Avis : Star Wars : Episode V - L'Empire contre-attaque - Page 6

Digne suite des aventures de Luke et Leia. Aujourd’hui, Luke doit se diriger vers un maître Jedi, Yoda, afin de devenir Jedi à son tour, comme son père et ainsi vaincre le pire des individus : Dark Vador…

Dans la meme lignée que la guerre des étoiles toujours un chef d'oeuvre!!!

Après le succès monumental de La guerre des étoiles, l'épisode V arrive en 1980 sous le nom badass de L'Empire contre-attaque. Malgré la destruction de l'Etoile Noire dans la précédent opus, l'Empire maintient son emprise sur la galaxie et lancent leurs assauts sur les rebelles une fois retrouvés sur Hoth, la planète glacée. Tandis que Leia, Han Solo, Chewbacca et C-3P0 se dirigent vers la planète Bespin afin d'y retrouver Lando Calrissian (ancien compagnon d'Han Solo), Luke suit les instructions d'Obi-Wan et se rend vers lA planète marécageuse Dagobah afin d'y recevoir l'enseignement de Yoda, le dernier maître Jedi.

Si George Lucas reste au scénario, il laisse la place de la réalisation à Irvin Kershner, qui réalisera Jamais plus jamais et RoboCop 2 quelques années plus tard. L'Empire contre-attaque marque l'arrivée du personnage de Yoda, maître Jedi empli de sagesse et ayant une grande maîtrise de la Force ; en sanskrit, son nom signifie "guerrier", en hébreu "celui qui sait" et "je sais" en grec ancien. S'il fait partie des plus emblématiques de la saga, le film ne le rend pas encore bien marquant, tout comme l'entraînement de Luke reste trop abstrait et élusif.

Le film est surtout rythmé par le très imposant thème impérial, de nombreuses fois réarrangé selon les passages, et au ton bien plus grave que le thème principal de l'épisode IV. Malgré cela, la plupart des scènes peinent à tenir en haleine et quelques longueurs s'installent. Si le duo R2D2 et C-3P0 reste toujours comique, Chewbacca n'est pas vraiment valorisé, tout comme Han et Leia avec leur petite romance. Fort heureusement, la dernière partie du film rattrape largement le tout spoiler: alors que Dark Vador leur tend un piège et affronte enfin le jeune Luke engaillardi.


Le combat est bien plus long et rythmé que celui de l'épisode IV, et également scénarisé avec un Dark Vador bien déterminé à rallier Luke à sa cause. spoiler: Alors que ce dernier se fait priver de son sabre et se retrouve avec une partie du bras coupée (alors que le coup porté à Obi-Wan l'avait étrangement fait disparaître),
une des scènes les plus cultes de la série s'engage sous fond d'une version dramatique du thème impérial, spoiler: avec la fameux "Luke, je suis ton père".
Absolument novateur et cinglant à l'époque, elle respire aujourd'hui un côté nanardesque avec la VF ultra cliché de Luke et ses "non, ce n'est pas vrai [...] NAAAAAAAANNNNN !!", réplique parodiée de nombreuses fois dans des films comme Toy Story 2, Austin Powers 2, Mais qui a tué Pamela Rose ? ou encore Les nouvelles aventures d'Aladin.

spoiler: Battu et traumatisé, Luke s'échappe in extremis à la fin, tandis qu'Han Solo se retrouve emprisonné dans un bloc de carbonite.
A noter que l'Empereur Dark Sidious fait une brève apparition virtuelle dans une séquence où il parle à Dark Vador, ce qui promet du lourd pour la suite. Plus inégal que l'épisode IV, L'Empire contre-attaque reste un film important qui vaut surtout pour sa dernière partie.

