Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Brillant, saisissant, sulfureux.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur le thème de la gémellité, un film à forte couche d’Ozon, brillant thriller érotico-freudien, hitchcockien tout autant qu’hitchcoquin. Et passablement perturbant.
Marianne
par Olivier de Bruyn
(Un) film virtuose et sulfureux (...).
Bande à part
par Isabelle Danel
Avec ce polar fantastique troublant, Ozon revient au genre. Âme et corps, chair et sang. Brillant et vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
(Le thriller psychologique) est plutôt réussi, tout oppresse, des névroses des personnages, filmés au plus près des visages, aux lignes architecturales glaçantes des décors.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"L’Amant double" demeure très efficace dans ses enjeux, avec une mise en images d’une rare beauté inventive, formelle et intentionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Jamais le cinéaste de "Sous le sable" et de "Dans la maison" n'a mieux exprimé que dans ce film horrifique sa propre dichotomie et stigmatisé sa personnalité multiple. Ozon le diabolique.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Il y a quelque chose d’éminemment hitchcockien dans ce suspens psychologique assez effrayant, qui ouvre grand les portes des labyrinthes du subconscient.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Chaque détail compte dans ce récit à tiroirs paranoïaque et organique, qui sublime Marine Vacth (...).
Le Point
par Victoria Gairin
Un formidable thriller érotique.
Positif
par Alain Masson
Avec un plaisir de filmer communicatif, le cinéaste s’empare des codes du genre pour s’autoriser toutes les outrances.
Première
par Christophe Narbonne
Sous couvert de thriller, le nouveau François Ozon est un portrait amoureux de son égérie, Marine Vacth.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Comme eux, Ozon sort de sa zone de confort avec l'ombre écrasante de "Faux-semblants" qui plane sur son récit. Cette comparaison avec Cronenberg ne joue pas en sa faveur. Pas plus qu'une revelation finale décevante par rapport au chemin qui y a conduit. Mais son jeu finement pervers avec le spectateur-voyeur place "L'Amant double" parmi les oeuvres les plus saillantes de sa filmographie.
Sud Ouest
par Sophie Avon
L'auteur de "Potiche" est le roi du trouble et du faux-semblant. À force de vriller son récit et d'inverser les codes, il bâtit un thriller vertigineux, tiré d'un polar de Joyce Carol Gates dont il a modifié la fin.
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Une œuvre sombre, viscérale, voluptueuse.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Avec ce thriller cérébral et erotique, Ozon dérange autant qu'il séduit. Tout y est pensé, maîtrise : le récit, troublant jeu de piste entre rêves et réalité, comme la mise en scène, d'une beauté ensorcelante. Jusqu'aux interprétations parfaites de Marine Vacth et de Jérémie Renier.
Télérama
par Pierre Murat
Jamais dans ses films précédents le cinéaste n'avait approché ses personnages avec une telle élégance froide, une telle précision clinique. Conforme, sans doute, à l'idée qu'il se fait de l'humanité souffrante : un monde de névrosés, cabossés et fragiles, séduisants et séducteurs, à jamais inguérissables...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
L’œuvre sibylline distille l’opacité nécessaire pour promener l’imaginaire, avec une perversité délicieuse qui a l’audace de son érotisme palpable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
François Ozon s’est lancé dans la mise en scène d’un paysage mouvant et insaisissable, un inconscient féminin. Il le fait avec sa virtuosité habituelle (...). Il y met aussi de la désinvolture, ce qui ne surprendra personne, mais empêche peut-être le cauchemar de Chloé de se graver aussi profondément dans l’inconscient du spectateur que son inventeur l’aurait voulu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
François Ozon tisse un thriller d’épouvante sur le thème du double maléfique, prétexte à une nouvelle étude de femme. Avec la sublime et énigmatique Marine Vacth.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
Si le très prude Frantz pouvait se voir comme le récit d’un coming out sur la tombe d’un soldat allemand, L’amant double est peut-être un nouveau film à double fond, un thriller à la médiocrité assumée. Ozon semble avoir pris acte de l’étape marquée par Elle : soit l’impossibilité de faire un thriller érotique au premier degré dans une époque qui a digéré les gender studies.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
On quitte L’Amant double avec l’impression d’avoir vu un objet élégant et précieux, mais vide.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ozon tente un thriller cronenbergo-depalmien sympathiquement dénué de complexes. Mais il lui manque d’être assez crédible pour être pris au sérieux ou assez décalé pour être drôle.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un film de cinéphile sous influence, alourdi par des références écrasantes et une résolution décevante qui marche sans complexe sur les plate-bandes de ses illustres pères (De Palma, Polanski, Cronenberg...) sans jamais parvenir à en tuer aucun.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
De Palma x Cronenberg / François Ozon = la tête à toto.
Critikat.com
par Fabien Reyre
"L’Amant double" ne ménage pas ses effets pour embarquer le spectateur dans une spirale à suspense remplie de fausses pistes, de rebondissements et de scènes ouvertement provocatrices, pour un résultat hélas plus désopilant que troublant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
L'histoire se perd dans des méandres psychanalytiques et fantastiques. Ni Chloé, plus perturbée qu'elle ne paraît, ni Paul, qui est loin de dire la vérité, ne sont très clairs. François Ozon s'essaie au genre horrifique, mais privilégie la forme sur le fond.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Cher François, vous avez fait de si belles choses, si délicates, telles ce "Frantz", onze fois nommé lors des derniers César. Mais je déteste votre film. Plus j'y ai pensé et repensé, plus je m'en suis éloigné. Il m'est lentement apparu comme la représentation tordue que vous avez des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Femme Actuelle
Brillant, saisissant, sulfureux.
