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    My Wonder Women
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    Wisdom
    Wisdom

    20 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 février 2018
    (Note : les "spoilers" de cette insignifiante critique n'en sont pas en réalité) En allant voir ce film, je m'attendais à tout... sauf à ça ! Un film sur la liberté et sur les multiples façon d'aimer, un film littéralement poly amoureux, spoiler: Indice : cherchez "Polyamour" sur wikipedia, article très intéressant...
    un film qui donne envie d'aimer sans forcément toujours poser des étiquettes sur ce que l'on est, ce que l'on vit et ce que l'on ressent, un film qui parle des relations de pouvoir au sein de chaque cellule amoureuse et qui cherche des solutions pour contourner, déplacer l'instinct grégaire, régressif de possession envers l'autre. Dire : "je / tu m'appartiens", ne serait-ce pas une façon comme une autre de contrôler, de dominer voire d'objectiver l'autre ? Peut -on réellement parler d'Amour lorsque s'installe des relations de pouvoir, de possession, d'inégalité ? Alors, pourquoi ne pas détourner tout cela en un jeu ? Un jeu de grandes personnes avec ses règles et ses contraintes, qui permet d'éprouver ses limites et de tester sa condition, et puis en fait d'y échapper par l'imaginaire, la fantaisie et le jeu de rôle... spoiler: Et voici maintenant une respiration, une pause blanche, une accalmie absolument nécessaire à la lisibilité du texte... Respirez ! ;-)
    Cette "histoire vraie", inspirée par la vie du Dr Marston, le créateur de la BD "Wonder Woman", est incarné par trois acteurs absolument épatants qu'il faut nécessairement citer : tout d'abord - Rebecca Hall -, qui campe une Elizabeth Marston brillante mais profondément tourmentée, dominatrice, parfois colérique, qui n'assume pas vraiment sa différence ni son étrangeté et aspire à une certaine normalité qui lui échappe en permanence. Vient ensuite la fascinante - Bella Heathcote -, qui incarne une étonnante et bouleversante Olive Byrne à la fois soumise et désespérée mais dont les immenses yeux ne cessent jamais d''aimer et de regarder plus loin, de projeter son idéalisme et son innocence sur les deux autres protagonistes dans l'espoir d'être enfin pleinement acceptée et protégée, et enfin last but not least Luke Evans, qui joue le rôle d'un esprit iconoclaste et anti-conformiste toujours en recherche de lui-même, avide de convaincre et de propager ses idées différentes sur la société en général et sur les rapports de pouvoir en particulier, avide de progrès humain et ouvert à toutes les expériences. spoiler: Source pour ce qui va suivre : chercher manuellement "William Moulton Marston" (sans les guillemets) sur wikipedia pour en savoir plus, vu que les urls, comme bien d'autres choses, sont interdites ici...
    En fait, en en lisant un peu plus à propos de ce chercheur en psychologie, on regrette qu'il n'aie pas pu pousser encore plus loin ses recherches sur les rapports de domination et de soumission, par exemple je suis persuadé qu'au delà de l'idée de soumettre ou d'être soumis(e) se cache en fait une grande soif d'affirmation et d'expression de soi. Être enfin reconnu(e), vu(e) telle que l'on est, dans toute sa différence, exprimer sa nature intime, profonde, son imaginaire, sa vision du monde et être enfin pleinement écouté(e), reçu(e) et accepté(e) exactement tel(le) que l'on est, dans toutes ses dimensions et contradictions, n'est-ce pas au fond, en vérité, ce que nous recherchons ? spoiler: Madame, vous vous sentez à l'étroit ? Permettez-moi de vous offrir un peu d'espace... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... Sentez ce vent de fraicheur ! :-D
    Mais suivant les personnes cela peut être très difficile, parce qu'accepter et regarder l'autre tel(le) qu'elle ou il est implique de renoncer à tout à-priori, à tout système de jugement et d'évaluation, à toutes ces étiquettes que nous aimons tant coller sur le dos des autres pour se rassurer et se simplifier la vie, pour s'empêcher de trop réfléchir et de se poser trop de questions, en fait par peur d'avoir des réponses trop dérangeantes à ces mêmes questions.... L'acceptation mutuelle pleine et entière de l'"autre", cet étrange et lointain reflet de soi vu sous un autre jour, voilà le passionnant prochain chapitre de l'histoire de la conscience humaine. spoiler: (...Sachant qu'accepter mutuellement l'altérité de l'autre ne veut PAS dire : accepter tout et n'importe quoi venant de n'importe qui, cela n'a même absolument, définitivement rien à voir...)
    Un film à voir de toute façon, même si vous n'avez rien compris à cette inutile (sorry...) et longue (désolé !) critique, pour ouvrir son esprit et découvrir une nouvelle façon de voir la vie.
    RedArrow
    RedArrow

