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    Vivarium
    Note moyenne
    2,6
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    330 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 juillet 2020
    Film avec un assez bon début mais très vite sans histoire.
    La fin est extrêmement nul!!
    J'ai perdu 1h30 de mon temps avec se films sans but réel. Je m'attendais à une fin plus explicative sur le déroulement du films et de certaine action mais rien.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 juin 2020
    Heu... comment dire ?
    C'est un film ? C'est une critique de la vie stéréotypée et avilissante qui nous attend si nous nous fourvoyons dans l'utopie de l'accession à la propriété ?
    Ben alors il suffit de regarder une carte postale pour passer les plus belles vacances de sa vie !
    Avoir de l'imagination, c'est bien, mais prétendre que ce film est caustique et dénonciateur est confondre une introduction avec une oeuvre philosophique.
    C'est juste chiant, non abouti et prétentieux.
    A moins d'y être contraint, ne regardez pas cet ersatz d'oeuvre cinématographique, vous vous epargnerez une heure et demie d'ennui et de consternation.
    Remi S.
    Remi S.

    13 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2020
    La force implacable de *Vivarium* signé Lorcan Finnegan est cette plongée métaphorico-horrifique d'un jeune couple dans la terreur d'une petite maison située dans un lotissement monotone et pluriel dans lequel réside en profondeur le spectre inévitable du modèle de la famille nucléaire. Un destin souvent vu comme inévitable pour un couple d'une trentaine d'année. Un film d'horreur qui tente des choses, mais qui ne parvient pas non-plus à viser plus-haut !

    Gemma (Imogen Poots) et Tom (Jesse Eisenberg), jeune couple d'une vingtaine ou trentaine d'année, s'aiment passionnément et ont pour projet d'investir dans leurs première maison. Lorsqu'ils franchissent la porte d'une agence immobilière à priori banale, ils sont accueillis par un de ses mystérieux vendeur de rêves. De là, les deux tourtereaux sont conduits vers une maison au cœur d'un grand lotissements soit-disant idéal, pour venir faire la visite de la fameuse résidence n°9 jugée comme un endroit rêvé : cette maison et ce quartier ne les laisseront malheureusement pas sortir indemnes. De ces premières minutes de film, nous comprenons que Lorcan Finnegan va nous conduire au cœur d'une autre vision du modèle immobilier moderne où prospérité et sérénité sont censées être soit-disant les maîtres-mots !

    Dans ce décor à la fois fortement imaginaire et tranquille se cache une réalité sordide à travers laquelle il n'est pas possible d’échapper. Cet immense lotissement où chaque maisons sont identiques, propulse les deux protagonistes vers un avenir à la fois vu comme inévitable pour un jeune couple actif, et vers une matérialisation rapide de leurs vies futurs entre la lassitude, l'éducation d'un enfant et plus horrible encore, vers une naissance d'une forme de violence intra-familiale qui rajoute encore une dimension de terreur à un milieu déjà redouté depuis longtemps. Les difficultés de la vie sont littéralement modelées en fonction de ce quartier monotone et généralisé. La vie devient à l'image de cet environnement lucratif pour ses gérants en cravate : simple, répétitif et angoissant. Lorcan Finnegan met à mal le monde de l’immobilier, de la consommation et en général de la société post-industrielle dans une déconstruction horrifique d'un univers où les plus gros mangent les plus petits. Où la vie se résume à ''métro-boulot-dodo'' et où le travail dur ne permet pas souvent de voir une lueur de sérénité et d'un monde plus paradisiaque. Au sein de ce cauchemar ambulant dont la fin est invisible à l'image de *The End* de Guillaume Nicloux, *Vivarium* dépoussière à sa façon le cinéma d'horreur et propose une mise en abîme certes fortement métaphorique, mais qui fait peur !

    Mais le choix volontiers de traiter la surface du récit en construisant cette terrible vision du monde urbain est à la fois une qualité pour ce film innovant, mais s’avère en même temps comme une limite. Au-delà de la regrettée mise en scène, c'est une certaine répétition qui pourrait nous agacer face à *Vivarium*. Bien conscient de la vérité qui défile interminablement, les deux personnages tournent souvent en rond et prouvent surement une des limites du long-métrage de Finnegan qui s'avoue certes intéressant, mais comme cité en introduction : ne vise pas plus-haut !

