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    Gueule d'ange
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    2,9
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    139 critiques spectateurs

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    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    43 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2018
    Un film qui traite des sujets délicats la dépendance le manque d'amour l'insécurité à travers la vie d'une femme qui élève seule sa fille c'est à voir même si des scènes fortes peuvent déranger
    Mathilde P.
    Mathilde P.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mai 2018
    Film bouleversant. On rentre tout de suite dans l’histoire. Les acteurs sont très justes. Gros coup de cœur.
    Philippe G.
    Philippe G.

    20 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2018
    Bon, je ne vais pas le faire long, juste pour dire que le personnage de Marion Cotillard n'a rien de bien ragoutant, mais que l'actrice joue en revanche très bien. Alors, s'il vous plait, ne confondez pas son interprétation avec son personnage. Autrement, j'ai beaucoup aimé le schéma si touchant de cette amitié entre la gamine et le plongeur. Schéma pas banal s'il en est. Mais il y aura tjrs des esprits tordus pour voir là une approche de la pédophilie. Laissons les vivre; on ne les a pas encore tous tués.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    46 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juin 2018
    Vu et avis le 20180604

    J ai beaucoup apprécié. J ai entendu des critiques de cinéma, des spectateurs pas convaincus, je ne comprend pas pourquoi.

    De mon point de vue, le film se passe principalement du point de vue d elie, avec sa compréhension d enfant, ses intérêts d enfant. C est peut être une raison pour laquelle certains peuvent avoir du mal avec ce film.

    Je ne mettrais pas ma main à couper, mais il me semble que le film change occasionnellement de point de vue. Julio sur la terrasse du bar qui voie elie voler,. Je pense que quand elie est seule dans l appartement, elle ne voit pas la même chose que sa mère (lors qu elle ne trouve pas sa fille et qu elle la cherche chez les voisins).

    Pour moi, c est un film très bien fait, très intelligent, qui rend tout à fait crédible une situation incroyable (comment à 8 ans elie peut être abandonnée). La meilleure amie de Marlene qui est peut être encore plus paumee, l école qui laisse des messages sur le répondeur, au début la visite des services sociaux qui se passe bien, julio qui ne comprend pas qu elie est seule, elie dans les fêtes suivit sa vie sans que personne s en aperçoive (dans le cadre du contexte de ce film, cela m a semblé crédible), ...
    Min S
    Min S

    49 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2018
    La bande d’annonce ce film m’a fait penser à Florida projet mais à la french ! Et finalement pas tellement, l’histoire est très intéressante, par contre j’ai trouvé les acteurs moyens, des rôles très durs à s’approprier et le scénario un peu limite. Sinon c’est un bon film !
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    27 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2018
    J'ai été un peu déçue des premiers films issus de la sélection de Cannes, mais j'ai clairement accroché à celui-ci. "Gueule d'ange traite de son sujet sans passer en force : jamais aucun personnage du film ne va vraiment souligner l'irresponsabilité de Marlène en tant que femme ou mère, et puis, quand Élie est seule, personne ne va aller vers elle ou tenter de la sauver. Le film est bien écrit, il nous envoie souvent sur des fausses pistes : on ne sait jamais quand Marlène partira, si elle se prendra en main. On est aussi surpris quand on découvre Julio. Les scènes des fêtes sont bien filmées (je souligne cela en comparaison à Everybody Knows, où elles étaient mal maîtrisées). On se dit qu'on voit un vrai film de cinéma quand on constate les clins d'œil constants aux scènes qui précèdent un nouveau plan : les dragées au frigo, le maillot de bain, le rouge sur le verre de vin qui colore les lèvres d'Elie; Cette scène révèle avec finesse l'idée de ne pas voir l'alcoolisme. Ce long métrage parle aussi très bien de la reproduction des schémas, de la maturité, mais ne tombe jamais dans un scénario cliché et gnan-gnan. De plus, il était risqué de filmer un enfant, surtout pour un premier film et Ayline Etaix est brillante, on se prend d'affection pour Julio et la copine de Marlène est crédible. Marion Cotillard est un peu inégale : est-elle peut être un peu trop "chic" pour jouer Marlène ? Globalement, on prend plaisir à passer un temps avec ces personnages. Ce film est une très belle réussite, il est intelligemment construit et la photo est impeccable.
    Kate p.
    Kate p.

