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    Burning
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    193 critiques spectateurs

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    Jean-Pierre B
    Jean-Pierre B

    3 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 août 2018
    Un sublime film, un chef d’œuvres, énigmatique et cycliques. Nous sommes happés du début jusqu’à la fin par ce scénario si bien ficelé.
    À ne pas manquer
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 septembre 2018
    un film dramatique, un portait psychologique, un film qui traine en longueur, 20 minutes de moins auraient été bienvenues, ce qui n’ôte rien au jeu des acteurs, aux prises de vue, et à la trame.
    Cependant 3 scènes inutiles de masturbation... et un final qui s’accélère, très stressant... j'ai regretté qu'entre la première séquence de tournage ou on la voit le haut dévêtue, la jeune actrice, passe d'un 80 A de bonnet à un 90B sur la suivante... pas sérieux!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 septembre 2018
    Un film d'une longueur assez insupportable. On s'ennuie beaucoup, aucun suspens, aucune surprise. Le film est assez prévisible du début à la fin. Les scènes sont longues, très longues, trop longues. La BO ainsi que le jeu des trois acteurs sauvent un peu le film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 septembre 2018
    Telle est la question. Clairement, on a l'impression de regarder un travail inachevé. Comme si la réflexion se cassait la figure au milieu du film; le reste étant une nébuleuse anarchico-masturbative intellectuelle.

    On passe sans grande transition entre une narration fluide à une partie introspective qui se perd dans les différentes quêtes du héros (gérer papa, gérer maman, gérer possible tueur en série et retrouver plan cul). Dans la dernière, le pouvoir de suggestion est mis en avant sans que l'on comprenne quoi faire de tous ces mystères. Ne pas tout servir sur un plateau au public se comprend; ne rien donner, en revanche, peut pénaliser l'intérêt de ce dernier au film.

    Ce film se perd donc dans des directions opposées et bien que je peux pas conclure quand au respect de la vision de Murakami, je peux affirmer que l'on souffre facilement d'une demi-heure de trop. Entre des quêtes absconses et le manque de clarté, on en vient à manquer de concentration.
    Pour le reste, c'est bien interprété, les acteurs sont assez convainquant. C'est assez réaliste et en même temps sobre, notamment notre héros qui à sa façon, est assez paumé.L’accompagnement musical est juste, sans trop d'éclat mais plutôt réussi. Le choix d'une certaine ségrégation musicale est intéressante : le jazz réservé aux nantis. C'est un choix partisan qui semble se suffire à lui-même puisque l'opposition entre le monde des nantis et la masse n'est pas développé plus que ça.

    Que dire de plus ? A part regretter que le film ne suive la trajectoire de la première heure. Dommage pour la fin.
    lancelo25
    lancelo25

    30 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 septembre 2018
    Pendant 1h40, le réalisateur tente de nous captiver par les enjeux hétéroclites de ses personnages qui semblent tous avoir un rapport particulier avec le feu, on imagine donc ce que pourrait être la fin qui réunirait ces 3 personnages. Malheureusement, c’est surtout l’ennui qui nous gagne et l’aspect vain de ces tergiversations ou du dédalle dans lequel le réalisateur semble vouloir nous promener.
    Après 1h40 de film, l’intrigue et le sens du film apparait enfin (il était temps, j’allais quitter la salle), cependant, au vu de ce que l’on voit peu avant la fin, le film aurait pu être traité tout autrement et nous emmener plus tôt dans l’intrigue qui est plus captivante que la longue introduction de 1h40 et que la fin expéditive qui ne répond pas à toutes les questions.
    C’est un thriller métaphysique raté car ni vraiment un film métaphysique, ni vraiment un thriller.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    160 abonnés 1 759 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 septembre 2018
    Un film décevant par un scénario trop léger et son rythme trop lent. Malgré le belle photographie, le jeu des acteurs, le film n'arrive à capter notre attention.
    angelo F.
    angelo F.

    44 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 août 2018
    C'est une très belle oeuvre mystérieuse et captivante.
    Le jeune homme, embêté au niveau familial, se retrouve du jour au lendemain aux prises avec une jeune femme (qu'il a connue enfant) et d'un homme.
    Il les fréquente tranquillement, se pose tout de même des questions.
    L'atmosphère est légère.
    Mais la disparition de la jeune femme va bouleverser les choses.
    On se pose beaucoup de questions, c'est passionnant, d'autant que l'ambiance devient pesante et envoûtante.
    Ti Nou
    Ti Nou

    439 abonnés 3 395 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    Lee Chang-Dong, distendant le temps, tient plus de 2 h 20 avec un récit en apparence vide. Un film complexe, qui ne donne pas toutes ses clés de compréhension, faisant se rencontrer deux personnages issus de deux mondes différents.
    moket
    moket

    465 abonnés 4 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juin 2019
    Étrange et poétique, le film est superbement réalisé et le casting est top. Seulement, le récit est si dense et complexe que le spectateur se sent un peu laissé de côté.
    Hotinhere
    Hotinhere

    458 abonnés 4 805 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2022
    Un film aux allures d'étrange thrilleur poétique, porté par une belle mise en scène. Mais trop abstrait pour en être davantage captivant.
    maxime ...
    maxime ...