Le Dauphiné Libéré
Sur le thème de la gémellité, un film à forte couche d’Ozon, brillant thriller érotico-freudien, hitchcockien tout autant qu’hitchcoquin. Et passablement perturbant.
Marianne
(Un) film virtuose et sulfureux (...).
Bande à part
Avec ce polar fantastique troublant, Ozon revient au genre. Âme et corps, chair et sang. Brillant et vertigineux.
Charlie Hebdo
(Le thriller psychologique) est plutôt réussi, tout oppresse, des névroses des personnages, filmés au plus près des visages, aux lignes architecturales glaçantes des décors.
Franceinfo Culture
"L’Amant double" demeure très efficace dans ses enjeux, avec une mise en images d’une rare beauté inventive, formelle et intentionnelle.
L'Obs
Jamais le cinéaste de "Sous le sable" et de "Dans la maison" n'a mieux exprimé que dans ce film horrifique sa propre dichotomie et stigmatisé sa personnalité multiple. Ozon le diabolique.
La Croix
Il y a quelque chose d’éminemment hitchcockien dans ce suspens psychologique assez effrayant, qui ouvre grand les portes des labyrinthes du subconscient.
Le Journal du Dimanche
Chaque détail compte dans ce récit à tiroirs paranoïaque et organique, qui sublime Marine Vacth (...).
Le Point
Un formidable thriller érotique.
Positif
Avec un plaisir de filmer communicatif, le cinéaste s’empare des codes du genre pour s’autoriser toutes les outrances.
Première
Sous couvert de thriller, le nouveau François Ozon est un portrait amoureux de son égérie, Marine Vacth.
Studio Ciné Live
Comme eux, Ozon sort de sa zone de confort avec l'ombre écrasante de "Faux-semblants" qui plane sur son récit. Cette comparaison avec Cronenberg ne joue pas en sa faveur. Pas plus qu'une revelation finale décevante par rapport au chemin qui y a conduit. Mais son jeu finement pervers avec le spectateur-voyeur place "L'Amant double" parmi les oeuvres les plus saillantes de sa filmographie.
Sud Ouest
L'auteur de "Potiche" est le roi du trouble et du faux-semblant. À force de vriller son récit et d'inverser les codes, il bâtit un thriller vertigineux, tiré d'un polar de Joyce Carol Gates dont il a modifié la fin.
Télé 2 semaines
Une œuvre sombre, viscérale, voluptueuse.
Télé 7 Jours
Avec ce thriller cérébral et erotique, Ozon dérange autant qu'il séduit. Tout y est pensé, maîtrise : le récit, troublant jeu de piste entre rêves et réalité, comme la mise en scène, d'une beauté ensorcelante. Jusqu'aux interprétations parfaites de Marine Vacth et de Jérémie Renier.
Télérama
Jamais dans ses films précédents le cinéaste n'avait approché ses personnages avec une telle élégance froide, une telle précision clinique. Conforme, sans doute, à l'idée qu'il se fait de l'humanité souffrante : un monde de névrosés, cabossés et fragiles, séduisants et séducteurs, à jamais inguérissables...
aVoir-aLire.com
L’œuvre sibylline distille l’opacité nécessaire pour promener l’imaginaire, avec une perversité délicieuse qui a l’audace de son érotisme palpable.
Le Monde
François Ozon s’est lancé dans la mise en scène d’un paysage mouvant et insaisissable, un inconscient féminin. Il le fait avec sa virtuosité habituelle (...). Il y met aussi de la désinvolture, ce qui ne surprendra personne, mais empêche peut-être le cauchemar de Chloé de se graver aussi profondément dans l’inconscient du spectateur que son inventeur l’aurait voulu.
Les Inrockuptibles
François Ozon tisse un thriller d’épouvante sur le thème du double maléfique, prétexte à une nouvelle étude de femme. Avec la sublime et énigmatique Marine Vacth.
La Septième Obsession
Si le très prude Frantz pouvait se voir comme le récit d’un coming out sur la tombe d’un soldat allemand, L’amant double est peut-être un nouveau film à double fond, un thriller à la médiocrité assumée. Ozon semble avoir pris acte de l’étape marquée par Elle : soit l’impossibilité de faire un thriller érotique au premier degré dans une époque qui a digéré les gender studies.
Le Figaroscope
On quitte L’Amant double avec l’impression d’avoir vu un objet élégant et précieux, mais vide.
Les Fiches du Cinéma
Ozon tente un thriller cronenbergo-depalmien sympathiquement dénué de complexes. Mais il lui manque d’être assez crédible pour être pris au sérieux ou assez décalé pour être drôle.
Paris Match
Un film de cinéphile sous influence, alourdi par des références écrasantes et une résolution décevante qui marche sans complexe sur les plate-bandes de ses illustres pères (De Palma, Polanski, Cronenberg...) sans jamais parvenir à en tuer aucun.
Cahiers du Cinéma
De Palma x Cronenberg / François Ozon = la tête à toto.
Critikat.com
"L’Amant double" ne ménage pas ses effets pour embarquer le spectateur dans une spirale à suspense remplie de fausses pistes, de rebondissements et de scènes ouvertement provocatrices, pour un résultat hélas plus désopilant que troublant.
Le Figaro
L'histoire se perd dans des méandres psychanalytiques et fantastiques. Ni Chloé, plus perturbée qu'elle ne paraît, ni Paul, qui est loin de dire la vérité, ne sont très clairs. François Ozon s'essaie au genre horrifique, mais privilégie la forme sur le fond.
Le Parisien
Cher François, vous avez fait de si belles choses, si délicates, telles ce "Frantz", onze fois nommé lors des derniers César. Mais je déteste votre film. Plus j'y ai pensé et repensé, plus je m'en suis éloigné. Il m'est lentement apparu comme la représentation tordue que vous avez des femmes.