    1 abonné 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mai 2018
    Pour un premier film de Vanessa Fihlo,je dis Bravo.
    Marion Cotillard joue divinement bien, cette "mère-enfant".
    La petite qui joue sa fille a un jeu juste. Les autres acteurs aussi jouent bien.
    J'aime beaucoup les images : de belles photos, de beaux plans.
    Notamment quand les mariés sont sur un navire avec les autres bateaux, durant la nuit avec les bougies de sauvetages de toutes les couleurs : Très beau plan.
    Ce film est frais et pétillant.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    164 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2018
    Vanessa Filho s'attaque à des sujets difficiles dès son premier film : une mère alcoolique qui délaisse sa fille de 8 ans et cette dernière commence à l'imiter en buvant également. Des sujets pas évident à aborder. Et pourtant la réalisatrice s'en sort plutôt bien avec une histoire qui tient la route et une réalisation sobre qui met en avant la très jeune actrice. L'histoire est assez dure à encaisser, spoiler: surtout lorsque que la jeune fille est abandonnée par sa mère, qu'elle doit se débrouiller et qu'elle boit de plus en plus,
    et on cherche à chaque fois un moment d'espoir qui est dur à trouver. Heureusement que les actrices sont formidables. Le duo Ayline Aksoy-Etaix / Marion Cotillard fonctionne à merveille et Alban Lenoir montre encore qu'il est un bon acteur (voir "Un Français"). Ce film ne laisse pas indifférent à cause des sujets qu'il traite mais ne laissera pas un souvenir impérissable.
    blacktide
    blacktide

    39 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juin 2018
    Budweiser Kingdom

    De ses couleurs chancelantes à perte de vue, Ava avait illuminé le cœur de la Semaine de la Critique l’année dernière. Elle était cette étincelle de vie, baignant dans de derniers instants d’innocence, comme un premier regard sur un coin de ciel bleu, avant que les nuages ne viennent obscurcir cette jeunesse pleine de bleus. N'empêche que dans cette noirceur, dans ce péril jeune, il y a toujours une lumière pour montrer le chemin. A l’image de cette Gueule d’ange, elle qui se voudrait être un rayon de soleil pour n’être qu’au final qu’un léger faisceau de lumière.

    Pourtant, chaque scène baigne dans un océan d’étincelles. Celles du regard, celles photographiques, et celles plastiques. Dans cette station balnéaire débarrassée de la foule et des vacanciers, la caméra se place à hauteur d’enfant, comme une manière de capter l’émerveillement et une certaine beauté dans le chaos qu’offrent le monde et la société. Le petit fugitif (de Morris Engel, Ray Ashley et Ruth Orkin) n’est pas très loin: dans cette déambulation mutine, le monde s’explore avec insouciance, et ébahissement, par ce regard presque inconscient sur les problèmes du monde adulte.

    Aux lumières pastel, à ces flashs jaunes et rosés, aux néons et ces couchers de soleils, Vanessa Filho filme la vie comme quelque chose de naissant, et l’enfance comme une perte, la fin d’un jour, une chute brutale vers la réalité. Une caméra évoluant au fil des émotions, là où les gros plans viennent pénétrer le paysage intérieur de ses personnages. C’est pourquoi, au sein de ces Images à l’illusion féerique, le réel vient constamment perturber l’enchantement. Le regard devient alors le vecteur de contradictions, en associant l’enfance à la dépendance, à l’alcoolisme, à la dépression.

    Un paradoxe où s’emmêlent joies et lumières d’une fête foraine, d’un spectacle d’école, avec les dépendances de l’adulte. A l’instar de ce jeu innocent où les peluches s’exposent à des shots de whisky. Ou cette danse en boîte de nuit, suggestive et effrontée, de la jeune Elli : ses mouvements ne sont pas ceux d’une jeune fille, mais témoignent de son errance dans un âge qui n’est plus vraiment le sien. Forcée de grandir, de faire face à l’absence d’une mère, elle abandonne son innocence pour tenter d’imiter le rôle d’adulte que sa mère a refusé de tenir.

