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Hollywood-Biographer
174 abonnés
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2,5
Publiée le 28 mai 2019
On retrouve Rowan ATKINSON dans la troisième aventure de Johnny English. Sans surprise cela reste dans la droite lignée des opus précédents, l'effet de surprise en moins. On assiste à un festival de gags pas toujours très fins mais qui nous permettent quand même de passer un agréable moment. On aime ou on aime pas. Ce n'est de toute évidence pas la comédie d'espionnage de l'année.
Et de trois ! Johnny English est de retour et chic, chic, chic, une fois de plus il réussit son coup !
Le dictionnaire nous l'explique : la parodie c'est "L'imitation satirique d'un ouvrage sérieux dont on transpose comiquement le sujet ou les procédés d'expression."
Cette "imitation satirique" peut évidemment avoir différents niveaux de qualité, de force, de subtilité et donc déplaire, énerver, amuser ou enchanter.
Avec Rowan Atkinson, dans le rôle d'un célèbre agent secret britannique extrêmement gaffeur, nous atteignons le sommet ! Nous touchons là à l'Art de la Parodie.
Disons-le tout net, ce fabuleux acteur est une bénédiction pour nos zygomatiques.
L'incroyable plasticité de son visage, avec lequel il s'autorise toutes les grimaces les plus inconcevables autour de ses yeux en billes de loto, additionnée aux multiples catastrophes, qu'il déclenche par son inépuisable curiosité toujours mal placée, parviennent sans coup férir à dérider le plus triste d'entre nous.
Seul Louis de Funès peut rivaliser avec lui.
Dans ce troisième volet de la saga des Johnny English, notre héros va déjouer les plans d'un piratage informatique mondial grâce à ses techniques… "à l'ancienne". À ce titre, le film comporte une véritable séquence d'anthologie dans laquelle Johnny English utilise un casque de jeu video… dans la vraie vie. C'est complètement bluffant et très drôle car aussi débile… que plausible !
Pour contrebalancer ses initiatives aussi hilarantes que vouées à l'échec, les scénaristes lui ont accolé dans ce film un second couteau qui, pétri d'admiration pour son supérieur, parvient à chaque fois à rattraper les situations les plus désespérées pour les retourner à l'avantage de son chef.
Dans cette configuration, on ne peut s'empêcher d'évoquer la puissance comique de Laurel et Hardy, mélangeant bêtises et vantardises, catastrophes et mauvaise foi, le tout lié par une amitié inoxydable.
Pour toutes ses qualités, "Johnny English contre-attaque" se retrouve d'autor classé dans notre collection comme le Film Bonheur qu'il est ! (www.filmsbonheur.com)
C’est un peu bébête, beaucoup même, mais on ne peut s’empêcher d’en rire, et d’en rire souvent. Le problème c’est que Rowan Atkinson restera toujours Mr Bean et qu’il est condamné à ne jamais évoluer. Enfin, à tous les amateurs de rigolade bon enfant, je recommande chaudement cette « British » comédie.
Troisième volet des aventures de l'agent secret anglais le plus catastrophique de l'histoire du MI6 : Johnny English. J'aime beaucoup Rowan Atkinson en général (Mr Bean) mais malheureusement le scénario de ce numéro 3 est bâclé au possible et uniquement prétexte à des gags plus gros les uns que les autres. Certes, j'ai rigolé 3-4 fois mais que c'est lourd dans l'ensemble !! Ce sont en fait les personnages autour de Johnny English qui sont les plus caricaturaux et les plus mauvais au final : la première ministre anglaise déjantée, le méchant geek qui veut dominer le monde, l'espionne soviétique faiblarde et j'en passe... Dommage car cet acteur est vraiment parfois pathétiquement drôle ! Insuffisant ici. --> Site CINEMADOURG <--
Il est sûr que passer de "GIRL" le mardi à "Johnny English contre-attaque" le vendredi m'a surprise mais je ne regrette pas. J'avoue avoir bien ri et je pense que le film traite d'un sujet tout à fait actuel et qui pose question sur le tout-pouvoir que certains "génies de l'informatique" ont déjà (DANGER ! ) ou vont avoir si rien n'est fait. Même si pitreries et gags prévisibles il y a, c'est sans lourdeur. Je ne regrette pas ce délassement.