    *Vivarium* n'en demeure pas non-plus une oeuvre raté et réussi à offrir une facette terriblement horrifique à un monde moderne où l'amour se désintègre au profit d'une monotone routine et à une éducation visant à perpétuer ce milieu mangeur de perspective en tant soit peu positive !
    Ozz .
    Ozz .

    3 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juillet 2020
    Je suis assez déçue de l'histoire qui semblait, pourtant, prometteuse. Ce film détient un réel potentiel qui aurait eu le mérite d'être mieux exploité. L'ambiance y est froide, sinistre voire bizarre....Le lotissement dans le style "Tim Burton" intrigue de par ses maisons identiques, son silence pesant et ses nuages surréalistes que l'on croiraient tout droit sorti d'un tableau de Magritte. On a envie de comprendre le pourquoi du comment, et au fur et à mesure de film, on est dans l'espoir de parvenir, enfin, a une explication. Malheureusement la fin est dénuée de surprise et c'est ce qui manque cruellement à ce film: un réel dénouement ! Je suis restée sur ma faim. Dommage car l'idée de fond est intéressante...mais trop mal exploitée que pour en faire un film digne de ce nom.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 septembre 2020
    Un film certes pas trop mal fait mais l'histoire et le concept n'ont pas de sens.
    Peu intéressant et sans rebondissements.
    Did
    Did

    12 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2020
    Film Australien assez décalé et angoissant à l'esthétisme parfait.
    Digne d'un mix d'un épisode de "La quatrième dimension " et " Black Mirror"
    jonathan campeas
    jonathan campeas

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2020
    Film très intéressant dans sa symbolique
    Aucune échappatoire n'est possible pourLes personnages principaux
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 mai 2020
    Des films comme celui-ci, on en voit plus que rarement ce qui le rend que plus précieux. Un scénario, qui ne photographie, des acteurs, une ambiance totalement innovante. Une sorte de quatrième dimension au goût du jour aux multiples références au delà des conventions hollywoodiennes. Subversif, innovant , choquant, palpitant, étonnant ! Vous en voulez encore ? Regardez le une deuxième fois !
    Jean-daniel Loiselle
    Jean-daniel Loiselle

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2020
    Un des meilleurs films que j'ai vue depuis très longtemps! Je crois que les mauvaise critique ne comprennent rien du film ou n'aime pas les films intelligent! Tous dans ce film est ultra réfléchi, SPOILER...En gros ils ont voulu nous montré une copie coller de notre société, On recherche le confort du maison en travaillant toute notre vie pour élevé nos enfants en rêvant de plage d'Australie...sans jamais avoir le temps d'y aller...ensuite on meurt
    Ils le montre parfaitement, quand le mari creuse le trou, il va au travail pendant que ça femme s'occupe de l'enfant... lui creuse chaque jour ça tombe en rêvant d'un monde meilleur, mais sans jamais voir ou presque ça famille.... aucune porte de sortie jusqu'à la mort.
    orlandolove
    orlandolove

    114 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2020
    Un concept SF minimaliste et plutôt bien exploité, même si le film manque globalement de radicalité. Un excellent casting par ailleurs.
    Philippe g.
    Philippe g.

    6 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 décembre 2020
    Je n'avais plus de somnifères dans ma pharmacie, ce film m'a permis de remédier à ce fait.
    Beaux décors numériques (plan d'ensemble des maisons) mais scénario trop répétitif, sans aucune progression.
    Nicothrash
    Nicothrash

    293 abonnés 2 931 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2021
    J'aime beaucoup l'idée ! Et ça part plutôt très bien ! L'angoisse du point de départ est palpable, le malaise aussi avec cet agent immobilier des plus louches et ça ne s'arrange pas par la suite ... Pour le coup, on est vite en empathie avec le couple et l'on s'imagine à leur place ... La réalisation est simpliste au possible mais largement suffisante pour le propos et l'ensemble est plutôt bien mené, c'est d'autant plus embêtant que le tableau se noircit quelque peu à cause de la durée du métrage, très mal dosée ! Pendant une longue partie, ça tourne clairement en rond et les quelques rebondissements sont insuffisants, on aimerait simplement que l'intrigue avance et en apprendre d'avantage sur ce qu'il se passe réellement dans cette "ville". Pas la peine de vous emballer, on ne saura pas grand chose de plus lors du final mais pour autant, la critique sociétale est bonne à prendre et le moment fut plutôt agréable malgré les longueurs. A voir une fois au moins.
    Incertitudes
    Incertitudes

