Avis : Mia et le Lion Blanc - Page 4

FILM mgnifique que je viens d'aller voir ; une belle histoire avec un fond de vérité, de beaux paysages, une belle détente avec tout de même quelques moments forts d'émotion. Ne ratez pas ce film ce serait dommage.

Terminer à l'instant en Blu-ray, juste parfait excellent rien à dire, très émouvante fin, histoire magnifique, trop rien à dire, je recommande vivement, les gens qui ont noté une étoiles ou deux ont absolument rien compris au film je suppose lol RIP à eux.

ÉNORME surprise que j'ai ressentie après avoir vu le film, je ne m'attendais pas du tout à voir un excellent film dès le début d'année. Ça m'a fait extrêmement plaisir de l'avoir visionné, surtout après la daube et la désillusion totale que j'ai eue devant Aquaman (cf ma critique dessus)... Quand j'ai vu la bande d'annonce, je me suis dit que ça allait être un film lambda, sans grandes attentes, sympa à regarder un soir au cinéma, mais c'était beaucoup plus que ça ! J'ai littéralement adoré et j'aimerais beaucoup que ce film marche au box-office international, pour le bien des films français.

Tout d'abord, j'ai adoré l'histoire, c'est exactement à ce que j'avais imaginé. C'est une très belle histoire avec une très belle amitié entre un lion blanc et une adolescente. De plus, ce film dénonce la chasse illégale d'animaux sauvages en Afrique du Sud. J'ai également beaucoup apprécié l'idée d'étaler le tournage sur 3 ans.
Le casting est très bien fait car il est à mes yeux inédit, car mis à part Mélanie Laurent, je ne connaissais pas les autres acteurs. Mention spéciale à la jeune actrice Daniah de Villiers qui a très bien joué son personnage.
Le film est très bien écrit, bien rythmé avec aucun temps mort, j'étais dans le film de la première seconde à la dernière, j'aurai même voulu que ça dure plus longtemps ! J'ai ressenti un peu toutes les émotions: la compassion, quelques notes d'humour bien placé ainsi que la tristesse également bien placée et bien dosée. Il est extrêmement rare que je ressente autant d'émotions devant un film.
Le décor nous plonge dans l'immensité du territoire sud africain et j'apprécie beaucoup cet aspect là.

Même si j'ai mis la note maximale, j'aurai bien voulu que le film aille plus loin. Je ne m'attendais pas à voir un excellent film, limite un chef d'oeuvre dès le début d'année. Surtout que c'est le premier film que j'ai vu en 2019, tout ça pour vous dire que ce film a placé la barre très haute; par conséquent, cela va être très dur aux prochains films de cette année à faire mieux que celui-ci...

Il est fort possible que j'ai adoré ce film plus pour le fait qu'il me replongea dans l'atmosphère des films et des séries du genre Daktari ou Mowgli le livre de la jungle etc.. Mais je me suis délectée en me plongeant dans ces paysages africains rêvant d'être la Mia du film. Certes, en ce qui me concerne, vous l'avez deviné aisément, la magie à opéré. Le film est toutefois porteur du message "sauver la planète" "respecter la faune et la flore" ce qui, à l'époque ou l'on parle souvent du réchauffement climatique et des désastres à venir ne laisse pas indifférent. Le scénario est certes prévisible et hélas nous laisse entrevoir la cruelle réalité de cette Afrique rongée par l'urbanisme et les tractations pas toujours honnête dont elle fait l'objet.

Avec ce film j’enchaînais le 3ème film "familial" et plutôt destiné à un jeune public à la suite : vive la programmation des Pathé pendant les vacances scolaires.

En soit j'ai trouvé l'histoire plutôt banale et prévisible mais cependant j'ai réussi a passer un très bon moment car le réalisateur a su m'interpeller et me scandaliser sur le traitement et les trafics des lions dans ces fermes de félins notamment "la chasse sportive" qui a un procédé encore plus infecte que j'imaginais.
Mais ce film est aussi un beau conte d'aventure pour enfants mêlant animaux sauvages, légendes et un peu de magie, tout en sensibilisant efficacement le jeune public.

Par contre si quelque chose m'a dérangé c'est bien le père de famille (Langley Kirkwood) et le choix du "pardon" pour ce personnage. J'ai trouvé dommage de faire un film engagé dans une cause mettant en valeur un association et de présenter un personnage principal faisant de gros tort à cette cause et lui accorder un pardon assez rapidement et cela deux fois de suite sans plus de justifications que ça.
Mélanie Laurent quant à elle est transparente heureusement que les deux jeunes acteurs Danniah De Villiers et Ryan McLennan apportent un peu de fraîcheur.

Ce film n'est pas une grande surprise mais a su m'émouvoir par sa dimension sociale et son engagement auprès des animaux. Je vous conseille de le partager en famille et aussi de vous renseigner de votre côté grâce à la fondation Kévin Richardson.

https://lutetia95.blogspot.com/2019/01/mia-et-le-lion-blanc.html

Histoire bien mièvre qui prétend dénoncer la chasse aux lions (enfin ça on ne le découvre qu'à la fin…).
Pour qui a un jour mis les pieds en Afrique du Sud et vu des animaux sauvages de près, l'absurdité du scénario est criante.
Et que dire du final qui relève de la plus grande bouffonnerie!
Digne d'un téléfilm pour jeune public.

