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    Green Book : Sur les routes du sud
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    Amaury R.
    Amaury R.

    11 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2020
    Un film sincère sans exagération et qui évite les clichés concernant le sujet du racisme. Vigo Mortensen est très fort
    ned123
    ned123

    126 abonnés 1 662 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    J'ai vu un film... exceptionnel à tout point de vue... L'histoire est vraiment touchante et nous présente un monde que l'on ne connaît pas, celui de la ségrégation active... C'est incroyable de penser que ce monde-là est si récent. Viggo Mortensen est prodigieux dans ce personnage truculent, haut en couleur... qui est littéralement entrée dans la peau d'un italien sorti de la série "Les Soprano" ou du "Parrain"... Mahershala Ali, lui, prend toutes les poses d'un pianiste de génie, qui bien que noir joue de la musique classique comme personne. Ce film est touchant car il montre comment 2 hommes que tout oppose dans leur style de vie, dans leur façon d'être et dans leur fibre ont touché le coeur de l'autre, et des spectateurs. C'est un film où l'on rit beaucoup, où l'on est touché par la grâce, où l'on se laisse porter par idyllique idée que "si tous les gars du monde...". C'est un film qui a une âme immense... A voir...
    Kevin dioles
    Kevin dioles

    39 abonnés 668 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2020
    Deux cultures différentes, celle du Dr Shirley, pianiste renommé, et celle de Tony Vallelonga, un videur italo-américain venu du bronx. Le Dr Shirley est un homme distingué, applaudi pour ses qualités artistiques, mais en 1962, dans cette Amérique, pas très apprécié pour sa couleur de peau. Celui-ci va engager Tony pour être son chauffeur pendant deux mois, durant lesquelles ils devront apprendre à se connaitre. Pendant cette longue tournée de galas, Tony, gros dur au coeur tendre, va mettre à rude épreuve ses préjugés afro-américains, en découvrant cette politique ignoble qu'entretient la ségrégation sud américaine. VIGGO MORTENSEN (le seigneur des anneaux) bien enrobé, dans le role de Tony, une grande gueule qui dérape par ses attitudes, et par son vocabulaire pas très recherché, est irresistible par ses méthodes expéditives. MAHERSHALA, en Dr Shirley, personnage humaniste, d'une droiture irréprochable, devant des actes d'humiliations, stimule en nous une grande compassion. Grace à un total respect de l'un envers l'autre, qui est loin d'etre gagné d'avance, ce voyage agité, fera évoluer leur amitié. Un rode movie drole et émouvant sur fond de racisme. Un scénario élaboré avec la collaboration du fils de Tony Vallelonga, Nick, apportant à cette histoire vraie, un très joli message d'amitié et de tolérance.
    kal-el 02
    kal-el 02

    97 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2020
    J’ai aimé Green Book : son duo savoureux, sa gouailleuse interprétation des italo-américains, sa représentation à la fois tendre, admirative et lucide du génie musicien, son humour et la tendresse avec laquelle il établit les règles d’un buddy movie visant à rendre inséparables deux individus que tout oppose, par l’ironie incomprise par l’un ou le franc parlé bienfaisant pour l’autre, l’apprentissage des lettres d’amour et la gestion des poings dans la gueule. J’ai aimé les titres 60’s qui rythment ses clubs, ces paysages qui défilent, cette carte postale d’une Amérique qu’on idéalise toujours un peu trop, parce qu’elle a su fabriquer sa propre légende, et qui prend soin de s’égratigner par instants, même si elle sait quelles limites se fixer.
    La culture peut rendre intolérant à l’égard de la fiction, et des artifices qui sont forcément mobilisés dans une œuvre d’art. Mais parce qu’être cinéphile ne doit pas se confondre avec le fait d’être vivant et d’ouvrir les yeux sur le monde réel, on pourra aussi trouver, dans les œuvres sincères, de quoi nourrir son rapport à l’humanité, ses plaies, ses questions et ses contradictions.
    Les coutures sont donc bien là, elles grattent un peu. Mais l’étoffe reste chatoyante et la coupe est classieuse. On fera avec.
    marmottefurieuse
    marmottefurieuse

