Avis : Nicky Larson et le parfum de Cupidon - Page 5

Surfer sur la culture d'une époque ne suffit pas. Malgré les efforts de réalisation, la casting et les clins d’œil, Nicky Larson est mauvais et abrutissant.

Franchement, j'ai rit du début à la fin, bravo. Revoir Dorothee et le choix des musiques, vraiment génial. Film que je vais regarder à nouveau.

La bande à Fifi ne m'a jamais déçu et ça continue. Le manga est magnifiquement respecté, l'humour présent et spoiler: les clins d oeil à l univers manga appréciables
. Le perso joué par Tarek Boudali n apporte pas grand chose à l histoire mais il fallait bien lui trouver un rôle. Des guests de renommée, une première scène mythique avec spoiler: Jarry et sa doublure zizi
. Excellent moment passé

Une vraie réussite, et je suis et cinéphile et fan du personnage City Hunter de Hojo.

Avant toute chose, un grand merci à Philippe Lacheau et sa bande d’avoir pris grand soin de respecter l’œuvre (car franchement on ne peut pas dire le contraire après avoir vu le film, n’en déplaise aux haters dont la gratuité de certaines critiques me stupéfient), on sent clairement l’hommage au personnage et à son univers, que ce soit au niveau des personnages, des thèmes développées, et de l’humour très « spécifique » du manga (oui, j’avoue ne pas avoir trouvé d’autre qualificatif �). Donc merci à vous, car le film que j’ai vu avec mes enfants témoigne d’un amour sincère de City Hunter (il est bon de rappeler à ce titre que Tsukasa Hojo, le créateur, a refusé beaucoup d’adaptations avant celle-ci, les trouvant loin de l’univers de son personnage).

Au niveau du film (qui je le rappelle, est une comédie, ayant l’impression que certaines personnes ne le comprennent véritablement pas), franchement je trouve que l’on a ici une réalisation soignée, une mise en scène assez dynamique, avec, oui je le dis, un scénario de qualité qui témoigne d’un vrai travail d’écriture (les personnages secondaires sont creusés, l’histoire est tout à fait adaptée au genre City Hunter (pour les connaisseurs), on a des moments climax, de bataille, de twist scénaristique et tout ça se mélange de manière très simple et très fluide.

Sur les scènes en tant que tel, j’ai bien apprécié les scènes d’action (pas toujours simples à réaliser je pense), et j’ai trouvé que les moments d’humour fonctionnaient très bien (bon, d’accord, je sens qu’on pourrait dire que c’est mon humour à moi qui apprécie, mais comme tout le public (salle pleine) a réagi comme moi, je ne pense pas avoir été spécialement indulgent). Et Enfin, bravo pour tous ces clins d’œil délicats, parsemés çà et là dans le film pour un œil averti spoiler: (la musique des dessins animés dans le film, la présence de Dorothée, Vincent Ropion, JP Cesari, le corbeau qui vole, Hélène qui s’appelle…
je n’en dis pas plus).

Voilà pour moi, et non ne croyez pas que je sois forcément un public facile après cette critique élogieuse. Honnêtement, j’avoue ne pas vraiment comprendre les critiques issus de puristes autoproclamés, car bien sûr qu’il s’agit d’une adaptation (à la sauce de P. Lacheau et sa bande, c’est vrai, mais que je trouve talentueuse par ailleurs), bien sûr que ce n’est pas le Nicky Larson du manga (sinon autant revoir les dessins animés, et là j’ose espérer que personne ne sera déçu), on est ici dans une pure comédie sympathique qui honore l’œuvre originale, mais je sais qu’en France on a un malin plaisir à massacrer le genre (voire carrément la bouder par nos chers critiques experts qui vénèrent depuis des années les mêmes grandes figures sans oser les remettre en question

Donc, si vous n’aimez pas le style d’humour de la « bande à fifi » (qui pour moi se corrèle très bien à celui de City Hunter d’ailleurs), passez votre chemin, ce n’est simplement pas pour vous, mais pour ceux (plus vieux) qui veulent retrouver cette figure de notre enfance, la faire connaître à leurs enfants, ceux (jeunes et vieux) qui veulent passer un bon moment ensemble, foncez voir cette comédie transgénérationnelle, je vous garantis que ne serez pas déçu.

Ils ont respecté l’esprit de Nicky larson du début à la fin. Je regarde les épisodes pour m’endormir quand le sommeil tarde après une journée chargée. C’est vraiment une adaptation très sérieuse. Je comprends à 4000% pourquoi le créateur de l’anime à valider. Toute façon à partir du moment où il a validé faut même pas chipoter. En tout cas je valide pour moi un sans faute toute les émotions sont réunis. Après les gens ont du mal à valider critiquer c’est facile mais faut admettre que le boulot est fait.

Bon film de Philippe Lacheau entouré de sa bande est très drôle, bien délire et le top la présence de Dorothée

le film garde l'esprit potache , de dérision du dessin animé, pour l'intrigue aussi on dirait une parodie, beaucoup d'effet de ralenti, de différents plan de vue, on rigole plus que de s'intéresser a l'intrigue.

