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    Dernier amour
    Note moyenne
    3,2
    33 titres de presse
    • Les Fiches du Cinéma
    • Positif
    • Transfuge
    • 20 Minutes
    • Bande à part
    • CNews
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Elle
    • Franceinfo Culture
    • L'Humanité
    • Le Figaro
    • Le Point
    • Libération
    • Marianne
    • Ouest France
    • Sud Ouest
    • Télérama
    • Femme Actuelle
    • L'Obs
    • La Croix
    • La Voix du Nord
    • Le Journal du Dimanche
    • Les Inrockuptibles
    • Première
    • aVoir-aLire.com
    • L'Express
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Monde
    • Cahiers du Cinéma
    • Culturopoing.com
    • Le Parisien
    • Paris Match
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    33 critiques presse

    Les Fiches du Cinéma

    par Nathalie Zimra

    Sur ce canevas tendu, Benoît Jacquot livre une réflexion magistrale et complexe sur la puissance du désir.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Positif

    par Fabien Baumann

    Une réussite indéniable qui en dit beaucoup sur la fin d'un siècle comme un écho à notre époque.

    Transfuge

    par Damien Aubel

    Avec "Dernier Amour", Benoît Jacquot rend un hommage élégiaque à Casanova en adaptant un épisode de défaite érotique et sentimentale.

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    L’émotion profonde qui se dégage de cette réflexion sur le désir emporte le public par sa pudeur dénuée de pudibonderie.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    Bande à part

    par Jo Fishley

    Et voilà que Vincent Lindon est le nouveau et le dernier Casanova du cinéma. Ce Casanova ? L'amoureux fou (il le fut !) d'une putain. L'acteur le joue au bord des gouffres, damné et possédé, dans un désespoir chuchoté d'une passion mortifère. Que c'est séduisant !

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    CNews

    par La rédaction

    Au-delà de la psychologie des personnages, Benoît Jacquot s’est attardé sur la reconstitution d’une époque aux mœurs libérées.

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    Tout en bagues, bas, dentelles, perruqué et apprêté, Casanova est fou d’amour. Et Vincent Lindon, acteur d’un drame crépusculaire.

    La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace

    Elle

    par Françoise Delbecq

    Un beau drame sentimental.

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    Benoît Jacquot fait encore preuve de l’élégance qui caractérise sa mise en scène à chaque film. La sobre beauté de sa reconstitution historique encadre la peinture des personnages, nourris d’un texte ciselé, tous acteurs d’une progression des sentiments.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    L'Humanité

    par Dominique Widemann

    Tout le film résonne de beauté visuelle comme éthique du propos. La mémoire est un leurre qui s’obstine à prendre vie.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Le Figaro

    par Marie-Noëlle Tranchant

    Vincent Lindon compose un Casanova captivant dans le film de Benoît Jacquot Dernier Amour, qui raconte un échec amoureux.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Point

    par Mathilde Cesbron

    Contrairement au Casanova de Fellini, qui dépeint une bête grotesqueet vulgaire, Benoît Jacquot évacue le mythe pour rendre son humanité au personnage dans un film intimiste, d’une sobre élégance.

    Libération

    par Marcos Uzal

    Même si le film n'est pas dénué de défauts, il y a longtemps que Jacquot ne nous avait pas autant convaincus.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Marianne

    par Olivier de Bruyn

    Le film séduit grâce à son atmosphère envoûtante, à sa mise en scène élégante et à l'interprétation de Vincent Lindon.

    Ouest France

    par Thierry Chèze

    Le film devient parfois trop cérébral, Jacquot empêchant trop souvent les coeurs et les corps d'exulter. Ces défauts sont corrigés par l'interprétation en nuances de Vincent Lindon.

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Benoît Jacquot dessine ainsi un beau portrait d’homme qui consent à la douleur et découvre le chagrin amoureux.

    La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

    Télérama

    par Samuel Douhaire

    POUR : La photographie aux teintes de ­ténèbres de Christophe Beaucarne ren­force la dimension crépusculaire du ­récit, dans une reconstitution histo­ri­que qui n’étouffe jamais la vivacité de la mise en scène.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Femme Actuelle

    par Amélie Cordonnier

    L'histoire est mince, mais elle tient grâce au jeu des comédiens et au traitement de l'image.