    7 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    Un très bon film basé sur une histoire vraie sur fond de ségrégation ayant malheureusement sévi au sein des Etats-Unis d'Amérique jusqu'au milieu des années 60. Nous assistons à un périple durant lequel deux hommes que tout oppose (pour schématiser, l'un est cultivé, raffiné, homosexuel et noir et l'autre est un blanc d'origine italienne, hétérosexuel et inculte) vont apprendre à se respecter (et à s'apprécier) pour devenir au final de vrais amis. Une belle histoire bien racontée qui mérite les critiques élogieuses quasi-unanimes.
    Les plaisirs des mots
    Les plaisirs des mots

    4 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2019
    Par où commencer pour parler de Green Book ? Je vais commencer avec les bons points, parce que pour moi c'est ce qui constitue majoritairement ce film. Déjà, il faut le dire, Green Book est un joli film. Il traite donc de la ségrégation avec ce livre qui donne son nom au film : le Green Book, horrible livre qui vise à séparer les noirs des blancs en essayant de faire passer ça pour un gentil guide de voyage. Et il parle également de deux hommes, le Dr. Don Shirley, et Tony Vallelonga, qui vont nouer une belle amitié malgré ce qui les séparent. J'ai trouvé les deux acteurs, respectivement Mahershala Ali et Viggo Mortensen, vraiment très justes et convaincants dans ce film. Shirley est une sorte de paria, ni noir ni blanc, et cette contenance, cette feinte perpétuelle dans laquelle il se trouve quant à sa condition ont été à mon avis très bien rendues. Pour Tony, cet étrange personnage qui ne cesse de manger et qui n'a que pour lui l'art d'entourlouper ceux qui l'entoure, Viggo Mortensen a dû prendre beaucoup de poids, mais il ne s'est pas contenté de ça, et j'ai trouvé sa prestation à la hauteur de sa nomination aux Oscars.

    Ensuite, malgré une intrigue que j'ai trouvée un peu plate - le contexte offrait je pense la possibilité de raconter les choses d'une manière différente - ce film nous offre de beaux moments d'humanité, entre ces deux hommes qui sont pourtant si peu fait pour se comprendre et s'apprécier. La façon dont ils s'attachent l'un à l'autre et les partages qui en résulte à l'écran (pour les lettres, ou l'indignation de Tony face à certains agissements des autres) sont pour moi ce qu'il y a de plus intéressant dans Green Book.

    Malheureusement, je trouve qu'il y a tout de même beaucoup de moments attendus. Nous savons dès le départ que Don Shirley va être victime des plus ignobles marques du racisme tout au long de son voyage, et en soit... peut-être que pour moi dans ce registre là le film ne va pas assez loin. Oui, un noir, même brillant de talent, à cette époque là n'était épargné d'aucun affront, et c'est mal, mais ça nous le savions déjà. En cela, je trouve que le film manque de profondeur, il manque une émotion supplémentaire à laquelle nous avions légitimement le droit de nous attendre, puisqu'il a été élu meilleur film de l'année aux Oscars.

    Green Book a donc obtenu l'Oscar du meilleur film, et cette victoire a été très controversée dans les médias. Pour moi, c'est indéniablement un bon film, et je ne lui enlèverais pas ça, mais... je ne pense pas pour autant qu'il vaille un Oscar (enfin, c'est mon avis de manière générale, je n'ai pas vu les autres films en lice, donc je ne sais pas si il y en avait un qui l'aurait davantage mérité). Traitant de la ségrégation, Green Book m'a forcément fait penser à La couleur des sentiments (ou The help en anglais), qui parle lui des bonnes noires vivant au Mississippi. Pour moi, La couleur des sentiments est un film magnifique, auquel je donnerais sans hésiter cinq étoiles, et qui aurait largement mérité un Oscar ; à côté, je trouve Green Book un peu trop léger, les bons sentiments sont trop mit en avant, pour parler de cette époque où en réalité les noirs ont été persécutés, et ont subi des violences bien plus grave que celles auxquelles se retrouve confronté Don Shirley.