Dans le meme style que ces autres films. De gros gags un peu lourdingue mais efficace mais un peu moins nombreux. Et donc des moments tres drole , d'autres moments un peu ennuyeux , un scenario assez faible et tres inegal au final.

Comment dire ?
Je crois qu'il faut appeler un chat un chat et une bouse : une bouse.
Donc : c'est une bouse.
Le manga original n'est qu'un prétexte à une comédie qui se voudrait "déjantée" et qui est juste... d'une effarante stupidité.
Vous aimiez Nick Larson ?
Vous pouvez toujours vous acheter le coffret de l'intégrale !
Ça coute plus cher qu'une place de ciné -soit- mais au moins vous ne serez pas déçu : l'humour et l'impertinence y seront VRAIMENT au rendez-vous.

L'officiel flair d’œnologue de la critique presse se trompe. Ceci est "Le plus gros retournement de veste de l'Histoire" comme dirait l'autre ou pour citer un commentaire "(Shahzad A.) Philippe Lacheau a réussi à faire ce qu'aucun américain ou même japonais n'a pu faire : adapter correctement un manga sur grand écran ; chapeau à lui !" et je dois platement m'excuser pour avoir hurler comme beaucoup avec les loups au visionnage du teaser et à l'appel du hashtag #UneproductionPhilippeLacheau qui s'en est suivi... Etrangement, l'intéressé lui-même avait peut-être conçu ce premier entraperçu - à contre-emploi du principe du teasing - avec la réserve qu'était celle de ne pas montrer ce qui aller faire de son film un authentique et on-ne-peut-plus honorable hommage (donc pas les bandes-son originales, ni les clin-d'oeils et revisites-clés ; le duo d'acteurs secondaires et le rap de Deadpool façon "Luc Besson" présageaient à mes yeux manifestement du pire. Quant au registre prémédité de l'Humour/divertissement au travail d'écriture du scénario, je dois dire que l'argument pouvait à juste titre sonner comme un prétexte à faire du franco-français et nous en remettre une couche après la sortie du non-événement "qu'est-ce qu'on a (encore) fait au bon dieu"... Pouvait-on espérer un miracle dans ce paysage grand public fait de blockbusters hollywoodiens aseptisés d'un côté et de l'autre, de comédies poussives, parfaitement plates et pipées au vote par des chauvins ? Philippe Lacheau nous démontre que oui, qui plus est dans l'exercice tenaillant de l'adaptation, où viennent se poser des tas de questions, de la justesse d'interprétation des références narratives au dosage des registres abordés, en passant par la transcriptibilité du comique et des codes symboliques et expressifs du manga en live action... Le résultat est inespéré, quasi perfectionniste, 400% de loin au-delà de la qualité que j'en espérais. Tout y est. On aurait pu redouter que la réalisation ne tire trop sur la corde des caméos, des clin d'oeils, comme Lacheau l'avait prétendu ("y en aura pleins") mais les insertions sont subtiles (j'en ai d'ailleurs raté deux énormes tellement : spoiler: Jeanne & Serge, Dragon ball
) et ne résume absolument pas le film à une liste de course de la nostalgie. Le jeu n'est pas outré comme on peut le voir habituellement dans ce genre de production, au contraire, les acteurs s'en sortent pas mal du tout et la psychologisation des personnages, qui n'est pour une fois pas survolé ni caricaturale, "prend" totalement - on se met à repenser à la série animée et à mieux comprendre les rapports et les attitudes entre personnages. La relation Nicky-Laura à coup de "je t'aime/moi non plus" et de marteaux arrive ici à toucher, et tout l'équilibre se fait y compris avec les faire-valoir secondaires - Poncho et Skippy - qui ont vraiment leur rôle à jouer dans l'histoire (pas si subsidiaires que ça). Ils amènent une touche de fraîcheur inédite sans pour autant dénaturer le matériau d'inspiration initial, tout comme les gros durs et autres mafieux maladifs qui gardent de la version "Nicky Larson" de City Hunter ce je ne sais quoi de loufoque et pathétique dans la misère que leur fait subir notre héro de l'ombre. Quand bien même le côté gaguesque de "Nicky Larson" est assumé, il n'en reste pas moins que s'y greffe tout ce qui du reste fait le charme du City Hunter papier : les bastons assurent, les plans et travelling suivent impeccablement, le Bad-ass y est - bravo pour l'efficacité et l'originalité de la choré de l'affrontement à la première personne -, la romance, les sentiments et la sensualité aussi (attention à ceux qui ont décidé d'amener leurs petits à l'écho régressif de cette madeleine Club Do, y a quand même quelques tétons et bites dans les plans)... En dehors de ces rares scènes furtives à signaler, pas de vulgarité pesante contrairement à ce que j'ai pu entendre et pas cette prévisibilité parfois relevée non plus, même si, on s'y attend, le Parfum de Cupidon utilisé à mauvais escient sera à l'origine d’interactions hypnotiques et improbables, élément qui relève du prescriptif. Les costumes, la coiffure et le maquillage qui semblaient faire un peu "cheap" ou Cosplay dans la bande-annonce passent par contre étrangement bien dans le résultat final, aidés par une incarnation illusionniste sans doute ? Mystère. Seuls aspects (il est plus juste de parler de détails mineurs) qui m'ont semblé perturbants, l'éclairage un poil crue parfois et l’échantillonnage colorimétrique - une tendance incompréhensible dans la majorité des super-productions actuelles, palette qui n'existait pourtant pas avant - aux bleu turquoise/cramoisi ou orange, certaines bandes-son pour leur part, qui auraient gagné à être amenées de façon plus raccord aux séquences qu'elles accompagnent. Aucune facette typique ou identifiable de l’œuvre de Tsukasa Hôjô n'a cependant et pour conclure été délaissée, pour la satisfaction des plus grand fans spoiler: (exception peut-être de l'ambiance de pénombre méga-urbaine - tout de même installée dans les plans larges aux côtés des immanquables décors de port, d'usine désaffectées, de palace somptueux et autres "love hotels" - et des détourages de silhouette à contre-lumière, plus la phobie des chats d'un certain molosse, peut-être reporté à un prochain épisode ?)
, ce qui au delà du scénario parfaitement ficelé à l'image d'un épisode du manga, viens parfaire le respect que l'équipe de Lacheau a pleinement investi dans ce nouveau et totalement jouissif bébé !