    1 523 abonnés 1 488 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 août 2018
    Forcément, l'histoire aussi incroyable que méconnue derrière la création de la super-héroïne la plus populaire de tous les temps est un argument à lui tout seul pour donner envie découvrir "My Wonder Women". De ceux qui ont grandi avec des comics entre les mains en suivant l'Amazone armée de son lasso magique sur papier glacé aux plus jeunes qui la découvrent aujourd'hui sur grand écran sous les traits de Gal Gadot, la révélation de son étonnante genèse risque d'en surprendre plus d'un et même de donner envie de relire ses premières aventures d'un tout autre oeil.

    En effet, "Wonder Woman" est née de l'esprit de William Marston, un des premiers enseignants du département de psychologie à Harvard et inventeur du détecteur de mensonges avec son épouse, Elizabeth, toute aussi brillante que lui (sinon plus) mais que sa seule condition de femme empêche d'être reconnue par ses pairs. L'arrivée d'Olivia Byrne, une jeune étudiante devenue leur assistante, au sein du couple va être le début d'une véritable histoire d'amour à trois défiant évidemment par sa différence toutes les conventions établies et déjà arriérées de cette société conservatrice (le film s'étale de la rencontre des trois amants en 1928 jusqu'aux dernières années de l'existence de William Marston). Profondément féministe dans son discours et convaincu que sa théorie entourant le fonctionnement des interactions humaines s'incarne à la perfection dans la concrétisation de fantasmes sexuels inavouables pour l'époque, Marston va totalement dévouer sa vie et son oeuvre à son amour irréversible pour ces deux femmes pour tenter de l'inscrire dans une normalité qu'il voudrait enfin reconnue de tous. Cela ne sera bien entendu pas le cas aussi bien dans son milieu professionnel que dans son quotidien où ses enfants (il en aura deux avec chacune de ses compagnes) seront les premières victimes par ricochet des rumeurs sulfureuses entourant le trio mais l'auteur trouvera avec les comics et sa super-héroïne un écrin surprenant et idéal pour véhiculer ses idées de manière plus ou moins implicite au plus grand nombre avec un succès qui ne se démentira pas... du moins, jusqu'à l'intervention de ligues conservatrices prônant la vertu.

    "My Wonder Women" n'est donc pas un biopic qui se fixe sur le seul point de vue de Marston à proprement parler, il préfère judicieusement se focaliser sur l'étonnante histoire d'amour en son sein et la fascination que les deux femmes de sa vie ont exercé sur lui jusqu'à lui donner envie de les recréer dans des cases d'une bande-dessinée à travers une figure féminine et super-héroïque. C'est d'ailleurs sans doute une autre qualité du long-métrage d'Angela Robinson, connue notamment pour sa participation à la série de "The L Word", traiter une romance qu'un esprit étriqué considérerait comme inhabituelle avec la plus grande simplicité pour toucher à l'universalité des émotions. En un sens, l'approche adopté d'un point de vue moderne épouse ainsi parfaitement les idéaux recherchés jadis par Marston pour toucher un large public. Et cela fonctionne : magnifiés par l'interprétation du trio absolument formidable Luke Evans/Rebecca Hall/Bella Heathcote, les rapports forcément complexes au départ et l'alchimie inaltérable se développant autour de ces trois êtres unis par un amour considéré comme déviant par une majorité participent clairement au supplément d'âme qui ne cesse d'habiter "My Wonder Women".

    Seulement peut-être que cette approche très grand public pour faire connaître cette histoire représente aussi les principales limites du film. Ampoulée par son aspect de biopic à l'académisme terriblement mollasson, la forme du long-métrage en utilise hélas tous les codes les plus usés (réalisation poussiéreuse, histoire racontée par le biais d'un interrogatoire, ellipses aussi nombreuses que bien pratiques, passages que l'on sent trop romancés pour être crédibles, ...) à un point qu'elle en gomme parfois le côté extraordinaire de cette union à contre-courant, comme si finalement la fameuse "Child Study Association of America" en conflit avec Marston était également intervenue sur le film en en autorisant le contenu seulement s'il était raconté de la manière la plus conventionnelle qu'il soit. Ça a quelque part le mérite d'inscrire la narration de cette histoire d'amour hors-normes dans un moule utilisé pour de bien plus banales mais cela ôte aussi une part de sa différence qui aurait pu bénéficier d'un traitement visuel à sa hauteur afin de bien plus marquer les esprits (elle en avait bel et bien le potentiel en tout cas).
    Également utilisée avec une certaine facilité (et ce, même si elle donne quelques plans superbes), l'imagerie symbolique entourant la figure de "Wonder Woman" apparaît rapidement excessive, soulignant sans cesse le rapport intime à son auteur là où une utilisation avec plus de parcimonie aurait apporté une dose de subtilité bienvenue.