    Bref, malgré ces quelques points nébuleux, Green Book est un film qui vaut le coup d'être regardé, parce que ça fait tout de même du bien, et parce que les deux acteurs en tête d'affiche ont vraiment fait du bon travail.

    https://www.lesplaisirsdesmots.fr/green-book-sur-les-routes-du-sur/
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    584 abonnés 2 755 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2019
    Green Book porte en son titre le périple à venir, cette somme de trajets et de haltes musicales qui suivent le planning de l’artiste et s’égrainent, la nuit tombée, dans deux hébergements que le fameux livre vert permet de distinguer. Il orchestre ainsi une rencontre, celle de deux cultures opposées qu’un espace clos – la Cadillac bleue avec, sur le siège de devant, des restes de nourriture tout près du paquet de cigarettes et du journal – va réunir : au volant, Tony, populaire et bon vivant qui peine à museler son franc-parler ; sur la banquette arrière, le docteur Don Shirley, musicien précieux et cultivé. Et ce qui devait arriver arriva : le conflit initial se mue peu à peu en découverte réciproque, en amitié enfin ; c’est dire que le récit suit une trajectoire similaire à celle d’un apprentissage au terme duquel chacun aura appris de l’autre et corrigé ses erreurs. Œuvre d’intégration qui chante l’humain dans son droit fondamental à la différence, Green Book se démarque néanmoins des stéréotypes ainsi mis en place par l’originalité de son ton et la beauté de sa mise en scène. Car Peter Farrelly réussit l’exploit de conjuguer ce qui fait l’essence de son cinéma – à savoir la grossièreté au service d’une peinture de l’amitié – avec l’âpreté d’une société américaine meurtrie par le racisme et la ségrégation. Or, l’Histoire n’apparaît jamais ici comme démonstrative ou artificielle ; non, nous la vivons avec les personnages, au gré des pauses, des altercations, des repas, des concerts, et de toutes les discussions qui scandent les voyages. Il y a une simplicité et une justesse d’écriture qui suffisent à ancrer notre duo dans leur époque : le langage fleuri de Tony dissone avec la poésie qui se dégage des propos de Shirley, et pourtant les deux niveaux de langue se rassemblent pour jouer à l’unisson l’un de l’autre une même partition. Les lettres adressées à Dolores en sont un bel exemple. Le langage et le corps vont de pair : la lourdeur des formules et des pensées du chauffeur traduisent son appétit et, au-delà des enfilades de cuisses de poulet et de hot-dogs, dont il remporte le concours du plus gros mangeur par vingt-six contre vingt-quatre (50 dollars !), son rapport au monde, un rapport lourd de préjugés. La préciosité de Shirley divulgue mal sa peur devant une violence qu’il ne parvient à contrôler ; elle résulte d’un isolement de sa personne en raison de sa couleur de peau pour les Blancs, de son niveau intellectuel et de sa réussite professionnelle pour les Noirs, deux critères qui l’empêchent de se rattacher à la communauté afro-américaine. Shirley est un exilé, contraint de sillonner des contrées qu’il ne connaît pas et qu’il se contente de traverser, de jour de préférence : descendre de la voiture, poser ses valises pour les rembarquer le lendemain. Encore et encore. L’itinérance est la traduction de son piétinement existentiel, accentué par une sexualité qu’il peine à accepter et ne peut révéler au grand jour. Pourtant, ces thèmes forts – racisme, homosexualité latente – imprègnent l’œuvre sans jamais l’envahir, y coulent de la manière la plus naturelle qui soit, aidés par des dialogues subtils et des acteurs au sommet de leur art. Car la relation qui unit Viggo Mortensen à Mahershala Ali a ce quelque chose de beau, cette pureté du geste où un simple regard en dit plus long que le plus long des discours, qui la rend magnifique, bouleversante, inoubliable. Et on vibre devant Green Book au volant de la Cadillac bleue : on aura rarement fait une aussi belle rencontre de cinéma, bercé par ce mélange de classique et de jazz, de poésie et de grossièretés, de salade et de pizza dévorée sur un lit d’hôtel (après l’avoir pliée en deux, type sandwich). L’une des œuvres les plus importantes de l’année 2019, et un passeport qui invite le spectateur à sillonner l’humain, aussi étroites en soient les routes.
    Stéphane D
    Stéphane D