    209 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2023
    Il y'a sans que l'on ne mente des films que l'on pense inoubliable et que pour autant on zappe très vite ... Pour le dire de manière moins triviale, disons qu'on passe à autre chose. Puisque la vérité est invoquée, par mes soins qui plus-est, j'ajouterai qu'aussi peu avenant soit le film de Lee Chang-dong, il est peu probable que je puisse m'en extirper. Burning ( 버닝 ) a beau être clairement une limite pour moi dans son jusqu'auboutisme, dans sa radicalité assumé de dépeindre une histoire et de répondre à sa maxime comme quoi celle-ci à toujours différent point de vue, il y'a cette fêlure dans la réponse explicite et implicite de cette épreuve qui m'a donné du fil à retordre mais qui m'a aussi paradoxalement capturé !

    Sous influence de Faulkner, plusieurs fois mentionné, cette adaptation de Murakami se réserve une fidélité à part entière et explore au travers de son sens de la littérature toutefois une prouesse de mise en scène, ou l'image ressert encore l'étau de son parallèle et reconfigure la texture d'un septième art ou la Corée prend définitivement une place prépondérante dans la redistribution des cartes ...

    Le film, démarre ici par une approche romanesque de petite échelle, de simple retrouvaille, et le début d'une petite histoire qui possède cependant déjà une drôle de conjoncture dans le rapport de l'un à l'autre. Ce lien, un poil étrange ne va qu'encore plus servir d'hameçon pour sa suite pleine de surprise, ou non ! Mystérieux, énigmatique, sous silence, se sont d'ailleurs dans ses derniers que l'on comprend au fond le mieux les choses, cette guerre de société, d'époque tout comme d'incarnation. D'esprit et de corps, de possession donc, on accepte et on refuse ces épanchements pour fuir des conventions, selon les angles, de nos protagonistes bien sur. Puisque l'on évoque ces derniers, il est temps de les applaudir à leurs justes valeurs ! Ce trio si singulier est une déflagration, immense de surcroit. Yoo Ah-in, Steven Yeun, Jeon Jong-seo sont des interprètes inoubliable, car oui, il croque au terme, irrémédiablement !

    A tragédie égale, enfin selon les encrages, cette histoire de position et d'interprétation - là encore - donne à voir différent chose ici et là à échelle multiples. Les versions bougent, selon les niveaux de lecture, avec ses paradoxes et subtilités. Une envergure qui grandit dans sa conception de temps et de lieux, dans ce constat de richesse et de pauvreté mis dos à dos dans une connexion ou l'on se fixe, se toise, ou la télescopage se colle sur des envies et des jalousies, assumés ou refoulées. Les maux de l'époque se glisse dans les brèches, porte sur une condition plurielle pleine de questionnement aussi difficiles que ses répondes s'en chargent avec une peine aussi définitive ...

    A reprendre pour mieux le comprendre, pour le vivre dans un autre contexte, avec des souvenirs et des repères. Un choc trop vif c'est cette fois accolé à mon manque d'accroche de l'instant. Mais je pense qu'une tentative ultérieure reconditionnera ceci tant il y'a dans ce long métrage de gamme de connaissance et de ressentit encore inconnu pour moi mais que je souhaite creusé.
    Cinephille
    Cinephille

    139 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2018
    Excédée par les films de 2h30 j'allais un peu inquiète voir Burning. Mais je dois dire que ces 2h30 là sont justifiées. Deux grandes parties : la première met en scène le triangle et notamment les deux garçons que tout semble opposer, la seconde met en scène la recherche de la jeune fille et l'affrontement entre les garçons. Quand je parle d'affrontement, tout comme quand on parle de thriller, on ne parle ici de rien de grandiloquent, rien d'appuyé, rien de spectaculaire. Tout se fait par petites touches, les choses s'enchaînent implacablement mais sans en faire des tonnes. C'est une des grandes forces du film que ce manque de démonstration, ce manque d'explications. Jamais on ne nous fait de discours, de portrait psychologique, même si celui-ci de Jongsu est plus explicite que celui de Ben dont on ne sait pratiquement rien à part le fait qu'il est riche. Beaucoup de pistes sont ouvertes à nous de les refermer ou les laisser ouvertes. La deuxième partie est également très réussie en termes esthétiques, qu'il s'agisse de la photo ou la mise en scène. Et l'interprétation de tous les comédiens est sobre, efficace. Un film qui prend les spectateurs pour des gens intelligents c'est tellement rare et appréciable !
    Henrico
    Henrico