Considéré par beaucoup comme le meilleur de la série, j'ai pourtant mis du temps à l'apprécier à sa juste valeur. L'Empire Contre-attaque a la lourde tâche d'ouvrir un nouveau chapitre dans cette franchise après le premier opus qui a été conçu pour se suffire à lui même, et il ne faillit pas. Les enjeux sont encore multipliés puisque nos héros, affublés de nouvelles responsabilités ne doivent plus se contenter de gagner une bataille mais bien la guerre. On plonge également un peu plus profondément dans les mystères de la Force avec Yoda et on est tiraillé avec Luc entre ses responsabilités de Jedi et de Rebelle. Le passage dans le Cité des Nuages est également très réussi avec des effets spéciaux toujours au top, l'introduction d'un nouveau personnage mythique: Lando Calrissian et surtout la plus cultissime déclaration d'amour qui soit: "Je t'aime. -Je sais. "Enfin le film s'achève en apothéose avec LA révélation bouleversante, que personnellement je n'avais pas vu venir (bon à ma défense, je n'étais pas bien vieille la première fois que je l'ai vu). Magnifique!

Une suite encore plus réussit que le premier , sans aucun doute le meilleur de toute la saga. " L' Empire contre - attaque " poursuit les incroyables aventures de nos héros qui lutte contre l’infâme Empire Galactique dans de fascinante batailles et d'incroyable combats épique au sabre-laser. Un des grand chef-d’œuvre du cinéma .

Le succès inattendu de Star Wars, premier du nom, permet à George Lucas de réinvestir dans son récit encore mineur, si l’on considère cet épisode plus sombre et qui travaille davantage les enjeux psychologiques des personnages. Malheureusement, ne pouvant pas mener autant de fronts à la fois, à savoir production, réalisation et financement, il confie la réalisation du film à son ancien professeur de cinéma Irvin Kershner et qui a déjà pu explorer ce métier avec notamment un regard sur la condition humaine dans « Le Mal de Vivre », le western « La Revanche d'un homme nommé cheval » et le thriller horrifique « Les Yeux de Laura Mars ». C’est alors qu’une équipe plus variée vient alimenter cette mythologique déjà bien engagée. Avec Lawrence Kasdan (Les Aventuriers de l'Arche Perdue), en renfort pour les dialogues, et Leigh Brackett (Le Grand sommeil, Rio Bravo, El Dorado, Le Privé) à l’écriture, Lucas ne prend pas de raccourci et explore un filon à la manière d’une tragédie grecque, toujours ancrée dans une modernité bluffante.

Une ellipse laisse place à un nouvel environnement, aussi froid que la première planète que l’on découvre d’entrée. Et pour pimenter l’expérience, on inverse la structure qu’on connaît habituellement, en nous offrant le climax qu’on aurait pu attendre dès le premier acte. Et pourtant, il y a bien plus à explorer dans la psyché de nos héros, notamment dans celle de Luke qui entre dans une impasse et se trouve rapidement confronté à ses craintes et son passé. Son parcours initiatique prend une nouvelle allure, qui surfe sur cette extension d’univers, tout en restant dans une tonalité déchirante. Les héros finiront par se séparer et apprendront à mieux se connaître, jusqu’à aller chercher une romance inattendue et qui donne lieu à l’une des répliques les plus romantiques du cinéma. Voilà donc où réside la force de ce second volet, qui place ses personnages devant l’intrigue. Et ce sera bien le sujet du récit qui fait irrémédiablement office de transition, mais qui se veut provocateur et utile, ce que de nombreuses suites échouent à développer.