    172 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2020
    Vivarium, c'est comme regarder des poissons rouges dans un bocal. L'ennui en moins. Comme tous ces films aussi comme Cube ou Source Code où les personnages sont enfermés, piégés, condamnés à vivre le mêmes événements continuellement. Vivarium ne fera pas exception. Ce jeune couple vivra une véritable descente aux enfers. Jusqu'aux portes de la folie et aucune issue ne semble possible. C'est d'autant plus cruel qu'ils n'avaient pas de rêves fous. C'est un couple de trentenaires qui travaille. Ils sont amoureux, ils souhaitant se poser, acheter une maison. Ils voulaient juste avoir une vie normale. Étant de leur génération, ça m'a parlé d'autant plus. J'ai bien aimé que Gemma surtout ne se laisse pas abattre pour autant et reste étonnamment calme. spoiler: Ses dernières phrases "je ne suis pas ta mère" montrent bien que finalement c'est elle qui aura eu le dernier mot à la fin.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    169 abonnés 1 857 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2020
    Une bonne idée ne suffit pas à faire un bon film. Celui-ci aurait pu durer trente minutes. L'heure supplémentaire relève du remplissage. Dommage, il aurait sans doute suffi d'engager un vrai scénariste pour faire de ce film original un petit bijou. Quant à la critique sociétale signalée par divers critiques, il faut tout de même creuser profondément, comme le principal personnage du film, pour la trouver...
    Catherine V.
    Catherine V.

    50 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juillet 2021
    "Vivarium" est un film avec un postulat de départ qui est intéressant mais qui semble long, très long, car finalement, je n'irais pas jusqu'à écrire qu'il ne se passe absolument rien mais il ne se passe pas grand chose quand même...

    Certes, on peut y voir une ”foule” de métaphores sur notre société puisque tout y passe, et pour avoir lu plusieurs de ses interviews, c'était bien l'intention du réalisateur. Le bien immobilier (la maison de préférence individuelle) dans un lotissement sans âme, la bouffe toute prête, l’absence de contact avec les voisins (qu’on ne voit d’ailleurs jamais), un gosse aussi imbuvable qu’ingrat vis à vis duquel l’unique consigne est de l’élever, l’homme qui se tue à la tâche et creuse littéralement sa tombe (caricature vitriolée du rôle attribué au père de famille très souvent absent du foyer car ”prisonnier” d’un job auquel il s’accroche dans l’espoir d’un avenir meilleur). La femme, elle, qui finit par se résigner à son rôle de mère.

    Je ne veux pas en dévoiler ”plus” mais s’il est évident qu’il s’agit d’une vision très sombre de ce que notre société a tendance à devenir (matérialisme et consumérisme) avec des métaphores cyniques à revendre, volontairement poussées à l’extrême, le côté ”fantastique” avec l’arrivée de l’enfant vient un peu tout, sinon gâcher, du moins perturber l'ensemble, car l’histoire m’a donné l’impression de jouer alors sur deux tableaux sans en développer vraiment aucun.

    Certains n’ont exprimé leur "explication" du film que sous le trait purement philosophique (et surréaliste) du consumérisme. D’autres y ont vu du Cioran, y ont vu du fantastique dans le style des séries comme ”The Twilight Zone” ou ”Le Prisonnier”. On peut penser aussi au film "The Truman Show". Quant aux décors, ils font penser aux tableaux ”L’Empire des lumières”, une série de toiles de René Magritte. Pour l'anecdote, l’une des scènes du film ”L'Exorciste” de 1973 s’était également inspirée de ses toiles.

    On ne sait pas trop quoi penser. Il suffit de lire les avis et commentaires des spectateurs (pas que sur AlloCiné ou SC) qui sont parfois aux antipodes pour avoir la preuve que l’interprétation de ce qui nous est montré peut être bien différente.

    Malgré une intention estimable, une interprétation honnête et un travail au niveau des décors à saluer (tout a été pratiquement réalisé en studio avec trois maisons au total) "Vivarium" est un film qui ne fera pas partie de ceux dont je me souviendrai longtemps.
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