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    My Wonder Women
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    3,7
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    40 critiques spectateurs

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    bendelette
    bendelette

    16 abonnés 236 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mars 2019
    Si l'histoire est vraie,aucun de ses personnages ne m'intéresse,pour moi du féminisme très "masculin".Et on est pas loin d'une histoire à l'eau de rose.
    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 692 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 novembre 2018
    Les temps étaient différents, pleins d'espoirs et de changements. Le trio amoureux rare est quelque chose d'inattendu et rafraichissant aux États. Vrai, ils ont tout fait là bas, et cette histoire représente un succès. Avec un côté français qui n'est pas pour déplaire.
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    89 abonnés 512 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    Au-delà de la genèse de la création de ww, c'est un film très féministe et sur l'amour sans exclusivité. J'ai été convaincu par le trio. je recommande ce film.
    Gregg S.
    Gregg S.

    15 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    On s'attend a un biopic sur l'auteur de la célèbre Wonder Woman, et finalement il n'en est rien. My Wonder Women traite avant tout de psychologie, d'amour, et de politiquement incorrect. Ce drame est plutôt bien écrit et majestueusement interprété par des acteurs de haut niveau. Il ne lui manque finalement que l'audace dont ses personnages aiment tant parler pour devenir une véritable réussite.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    597 abonnés 2 711 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2018
    Divertissant dans sa première partie grâce à des dialogues incisifs, une verve rythmée, My Wonder Women perd en intérêt lorsqu’il s’évertue à montrer la face cachée de ses créateurs. Malgré le message de tolérance que le film veut communiquer c’est surtout l’ennuie qui vient pointer.

    https://www.facebook.com/la7emecritique/
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 septembre 2018
    je ne connaissais pas du tout l'histoire en commençant ce film et j'avoue qu'à un moment je me suis demandée ce que je regardais. je m'attendais à un biopic classique et à un moment ça a un peu tourné en film erotico-sm. je dirais que le sujet le plus traité n'etait pas forcement celui qui m'intéressait le plus. mais ça reste un bon film qui montre une fois de plus que la condition de la femme n'etait vraiment pas fantastique à cette epoque.
    RedArrow
    RedArrow

    1 534 abonnés 1 493 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 août 2018
    Forcément, l'histoire aussi incroyable que méconnue derrière la création de la super-héroïne la plus populaire de tous les temps est un argument à lui tout seul pour donner envie découvrir "My Wonder Women". De ceux qui ont grandi avec des comics entre les mains en suivant l'Amazone armée de son lasso magique sur papier glacé aux plus jeunes qui la découvrent aujourd'hui sur grand écran sous les traits de Gal Gadot, la révélation de son étonnante genèse risque d'en surprendre plus d'un et même de donner envie de relire ses premières aventures d'un tout autre oeil.

    En effet, "Wonder Woman" est née de l'esprit de William Marston, un des premiers enseignants du département de psychologie à Harvard et inventeur du détecteur de mensonges avec son épouse, Elizabeth, toute aussi brillante que lui (sinon plus) mais que sa seule condition de femme empêche d'être reconnue par ses pairs. L'arrivée d'Olivia Byrne, une jeune étudiante devenue leur assistante, au sein du couple va être le début d'une véritable histoire d'amour à trois défiant évidemment par sa différence toutes les conventions établies et déjà arriérées de cette société conservatrice (le film s'étale de la rencontre des trois amants en 1928 jusqu'aux dernières années de l'existence de William Marston). Profondément féministe dans son discours et convaincu que sa théorie entourant le fonctionnement des interactions humaines s'incarne à la perfection dans la concrétisation de fantasmes sexuels inavouables pour l'époque, Marston va totalement dévouer sa vie et son oeuvre à son amour irréversible pour ces deux femmes pour tenter de l'inscrire dans une normalité qu'il voudrait enfin reconnue de tous. Cela ne sera bien entendu pas le cas aussi bien dans son milieu professionnel que dans son quotidien où ses enfants (il en aura deux avec chacune de ses compagnes) seront les premières victimes par ricochet des rumeurs sulfureuses entourant le trio mais l'auteur trouvera avec les comics et sa super-héroïne un écrin surprenant et idéal pour véhiculer ses idées de manière plus ou moins implicite au plus grand nombre avec un succès qui ne se démentira pas... du moins, jusqu'à l'intervention de ligues conservatrices prônant la vertu.