    Les rôles s’inversent : une mère qui a besoin de sa fille pour s’encadrer, sans envoyer valser ses responsabilités. Elle qui enfile les verres comme autant de programmes de télé-réalité, enchaînée à la vulgarité de ses paroles et de ses actes. Elle qui transforme son propre mariage en singulière rupture alcoolisée, et chantée. Oui, une chose est sûre : Fallait pas commencer. « Tu regrettes tes écarts/ Mais maintenant c’est trop tard ». Et à ce jeu là, Marion Cotillard brille dans le pathétique de son personnage : à contre-courant, elle est constamment sur le fil entre surjeu et justesse, entre excès et sincérité, et compose un personnage aussi mal-aimé qu’il peut être blessé.

    Ayline Aksoy-Etaix compose elle-aussi dans un registre tout aussi ambigu : au-delà de la froideur de son faciès et le silence de son cœur, elle communique par ce regard évocateur, regard désespéré et émerveillé par la vie. N’est pas Ana Torrent qui veut, mais sa prestation reste tout de même assez remarquable. Elle intériorise ses sentiments, et par l’imitation, tente de combler la solitude et l’amour perdu en devenant double : elle est à la fois cette gamine désorientée, et cette mère irresponsable. Comme pour colmater le manque d’amour autour d’elle. Oui, il y aurait un peu de Faute d’Amour dans Gueule d’Ange. Et un peu de Virgin Suicides.

    Une sorte de fuite de l’innocence, à la recherche d’un cœur qui voudra bien l’accueillir. En manque d’être regardée avec affection. Oui, « elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de 7 à 77 ans. […] Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. […] Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre. » Une absence de protection maternelle qu’Elli transposera dans la figure inconnue du père : Julio, marginal et ancien plongeur, interprété avec délicatesse par Alban Lenoir. Deux êtres seuls, bousculés par la vie, sautant ensemble dans le vide pour y trouver un certain réconfort.

    Elli serait en quelque sorte le parfait opposé du personnage des 400 coups de François Truffaut, sillonnant le sable mouillé à la recherche d’indépendance et de refus d’encadrement. Et pourtant, qu’il s’agisse d’Elli ou d’Antoine Doinel, il est avant tout question d’identités en crise, là où dans le sable ou l’alcool, se recherchent des sensations, ou tout simplement une évasion. L’ivresse de vivre, ou celle de fuir ses réalités. Une description troublante de l’enfance où le parallèle s’effectuerait sur le Cria Cuervos de Carlos Saura : l’imaginaire face à l’absence de la figure maternelle, qu’il s’agisse de s’imaginer le fantôme d’une mère cajoleuse dans Cria Cuervos ou de devenir la mère absente en l’imitant dans Gueule d’ange.

    C’est dans ce désespoir nuancé que l’intrigue arrive à trouver sa force, là où la cour de récrée apparaît comme le lieu où tout s’entrechoque : la moquerie enfantine, un cercle où les enfants pointent du doigt et ridiculisent les êtres blessés. Un peu comme le silence des adultes, là où il suffit d’un regard pour porter un jugement dégradant. Au fil de cette déambulation enfantine, le temps s’écoule, et l’émotion nous coule. Une émotion parfois perdue dans une esthétique onirique où les situations chocs ne nous laissent qu’un arrière goût de « Mouais » en bouche. Un excès de forme en quelque sorte prenant le pas sur le fond, sans pour autant perdre le cœur de son sujet. Car de cœur, et de passion, il est indéniable que Vanessa Filho porte son premier film avec l’assurance d’un souffle de cinéma.

    Des mots émergent une déchirante vérité ; des mots qui se transforment au fur et à mesure en images brutes, et pourtant si sensibles. Des Images plus fortes que les maux, et des mots plus puissants que les Images. Gueule d’ange ne bénéficie certes pas de cette grandeur émotionnelle, mais sa capacité à mettre en scène l’innocence sacrifiée et la perte de repères est tout à fait honorable. A travers ce portrait intimiste à hauteur d’enfant, Gueule d’ange apparaît néanmoins comme une œuvre sincère, efficace et réussie. Délicat ? Sans aucun doute. Manque peut-être ce Porque Te Vas, et cette émotion sans grandiloquence pour faire de Gueule d’Ange, une œuvre forte et marquante.