    142 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 août 2019
    N’importe quel cinéaste occidental qui se serait aventuré à filmer avec un tel rythme de corbillard se serait fait incendier. N’importe quel cinéaste occidental qui aurait autant renoncé au traitement logique de son scénario se serait fait irrémédiablement discréditer. Seulement voilà, Lee Chang-Dong n’est pas occidental, il est Coréen. Et pour ceux atteint d’exotisme aigu, les failles d’un film asiatique, sont des traits de génie que n’ont pas pu apprécier les occidentaux. Ainsi, Lee Chang-Dong étire toutes ses scènes systématiquement, répétant certaines sans raison, (ex: les jogging éperdus, sur les routes, à la recherche des serres). Il multiplie les scènes regorgeant de détail peu éclairant d’un point de vue dramatique, masturbations journalières du « héros », cuisines solitaires, travaux dans la ferme paternelle. Tout cela porte un nom : faire du remplissage. Par contre, Lee Chang-Dong se dispense de scènes de transitions et de scènes d’explications. Allant même jusqu’à oublier de traiter son thème principal : « la crémation ». Tot cela porte un nom : faire du hors sujet. En effet, rien n’est fait dans ce film pour éclairer les cinéphiles normalement constitués sur les multiples et profonds trous noirs d’une intrigue, qui à la base, ne manquait pas d’un certain intérêt. Pourquoi le père est-il ainsi ? Quel mal ronge « l’héroïne » ? Qui est vraiment l’autre « héros » ? Est-il vraiment pyromane ? Est-il un psychopathe ? Non seulement chiant mais frustrant.
    stanley
    stanley

    59 abonnés 752 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 septembre 2018
    Loin d'etre le chef d'eouvre annoncé par un certain nombre, Burning n'en reste pas moins un bon film, chargé de scènes fulgurantes et qui pose d'essentielles questions existentielles. Si le film n'était pas si long, avec certaines scènes répétitives et étirées, avec le côté poseur de la mise en scène, Burning serait un film parfait. Malgré mes réserves, son absence du palmarès au festival de Cannes me semble une injustice. Les trois acteurs auraient mérité un prix, gestuelle impeccable de Jeon Jong-seo dont le déplacement du corps dans l'espace est inoubliable et du héros qui porte en lui tout le questionnement humain. La mise en scène, belle et soignée, qui évoque Antonioni (Blow Up, La nuit), malgré des afféteries est réussie. Burning questionne avec finesse le sens de l'existence et de l'influence de la disparition sur la vie des êtres. "Ne pas oublier ce qui n'existe pas". Le trouble du récit naît de ce concept. Le film est détenteur de scènes brillantes, la première demi heure du long métrage est la plus réjouissante, voir la scène de mime au restaurant et celle de la danse de la femme au son de la musique envoutante de Miles Davis. Dommage que le film se regarde un peu tourner mais le dernier quart d'heure est un pur chef d'oeuvre d'ambîguité (la mort et la sexualité qui se répondent puis le réel et la fiction en dualité). Un film à voir.
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    34 abonnés 256 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 avril 2024
    “Burning” a une ambivalence forte entre le fond avec la forme. Si la forme est réussie avec des plans brefs parfois superbes, oniriques et intenses : spoiler: la serre qui prend feu dans le rêve de Jongsoo, la danse de fin de journée en topless de Haemi
    . Le fond manque clairement d’une consistance qui permettrait au long-métrage de marquer les esprits. Je pense notamment au format d’une durée totale de 2h30 bien trop long pour exposer le propos, car il ne se passe rien, peu d’intensité sur la durée, peu d’émotions au travers des personnages introvertis et renfermés sur eux-mêmes. Du coup, j’ai l’impression d’avoir vu des choses, mais être passé à côté de l’essence même du film.
    Le casting avec le trio Jongsoo (Ah-In Yoo), Haemi (Jeon Jong-seo) et Ben (Steven Yeun) présente un certain charme, mais cela ne suffit pas pour moi à faire de “Burning” une œuvre puissante et convenu, dommage.
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