    "My Wonder Women" n'est donc pas un biopic qui se fixe sur le seul point de vue de Marston à proprement parler, il préfère judicieusement se focaliser sur l'étonnante histoire d'amour en son sein et la fascination que les deux femmes de sa vie ont exercé sur lui jusqu'à lui donner envie de les recréer dans des cases d'une bande-dessinée à travers une figure féminine et super-héroïque. C'est d'ailleurs sans doute une autre qualité du long-métrage d'Angela Robinson, connue notamment pour sa participation à la série de "The L Word", traiter une romance qu'un esprit étriqué considérerait comme inhabituelle avec la plus grande simplicité pour toucher à l'universalité des émotions. En un sens, l'approche adopté d'un point de vue moderne épouse ainsi parfaitement les idéaux recherchés jadis par Marston pour toucher un large public. Et cela fonctionne : magnifiés par l'interprétation du trio absolument formidable Luke Evans/Rebecca Hall/Bella Heathcote, les rapports forcément complexes au départ et l'alchimie inaltérable se développant autour de ces trois êtres unis par un amour considéré comme déviant par une majorité participent clairement au supplément d'âme qui ne cesse d'habiter "My Wonder Women".

    Seulement peut-être que cette approche très grand public pour faire connaître cette histoire représente aussi les principales limites du film. Ampoulée par son aspect de biopic à l'académisme terriblement mollasson, la forme du long-métrage en utilise hélas tous les codes les plus usés (réalisation poussiéreuse, histoire racontée par le biais d'un interrogatoire, ellipses aussi nombreuses que bien pratiques, passages que l'on sent trop romancés pour être crédibles, ...) à un point qu'elle en gomme parfois le côté extraordinaire de cette union à contre-courant, comme si finalement la fameuse "Child Study Association of America" en conflit avec Marston était également intervenue sur le film en en autorisant le contenu seulement s'il était raconté de la manière la plus conventionnelle qu'il soit. Ça a quelque part le mérite d'inscrire la narration de cette histoire d'amour hors-normes dans un moule utilisé pour de bien plus banales mais cela ôte aussi une part de sa différence qui aurait pu bénéficier d'un traitement visuel à sa hauteur afin de bien plus marquer les esprits (elle en avait bel et bien le potentiel en tout cas).
    Également utilisée avec une certaine facilité (et ce, même si elle donne quelques plans superbes), l'imagerie symbolique entourant la figure de "Wonder Woman" apparaît rapidement excessive, soulignant sans cesse le rapport intime à son auteur là où une utilisation avec plus de parcimonie aurait apporté une dose de subtilité bienvenue.

    En conclusion, "My Wonder Women" emporte bien sûr notre adhésion grâce au caractère unique de l'histoire d'amour derrière la naissance de "Wonder Woman", à la sensibilité de sa réalisatrice pour en capter la force des sentiments et à ses trois comédiens nous la faisant vivre à l'écran mais le cadre de biopic fatigué dans lequel tout cela s'inscrit en vient à desservir le propos plutôt que de le valoriser.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 août 2018
    My Wonder Women est vendu comme étant un biopic sur le créateur du personnage de Wonder Woman et plus particulièrement sur la création du personnage. Et le film se loupe un peu sur ce coup, car l’on passe, on survole un peu trop le sujet de départ. Un film en deux parties avec une première partie intéressante qui montre tout de même la réflexion derrière la création du personnage et une seconde partie dans laquelle on noie un peu tout et n’importe quoi avec le triangle amoureux au centre de tout. La réalisation est très classique, académique et l’on se retrouve avec un film un peu trop ronflant. Le meilleur dans ce film reste et restera l’interprétation du trio Luke Evans, Rebecca Hall et Bella Heathcote. Sans être réellement décevant, le film ne remplit pas vraiment sa mission et laisse un petit arrière goût de mensonge sur certains éléments de la véritable histoire.
    Yves G.
    Yves G.

