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    Las niñas
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    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    151 abonnés 1 027 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    Dans une école catholique de l'Espagne des années 90 une jeune fille orpheline de père, boostée par une nouvelle camarade venue de Barcelone, quitte l'enfance pour l'adolescence. Avec bien sur la découverte avec appréhension de la cigarette, de l'alcool et de la sexualité. Le ton du film est clairement naturaliste, on picore des instants de vie sans véritable scénario, les jeunes actrices sont parfaites mais Las Ninas ne décolle jamais. La réalisatrice vu son âge et son lieu de naissance nous offre certainement une oeuvre autobiographique, je veux bien croire que sa scolarité chez les Soeurs a dû être une purge, malheureusement son film en est une aussi pour ses spectateurs.
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    22 abonnés 865 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    Beau film sur l'adolescence de jeunes filles dans les années 80 (ce que donne l'impression de l'Espagne du début des années 90, tant sur le plan des décors, des objets que de la musique écoutée par les protagonistes), doublé d'une étude sur la société culturelle très corsetée de cette époque (la Movida allait tout transformer par la suite) et une histoire dont on perçoit la dimension dramatique à la fin seulement. Excellent scénario et bonne réalisation pour diriger des actrices très crédibles dans leur jeu. A découvrir sans hésiter.
    missfanfan
    missfanfan

    76 abonnés 831 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2021
    Film Espagnol pas inintéressant mais un peu ennuyeux on tourne en rond c'est toujours la même chose pas de vue extérieur
    sinon les actrices ne sont pas mauvaises , pour le reste chacun se fera son opinion
    Anonyme M
    Anonyme M

    51 abonnés 1 545 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 mai 2022
    dès la scène de début tu sait que cela va foirer. déjà sans la moindre explication l'affichage est en 4/3 pour un film de 2020 ?? serieux ??, le film commence a évoquer une école religieuse (tout le monde se méfies a cause des sectes religieuses) surtout que 80% des gent sont athée de nos jours, un point négatif de plus, les stéréotypes ULTRA sexistes (qui dit école religieuse sur des filles, dit stéréotypes sexistes) les inssuportables croyances qu'elles doivent etre belles avoir de beau cheveux et porter de longues jupes ou des robes.......une fois de plus je le dit 2020, cela ne passe pas, le film est ULTRA plat mou, ça n'avance a rien, elles finissent par s'exiter parce "adolesense" PUNNAISE c'est complètement débile... merci pour la caricature inssupurtable sur les Adolescent et voilà fin. debile, inacceptable.
    Loïck G.
    Loïck G.

    291 abonnés 1 637 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2021
    On imagine sur ce tempo de l’adolescence un film rabâché quand la réalisatrice pour son premier long métrage s’affranchit de tout diktat. De la mode et de ses effets spéciaux. Du bien-pensant … Ce qui le rend faussement inninnocent sur une thématique fatiguée. Pilar Palomero le remet au goût du jour avec le sens du vrai, des réalités. Cette enfance s’évanouit pour le monde des grands où Celia la jeune héroïne va tarder à trouver sa place. Andrea Fandos dans le rôle principal fait très bonne figure à l’image de sa mère et de ses copines, ou pas. Aucune influence, rien de déjà vu, les gamines ont de quoi s’affranchir.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Vince
    Vince

