Bonsoir. Je ne puis exprimer la puissance de ma déception. Un film promet souvent monts et merveilles, celui-ci avait pour ambition le paradis labyrinthique d'un casse-tête chinois digne d'une dynastie oubliée. Manque de bol, j'ai deviné la fin en 4 minutes et 56 secondes. L'enfer a un nom : VIVARIUM. Nous pourrions résumer la performance du réalisateur, de l'équipe technique, et celle des acteurs en 4 lettres : N.A.Z.E. Cet objet, non pas un film, est NAZE. De long en large, et même en travers, où il nous reste d'ailleurs. (P.Jackson, a sûrement été inspiré pour les longueurs par ce long métrage qui ne vaut pas plus qu'un masturb-cerveau à 5 euros bois de Boulogne. Pardon, film effet tarif réduit fin de soirée dans bout d'allée, projet mal avisé. ) Une touchade solitaire aurait été une bien meilleure soirée. Mon conseil, passez votre chemin, lisez un peu, ça vous fera les pieds, je vous le dis avec amitié. Dédicace à toutes les têtes d'ampoules et les Jean-Cinéphile qui auront trouvé leurs plaisir onanique à parler de cette purge à une gamine à la majorité sexuelle pour finir par la prendre dans une position minable à 3 grammes dans une soirée dont personne ne se souviendra. Merci.
Vivarium : " Endroits où l'on garde et on élève de petits animaux vivants en reproduisant leur habitat naturel. " On ne pouvais pas trouvé mieux comme titre. En effet, ce film fait l'étude du confinement social, des comportements, et de la reproduction biologique OU PAS, dans une histoire glaucque et horrifique. C'est à ne rien y comprendre et pourtant Vivarium arrive à nous éblouir, sans qu'on ne send rende compte, grâce à une mécanique bien pensée et une esthétique originale. L'homme creuse sa propre tombe... À méditer ou pas :)
L'idée est intéressante mais finalement pas développer. En soit on tourne en rond mais on avance pas réellement. spoiler: Seul le moment où l'un des protagonistes tentent de tuer l'enfant (devenu adulte) amène à un semblant d'avancement mais en fait non, retour à la case départ. Certes cet élément nous permet de comprendre un peu plus l'avancement du film. Mais justement il n'y a pas d'interaction réellement avec les lieux alors que spoiler: l'idée de labyrinthe était bonne...
Mon dieu ! Mais qui est capable à ce jour de faire un film aussi nul et sans intérêt ! Comment et il possible qu une personne saine d esprit puisse dire que c est un film bien ! Tout est mauvais ! C est inssuportable de longueur c est ni un film d horreur ni de la science-fiction ! Quelqu un a t il pense au scénario ? De toutes ma vie j ai jamais rien regarder d aussi insipide. Passe votre chemin il n y a rien dans ce film ... meme pas une émotion de dégoût juste une perte de temps ! Odieux !
NON NON NON !!!! Je m'attendais tellement à mieux ! La bande d'annonce me mettait mal à l'aise...le scénario était vraiment bon et le casting était intéressant ! Mais bordel c'est long,c'est chiant et toutes les minutes ça veut faire passer des messages sans sens ! Je suis vraiment 50/50 mais je suis tellement déçu.
Mais quel dommage ! L'esthétisme est pourtant parfais. Dès le début, le film pique la curiosité. On sent bien une atmosphère étrange.. Avec une mise en scène qui a du style. Le concept est attirant.. Puis on attend, on attend..Et les rebondissements ne viennent que tardivement et surtout rarement. Un long métrage qui aurait fait un superbe cout métrage. Trop de longueurs et quelques incompris. Il faut faire travailler son imagination. On reste sur sa faim.. Une grande déception...