Un beau film qui se rapproche beaucoup du documentaire. La relation entre le lion et l’enfant est magnifique et émouvante. Certaines images de l’Afrique sont à couper le souffle! Cependant la réalisation est parfois lourde et l’interprétation des acteurs approximative...très surprenant. Malgré ces défauts réels, le film se regarde avec plaisir. A voir avec ses enfants pour les sensibiliser sur la disparition programmée des lions dans 20 ans.

Un film dans le droit fil des histoires d’amitié animalière, avec un message d’arrière-plan sur le respect de l’animal sauvage. Bien que ce soit antinomique avec la notion de lui faire partager l’espace domestique, il fallait bien quelque chose comme point de départ pour construire le scénario. Pour la caution défense de la nature, Mélanie Laurent n’aura sans doute pas été au casting par hasard tant le spectateur lambda l’identifie maintenant sur ce thème. Sur le fond, les images sont belles, la tendresse est là avec la petite boule de poils qui pue qui va grandir et grossir de plus en plus (en vrai d’ailleurs avec un seul animal). Un fond musical avec des vibrations sonores sud-africaines complète agréablement l’ambiance « Daktari » pour ceux qui se souviennent (années 1970). L’histoire de ces animaux sauvages mais d’élevage destinés qui aux zoos, qui à la recherche, qui à la chasse (le générique de fin confirme que c’est bien une pratique légale et répandue en Afrique du Sud), est complétée d’une légende de circonstance et a priori de pure invention. Un peuple autochtone attendant le retour du lion blanc sur ses terres pour que s’accomplissent des prédictions ancestrales sur l’avenir humain. Un film grand public et familial. Sûr, il va se vendre aussi des peluches de lion blanc en produit dérivé. Le spectateur est d’ailleurs invité à soutenir le zoologiste Kevin Richardson. Ce type de film est donc à la fois contenu et contenant pour une démarche vaguement écologiste et naturaliste, peut-être un peu trop commerciale pour être totalement honnête.

tres beau film que j'avais hâte de voir et je ne suis pas décue ! de superbes images, des paysages magnifiques et une belle amitié entre une jeune fille et un lion. j'ai également été touchée par le message, le braconnage... les riches qui ne savent plus quoi faire de leur argent et qui se disent "oh et si je tuais un lion pour le plaisir de me sentir fort et d'avoir un trophé?"... et bien si ce film au delà du divertissement, peut informer certains ou même sensibiliser les enfants, je trouve que c'est une bonne chose.

Pour commencer par le positif le film propose de belles images, communique des émotions et le propos est intéressant. Le problème c’est que cinématographiquement c’est une catastrophe, c’est pénible à regarder et à écouter. Le film est mal monté, mal synchronisé, pas très bien joué. Trop scénarisé pour un documentaire et pas assez bien réalisé pour un film.

De Gilles de Maistre (2019).
Un film gentil plus tôt convenu surtout dans les mises en situations et les dialogues . Le film est à voir surtout pour la prestation poustouflante de Daniah De Villiers et du lion. Sur ce point le film est assez extraordinaire quand on connait les secrets de tournage. L'autre intérêt du film est de nous alerter sur la disparition programmée de ces fantastiques animaux, les lions. Passant de 250 000 à moins de 25 000 en un siècle. C'est dire . Pour le reste un film trop gentil, trop sage ou nulle colère transpire et vu le drame, c'est bien dommage. Même Mélanie Laurent ne semble pas très convaincue de son rôle.

2,2 - Même si le final spoiler: apporte l'émotion attendue
après quelques situations improbables, l'ensemble est trop ennuyeux. Beaucoup de séquences sont mal écrites et les comédiens mal dirigés ce qui perd en crédibilité

Une incroyable histoire entre Mia et le lion (de vrai lion) vraiment un plus, beaucoup d’émotion qui montre que l’alchimie entre l’homme et sont animal est possible (l’Amour) contre tout épreuve Mia fera tous sont possible pour le sauver <3 j’en suis sortie ému mais vraiment :( une pèrle qui dénonce la chasse au lion et a sont extinction.. qui malheureusement est réel ...:(

Une rose cadeau de Noël sponsorisé par Rolex et la principauté de Monaco, un vrai conte de fée de la savane possédé par de riche propriétaire terrien en pays sud-africain, dont est originaire l’ancienne nageuse sportive devenue princesse épouse monégasque, le poids de sa notoriété pèse sur la balance.

L’intrigue éduque la jeunesse, c'est le respect chez sa gosse, Mia qui joue à danser avec son papa anesthésié, le méchant central avide pointé du doigt. La sauvagerie joue avec le feu, petit mignon inoffensif et adulte force des griffures déchiquetées, l’apprivoisé amoureux devient esclave domestiqué, ça ne surprendra pas.
Dans le Roi Lion, il y a mangouste et phacochère en guest star cameo, le message est humaniste écolo, à faire passer le tour.

Top . Belle histoire . Belle morale . Très belles images . Validé pour les jeunes et moins jeunes .
Ce film est plein de valeur civique.