    41 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 avril 2021
    Le chef-d'œuvre espagnol de l'année ! Las niñas est le nouveau film de la réalisatrice Pilar Palomero qui aborde l'année 1992 en Espagne, représentée par deux événements fondamentaux qui ont marqué l'histoire de l'Espagne, l'Exposition universelle de Séville et les Jeux Olympiques de Barcelone. En effet, ces deux événements sont traités en filigrane de l'histoire de Celia, une jeune fille de 11 ans qui vit avec sa mère à Saragosse et qui étudie dans un collège pour filles dirigé par des bonnes sœurs. Brisa, une nouvelle camarade arrivant tout droit de Barcelone, l'entraîne vers une nouvelle étape de sa vie : l'adolescence où elle va découvrir par elle-même l'alcool, les fêtes, la musique, la danse, etc., un monde très différent de celui inculqué par les bonnes sœurs ou par sa mère... Pilar Palomero aborde le fait d'être "orpheline" pour Celia, qui voit l'ensemble de ses copines qui ont des parents qui s'aiment alors qu'elle vie seule avec sa mère. Les bonnes sœurs apprennent également que la "normalité" est d'avoir deux parents. Ainsi, Celia et ses deux amies, Cristina et Brisa, vont découvrir les mensonges et la vérité quant à l'inexistence de son père, une censure de sa propre famille en particulier de sa mère conjuguée à une censure religieuse.

    Le film est un grand succès, il a notamment divers récompenses dont 4 Goyas (meilleur film, meilleure nouvelle réalisatrice, meilleur scénario original et meilleure photographie), le meilleur film au Festival de Malaga, 3 Ferroz (meilleur film, meilleure réalisatrice, meilleur scénario) et 1 Forqué (meilleur film), etc., et en effet ce film est un véritable bijou du septième art espagnol. Pilar Palomero aborde le thème de l'enfance, où l'on aperçoit des ressemblances ou influences envers les films de l'enfance traités en Espagne précédemment par Carlos Saura - La prima Angélica, Cría Cuervos - ainsi que par Víctor Erice - El espíritu de la colmena - et ce thème est magnifiquement bien représenté dans l'Espagne de 1992. Par ailleurs, Andrea Fandos est la nouvelle Ana Torrent, sa spontanéité face à la caméra et son regard profond lui donne une sensibilité et un mystère rare à l'écran. Natalia de Molina interprète le rôle d'Adela, la mère de Celia, et son interprétation est à soulignée où elle joue très bien l'ambivalence entre vérité et mensonge, que dire à sa fille à propos de l'absence de son père. De plus, le film est doté d'une bande musicale très intéressante en reprenant les grands classiques espagnols de l'année 1992 dont le groupe rock espagnol Héroes del Silencio et leur titre "Héroes de la Leyenda". D'un point de vue cinématographique, Las niñas impressionne de part son histoire, l'interprétation des acteurs, la réalisation de Palomero, le cadrage en 4/3 ainsi que par la musique. Bref, un véritable chef-d'œuvre du cinéma espagnol qu'il ne faut surtout pas louper en cette année 2021. Mention spéciale à la dernière séquence du film où spoiler: l'ensemble des filles se mettent à chanter et l'on aperçoit alors Celia qui reste silencieuse au départ puis s'affirme et se met à chanter en rejoignant ses amies comme si elle avait enfin compris la vérité et les mensonges autour de son père
    . En bref, un bijou espagnol qui rejoint directement la case des classiques du cinéma de l'enfance aux côtés de l'Esprit de la ruche, Cría Cuervos, La cousine Angélique, les 400 coups, Allemagne année zéro, Cinema Paradiso, Ou est la maison de mon ami, Fanny et Alexandre, Kes, Marcelino pain et vin (que l'on voit d'ailleurs lors d'une scène où les filles sont au cinéma et regardent ce grand classique espagnol), etc.
    Christophe B
    Christophe B

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2021
    Film très long et sans histoire. On s'ennuie un peu.... l'histoire de jeunes filles qui grandissent et deviennent adolescentes....
    velocio
    velocio