Billy Dee Williams rejoint alors le casting et incarne un vagabond de luxe, nommé Lando Calrissian. Affublé d’un élan lyrique, mais surtout comique, on le relie à ce ton sournois qui s’empare de l’intrigue, car comme le titre l’indique, les héros sont mis à mal. Ils sont au même niveau que Lucas qui n’a pas d’autres choix que de prendre du recul sur son œuvre afin de se renouveler. Le pari s’avère gagnant, car la tension dramatique est bien présente, palpable et efficace. Les faiblesses se dévoilent et les cicatrices s’ouvrent avec frénésie, ce qui permet au chasseur de prime Boba Fett (Jeremy Bulloch) et s’épanouir dans l’ombre et dans l’imaginaire des spectateurs, car sa présence à l’écran est limitée, mais il parvient à dégager une inquiétude à en faire une bonne sous-intrigue à son égard. Le point d’orgue sera malgré tout auprès de l’opposition entre l’Empereur Palpatine (Ian McDiarmid) et Yoda (Frank Oz), qui mettra au goût du jour la première menace fantôme, quand bien même la détermination de Vador aura raison de son engagement envers l’Empire. Nous découvrons donc les sillages d’une discipline de l’esprit que l’on apporte avec du mystique, dont l’utilisation devient plus concrète. L’esprit du Jedi emprunte à la foi ce qu’il est impossible de combattre à plusieurs. Nous nous plaçons donc dans un cadre intimiste, où la patience et la perception de ce qui nous entoure seront les clés de voûte d’un ensemble bien huilé et pourtant dévêtu d’un mécanisme apparent. Les conventions sont détournées pour mieux appréhender cette destinée qui ne doit en aucun cas vaincre ces héros qui doivent cueillir la maturité à temps et avec sagesse.

La leçon d’Histoire laissée derrière soi, « Star Wars : l’Empire Contre-Attaque » prend ainsi le relais du premier opus qui a posé de grandes bases. Ce second mouvement explore en profondeur l’aspect humain, tout en continuant d’amener la religion et la philosophie à mûrir dans un environnement hostile et où les protagonistes se cherchent encore. Entre le crucifix de Vador et la pression de menaces invisibles, la Force développe une nouvelle forme de défense et c’est à ce moment qu’on rompt avec l’avancée spectaculaire des protagonistes qui doivent, par-dessus tout, s’armer de leur lien, chose que l’espoir ne peut plus rien entreprendre pour les sortir d’un piège à en faire méditer plus d’un. Les dieux prennent part au duel qui oppose la lumière aux ténèbres, mais le but du jeu n’est pas de savoir qui va l’emporter, c’est de savoir qui aura légitimement mérité sa place et saisi le destin qu’il se sera définitivement créé.

Cette suite est ni étonnante, ni décevante. " Star Wars V " continue dans la lignée des précédents, des personnages toujours aussi fun, un Dark Vador qui se dévoile de plus en plus, et une aventure des plus dépaysante. Les personnages secondaires sont plus ou moins importants dans cet épisode, certains ne valent même pas le coup. Le scénario est plutôt " bof ", en tout cas moi je m'en suis lassé. Le film perd souvent son rythme, et devient très ennuyant. Les effets spéciaux sont bien fichues pour l'époque, mélangeant images de synthèse et monstres en papier mâché. La mise en scène est très intelligente, elle utilise plusieurs techniques, qui se mélangent et fonctionnent très bien. La musique de John Williams est toujours aussi mythique et épique, un travail de génie. Au final, " Star Wars V - L'Empire contre-attaque " est pas du tout un chef-d'oeuvre mais restera pour moi une belle épopée.

Même si l’on n’est pas un fan absolu de Star Wars et que son pouvoir d’attraction est proche du degré zéro (en ce qui me concerne c’est le cas), on se doit tout de même d’être honnête envers cette œuvre et de souligner le côté précurseur et révolutionnaire d’une telle entreprise qui a sans discussion bouleversée les codes de la SF.

