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    Burning
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    3,7
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    193 critiques spectateurs

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    Aulanius
    Aulanius

    184 abonnés 1 689 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 septembre 2018
    Clairement LA déception de l'année. Moi qui suis un fervent admirateur du cinéma asiatique, je dois avouer que là, je tombe de très haut. C'est long, très long, trop long ... Les acteurs sont franchement moyens et ça me fait ch*er de dire ça car c'est rarement le cas d'habitude. Même la bande originale est a la limite de l'insupportable. L'histoire est difficile à cerner, autant la première partie ça va mais la seconde n'a ni queue ni tête. Et puis, ça manque de photographie digne de ce nom, ça manque de pep's et surtout de charme. Alors oui, certains passages sont à retenir, les différents environnements coréens sont sympas mais ... c'est tout ! Vraiment déçu de bout en bout. 8/20.
    Hortense H
    Hortense H

    13 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2018
    Dommage de tomber dans le portrait d' un jeune homme plombé par un déterminisme social. Le film aurait été cinématographique s'il dessinait les parcelles secrètes de l' écrivain novice. Encore une fois la jeunesse féminine est le contenant du film, et pas besoin de se poser beaucoup de questions philosophiques pour comprendre les tensions et circonvolutions successives. L'oeuvre est toujours agréable par ce prisme de la faiblesse masculine, mais l'appât prend trop de place si bien que le néant escompté paraît pallier une paresse artistique inadéquate. Et ne'parlons pas des plans coupés au niveau des poitrines, piteux et fonctionnels. Une déception.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    52 abonnés 746 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2018
    grosse déception à la hauteur d'une réelle attente provoquée par des critiques élogieuses. On peut sauver le bon jeu des trois acteurs, et la musique d'une bande son originale, pour le reste, il y a une heure de film de trop, des digressions inutiles, et une émotion qui ne passe que très rarement à l'écran. La métaphore de la courte nouvelle, dont est tiré Burning, était parait-il explicite mais non-dite, ce qui en faisait sa réussite. En ce qui me concerne, je suis passé complètement à coté, et ce n'est pas parce que l'on me l'explique après coup, que je vais m'en satisfaire. J'attendais de Chang-dong qu'il m'emmène sur la vision qu'il a de la Corée du Sud d'aujourd'hui. Il n'a été rien: qui trop embrasse mal étreint. Cinéma - aout 2018
    clamarch
    clamarch

    10 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 septembre 2018
    J’ai cru que ce film n’en finirait jamais...Quelle lenteur...quel ennui. Pourtant j’ai apprécié l’univers étrange et poétique de Murakami dans sa trilogie 1Q84 mais là...Rien compris à l’histoire. Les protagonistes inhibés nous tiennent loin de toute émotion.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 879 abonnés 3 961 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2018
    J'ai beaucoup attendu avant de voir Burning car le film est long, tout le monde en dit du bien et j'avais vraiment peur de ne pas trouver ça fou et de m'ennuyer un peu. Mais il n'en est rien ! Burning est non seulement un très bon film, mais c'est le genre de film qui hante son spectateur parce qu'il parle de choses indicibles, de choses irrésolues qui ne peuvent que marquer.

    Le film fait beaucoup de références à la création Faulkner, Murakami, les auteurs des nouvelles dont est adapté le film, mais pas seulement. Le héros est un jeune auteur sans le sous et lorsqu'il parle des livres qu'il aime ou ce qu'il écrit il y a comme un échos avec ce que l'on voit dans le film. Il dit aimer Faulkner parce qu'il peut s'identifier aux personnages, s'est assez vrai, un héros dans la vingtaine totalement désœuvré en pleine misère affective, ne sachant pas comment se comporter avec les femmes, nul doute que ça doit parler à beaucoup de monde. Il dit aussi qu'il ne comprend pas le monde, que le monde est une énigme et c'est exactement ce qu'est ce film : une énigme. Le héros ne sait pas choisir le genre de son roman et le film ne tranche pas non plus.

    Sommes-nous face à une histoire d'amour ? un polar ? les deux ?

    Ce qu'il y a de fabuleux c'est l'ambiance qui est installée, on suit le héros qui nourrit le chat d'une fille qu'il a connu plus jeune et qu'il vient de rerencontrer, un chat qu'il n'a jamais vu... Forcément c'est tout de suite étrange : le chat existe-t-il ? ou bien la fille a inventé le chat juste pour coucher avec lui par vengeance ? Toutes les questions que pose le film il n'en répond à aucune. Comme dans la vie, on n'a pas les intentions des actions des gens.