    1 182 abonnés 3 043 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 octobre 2021
    Ce film photographié au format 4/3 et dont l'action se déroule en 1992 dans la ville espagnole de Saragosse s'intéresse à des pré-adolescentes de 11/12 ans qui sont les élèves d'une école dirigée par des bonnes sœurs. On y suit leurs comportements et leurs conversations au sujet de la sexualité, des préservatifs, du rouge à lèvres, des cigarettes, rien de bien nouveau sous le soleil, même si, ici, le contexte de l'école religieuse est particulier. Un milieu dans lequel il est dit qu'on pardonne à ceux qui nous ont offensé alors qu'on ne le met que très peu en pratique. Le film devient plus intéressant lorsqu'il se penche sur le passé de la mère de Célia, le personnage principal du film : une femme rejetée par sa famille car Célia est un enfant qu'elle a eu jeune et hors mariage. Malheureusement, le film lambine trop et certains plans sont prolongés trop longtemps inutilement. En plus, grosse maladresse : la mère de Célia est femme de ménage, elle est rejetée par sa famille et ne peut donc pas être aidée par elle, et, par manque de moyen, elle rechigne à faire des achats non indispensables pour sa fille. Or, que voit on ? Elle vit dans un grand appartement, de toute évidence au dessus de ses moyens.
    traversay1
    traversay1

    3 137 abonnés 4 633 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 décembre 2020
    Las niñas, le premier long-métrage de Pilar Palomero, native de Saragosse, mérite de figurer au tableau d'honneur du nouveau cinéma espagnol. Le film se situe en 1992, l'année où l'Espagne apparait comme le parangon de la modernité en Europe, le franquisme aux oubliettes, la movida en exergue, les J.O de Barcelone et l'exposition universelle de Seville, en vedette. Pourtant, le vieux fond conservateur ibérique survit toujours, notamment en province, dans les relations sociales et dans l'éducation catholique des jeunes filles. Ce sont ces dernières que met en avant le film, à un âge-charnière (12 ans), au confluent de l'enfance et de l'adolescence. Entre l'école, les amies et sa mère veuve, la petite Celia (magnifiquement incarnée par la débutante Andrea Fandos) grandit entre insouciance, angoisse et questionnements, en particulier sur ses origines. De manière impressionniste, sans coups de théâtre ni dramatisation superflue, Las niñas se met à hauteur d'enfant avec une sensibilité et une délicatesse de tous les instants, rafraîchissant avec bonheur tous les poncifs plus ou moins liés au récit d'apprentissage. Le film évoque un peu le Cria Cuervos de Carlos Saura, la cruauté en moins, laissant le beau personnage de la mère à ses mystères. Réalisé avec une fluidité parfaite, avec notamment une scène d'ouverture admirable, à laquelle répondent les plans finaux, Las niñas se termine avec l'émotion la plus pure qui soit, prônant la liberté de conscience individuelle comme outil pour faire avancer les mentalités collectives.
    islander29
    islander29

    771 abonnés 2 280 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mai 2022
    Voilà le genre de film, qui montre combien l'adolescence est une période délicate, et qu'il convient de faire de la psychologie ou du moins d'être sensible...Cette histoire de Célia et de ses amies collégiennes, m' a fait verser une larme , notamment a la fin car tout est paradoxe dans la vie d'une jeune fille, elle doit penser au mal , pour comprendre le bien, et penser au bien, pour comprendre le mal, dans sa complexité et dans sa clarté, ...Tout est dans ce combat éternel, pour se connaitre soi nmême, et chacun doit le vivre à un moment, dans l'adolescence ou un peu plus tard;...Heureusement les jeunes filles ont des ressources et sont amies, ce qui aide à soutenir les épreuves, notamment dans une école catholique, où la morale est dure comme le marbre, et qu'il convient d'analyser pour grandir...toutes les expériences ont un sens dans la vie, on a celles qu'on mérite, ou que le destin choisit pour nous..Le film est doucement sensible, filmé avec discrétion, avec des musiques et des chorales qui en effet font verser une larme???C'est ce qui m'est arrivé, je ne suis pas un bisounours, ce film non plus;.;;;à découvrir, il fait du bien....
    Hotinhere
    Hotinhere

    429 abonnés 4 765 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2023
    Le récit d’émancipation sensible et délicat mais manquant un peu d’intensité d’une jeune ado illégitime dans l’Espagne catho du début des années 90, porté par la lumineuse Andrea Fandos qui crève l’écran. 2,75
    Guillaume
    Guillaume

    93 abonnés 1 545 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mai 2022
    Une jeune actrice à l'indéniable charisme, mais qui ne peut à elle-seule sauver "Las niñas" et son récit linéaire, "monacal", sans souffle dramaturgique.
    Yves G.
    Yves G.