    1 294 abonnés 3 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2018
    Récemment dévoilées par l'historienne américaine à Harvard Jill Lepore ("The Secret History of Wonder Woma"n, 2014), la vie et l'oeuvre du professeur William Marston ont de quoi choquer les ligues de vertu. Dans l'entre-deux guerres, il enseignait avec sa femme Elizabeth - que la misogynie des temps avaient empêché de soutenir un PhD - la psychologie dans un collège de jeunes filles de la Côte Est. Le couple inventa le détecteur de mensonges en 1922. Pour les aider dans leurs recherches, William et Elizabeth recrutent et séduisent la jeune Olive Byrne, la nièce de Margaret Sanger, la fondatrice du féminisme moderne. 

    Mais les ragots vont bon train qui conduisent au renvoi de William désormais interdit d'enseigner et obligé de vivre de sa plume. C'est en puisant dans ses fantasmes que le professeur William Marston va alors inventer Wonder Woman la super héroïne la plus célèbre de la bande dessinée, avec son body en lycra frappé aux couleurs de la bannière étoilée, son diadème, son lasso et ses bracelets pare-balles.

    Le premier tiers du film n'est pas le plus réussi qui décrit les recherches scientifiques du couple Marston et leur rencontre avec la troublante Olive. On aurait pu nous épargner quelques scènes de détecteurs de mensonge où, comme de bien entendu, l'aiguille s'affole lorsque l'innocente jouvencelle s'entête à nier les sentiments qu'elle éprouve au contact du beau professeur et de sa séduisante épouse.
    Il est beaucoup plus stimulant dans sa deuxième, où s'installe le "trouple", entre jeux érotiques raffinés, réprobation sociale et famille élargie (William aura deux enfants d'Elizabeth et deux d'Olive)
    Mais c'est sa troisième  qui est la plus stimulante, pour les fans de bandes dessinées comme pour les féministes, qui procède à une relecture de "Wonder Woman", princesse grecque élevée au milieu des femmes dans le culte de Sappho, qui, pour l'amour d'un officier britannique, le suit dans l'Angleterre du "Blitz" et met ses super-pouvoirs au service de la lutte contre l'envahisseur nazi.
    "My Wonder Women" a reçu un accueil public et critique mitigé qu'il ne méritait pas. Sous ses airs d'inoffensif biopic, il s'agit d'un film étonnamment transgressif qui parle de triolisme et de sadomasochisme. Il le fait avec l'élégance qui caractérisait les personnages de l'époque, qu'on croirait tout droit sortis d'un épisode de "Downton Abbey". Il le fait sans aucune vulgarité. Il le fait surtout avec le romantisme très premier degré qui imprègne les bluettes sentimentales d'hier et d'aujourd'hui. "My Wonder Women" a le bondage bon enfant, la badine badine. L'effet est paradoxal. Les cyniques y verront de la niaiserie, les bégueules du vice pernicieux, les autres un éloge de l'amour libre et une ode au féminisme.
    Koalahama
    Koalahama

    5 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2018
    Génial ! Très belle histoire vraie qui met en exergue les rapports humains ! Et tellement d'actualités...
    Requiemovies
    Requiemovies

    187 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 avril 2018
    Biopic jouant plus sur la surprise que sur sa qualité pure, My Wonder Woman s’avère au final très surprenant dans sa partie « histoire vraie » et fait la part belle à l’amour libre. Si le manque d’efficacité du film est évident, le fond, traité tel quel par Angela Robinson revêt clairement des habits féministes. Sans forcer le trait, la force du récit est là, à défaut de retrouver l’impact escompté sur un tel sujet. Reste l’envers du décor, méconnu et intéressant quant à la création artistique qui a vu naître l’héroïne de comics. Le tout, un peu trop classique au final. Dommage. requiemovies.over-blog.com
    Pauline T
    Pauline T