Cette suite de "Un Nouvel Espoir" qui est aussi le cinquième épisode de la saga réalisé cette fois par Irvin Kershner mais toujours écrit par George Lucas est, pour l'instant, le meilleur de la saga et il est aussi meilleur que le précédent opus. Cette fois, les personnages principaux sont de nouveau confrontés à l'Empire et c'est dans cet épisode qu'apparaît pour la première fois la célèbre réplique que tout le monde connaît "Je suis ton père". Effectivement, on apprend spoiler: que Dark Vador n'est autre que le père de Luke mais on ne sait pas encore que Leïa est sa sœur.
La trame basique de l'épisode 1 est mise de coté pour offrir cette fois aux personnages une aventure pleine de rebondissements et de mystère, ce qui est une très bonne chose car on prend vraiment plaisir à suivre cette aventure et on ne sais pas vraiment comment elle va se terminer. Le rythme est quant à lui, comme dans le premier épisode, c'est à dire très bon car on se s'ennuie pas du tout, le film passe très vite. Pour les effets spéciaux, heureusement qu'il y a eu la remasterisation car les effets originaux étaient quand même un peu chaotiques mais plutôt quand même bien fait pour l'époque et la marionnette de Yoda, même s'il elle n'est pas géniale, reste tout de même assez réaliste. Au niveau des personnages, on a une réelle avancée du coté de Han et de Leïa qui osent enfin s'avouer leur sentiments réciproques et Luke qui décide de partie sur Dagobah pour poursuivre son apprentissage de Jedi grâce au maître Yoda qui a d'ailleurs prit un sacré coup de vieux depuis les épisodes I, II et III. Ces personnages sont toujours aussi bien joué que dans le premier opus par les mêmes acteurs. "Star Wars : Épisode V - L'Empire Contre-Attaque" est donc un très bon film qui ne fait qu'enrichir une très bonne saga.

spoiler: Georges Lucas abandonne la réalisation pour cet épisode et c'est tant pis pour lui car "Star Wars – Épisode V : L'Empire contre-attaque" est peut-être le meilleur de la saga. Plus sombre et dramatique que le volet précédent tout en conservant son côté drôle et ludique ainsi que sa construction scénaristique avancée, il est tout simplement parfait. Les personnages continuent d'évoluer pour le mieux, tandis que le personnage de Dark Vador acquiert une stature nouvelle, faisant de lui l'un des antagonistes les plus emblématiques de l'histoire du septième art. La mise en scène des scènes d'action est réglée comme du papier à musique de manière à immerger totalement le spectateur dans l'aventure. La bataille sur Hoth est ainsi exemplaire, démarrant le film de la meilleure façon qu'il soit. Les décors proposés sont comme d'habitude extrêmement réussis, amenant une belle diversité selon les planètes proposées. Les scènes cultes sont aussi nombreuses, telles le sauvetage de Luke perdu dans les neiges, la formation de ce dernier par Yoda et bien sûr le moment fatidique au cours duquel
Dark Vador avoue au futur Jedi qu'il est son père. spoiler: Un nouveau monument à ajouter à cette incroyable saga.

spoiler: P.-S. : Veuillez m'excuser, mais il semblerait que je me sois fourvoyé en rédigeant ma critique : j'ai inversé les balises spoiler, ce qui a pour conséquence de mettre en valeur ce qu'il fallait précisément cacher aux yeux de ceux qui n'ont pas vu le film, et je ne sais pas modifier ma stupide erreur. Encore une fois, je suis sincèrement désolé pour tous ceux qui ont appris ce terrible secret par ma faute !

"Star Wars : Episode V - L'Empire contre-attaque" est encore mieux que le précédent. Avec un budget presque triplé, le film ne pouvait qu'être mieux. L'imagination de George Lucas dans cet univers de science-fiction nécessite beaucoup de moyen pour rendre le résultat plus réaliste et encore plus divertissant, et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est réussi. On note bien évidemment la célèbre réplique : « Je suis ton père ! » prononcé par l’emblématique Dark Vador à son fils Luke Skywalker, qui a rendu ce film culte à tout jamais dans l'histoire du cinéma. Les acteurs sont toujours bons, et Harrison Ford en premier. Les quelques retournements de situation rendent l'histoire encore plus passionnante et palpitante. Pari réussi pour George Lucas qui lance définitivement le mythe "Star Wars" avec cet opus, "Star Wars : Episode V - L'Empire contre-attaque".