j'avoue que j'y suis allé avec une certaine appréhension en me disant que l adaptation d'un manga par des Français ça n'avait pas beaucoup de sens et que peu de chance d'être correct or quelle bonne surprise au final! Passé la scène du Parc où j'avoue que certains figurants m ont un peu déstabilisé par le manque de réalisme de leur interprétation de panique je suis neanmoins déjà surpris d'avoir ri deux ou trois fois de bon cœur grâce à certains gags originaux et désopilants puis le film s'enchaîne et là je rentre carrément dedans. Je me laisse complètement embarquer dans ce tourbillon d'humour. Je trouve que Laura est géniale, que finalement Philippe lacheau qui pour moi était à priori un blondinet frenchi très éloigné de Nicky Larson rentre bien dans le personnage et l'interprète très bien il lii donne vie et l incarne completement. Je suis très impressionné Par cette synthèse d humour français et de respect de l univers du manga, des scènes d'action qui ressemblent à ce qu'on peut trouver dans le manga qui donne beaucoup de dynamisme, tous les clins d'œil et les références à la période du Club Dorothée qui sont assez savoureux et qui font chaud au cœur quand on regarde le film et qu on capte par-ci par-là. Quelle délicieuse idée d'avoir inclus Dorothée dans le film. bravo à Chantal ladessous et pamela Anderson qui fait preuve d autodérision et qui a un accent bien craquant. Au final j'ai passé un excellent moment. le temps me paraît très court j'en ressors avec le smile, j'ai rigolé comme rarement au ciné, je me sens hyper bien. J 'ai été à la fois ému par la magie de la nostalgie enfantine, j'ai a la foi eu un spectacle très distrayant et archi drôle et cerise sur le gâteau je trouve qu'il y a un énorme respect de l'oeuvre originale qui je pense devait être culte pour Philippe lacheau bref je conseillerai ce film à ton mon entourage ycompris mon père qui n'a jamais connu la période du Club Dorothée mais qui je sais va rire aux larmes encore plus fort que moi devant tout ces gags. Bravo j en veux encore des moments comme ça !

4.2 la note spectateur... vous êtes sérieux? J’adore le manga et durant tout le film j’ai sentit que lachau adore le manga. Mais honnêtement c’est absolument catastrophique.. à part Laura qui je trouve est fidèle le reste des acteurs est absolument catastrophique, des gags à outrance et même quand larson devient sérieux l’on n’y crois pas
...

Film absolument atroce. Comment un fan du manga et de l'animé peut approuver une telle daube. Rien ne fonctionne, ni le scénario, ni l'acting (Didier Bourdon ridicule et Jarry 🤦‍♂️) et encore moins l'humour. C'est lourd, c'est long, à part dix minutes à la fin, on ne retrouve pas le côté sombre et sérieux du manga. Bref, à oublier.

ENFIN !
Un film avec des acteurs qui se rapproche vraiment de l'esprit de la bande dessinée originale.
Ce film français est une vraie réussite aussi déjanté dans le style que dans le choix et le jeu des acteurs sans pour autant négliger un scénario sommes toutes bien construit.
Truffé de clins d’œil et de références manga, il fera le bonheur des amateurs de second (voire même de troisième) degrés.
Philippe LACHEAU entre définitivement dans le club privé des cinéastes dont on attend impatiemment le prochain film.
BRAVO !

Une belle bouse qui surf sur un humour homophobe à l image des navets que lacheau à l habitude de faire avec alibi et épouse moi mon pote ! Vous ne voulez pas d un 2 n allez pas voir le 1