    27 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 avril 2018
    « Professor Marston & the Wonder Women » (« My Wonder Woman » en français, cette manie de réduire les titres, enfin bon’ peu importe le titre français, il vous sera inutile étant donné que le film n’est sorti que dans deux salles parisiennes…) : Ceux qui pensent que le comic Wonder Woman est écrit pas un vieux pervers désireux de montrer une femme à moitié à poil semi lesbienne pratiquant le bondage et ce pour son propre désir (désir de l’amazone mais également de l’auteur), doivent voir ce film. Outre la magnifique relation amoureuse qui s’installe entre les trois protagonistes, on y apprend le message que Mr Marston a voulu transmettre à travers son comic. Avant-gardiste à souhait, pas le moins du monde misogyne, il voulait que Wonder Woman éduque les plus jeunes au féminisme pour qu’ils contribuent à bâtir une société meilleure, une société de paix. Oula’ je suis encore toute retournée devant tant de bienveillance et d’amour. Et finalement, la haine de l’époque portée à l’encontre de cette forme d’Amour non conventionnelle, n’est malheureusement pas si différente de celle encore présente aujourd’hui…
    traversay1
    traversay1

    3 114 abonnés 4 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 avril 2018
    Les super-héros vous indiffèrent ou vous ennuient copieusement ? Parfait, My Wonder Women, malgré son titre, n'entre pas dans ce créneau, narrant l'histoire du professeur Marston qui en 1941 créa Wonder Woman, sorte de compromis explosif entre les deux femmes qui partageaient son existence avec ses 4 enfants (2 pour chacune). Une histoire de polyamoureux dans une Amérique outrée, autant par son mode de vie que par les aventures scandaleuses de son héroïne lesbienne et amatrice de bondage et de tortures en tous genres. Le film est des plus intéressants quand il évoque le combat contre le puritanisme ambiant, la façon dont Wonder Woman incarna un temps le féminisme teintée d'érotisme sado-masochiste ou encore les théories psychologiques du professeur Marston, quoique trop rapidement esquissées. En revanche, la représentation du trio, traitée de manière romantique, frise parfois la bluette pour midinettes malgré son aspect sulfureux. A ce propos, le film a tout de même le bon goût de ne pas sombrer dans le voyeurisme et le scabreux tout en manquant singulièrement de flamme. Et il faut bien en venir à la mise en scène qui n'est pas loin de gâcher totalement un scénario qui ne demandait qu'à être sublimé par une certaine flamboyance. La platitude de la réalisation est hélas évidente, au détriment d'acteurs excellents, Rebecca Hall, en tête.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    386 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2018
    Avec My Wonder Women, la réalisatrice et scénariste Angela Robinson a beaucoup de matière et le prouve dans une première partie fascinante. En jouant sur les temporalités, on découvre ainsi une Wonder Woman née d’une étude sur la psyché humaine, d’une tentative de libération des mœurs et par la même, de la femme. Servi par un casting exceptionnel, le film nous parle ainsi de liberté, d’égalité et comment une page de comics peut en dire beaucoup sur son époque.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 175 abonnés 3 974 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 avril 2018
    My Wonder Women n’est pas un film de super-héros mais un film sur un créateur de super-héros. C’est la réalisatrice féministe Angela Robinson qui nous présente la vie du couple de scientifiques Marston et de leur muse Olive Byrne, avec qui ils entretenaient une relation amoureuse mouvementée en pratiques sexuelles. C’est ce désir profond et cette tension érotique quotidienne qui inspira le professeur à créer le personnage de comics Wonder Woman au début des années quarante. Cette première femme avec des pouvoirs a dû faire face à nombre de censures car elle cassait le mythe de la femme soumise que les hommes de l’époque chérissaient tant. Ne vous attendez pas à voir l’acteur principal Luke Evans jouer du crayon et nous le déplorons. La naissance de Wonder Woman est plus que secondaire et semble rajoutée à l’histoire qu’Angela Robinson a bien voulu nous raconter ; celle d’un couple à trois qui s’aime et qui va au-delà du regard des autres. Le drame est mené avec intelligence et si la mise en scène reste un peu trop sage, elle ne fait qu’accentuer la pulsion chez les comédiens. Néanmoins, nous sommes déçus de la tournure d’un film annoncé comme un biopic sur les origines de Wonder Woman.
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