    En conclusion, "My Wonder Women" emporte bien sûr notre adhésion grâce au caractère unique de l'histoire d'amour derrière la naissance de "Wonder Woman", à la sensibilité de sa réalisatrice pour en capter la force des sentiments et à ses trois comédiens nous la faisant vivre à l'écran mais le cadre de biopic fatigué dans lequel tout cela s'inscrit en vient à desservir le propos plutôt que de le valoriser.
    Yves G.
    Yves G.

    1 273 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2018
    Récemment dévoilées par l'historienne américaine à Harvard Jill Lepore ("The Secret History of Wonder Woma"n, 2014), la vie et l'oeuvre du professeur William Marston ont de quoi choquer les ligues de vertu. Dans l'entre-deux guerres, il enseignait avec sa femme Elizabeth - que la misogynie des temps avaient empêché de soutenir un PhD - la psychologie dans un collège de jeunes filles de la Côte Est. Le couple inventa le détecteur de mensonges en 1922. Pour les aider dans leurs recherches, William et Elizabeth recrutent et séduisent la jeune Olive Byrne, la nièce de Margaret Sanger, la fondatrice du féminisme moderne. 

    Mais les ragots vont bon train qui conduisent au renvoi de William désormais interdit d'enseigner et obligé de vivre de sa plume. C'est en puisant dans ses fantasmes que le professeur William Marston va alors inventer Wonder Woman la super héroïne la plus célèbre de la bande dessinée, avec son body en lycra frappé aux couleurs de la bannière étoilée, son diadème, son lasso et ses bracelets pare-balles.

    Le premier tiers du film n'est pas le plus réussi qui décrit les recherches scientifiques du couple Marston et leur rencontre avec la troublante Olive. On aurait pu nous épargner quelques scènes de détecteurs de mensonge où, comme de bien entendu, l'aiguille s'affole lorsque l'innocente jouvencelle s'entête à nier les sentiments qu'elle éprouve au contact du beau professeur et de sa séduisante épouse.
    Il est beaucoup plus stimulant dans sa deuxième, où s'installe le "trouple", entre jeux érotiques raffinés, réprobation sociale et famille élargie (William aura deux enfants d'Elizabeth et deux d'Olive)
    Mais c'est sa troisième  qui est la plus stimulante, pour les fans de bandes dessinées comme pour les féministes, qui procède à une relecture de "Wonder Woman", princesse grecque élevée au milieu des femmes dans le culte de Sappho, qui, pour l'amour d'un officier britannique, le suit dans l'Angleterre du "Blitz" et met ses super-pouvoirs au service de la lutte contre l'envahisseur nazi.
    "My Wonder Women" a reçu un accueil public et critique mitigé qu'il ne méritait pas. Sous ses airs d'inoffensif biopic, il s'agit d'un film étonnamment transgressif qui parle de triolisme et de sadomasochisme. Il le fait avec l'élégance qui caractérisait les personnages de l'époque, qu'on croirait tout droit sortis d'un épisode de "Downton Abbey". Il le fait sans aucune vulgarité. Il le fait surtout avec le romantisme très premier degré qui imprègne les bluettes sentimentales d'hier et d'aujourd'hui. "My Wonder Women" a le bondage bon enfant, la badine badine. L'effet est paradoxal. Les cyniques y verront de la niaiserie, les bégueules du vice pernicieux, les autres un éloge de l'amour libre et une ode au féminisme.
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 660 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2018
    J'ai vu un film... scandaleusement étonnant... En le démarrant, je m'attendais presque à un biopic mièvre qui raconterait l'histoire d'un créateur de Wonder Woman particulièrement inventif pour l'époque... Et j'y ai découvert une complexité importantes, des personnages profonds et des jeux amoureux bien transgressifs pour l'époque... En tout cas, on apprend beaucoup de choses sur la bonne société américaine, son conservatisme, sa peur de modes de vie différentes (voire perçue comme "dégénérée"... Les comédiens sont vraiment très séduisants, Luke Evans, bien sûr, mais Rebecca Hall et Bella Heathcote que je découvrais... Très grande sensualité et une réalisation qui filme avec intensité les séquences où les personnages vivent pleinement leur amours... De plus, il est aussi amusant de voir le contexte de la création de Wonder Woman, et les regards portés par les ligues de vertu sur les fessées, le bondage, les tortures jugées comme des pratiques sado-maso... Quoi qu'il en soit, c'est une formidable histoire d'amour...
    Pauline T
    Pauline T