    L'Obs

    par Xavier Leherpeur

    Pour évoquer sa surprenante soumission à un jeu qui lui échappe, Jacquot recourt un peu trop fréquemment à l'allégorie du labyrinthe, mais l'interprétation, solide et fragile à la fois, de Vincent Lindon saisit par son intensité.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Croix

    par Céline Rouden

    Ce portrait d’un Casanova pris à son propre piège est délicat et maîtrisé, mais sans doute trop retenu, pour nous en faire partager les tourments.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    La Voix du Nord

    par Christophe Caron

    Celle qui va ainsi piéger Casanova, c’est La Charpillon, péripatéticienne manipulatrice et frondeuse, mais dégageant un indicible parfum d’innocence. Un rôle en or pour Stacy Martin. Elle est une source de rayonnement dans cet univers résolument funèbre.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Le Journal du Dimanche

    par Barbara Théate

    Malgré sa large carrure et une image assez loin du Casanova idéal, Vincent Lindon se glisse, avec un beau mélange de virilité et de délicatesse bourgeoise, dans l’intimité de l’aventurier vénitien. On regrette que la jolie Stacy Martin manque, quant à elle, d’une réelle épaisseur dans cette guerre des sexes un peu trop languissante, qui prend le parti de montrer la douleur de l’attente plus que la satisfaction du plaisir.

    Les Inrockuptibles

    par Emily Barnett

    Cet homme qui était l’inconstance même […] est soudain frappé de paralysie. Jacquot y voit, lui, une parfaite parabole sur la vieillesse. Ce qu’il montre est la disparition d’un mouvement, un ralentissement, la vie soudain pétrifiée […].

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Première

    par Thierry Chèze

    Le film souffre d’une construction scolaire et d’un souffle passionnel étouffé par trop de cérébralité. Mais il a aussi les qualités de ses défauts. En particulier cette volonté (aboutie) de capter l’intime et non le spectaculaire fastueux d’une époque libertine.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    aVoir-aLire.com

    par Claudine Levanneur

    Un film trop sibyllin pour délivrer la moindre note d’émotion et dont le principal intérêt réside dans la description de la société libertine du 18ème siècle.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    L'Express

    par Antoine Le Fur

    Trop cérébrale et manquant singulièrement de romanesque, l'histoire peine à captiver. En outre, difficile de croire à l'alchimie sexuelle entre Vincent Lindon et Stacy Martin, dont la relation fait plus penser à celle d'un père et sa fille qu'à celle de deux amants sulfureux.

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Mais, tout occupé à apporter cette véracité, il (Vincent Lindon) réduit l’homme déçu et joué par celle qu’il cherche à conquérir à une sorte de victime quasi consentante, sans réactions, subissant ce qui lui arrive de manière résignée. Ce qui donne à l’ensemble du film le côté un peu lourd et lent d’une aventure amoureuse sans piquant et sans nerf.

    Le Monde

    par Véronique Cauhapé

    Vincent Lindon incarne le séducteur dans un film dénué de sensualité.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Cahiers du Cinéma

    par Joachim Lepastier

    Loin du cran de son modèle, Jacquot filme les rituels de la séduction de manière distante et presque mécanique. (…) On se souvient de l’effroi produit par les automates dans le Casanova de Fellini qui lui opposait la force vitale du grotesque. Chez Jacquot, les robots ont gagné.

    Culturopoing.com

    par Emmanuel Le Gagne

    Une œuvre désincarnée et mortifère, figée par une construction narrative maladroite articulant passé et présent.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Le Parisien

    par Catherine Balle

    Un film empesé, amidonné et fort ennuyeux.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Paris Match

    par Karelle Fitoussi

    Cet épisode anecdotique de la vie du séducteur vénitien a tout de la reconstitution empaillée. Pire : Vincent Lindon est aussi crédible en Casanova qu’il l’était en syndicaliste dans les derniers Brizé.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Télérama

    par Hélène Marzolf

    CONTRE : Dernier Amour reste avant tout académique, amidonné.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama
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