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    lmc-3
    lmc-3

    226 abonnés 429 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2018
    Film sortant le spectateur de son confort habituel et abordant des sujets graves, il le transporte l'espace d'une heure et demi dans l'univers terrible que peut-être la vie d'une jeune fille vivant seule avec son seul parent n'assumant pas ses responsabilités, alcoolique et dangereux, sans vouloir le quitter pour autant et se laisser se faire enlever par la protection de l'enfance.
    On suit donc le parcours d'Elli, une gueule d'ange abandonné par sa mère peut de temps après sa rentrée au CE2 et devant seule se nourrir et survivre dans son appart, ne recevant que des messages vocaux de sa mère parti elle ne sait où et pour elle ne sait combien de temps et lui rappelant à quel point elle l'aime et pense à elle, le tout en démarrant elle aussi une dépendance à l'alcool, ayant déjà pris l'habitude de voler des bouteilles dans le passé.

    Niveau ambiance: ce film véhicule les émotions qu'il souhaite: coté réalisation: le spectateur peut se perdre durant de nombreux enchaînements de scènes tournant par moments le film en rond et illustrant peut-être un manque de scénarisation.

    Film au sujet marquant à essayer de voir une fois.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 mai 2018
    Un "Plus-belle-la-vie" en version trash pailletée avec une héroïne de 8 ans.
    Ça sonne faux parce Vanessa Filho est dans un contre-sens total avec son propos. Elle fantasme la misère qu’elle tente désespérément de saisir. Elle ne parvient donc jamais à donner corps à cette réalité dramatique. L’esthétique saturée et glamourisante – Filho est une réalisatrice de clips- ne convient pas ici. L’affectation des personnages irrite et agace. La fin enfonce le clou. Un film surévalué à cause d'une Marion Cotillard tête de gondole. A noter que les amis de V. Filho ont voté et mis 4 ou 5 étoiles. Son producteur a mis 5 étoiles. La critique est biaisée.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 mai 2018
    Si Cassavates avait rencontré wong carwai , le resultat aurait pu etre cette gueule d’ange . Quelle maitrise dans les couleurs , la narration , la lumiere ! le plan d’ouverture a lui seul est un veritable tableau .. comme plusieurs fois dans le film , une veritable decouverte . ou un coup de poing lumineux peut etre . on revient sur cette Marlene ( fantastique Cotillard) comme un scanner sonderait les moindres details de son sujet, entrecoupé de respirations sublimes de poesis . j’etais en face de tout ce qui a mon avis faitcle Cinema : partir avec des personnages , tout oublier pendant 1h30 , et sentir les frissons au generique de fin ...
    lumineux !
    le duo de cinema que sont cette petite jeune fille ( hallucinant de presence a l’ecran ) et sa mere attrape littéralement le coeur et l’oeil pour ne plus jamais les lâcher, jusqu’a cette scène finale , comme une liberation dans l’acte et dans la narration .
    ma plus grande surprise fut de lire ensuite que c’etait là le premier film de la realisatrice , alors que tout sonne comme une evidence ; certains font des fillms , d’autres le cinema . bravo pour cette oeuvre , ravi de compter un (une) nouveau membre dans la cours des grands du Cinema . viva el cinema !
    clamarch
    clamarch

    9 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2018
    Dur. Dérangeant. On se dit que des gueules d'anges, on en croise plein dans se poser de questions. Cotillard est excellente, confirme ses qualités d'actrice de haut niveau dans un rôle qu'on suppose à l'inverse de ce qu'elle est dans la vie . Je me pose des questions en revanche sur les conséquences psychologiques pour une petite fille de 8 ans de jouer un tel rôle .
    defleppard
    defleppard

    302 abonnés 3 237 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 novembre 2018
    Belle métamorphose de Marion Cotillard en beauf land totale , avec les intonations de voix en rapport.....passant son temps à glander , à regarder le pire de la télévision.........pas mal dans l'ensemble........2 étoiles et demie.......!!!!!!!
    Philibert26
    Philibert26

    3 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2018
    Je trouve les critiques envers ce film très dur. Certes ce n’est pas le meilleur film de l’année mais il n’est pas si mauvais que ça. J’ai trouvais l’atmosphère du film réussi : on a de la peine, on se sent gêné et mal à l’aise mais c’est ici clairement ce qu’on veut nous faire ressentir. Les deux actrices jouent merveilleusement bien mais le seul regret est qu’il est difficile d’imaginer Marion Cotillard en Cagole et ça passe difficilement.
    Le point noir du film est la fin qui nous laisse sans trop d’explication. La mère est elle devenue plus mature ? On ne sait pas trop.

    Petit plus sur la mise en scène que j’ai trouvé très bien sans trop de longueur.
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