    27 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 avril 2018
    « Professor Marston & the Wonder Women » (« My Wonder Woman » en français, cette manie de réduire les titres, enfin bon’ peu importe le titre français, il vous sera inutile étant donné que le film n’est sorti que dans deux salles parisiennes…) : Ceux qui pensent que le comic Wonder Woman est écrit pas un vieux pervers désireux de montrer une femme à moitié à poil semi lesbienne pratiquant le bondage et ce pour son propre désir (désir de l’amazone mais également de l’auteur), doivent voir ce film. Outre la magnifique relation amoureuse qui s’installe entre les trois protagonistes, on y apprend le message que Mr Marston a voulu transmettre à travers son comic. Avant-gardiste à souhait, pas le moins du monde misogyne, il voulait que Wonder Woman éduque les plus jeunes au féminisme pour qu’ils contribuent à bâtir une société meilleure, une société de paix. Oula’ je suis encore toute retournée devant tant de bienveillance et d’amour. Et finalement, la haine de l’époque portée à l’encontre de cette forme d’Amour non conventionnelle, n’est malheureusement pas si différente de celle encore présente aujourd’hui…
    Requiemovies
    Requiemovies

    185 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 avril 2018
    Biopic jouant plus sur la surprise que sur sa qualité pure, My Wonder Woman s’avère au final très surprenant dans sa partie « histoire vraie » et fait la part belle à l’amour libre. Si le manque d’efficacité du film est évident, le fond, traité tel quel par Angela Robinson revêt clairement des habits féministes. Sans forcer le trait, la force du récit est là, à défaut de retrouver l’impact escompté sur un tel sujet. Reste l’envers du décor, méconnu et intéressant quant à la création artistique qui a vu naître l’héroïne de comics. Le tout, un peu trop classique au final. Dommage. requiemovies.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 août 2018
    My Wonder Women est vendu comme étant un biopic sur le créateur du personnage de Wonder Woman et plus particulièrement sur la création du personnage. Et le film se loupe un peu sur ce coup, car l’on passe, on survole un peu trop le sujet de départ. Un film en deux parties avec une première partie intéressante qui montre tout de même la réflexion derrière la création du personnage et une seconde partie dans laquelle on noie un peu tout et n’importe quoi avec le triangle amoureux au centre de tout. La réalisation est très classique, académique et l’on se retrouve avec un film un peu trop ronflant. Le meilleur dans ce film reste et restera l’interprétation du trio Luke Evans, Rebecca Hall et Bella Heathcote. Sans être réellement décevant, le film ne remplit pas vraiment sa mission et laisse un petit arrière goût de mensonge sur certains éléments de la véritable histoire.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    382 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2018
    Avec My Wonder Women, la réalisatrice et scénariste Angela Robinson a beaucoup de matière et le prouve dans une première partie fascinante. En jouant sur les temporalités, on découvre ainsi une Wonder Woman née d’une étude sur la psyché humaine, d’une tentative de libération des mœurs et par la même, de la femme. Servi par un casting exceptionnel, le film nous parle ainsi de liberté, d’égalité et comment une page de comics peut en dire beaucoup sur son époque.
    Romain C.
    Romain C.

    75 abonnés 867 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2018
    Je ne savais pas à quoi m'attendre et j'ai beaucoup aimé car beaucoup connaissent la série ou les films Wonder Woman ,pour certains la BD mais probablement pas l'histoire de la création de wonder woman qui est très intéressante où il faut se replonger dans le contexte historique et dans les années 1930 -1950.
    Le sujet est originale et donc comme déjà dit intéressant.
    L'histoire est très bien raconté et compréhensible comme dramatique mais dans ses années là ce n'était pas comme aujourd'hui (il faut voir le film pour comprendre sur quels domaines).
    Le scénario est bon .
    La fin est très bien et on nous écrit les explications sur la fin de vie des personnes avec leurs photos (ils n'ont pas prit un casting ressemblant au vraies ).
    Luke Evans ,Rebecca Hall sont géniaux comme le reste du casting .
    A voir et pas seulement les fans de Wonder Woman !
    Flower 0478
    Flower 0478

    38 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2023
    J'ai trouvé cette histoire très intéressante car je ne connaissais pas la vie du créateur de Wonder Wonder woman et de savoir que cette héroïne est née de son histoire d'amour avec deux femmes les acteurs jouent bien on s'attache aux personnages.
    Karim A.
    Karim A.