Sans aucune hésitation et sans nul doute le meilleur opus de la saga, toute trilogie confondue. Par ailleurs, ce n'est pas George Lucas qui a réalisé cette séquelle à La Guerre des Étoiles mais le vétéran Irvin Kershner (Les Yeux de Laura Mars), qui prend la relève de manière absolument brillante. Tout va ici encore plus loin, de la psychologie des personnages aux scènes d'action en passant par un scénario plus rocambolesque et des révélations inattendues. Très sombre, L'Empire Contre-attaque commence mal, finit mal, le tout avec une magie incandescente... De la bataille du début sur la planète Hoth à ce mythique affrontement entre Luke Skywalker et son ennemi juré Dark Vador en passant par une escale mouvementée sur la planète Bespin, le film regorge de séquences époustouflantes mis en scène avec brio par le réalisateur américain. Le scénario, plus malin et moins archétypal, scinde nos héros en deux clans : d'un côté Luke va enrichir son apprentissage Jedi auprès du sage Maître Yoda sur la gluante planète Dagoba, faite de marais sombres et dangereux, de l'autre Han, Leia, Chewbacca et les deux droïdes, pourchassés par un Empire encore intact, vont se réfugier chez Lando Calrissian, vieil ami de Han situé sur la cité volante de Bespin. Une aventure épique donc, gorgée de grands moments et de rebondissements palpitants allant de traitrise malvenue en révélations fantastiques. De plus, c'est tout l'univers de Star Wars qui se dévoile dans cette séquelle, en témoigne la présence de planètes insoupçonnées, de nouvelles créatures diverses et de l'arrivée de l'Empereur, maître et mentor de Dark Vador. Le film regorge d'éléments magnifiques qui en font indéniablement un long-métrage de science-fiction des plus transcendants ainsi que le pilier de la mythologie Star Wars que l'on connait aujourd'hui. Intouchable, irréprochable, intemporel : le Star Wars le plus sombre et le plus tragique de la saga, de plus en plus magnifié au fil des âges. Un chef-d’œuvre.

Un cinquiéme opus toujours aussi excellent. Des combats au sabre, des batailles dans l'espace, le retour de Yoda et la fameuse phrase culte que tout le monde connait, même ceux qui n'ont jamais vu un épisode de la saga.

Après une petite pause de quelques jours me voilà replongé dans les étoiles. Quel étoiles me direz-vous !

L'épisode V de Star Wars est selon moi le plus Culte ! Entre le phrasé de Yoda ( " Do or do not, there is no try " ), la présence encore accru de Darth Vador pas avare de punchline ( " I'm your father " ) et une complexification de lien et de relation entre touts nos protagonistes, ce film fait son effet ! C'est peu de le dire. On développe dans cet opus les changements dans les personnalités, on pousse le cursus et laisse entrevoir des failles, des blessures et en cela joue sur les perceptions, les nôtres y compris. Ce duel au sabre laser entre Vador et Luke est certes magnifique à regarder - à contempler même - il agit surtout comme un détonateur, comme un énorme coup de pied dans une fourmilière pour grossir le trait. Le scénario regorge de passage à analyser en conséquence, à prendre et à détricoter sous tous les angles.

Coté visuel, le film magnifie ses séquences à grand coup d'effet et d'idée. Le désert du précédent long-métrage nous faisait ressentir sa chaleur et son souffre, les paysages enneigés de Hoth eux nous filent des frissons. Irvin Kershner reprend les ficelles de George Lucas ( jamais très loin ) et monte d'un cran. Le coté opératique prend vraiment son sens dans ce second film. La musique de John Williams et le fameux thème dédié à son antagoniste contribue à la monté en puissance de cette suite.

Star Wars L'Empire Contre-Attaque m'a encore scotché, à nouveau, pour toujours je crois.

Le must de Star Wars !
L'empire contre attaque, réalisé cette fois par feu Irvin Kershner prend un tour dramatique. L'heure est sombre pour l'alliance rebelle. Malgré la destruction de l'étoile de la mort, l'empire reste puissant et détruit tout sur son passage. On découvre avec plaisir des personnages nouveaux et emblématiques de la saga : Lando Calrissian, Wedge Antilles, ou encore l'Empereur, dont la personnalité sombre en fait l'un des plus grands "méchants" du cinéma. On fait également connaissance avec un maitre yoda quelque peu écervelé par des années de solitude sur Dagobah. La musique de John Williams fait toujours merveille, et les effets visuels sont plus novateurs que jamais. Et que dire de la scène finale ? Simplement inoubliable.