    92 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    Un road movie sur le "racisme ordinaire" aux USA qui ne force jamais les clichés ou les bons sentiments pour arriver à ses fins.
    Tout est d'une crédibilité parfaite, y compris, chose rare, lorrsque Marshala Ali joue du piano (soit il savait très bien en jouer soit il a du travailler comme un malade).
    La transformation physique de Viggo Mortensen est aussi stupéfiante (+20kgs).
    Enfin c'est étonnant de voir qu'à la barre du navire se trouve l'un des frères Farrelli, spécialistes de la comédie idiote.
    tristan stelitano
    tristan stelitano

    48 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2019
    Ce drame féroce retrace l'histoire du pianiste noir Don Shirley et de son garde du corps blanc Tony Vallelonga. Mahershala Ali et Viggo Mortensen ont tout les deux étaient choisis pour les interprétés. Ils sont impeccables. Ce " Green Book " est une plongée violente de L'Amérique ségrégationniste et ne nous épargne pas sur les préjugés, qu’ils soient raciaux, de classe ou même homophobes en nous offrant en contrepartie, un profond road-trip pleins d'humanité. Un excellent film qui met en scène une très belle histoire d'amitié entre deux individus que tout sépare, dont les préjugés des uns et des autres finissent par les rapprochés. Un sacré coup de cœur.
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    84 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    Au final assez long pour pas grand-chose, ce biopic Green book traite principalement du sujet des noirs aux Etats unis avant de parler de musique. Et le problème c’est qu’il y a des dizaines de films plus intéressant qui en parle mieux. Ici on se contente de retracer l’histoire d’un unique personnage précurseur, mais ça reste très sommaire. Le reste du film constitué principalement de discussions dans la voiture se laisse suivre mais n’est pas franchement passionnant. Heureusement les acteurs sont bons mais l’ensemble manque de conviction et de profondeur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    Magnifique! L’Oscar est bien mérité.
    Le duo fonctionne à merveille , le scénario, la musique, la lumière, les dialogues, la réalisation sont réussi...
    Robrex
    Robrex