    40 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 février 2018
    C'est basé sur une histoire vraie, ça dure longtemps avant que ce trio passe en partouze généralisée dans le théâtre de l'université. Le film est ennuyant, avec peu de moyen, ça tourne sur 3 personnages, on fait vite le tour, seule la fin du film est intéressante ou l'on voit les véritables antagonistes qui sont a l'origine de Wonder Woman, ce film prend la place d'un documentaire qui devient vite soporifique.
    traversay1
    traversay1

    3 078 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 avril 2018
    Les super-héros vous indiffèrent ou vous ennuient copieusement ? Parfait, My Wonder Women, malgré son titre, n'entre pas dans ce créneau, narrant l'histoire du professeur Marston qui en 1941 créa Wonder Woman, sorte de compromis explosif entre les deux femmes qui partageaient son existence avec ses 4 enfants (2 pour chacune). Une histoire de polyamoureux dans une Amérique outrée, autant par son mode de vie que par les aventures scandaleuses de son héroïne lesbienne et amatrice de bondage et de tortures en tous genres. Le film est des plus intéressants quand il évoque le combat contre le puritanisme ambiant, la façon dont Wonder Woman incarna un temps le féminisme teintée d'érotisme sado-masochiste ou encore les théories psychologiques du professeur Marston, quoique trop rapidement esquissées. En revanche, la représentation du trio, traitée de manière romantique, frise parfois la bluette pour midinettes malgré son aspect sulfureux. A ce propos, le film a tout de même le bon goût de ne pas sombrer dans le voyeurisme et le scabreux tout en manquant singulièrement de flamme. Et il faut bien en venir à la mise en scène qui n'est pas loin de gâcher totalement un scénario qui ne demandait qu'à être sublimé par une certaine flamboyance. La platitude de la réalisation est hélas évidente, au détriment d'acteurs excellents, Rebecca Hall, en tête.
     Kurosawa
    Kurosawa

    512 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2021
    Professeur de psychologie à Harvard, inventeur du détecteur de mensonges, créateur du comics Wonder Woman et polygame, William Marston est une personnalité hors du commun. À la vue du biopic lui rendant hommage, on peut être légitimement déçu de la sagesse avec laquelle cette vie assez incroyable est relatée – le film peine notamment à se débarrasser de ressorts académiques sentimentaux et fait des choix d'écriture discutables dans sa deuxième heure. L'intérêt suscité par "My Wonder Women" tient en une belle capacité à rendre compte de la pensée psychologique de Marston et à montrer comment ce dernier l'a déclinée dans ses créations et dans sa vie familiale – de manière générale, il montre comment les rapports humains sont toujours formés sur un rapport domination-soumission avec ce que ce modèle peut comporter de frustration. Si Angela Robinson reste un peu trop évasive sur le projet du comics, elle montre bien cette ambivalence des relations amoureuses dans la mesure où les personnages ressentent bel et bien des sentiments, mais ce trouple semble aussi valoir comme une expérience à part entière dont on ne sait si elle peut marcher et comment. C'est bien cet aspect – le "comment ça fonctionne" – que le film n'explore pas suffisamment lorsque les trois protagonistes forment une famille (comment font les enfants à l'école ? comment cela se passe à la maison ?), mais montre plutôt la destruction – non définitive – de ce modèle. On aurait espéré un film plus précis et plus ambitieux ; néanmoins, il convient de saluer l'assurance critique avec laquelle Robinson dépeint cette relation à trois comme normale, un beau point de vue sur cette Amérique puritaine d'avant-guerre.
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    88 abonnés 512 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    Au-delà de la genèse de la création de ww, c'est un film très féministe et sur l'amour sans exclusivité. J'ai été convaincu par le trio. je recommande ce film.
    Ciné2909
    Ciné2909

    63 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2020
    Apparue en 1941, Wonder Woman a aujourd’hui largement dépassé le statut de personnage de comic books pour embrasser celui d’icône de la pop culture. My Wonder Women nous donne ainsi l’occasion de revenir sur les origines de sa création et attention ça pourrait en surprendre plus d’un ! C’est que le Professeur William Marston a une vie sentimentale assez dissolue et que cela a fortement influencé les contours de notre héroïne. Un homme qui aura marqué l’histoire à plus d’un titre puisqu’on lui doit aussi l’invention du détecteur de mensonges. Un biopic intéressant à découvrir que l’on soit amateur ou non du personnage de DC Comics et porté par l’excellent trio Bella Heathcote, Rebecca Hall & Luke Evans.
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