Même si on peut reprocher une certaine lenteur, il faut reconnaître que ce film fait passer un beau message de solidarité, d'humanité et de bienveillance, ce qui manque cruellement au monde actuel. J'ai été très touchée et je recommande ce magnifique film.
Frustrant et en même temps réaliste. Rien n'a de conclusion, l'histoire d'amour, le père malade, les enfants immigrants,... et en même temps c'est aussi ça la vie : des passages d'un moment à un autre. Tout ne trouve pas de conclusion en 2 heures, entre le moment où l'événement se déclare et celui où on le résous voire où on valide l'efficacité de la solution adoptée : le père ne guérit miraculeusement pas ( mais il donne des signes que.. ), on ne sait ce qu'il adviendra des enfants (mais ils s'ouvrent à la communication), la villa sera-t-elle vendue (mais un des fils décide d'y rester),...
Je me suis endormi durant le film...Un Guediguian vraiment décevant. Je suis resté insensible à ces personnages. Trop de thèmes survolés. Des bons sentiments ne suffisent pas à faire un film.
Nous étions trois mais personne n'était fatigué .... et nous ne nous sommes pas endormis. C'était mièvre, insipide, sans âme, pas du tout le "Guédiguian" que nous avons aimé. Nous avons même eu l'impression que les acteurs récitaient en s'ennuyant.
Fan de Guédiguian, de ses idées humanistes (sans toujours les partager), de ses interprètes récurrents et familier de L’Estaque, j’attendais beaucoup de ce nouveau film. Or, sauf quelques répliques piquantes, ici j’ai eu droit ici à un mélo plat, dépourvu d’idées et de rôles forts, sans mise en scène marquante, où JP Daroussin se prend pour JP Bacri. Donc, plutôt déçu, je me suis presque ennuyé, comme cela arrive dans des réunions de vieux amis qui n’ont plus grand chose à se dire. Les dernières séquences du film en annoncent un prochain qui, je l’espère sera à la hauteur.
Je n'ai pas supporté ce film , où les bons sentiments foisonnent, les situations amoureuses sont ridicules d'invraisemblance, les dialogues pauvres, l'utilisation des petits migrants y est totalement indécente. Je ne comprends pas les critiques élogieuses que j'ai pu lire...sans doute Guédiguian est-il devenu une institution ...on n'y touche pas
D'après les critiques, je pensais voir un bon "Guédiguian" : las, c'est plat, les dialogues, ont les a entendus 100 fois avec bien plus de talent et d'émotion.... Seuls les paysages sont magnifiques. Quant au reste, très très convenu et sans aucun relief. Dommage
3 pour les vues splendides... .mais trés déçue : mr Guédiguian ne fait pas mouche ce coup-ci : trop de provocations stériles et piériles ( cigarettes non stop entre autres choses ) trop de démagogie ( une touche d'enfants immigrés...pff..) il enfonce là des portes ouvertes avec peu de charme et d'élégance... nic SL
Triste, lent et mortifère. 3 morts dont un enfant un moribond tout le long du film, bonjour l'angoisse. C'est lent, il y a des scènes prévisibles et convenues, et les propos des acteurs tirent tellement vers le "c'était lieux avant" que c'en est trop. Ok, le site est maginifique, mais il était mieux avant aussi. Très ennuyeux, j'ai failli partir avant la fin.
Plus qu'une déception. Un bide ! Des clichés affligeants, une équipe vieillissante, à savoir des acteurs qui jouent mal ! On est tellement loin de la fraîcheur et de l'élan suscité par Marius et Jeannette ! Et le comble cette cigarette ostentatoire, profondément inutile pour le scénario. On se demande si ce n'est pas une pub déguisée pour appeler à fumer ! Bref ! Triste, creux, vide, sans emotion. Quant à l'actrice qui n'attache pas son casque avant de prendre la moto c'est encore un argument pour faire passer les motards pour des inconscients et/ou des abrutis ! Désolée Monsieur Guediguian.
Un scénario peint comme un tableau avec des touches successives. Un drame familial mal cicatrisé. Le temps qui passe. La société, la vie, les choses ont changé mais pas forcément comme on aurait voulu qu'elles changent. Les idéaux sociaux ne sont plus ce qu'ils étaient, du moins ne sont plus portés aussi haut. L'élévation sociale entraîne un certain embourgeoisement. Dans cette villa, trois enfants kurdes que la mer a fait échouer là ressouderont la fratrie autour des idéaux transmis et voulus par leur père muré dans le silence après un A.V.C. L'arrivée de ces enfants migrants est présentée comme un élément central du synopsis. Ce n'est pourtant que la toute dernière partie de ce film. Un aboutissement mais l'essentiel est avant. Un film sur fond de questionnement social comme les aime et les réalise toujours fort bien Robert Guédiguian. Avec toujours la cité phocéenne comme décors, les calanques cette fois-ci.