    Mais la cerise sur le gâteau c'est que le héros recroise un chat plus tard dans le film et qu'on ne sait pas si c'est le même chat ou non (vu qu'il ne l'a jamais vu et nous non plus), ce qui pose encore plus de questions. Vu qu'on épouse le point de vue du héros on comprend les associations qu'il fait, ce qu'il déduit de ce qu'il voit... Mais on n'est pas dupe non plus, on sait que c'est peut-être juste des coïncidences... qu'il n'y a pas réellement de preuve tangible de quoique ce soit et que tout ne peut être que dans la tête du personnage, comme dans Blow Up.

    Le film accumule les mystères (autour d'un puits; d'une montre, d'une fille), les questions sans réponse tout en étant assez étrange mais dans un univers affreusement réaliste... On sent qu'il se trame quelque chose mais on ne sait pas quoi. On est pris dans cette énigme qu'est le monde.

    Et puis il faut le dire, il y a quelques séquences qui sont franchement sublimes, notamment toute la séquence où sur la terrasse ils fument un joint et la fille se fout seins nus en dansant au crépuscule. Ce qui tranche limite avec une scène de sexe au début du film qui relève du fantasme absolu de tout homme, mais traitée de manière plutôt morne, sans folie, parfaitement terre à terre, comme si la séquence hallucinante de la danse ouvrait la porte à la seconde partie du film où le réel n'existe plus vraiment...
    Acidus
    Acidus

    653 abonnés 3 673 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juillet 2019
    C'est dingue comment certaines oeuvres peuvent nous secouer alors qu'il ne s'y passe pas grand chose. Car oui, je suis d'accord avec ceux qui n'ont pas aimé "Burning" pour raison de vacuité scénaristique. Toutefois, il ne faut pas rechercher ici de la consistance à l'intrigue mais plutôt dans l'ambiance que Lee Chang-Dong réussit à imposer dans ce film. Le cinéaste coréen arrive à instaurer un climat de mystère et d'étrangeté tout au long de son long métrage. Beaucoup de non-dits font que le spectateur se pose énormément de questions au fur et à mesure de l'avancement de l'histoire. Celle-ci se déroule calmement en laissant de nombreuses réponses ouvertes et une bonne dose d'interprétation. A la fin, on ne peut s'empêcher de se refaire le film dans sa tête, de soulever telle ou telle hypothèse pour finalement s'avouer vaincu. Vaincu car je ne peux me vanter d'avoir compris toutes les subtilités de l'intrigue (comme quoi elle n'est pas si vide) et de la mise en scène. "Burning" m'a laissé dans un état de confusion agréable car si on peut le qualifier de lent, de vide (en apparence), d'incompréhensible, on peut aussi dire qu'il est génial car il fait partie de cette catégorie de longs métrages qui nous marquent et qui nous captivent on ne sait trop comment. C'est peut-être ça la magie du cinéma...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 juillet 2019
    Une oeuvre mystérieuse et déstabilisante que ce Burning, en constant équilibre entre réalisme et surréalisme, et qui s'approprie plusieurs genres pour finalement se classer dans la colonne "indéfinissable". Inspiré d'une nouvelle de Haruki Murakami dont la spécialité est précisément cette dualité qui jamais ne bascule complètement, et qui permet de semer un doute permanent sur la lecture des événements. Est-ce que j'ai bien compris ce qu'il vient de ce produire, est-ce bien réel, qu'est ce que nous cachent ces personnages, que va t'il se passer... Le polar alterne parfois avec des scènes oniriques, c'est du vrai cinéma, avec un final intrigant qui ouvre la voie à l'interprétation de chacun.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    115 abonnés 1 589 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2019
    En adaptant « Les granges brûlées » de Murakami, le sud-coréen Lee Chang-Dong remet en scène, avec une délicatesse et une maestria qui lui est propre, le triangle amoureux. La Corée du Sud est menacée de l’extérieur par son voisin du Nord autoritaire ; et la fracture sociale constitue aussi une menace intérieure ; voilà pour l’unité de lieu et le contexte dans lequel le réalisateur écrit le film. Et ce triangle amoureux en est l’illustration ; car au travers du sentiment amoureux, de la jalousie et de la rivalité se dessine une réelle lutte des classes. Ben vit dans la haute société coréenne alors que sa prétendante (Haemi) et l’amoureux de celle-ci (Jongsu) survivent via des petits boulots. Comme un puzzle, gentiment et doucement, la romance glisse vers un thriller et le climat devient de plus en plus malsain. Ben semble exposer ses « nouveaux amis » à ses amis de la haute comme des animaux de foire ; une sorte de « Diné de cons » la légèreté en moins. Le scénario exploite aussi toute une parabole autour du sens de la vie que parvienne à trouver les plus pauvres alors que les nantis, privés d’aucun biens matériels, peinent à trouver du piment dans leurs vies. Excepté le fameux Ben qui dit brûler des serres vides régulièrement pour combler ce vide existentiel et libérer ce trop-plein de violence contenue. Entre çà et les bâillements désœuvrés du jeune homme de bonne famille, l’angoisse atteint son comble dans un film dans lequel il ne se passe pourtant pas grand-chose ; une sorte d’éloge du vide jusqu’à un climax final en forme d’uppercut âpre et brutal. Cette fin laisse aussi le spectateur avec une grosse interrogation sur le personnage de Jongsu, apprenti écrivain que l’on ne voit jamais se mettre à une table de travail excepté dans ce dernier plan. Circonspect, l’histoire que l’on vient de nous présenter durant 2h10 n’était tel pas seulement issue de l’imaginaire de cet écrivain en devenir tout comme ce mystérieux chat ou ces mandarines imaginaires que l’on mange avec délectation. Riche de ses tiroirs sans cesse ouvert, ce film est une romance puis un thriller politico romantique coécrit entre le réalisateur et le héro. Et pourtant si abstrait.
    Aurélien Allin dans « Cinéma Teaser » en fait une belle synthèse : « Le génie de Lee Chang-dong est de parvenir à tirer autant de si peu, à étirer son film sans le distendre, à faire d’une histoire où "il ne se passe rien" un récit universel imprévisible »
    A voir impérativement pour l’envoutement que provoque cette torpeur apparente.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Shinny
    Shinny