    20 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    Autant le dire tout de suite, ce film est purement magnifique ! Il a d'ailleurs reçu trois Oscars, dont celui du meilleur film et franchement, c'est amplement mérité, et on avait déjà là l'un des meilleurs films de l'année 2019. Adapté d'une histoire vraie, celle de la tournée du pianiste noir Don Shirley (RIP) et de son chauffeur et garde du corps Tony Vallelonga (RIP), ou familièrement appelé Tony "Latchatche" dans les années 60 aux Etats-Unis, "Green Book" est un film purement bien construit, généreux, à la fois drôle et touchant et surtout hyper bien réalisé. On s'attache fortement bien aux deux personnages protagonistes, impeccablement interprétés par Viggo Mortensen et Mahershala Ali. La mise en scène est juste parfaite, on sent vraiment bien l'aspect road-trip bien retranscrit dans ce film. Après, je sais pas si le film suit de A à Z la biographie des deux bonhommes, si c'est un biopic mensonger comme un certain "Bohemian Rhapsody", puisque de base, je connais rien du tout à l'histoire, mais en tout cas, le film est très bien écrit, les deux personnages évoluent bien et le voyage qu'ils entreprennent est passionnant. On prend un plaisir et les voir tous les deux se retrouver dans les situations aussi émouvantes qu'embarrassantes. On peut vraiment parler du point fort du film, c'est le duo que forment Viggo Mortensen et Mahershala Ali, car plus le film avance, et plus leur relation devient intéressante et prenante. En effet, les deux compères ont une personnalité assez différente, et ce sont leur caractère qui se combinent qui fait parfaitement la force du film. Autre point positif, au niveau de la mise en scène, c'est le côté concert de jazz qui est vraiment emballant et également tous les décors de l'époque qui rappelle bien l'aspect des années 60. Si je pouvais citer les petits défauts du film, je dirais que la musique est un peu timide, sauf bien sûr pendant les moments de concert de jazz et que les personnages secondaires sont beaucoup mis en retrait (en même temps, vu que le film se centre essentiellement sur Tony Vallelonga et Don Shirley, c'est pas vraiment trop grave). Quant au casting, comme je le disais, tout est ok au niveau des deux acteurs principaux. Bon déjà Viggo Mortensen, on peut carrément dire que c'est l'un des plus grands acteurs mondiaux, car encore une fois, il bluffe bien. On voit tout de suite qu'il a fait exprès de prendre du poids pour endosser le rôle de Tony Vallelonga, mais il joue impeccablement bien. En plus d'être au volant d'une superbe chevrolet, le tempérament de son personnage qui a tendance à prendre tout à la légère passe bien, mais il peut également faire preuve d'une grande profondeur et sa relation avec sa famille est tout aussi prenante qu'avec celle qui a avec Mahershala Ali. Il aurait pu mériter l'Oscar du meilleur acteur car sa performance est une fois de plus à son sommet. Mahershala Ali dans le rôle de Don Shirley est également très bon et a bien mérité son Oscar du meilleur acteur dans un second rôle. Car en plus d'être un pianiste de talent, il s'implique très fortement dans le caractère réservé, mais également battant de son personnage, qui lutte contre le racisme, et comme je disais, sa relation avec Viggo Mortensen brille aux éclats, montrant le lien fort entre eux et une amitié qui éclot petit à petit malgré leurs caractères opposés. Linda Cardellini, même si elle est nettement mise en retrait, joue très bien aussi et a pas mal de charme. Sa relation avec Viggo Mortensen est moins impactante, mais marche bien quand même. Les autres acteurs, Dimiter Marinov, Mike Hatton, Iqbal Theba, P. J. Byrne, Sebastian Maniscalco... s'en sortent bien aussi. En conclusion, "Green Book : Sur les routes du Sud" est un biopic remarquable, un excellent road-trip movie bien mené, une histoire d'amitié passionnante, bref, un bijou. Vous pouvez donc vous y jeter sans soucis, car même si le film dure assez longtemps, c'est très bien rythmé, on s'ennuie pas et on passe un très bon moment. Je sais pas si on va encore parler de "Green Book" avec les années à venir, mais j'espère que les gens n'oublieront pas ce film rempli de bonnes intentions.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 novembre 2019
    Les années se suivent et ne se ressemblent pas, du moins aux Oscars et par rapport à ma sensibilité.
    Tout a été dit par rapport à ce film et je n'ai pas grand chose à rajouter, excepté qu'il faut l'avoir vu une fois pour pouvoir juger de sa qualité et de ses défauts.
    A voir une fois, de n'importe quel bord politique ce soit, et en prenant en compte que ce que vous voyez est encore de vigueur aux EU, suivant les Etats.
    CoachLBV
    CoachLBV

    8 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 novembre 2019
    Merveille, purement et simplement.
    Je suis tombé dessus un peu par hasard et j'ai pris une grosse claque.
    Deux acteurs super justes, une histoire sans aucun temps mort et pour le reste... je vous souhaite un excellent film. ;)
    Foncez !
    mickmarc
    mickmarc

    6 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2019
    Un pure chef d'oeuvre. Le sujet du racisme est tellement bien traité. Film vraiment bien réalisé, bien joué. un film rempli d'émotion et par moment assez dur.
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