    1 303 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 décembre 2021
    1992. Saragosse, Espagne. Celia a onze ans. Sa mère l'élève seule. Elle vient d'entrer au collège. Elle a rejoint une institution religieuse qui applique une discipline stricte : l'établissement est réservée aux jeunes filles, l'uniforme est obligatoire, l'enseignement est dispensé par des sœurs acariâtres qui professent des valeurs d'un autre âge. Parmi les camarades de Celia, Brisa, plus délurée, arrive de Barcelone.

    Des films sur l'adolescence ou la pré-adolescence de jeunes filles en fleurs - ou en bourgeon - on en a vu treize à la douzaine : "Diabolo Menthe", "La Boum" sans parler des "Choristes", du "Cercle des poètes disparus" ou de "La Mauvaise Education" sur leurs alter ego masculins.

    Le défaut des "Niñas" est de ne rien raconter de neuf qu'on n'ait déjà vu. Rien de neuf sur cette pré-adolescence où chaque transgression, aussi insignifiante soit-elle (le premier rouge à lèvres mis en cachette, la première cigarette fumée en secret...) procure un délicieux sentiment d'indépendance. Rien de nouveau non plus dans la description anachronique de cette Espagne provinciale, où la réalisatrice née en 1980 a grandi, que la movida ne semble pas avoir touchée. On pense évidemment à "Cría Cuervos", sorti en 1976, et on se remémore avec nostalgie l'inoubliable chanson de José Luis Perales "Porque te vas"..

    Le scénario tente vainement de créer une tension autour du mystère de la naissance de Celia et du contentieux non soldé qui oppose sa mère à sa famille. C'est le sujet de la seconde moitié du film qui éloigne pour un temps Celia de ses petites camarades avec lesquelles elle passait son temps durant toute la première. Le film y perd en unité. Y gagne-t-il en intérêt? pas sûr....
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 184 abonnés 3 993 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2021
    Récompensé par les plus beaux prix de la 35ème cérémonie des Goyas, l’équivalent des César en Espagne, “Las niñas” aborde l’émancipation de jeunes filles de Saragosse dans les années 1990. Alors qu’elles suivent une éducation religieuse, les adolescentes en pleine puberté, apprennent à se rebeller et à découvrir leurs propres personnalités au travers des premiers sous-vêtements, cigarettes, insoumissions et sexualité. Malheureusement, la période choisie par la réalisatrice Pilar Palomero ne résonne jamais sur la jeunesse d’aujourd’hui et semble désormais d’un autre temps. Si la jeune Andrea Fandos crève l’écran par son regard silencieux, c’est finalement l'œuvre entière qui reste bien silencieuse.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    mat niro
    mat niro

    306 abonnés 1 728 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 avril 2022
    Sentiment mitigé sur cette plongée au coeur d'une institution catholique stricte dans les années 90. De jeunes adolescentes subissent une instruction religieuse rigoureuse sous la surveillance de la terrible "Mère supérieure". Ces filles découvrent la musique rock et de manière très chaste les prémices de la sexualité à travers les préservatifs de la mère de l'une d'elles. Le film n'est pas mauvais, on y découvre le discours rigoriste de l'Eglise sur le couple et le mariage. Cependant, l'ensemble est beaucoup trop sage, trop "fleur bleue". On aurait aimé voir un peu plus de rébellion à l'arrivée de la nouvelle, Brisa, mais cette oeuvre reste trop suggestive dans ses faits et propos. Dommage que le film ne bouscule pas davantage les carcans de l'Espagne de cette époque.
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