    39 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 août 2018
    Trop long trop lent trop en dormant dommage l'idée et les acteurs sont bons... mais ça manque de rythme cruellement. je mets surtt les 2 étoiles pr la danse de l'aigle de Haeme
    Dora M.
    Dora M.

    51 abonnés 488 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2019
    Il y a du mystère et du suspens jusqu'au bout, c'est haletant. On est totalement pris dans cette histoire, avec le personnage principal, on partage ses craintes et ses doutes. Le film présente aussi de très beaux plans, c'est très soigné. Très bon film.
    soulman
    soulman

    71 abonnés 1 170 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 septembre 2018
    Un film qui, à l'image des écrits d'Haruki Murakami, adapté ici, ne peut laisser indifférent. Aussi lancinant que désespéré, le parcours de cet anti-héros oublié par la société de consommation sud-coréenne a quelque chose de pasolinien dans sa radicalité, son désir de jusqu'au boutisme. Admirablement interprété par son trio de comédiens, "Burning" est une œuvre importante sur le temps qui passe, l'amour qu'on laisser filer, la mélancolie, qui peut dévorer, petit à petit...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 février 2019
    Un film réussi, impeccable, le chef-d’œuvre insoupçonné, je décerne la palme d’or du cœur. L’intrigue coréenne et ses subtilités à travers ces personnages qui me surprend, l’insouciance à travers leurs âmes transcendées par l’extase est hypnotisante, une mise en scène contemplative pleine de maîtrise. La ferveur des hauts parleurs retentissent depuis la ligne de démarcation, abandon, colère et violence ne sera pas un long fleuve tranquille.
    Jonathan M
    Jonathan M

    118 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2018
    Il a fait tellement de bruit chez les critiques de Cannes, allant jusqu’à évoquer le nom de « Palme oubliée » je me suis mis malheureusement la barre bien trop haute. L’euphorie redescendue, j’ai du mal à considérer que ce film est une place dans ce palmarès, et rejoins assez le jury pour le coup. On a vite compris l’opposition Corée rurale/Corée urbaine, histoire d’amour impossible et jeunesse inégale socialement. M’enfin où est le vertige sensationnel annoncé ? Où est ce film si fort que la critique hurle encore au chef d´oeuvre ? Je ne vais pas être cynique, c’est un film à voir pour sa qualité de mise en scène et un récit conçu de manière intelligente. Mais de la à voir un grand film, la déception sera grande. Qui plus est beaucoup trop long, Lee Chang-Dong a se mérite tout de même de montrer un visage de la Corée autre que le blockbuster catastrophe. Mais ce trio amoureux manque de souffre pour être happé par l’histoire.
    varanpremier
    varanpremier

    6 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2018
    Film surévalué. Je ne comprends pas comment des critiques sérieux ont pu se laisser abuser par ce film prétentieux, faussement poétique, aux effets de pacotille. Les personnages sont inintéressants, presque exaspérants, la mise en scène repose sur des effets. Quant à la critique sociale, elle est d une faiblesse affligeante.
    Fuyez cette esbroufe !
    thenewchamp
    thenewchamp

    34 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 octobre 2018
    Un jeune homme retrouve une amie de longue date. Cette derniere lui présente son "unique ami" .Dans ce film on s'attaque au fait de societe asiatique où les filles endettées se vendent pour de l'argent. Le sujet abordé est original cependant le film est extremement lent, ennuyeux et nul à mon sens. La fin est incomprehensible ...
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