Avis sur Siberia

Scénario zéro, scène de pornosoft toutes les 20minutes, le seul intérêt du film sont ses 5 dernières minutes. On se demande ce que Keanu Reeves est venu faire dans cette daube.. Ne perdez pas votre temps

Après avoir regardé Siberia j'essaie toujours de comprendre de quoi il s'agit ? Il n'y avait aucune substance. Le jeu d'acteur était bon pour ce qu'il était mais pas beaucoup plus. Cette histoire était faible. Je n'aime pas jouer les critiques mais ce film n'est pas quelque chose que je vais regarder a nouveau c'est un travail oubliable. Je ne le vois tout simplement pas de quoi il s'agissait...

Lent, poussif, scénario confus : quel est le sujet du film ? Les diamants, la pègre russe, l'histoire d'amour ? Les scènes de sexe se multiplient, est-ce pour combler le scénario ? Bref, pas du tout dynamique. Keanu Reeves s'est perdu.

on s’ennuie, c'est lent et on comprend, je me demande ce que fait K. Reeves dans ce film. Finalement je comprends pourquoi il est pas passé au ciné.

Franchement, ce n'est pas ennuyeux, mais faut bien reconnaître que c'est pas très bien joué (Keanu Reeves mais aussi Ana Ularu en tête)...Les scènes se succèdent, pour certaines très grotesques (la scène du "pacte" avec les fellations, la 2ième vérification des diamants), le pompon est atteint avec ce final complètement risible... spoiler: qu'est ce que cette fin?

Un peu mou cette version du Keanu Reeves ... un peu loin de son John Wicks. Une version solitaire du négociant de diamants en Russie. Là dessus s ajoute une intrigue un peu légère et entendue... on secoue on secoue ; résultat = moyen / bof

C’est effectivement très mauvais. Scénario indigent, personnages stéréotypés, parfois les séries B ont le charme de l’inachevé. Mais pour que ce soit inachevé, il faut qu’il y ait un début. La, non. J’aime bien KR mais ce n’est pas suffisant.

Entre deux John Wick, Keanu Reeves s'entretient dans cette petite perle sans prétention. Le ton est noir et le scénario se base sur une situation qui semble insurmontable, d'ailleurs les retournements jonchent le chemin de notre héro au fur et à mesure qu'il tente d'en échapper. D'un ton imperturbable Keanu Reeves campe merveilleusement son personnage ambigu et torturé à la fois. Le rythme lent et lancinant renforce le côté oppressant.

Très honnêtement on sent la volonté de bien faire. Mais au but du compte, on se demande quand le film commence vraiment, peut-être après une heure trente ? Il faut ajouter que le jeu de Reeves est totalement déprimant et qu'il est encore loin d'être un grand acteur. Enfin tout cela est très compliqué et alambiqué. Parfois il faut avoir les velléités d'une série B.

Quand Keanu Reeves ne fait pas du Keanu Reeves, ça fonctionne tout de suite beaucoup moins bien. Scott B. Smith et Stephen Hamel nous proposent deux histoires pour le prix d'une, seulement ce n'est pas cela qui empêche le film de manquer de consistance. Matthew Ross brouille les pistes le plus possible et à moins que vous ayez lu le synopsis, on met du temps à comprendre les enjeux de l'histoire, mais malgré tout, le réalisateur ne parvient pas à susciter l'intérêt, car tout semble faux et uniquement prétexte à cette histoire avec Katya qui est un brin ridicule. Le scénario est tellement creux que le réalisateur compense par de nombreuses scènes de sexe et d'autres qui sont absurdes comme celles avec les Russes et leurs propositions étranges. "Siberia" se vend comme un thriller sombre et mystérieux, mais c'est plutôt un film terne, paresseux et plein de clichés qui comprend beaucoup de conversations et de scènes qui ne mènent nulle part hormis à un final assez mauvais. J'avais apprécié "Frank & Lola", le premier film de Matthew Ross seulement, celui-ci est décevant.

Un film d'un attrait moyen. Une visite de la Russie sans la Russie, un peu de trafic et une histoire pseudo romantique qui n'a aucun intérêt en plus d'être tout sauf crédible.

Il n'y a pas le moindre ressort moralisant dans cette fable inutile sur la mafia, pleine de préjugés sur les russes. Ce n'est pas un déplaisir de voir K Reeves mais ce film est si inintéressant et à tendances malsaines qu'il en est nul.

Un film froid, et c'est le cas de le dire, mais avec une certaine ambiance; sans doute liée au voyage de Keanu Reeves en Sibérie. Pourtant, malgré des scènes de sexe faciles, ou d'autres portant sur le trafic de diamants avec le grand banditisme russe, le film ne prend jamais son envol et dégage une certaine platitude.

Il faut l’avouer, le film de Matthew M.Ross, pourtant estampillé thriller, mêlant à la fois trafic de diamants, mafieux violents et divers espions ou services secrets, manque cruellement de tension. Le scénario se centre en effet très vite sur la relation amoureuse que va entretenir le personnage avec une serveuse rencontrée dans un café, qui l’entraînera à remettre en cause presque toute son existence. Ceci au lieu de privilégier l’action, quasi inexistante ici.
Dès le départ, la rencontre elle-même sent le refroidi, Reeves se contentant de quelques moues expressives pour signifier son pouvoir face à des russes menaçants. Pour que la sauce prenne, il aurait au moins fallu que l’on croit à la relation amoureuse entre les deux interprètes principaux. Et là aussi le bât blesse, les deux scènes de sexe, filmées sans aucune nervosité, ne faisant qu’enfoncer un peu plus le métrage. Reste la figure de l’homme d’affaire russe, interprété par Pavel Lynchnikoff, qui parvient à maintenir un minimum de crédibilité, notamment lors d’une scène de « pacte » des plus gênante. C'est très mauvais !

Ce thriller sans action ni suspense utilise le bankable Keanu Reeves, nouvel action-hero quinqua (mode lancée par Liam Neeson) et surfe donc sur la vague John Wick pour attirer le public. Le beau gosse a certes plus de lignes de dialogues que dans la saga précédemment citée, malheureusement ceux ci tournent en rond, tout comme le scénario bête et ennuyeux au possible. Notre héros passe une heure de film à chercher un ami qui doit lui transmettre des diamants qu'il doit revendre ensuite à des russes patibulaires, se laisse séduire par une autochtone, et passe son temps à déambuler et à taper la discute dans des décors affreux et déprimants, pendant que le spectateur s'endort gentiment. Certaines scènes sont à vomir de bêtise et d'amateurisme (dix minutes sur l'histoire de la "double gâterie"), il n'y a aucune accroche, aucun twist, tout est lent et redondant, bref du cinéma bâclé à fuir au plus vite.