Tous d'abord je tien a dire que j'aime ces propositions de cinéma, c'est innovent, ça prend des risque et sa fait parlé et débattre, et peut importe que j'i aimé ou non le film, ça ne changeras pas ça . Voilà une fois cela dit parlons en de ce "Vivarium" : Tous dans ce film était attirant, l'affiche, les acteur, le pitch, j'étais vraiment conquis par tous ça, et le début m'a conforté dans l'idée que j'allais passé un moment étrange et particulier devant ce film. Tous d'abord cette teinte verte-bleu et l'esthétique épuré du film donne vraiment dés le départ une impression très étrange, le film arrive très vite a nous titillé et a nous embarquer dans son monde et son univers a la fois étrange, confortable, malsain et anxiogène. on as envis d'en savoir plus, de découvrir les tenant et aboutissant de toute cette histoire. Les personnages sont tous les 3 réussi et bien interprété. Malheureusement une fois le postula de base posé le film ne raconte plus grand chose, je ne me suis pas ennuyer car le film reste relativement court et l'originalité de son propos permet d'être toujours intriguer et en questionnement. Mais une fois le visionnage terminé on ce demande quand même si un court métrage n'aurais pas suffit car mise a part cette métaphore acidespoiler: sur la vie dans notre société le film ne parvient pas as recoller tous les morceaux de sont intrigue et a nous proposé une fin surprenante, on reste un peu sur notre faim d’ailleurs... Beaucoup de questions reste donc sans réponse spoiler: (C'est quoi finalement cette chose-enfant ? D'où vient cette créature ? quel est sont but ? comment les carton de nourriture arrive ? Qui est l'homme que l'enfant imite ?...etc) Certaine scènes et certain élément sont mit là pour renforcer la métaphore et la seconde lecture du film mais le problème c'est qu'ils n'on pas de signification dans la lecture de base du film et donc forcement pas de réponse sensé aux questions qu'ils soulèvent. "Vivarium" est tous de même très intelligent par certain aspect de sa métaphore de la vie "standardisé" et le capitalisme, il nous montre l'horreur qu'est un système trop carré et uniformisé qui nous enlise dans une vie morne et prévisible, c'est un appel a vivre sa vie en dehors des codes tous tracer. Un message assez pessimiste sur notre société. Un film très intéressant et original donc mais qui pêche dans sa durée car il ne raconte pas suffisamment, n'apporte pas assez d'éléments nouveaux pour nous surprendre et nous laisse sur une fin mitigé qui peut être considéré au choix frustrante et (un peu trop) libre a l’interprétation .
Une fable sur notre mode de vie très aboutie, avec un mystère épais bien nourri, 'otamment au moyen d'une interprétation de première qualité. Aurait pu durer 20 mn de moins, mais pas moins. A voir quand on fréquente les agences et les agents immobiliers, et aussi quand on ne supporte plus son rejeton.
Film concept intéressant et qui tient (tout juste) sur la longueur. En revanche, contrairement aux apparences il n'est pas du tout subversif... (et je pense qu'il est supposé l'être dans la tête de ses créateurs). Belle performance pour une idée très casse-gueule.
Plus ou moins raté lors de sa sortie quelques jours avant le confinement, content d'avoir pu « rattraper » ce « Vivarium » en en sortant, car nul doute que celui-ci vaut le détour à bien des égards. Son propos, d'abord : cette logique presque fantastique d'enfermement, sans la moindre possibilité de sortir de la ville et d'être presque obligé de rester dans une maison qui n'est pas la nôtre (même si elle le deviendra par la force des choses), je trouve ça vraiment intrigant, pour peu qu'on en fasse quelque chose, ce qui est relativement le cas ici. La mise en scène, ensuite : nul doute que Lorcan Finnegan sera un nom à suivre tant il sait à la fois exploiter son décor anxiogène et instaurer une ambiance étouffante, presque malsaine, éminemment renforcée par cette incroyable idée spoiler: d'enfant mutant , faisant définitivement basculer le récit vers une forme d'angoisse aussi singulière qu'originale. Dommage, alors, que le film souffre de quelques longueurs (toujours compliqué de tenir sur la durée avec une idée réjouissante mais devant fonctionner jusqu'au bout) et, surtout, d'un vrai manque d'explications sur le pourquoi du comment : autant je suis rarement pour le « tout expliquer », mais là, ce n'est même plus de la suggestion : juste quelques vagues pistes où l'on vous dit « démerde-toi avec ça », enlevant une part de vertige et laissant un certain goût d'inachevé, d'autant qu'il y avait forcément mieux à proposer que ce dénouement assez bancal. Pourtant, Finnegan avait vraiment toutes les cartes en main pour réussir son coup, optant clairement pour le choix du spoiler: pessimisme et de la noirceur , excellemment retranscrits par Jesse Eisenberg et surtout la toujours splendide Imogen Poots, pour laquelle ma passion grandit à chaque nouveau titre. De l'audace, donc, à saluer en ces temps de consensus mou, rendant vivement fréquentable ce « Vivarium » doté de talents multiples, échouant « seulement » à nous convaincre totalement de sa démarche avec une conclusion digne de ce nom : frustrant, et pas qu'un peu...
Sur le papier, cela avait l'air très excitant. Quelques chose de Black Mirror dans la bande-annonce (qui, bien sûr, en montre beaucoup trop). On pense beaucoup à la série, et ceci pourrait en être un des épisodes. Au final, c'est prenant, étrange, et rien ne nous est expliqué, ce qui est aussi bien, chacun se fera son avis. Une angoisse qui monte progressivement pour une descente aux enfers parfaitement orchestrée. Mise en scène solide, scénario surprenant (abordant plusieurs thèmes actuels, engagement, consumérisme, maternité, couple...), et une très belle interprétation d'ensemble. La direction artistique est magnifique et rend le tout encore plus anxiogène. Manque peut être un peu plus de glauque, de puissance, mais voilà un deuxième film pour le réalisateur irlandais Lorcan Finnegan bien maitrisé et intéressant. On est curieux de voir la suite pour lui. Ce Vivarium, sans révolutionner le genre, nous fait donc passer un moment stressant tout autant que distrayant. Une bonne surprise.