On avait bien raison de ne rien attendre de ce Johnny English Contre-Attaque tant il fait dans le réchauffé. Si Rowan Atkinson assure à nouveau le job en renfilant le costume d"agent secret et en réussissant parfois à nous étonner de pouvoir encore tenir physiquement le rôle à 63 ans, il est quasiment le seul véritable ressort comique de ce long métrage au scénario anémique et sans la moindre ambition. Les plus grands fans de l'acteur se réjouiront certainement de le retrouver en grand forme mais pour ceux qui ne le connaissent pas, Johnny English Contre-Attaque risque fort de de se retrouver vite fait dans les énièmes comédies d'espionnages aussi vite vu aussi vite oubliées. [lire la critique complète sur FreakinGeek.com]
J'ai trouvé ce "Johnny English frappe à nouveau" (meilleure traduction que "contre-attaque" selon moi) légèrement en-dessous de son prédécesseur, malgré la moyenne spectateurs plus élevée que pour le second volet. L'histoire a un goût de déjà-vu - bien qu'elle soit quand même agréable à suivre - et est prévisible. On passe malgré cela un sympathique moment de cinéma.
3/5 Pas mal. On connaît l’humour et il faut dire que la surprise est moins présente mais on conserve l’esprit de cette série. On passe un bon moment devant le film et c’est l’essentiel.
Drôle même si beaucoup de blagues ou scènes comiques déjà vues. Toujours un plaisir de voir Atkinson dans son rôle d’agent secret avec deux pieds Gauches. Quelques scènes vraiment top telle que la scène des lunettes 3D 😆
Évidemment, les gags ne sont pas fins (ils sont même assez lourdingues pour la plupart, mais moins que pour le second volet). Évidemment, Rowan Atkinson vieillissant, nous avons droit à un surjeu cliché de Mr Bean, poussif depuis "Johnny English, Le Retour". Mais il faut reconnaître que l'on rit, ou même sourit, assez souvent grâce aux facéties de cet acteur toujours partant pour se ridiculiser, pour notre plus grand plaisir. Un bon point également : le retour de Bough, qui nous manquait énormément pour son pragmatisme désabusé face aux bêtises de son patron... Un peu les Don Quichotte et Sancho Panza modernes, en Aston Martin rouge et luttant contre les cyber-attaques au Royaume-Uni...en passant par le Sud de la France ! Un passage hilarant aura été l'imitation caricaturale de l'accent méditerranéen (pour quelqu'un qui y vit, une horreur jouissive à prendre absolument au second degré pour ne pas s'en vexer !). La fin est un grand n'importe quoi, qui est clairement à destination des bons publics pour les comédies faciles et lourdes. De même que l'on voit arriver chaque gag trois minutes avant (on dit de ne pas faire quelque chose... et il la fait, immanquablement. Ça s'arrête là pour l'inventivité). Et un scénario vraiment léger, qui pompe sur le premier volet (spoiler: l'échange de smartphones comme les CD, la diffusion de la vidéo devant des gens médusés, le renvoie de English qui l'outrepasse grâce à un acolyte... Copier-coller le premier opus, qui restera pour ma part le meilleur de très loin). Amateurs de comédies loufoques mais faciles, foncez. Rien de nouveau ni même d'imprévisible, mais quelques séquences amusantes comme la réalité virtuelle ou le dîner au restaurant.
Une comédie au scénario servant juste pour prétexte à accumuler les scènes comiques. Les personnages sont totalement inintéressants et l'humour est extrêmement limite. Un film très inégal mais qui se laisse regarder.
Un comédien au talent toujours indéniable qui sans parler nous fait passer des vagues d’émotions. Un bon moment, on rit, on se laisse porter par cette histoire déjà un peu revue.
Un bon moment de rigolade avec ce film. Suis pas fan de Mister Bean mais dans ce rôle moins poussif excellent. A noter l acteur de meurtres au paradis à ses côtés pas mal non plus !
Les derniers films avec le célèbre acteur humoriste anglais Rowan Atkinson ( alias inénarrable et irrésistible "Mr Bean") n'étaient vraiment pas enthousiasmants - c'est le moins qu'on puisse dire. Mais là : bonne surprise. Retour de l'humour Mr Beaniesque en fanfare. Emma Thompson en Prime Minister va s'énerver ....pour notre plus grand plaisir. Et le monde va vasciller sans sourciller ! À voir bien-sûr.