comme scénario cela dit on comprend très vite la situation et l'issue de ce film, ça permet quand même de bien comprendre leurs culture qui n'est pas la n'autre...
Hoeneim V.
Aller demandez vous même dans la rue au femmes voilé si elle se sentent oppressé par leur peuple au lieu de pondre des conneries cinématographique pareil
Hoeneim V.
Une connerie de propagande comme on fait plus. Faudrait p't'être arrêter le bourrage de crâne Islamo-arabophobe, c'est lamentable à un degrés que je ne saurait quantifier...
Toufik Doux
Sorti avec le même sentiment! Des clichés, certes existant et dont il est nécessaire de dénoncer, mais dommage de ne pas trouver un fond qui se démarque des autres films 'arabo-féministes' du genre...
Veganforanimalrights
Pendant que là-bas les femmes cherchent à s'émanciper, ici elles préfèrent se voiler, encouragées en cela par une gauche dévoyée qui a oublié son impératif catégorique de libération. Notre gauche s'allie à leur droite répressive et conservatrice, leur gauche s'allie à notre droite. Cherchez l'erreur.
I'm A Rocket Man
Portraits de 3 femmes arabes (une traditionnelle, une rebelle et une lesbienne) vivant en Israel !! Alors certes l'esprit est louable car il dénonce le machisme ambiant dans les pays arabes mais malheureusement je n'ai pas réussi à chavirer plus que cela !! Le film est trop long à démarrer, les situations, les parcours et les psychologies ne sont pas assez creusés et à part deux ou trois scènes un peu choc (l'agression sexuelle de Nour, la colère des parents de Salma), le film est un peu trop lisse et survolé (et surtout j'ai eu l'impression de déjà en avoir vu dix des comme ça !!) Dommage...
benji B.
J'ai adoré ce film ! au top
titicaca120
dans la lignée de Much Loved 3 portraits de femmes indispensables dans le monde actuel qui luttent pour leur liberté.vu en V.O.S.T magnifique.
Just A Word
Film engagé de bout en bout, Je danserai si je veux compte parmi ces films salutaires sur la condition féminine qui sait faire de ses héroïnes des femmes fortes, libres, têtues et pour tout dire, sublimes. Maysaloun Hamoud signe là un premier long-métrage quasiment indispensable à l'heure actuelle !http://justaword.eklablog.c...