Many Saints Of Newark - Une histoire des Soprano : Critique presse
Many Saints Of Newark - Une histoire des Soprano
Note moyenne
3,0
19 titres de presse
CinemaTeaser
Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
Ouest France
Première
Rolling Stone
Voici
Ecran Large
Ecran Large
L'Obs
Le Figaro
Le Monde
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Positif
Libération
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
C’est un plaisir de fiction, un plaisir de fan (avant tout) et surtout un éclatant film de gangsters, un vrai.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Journal du Dimanche
par R.N.
S'il ne renouvelle pas le genre du film de mafia, Many Saints of Newark est une éclatante réussite pour ce qui est d'étendre l'univers de l'extraordinaire série Les Soprano, quatorze ans après sa conclusion.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Le grand David Chase revisite sa série culte, Les Soprano, avec ce prequel aussi intelligent que nuancé et habité par ses comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un film splendide où Michael Gandolfini reprend avec superbe le rôle mythique créé par son père.
Première
par Frédéric Foubert
On dira de Many Saints of Newark qu’il n’est rien de plus qu’un long « special » des Soprano. Rien de plus, peut-être, mais surtout rien de moins.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
En évitant tous les écueils qui pouvaient se présenter à lui, c’est finalement à nous que Many Saints… tend un piège : une envie quasi irrépressible de se (re)fader sans tarder celle qu’aujourd’hui nombreux sont encore ceux à considérer comme la meilleure série TV de tous les temps. Trop fort, ce David Chase !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Voici
par La Rédaction
Un très honnête film de mafia !
Ecran Large
par Arnold Petit
Many Saints of Newark comblera les fans des Soprano avec les personnages de la série et en reprenant certains éléments qui ont fait sa réussite dans un long-métrage qui s'apparente à une extension dispensable. Les autres, en revanche, devront se contenter d'un film de gangsters décousu et assez quelconque, mais plutôt efficace.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ecran Large
par Arnold Petit
Many Saints of Newark comblera les fans des Soprano avec les personnages de la série et en reprenant certains éléments qui ont fait sa réussite dans un long-métrage qui s'apparente à une extension dispensable. Les autres, en revanche, devront se contenter d'un film de gangsters décousu et assez quelconque, mais plutôt efficace.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Amandine Schmitt
Certaines intrigues sont à la peine, mais un mystère crucial de la série est résolu, et les acteurs sont excellents (épatante Vera Farmiga en matriarche revêche). Et voir Michael Gandolfini reprendre le rôle inoubliable de mafieux torturé jadis interprété par son père a quelque chose d’hypnotisant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Tensions raciales, fusillades nocturnes, meurtres pulsionnels, la grande famille de la mafia italienne de Newark apparaît comme une bande de truands assoiffée d'argent, le tout observé par le jeune Tony. Dur mais très efficace.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
La préquelle de la série ne parvient pas à se hisser à la hauteur du chef-d'oeuvre télévisuel.
Le Parisien
par Catherine Balle
En réalité, c’est par excès de zèle que « Many Saints of Newark » pêche un peu. À force de vouloir coller à la série, les acteurs ont l’air de singer leurs modèles : ils fument trop, mangent trop de mortadelle, ont des voix trop rauques. Malgré ces caricatures, le plaisir nostalgique fonctionne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
On navigue en eaux troubles, quelque part entre un ersatz de The Irishman et le prequel de La Vérité si je mens.
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
L’enchaînement de scènes brèves, parfois sans autre consistance qu’un bon mot, relève aussi largement de l’écriture sérielle, mais sans ce qui en fait la beauté – l’inscription dans l’ordinaire des existences et la longue durée. En voulant donner une jeunesse à tant de figures connues, Many Saints of Newark se mord la queue.
Critikat.com
par Damien Bonelli
The Many Saints of Newark, c’est la définition même du cinéma en train d’imiter la télévision imitant le cinéma, une étape de trop dans la fascination réciproque qu’entretiennent les deux mediums.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Christian Viviani
De labyrinthique, l’intrigue devient plate : elle manque d’espace et de durée pour prendre sa dimension. [...] Le scénario se retrouve aux dimensions d’une histoire de mafia au parfum de déjà-vu.
Libération
par Camille Nevers
Many Saints of Newark est triste et raté, triste parce que raté sur toute la ligne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Marie Sauvion
Le point de vue du garçon, hélas, se dilue parmi tous les autres, à commencer par celui de son oncle et modèle, Dick Moltisanti (Alessandro Nivola), antihéros de Many Saints of Newark.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
C’est un plaisir de fiction, un plaisir de fan (avant tout) et surtout un éclatant film de gangsters, un vrai.
Le Journal du Dimanche
S'il ne renouvelle pas le genre du film de mafia, Many Saints of Newark est une éclatante réussite pour ce qui est d'étendre l'univers de l'extraordinaire série Les Soprano, quatorze ans après sa conclusion.
Les Fiches du Cinéma
Le grand David Chase revisite sa série culte, Les Soprano, avec ce prequel aussi intelligent que nuancé et habité par ses comédiens.
Ouest France
Un film splendide où Michael Gandolfini reprend avec superbe le rôle mythique créé par son père.
Première
On dira de Many Saints of Newark qu’il n’est rien de plus qu’un long « special » des Soprano. Rien de plus, peut-être, mais surtout rien de moins.
Rolling Stone
En évitant tous les écueils qui pouvaient se présenter à lui, c’est finalement à nous que Many Saints… tend un piège : une envie quasi irrépressible de se (re)fader sans tarder celle qu’aujourd’hui nombreux sont encore ceux à considérer comme la meilleure série TV de tous les temps. Trop fort, ce David Chase !
Voici
Un très honnête film de mafia !
Ecran Large
Many Saints of Newark comblera les fans des Soprano avec les personnages de la série et en reprenant certains éléments qui ont fait sa réussite dans un long-métrage qui s'apparente à une extension dispensable. Les autres, en revanche, devront se contenter d'un film de gangsters décousu et assez quelconque, mais plutôt efficace.
Ecran Large
Many Saints of Newark comblera les fans des Soprano avec les personnages de la série et en reprenant certains éléments qui ont fait sa réussite dans un long-métrage qui s'apparente à une extension dispensable. Les autres, en revanche, devront se contenter d'un film de gangsters décousu et assez quelconque, mais plutôt efficace.
L'Obs
Certaines intrigues sont à la peine, mais un mystère crucial de la série est résolu, et les acteurs sont excellents (épatante Vera Farmiga en matriarche revêche). Et voir Michael Gandolfini reprendre le rôle inoubliable de mafieux torturé jadis interprété par son père a quelque chose d’hypnotisant.
Le Figaro
Tensions raciales, fusillades nocturnes, meurtres pulsionnels, la grande famille de la mafia italienne de Newark apparaît comme une bande de truands assoiffée d'argent, le tout observé par le jeune Tony. Dur mais très efficace.
Le Monde
La préquelle de la série ne parvient pas à se hisser à la hauteur du chef-d'oeuvre télévisuel.
Le Parisien
En réalité, c’est par excès de zèle que « Many Saints of Newark » pêche un peu. À force de vouloir coller à la série, les acteurs ont l’air de singer leurs modèles : ils fument trop, mangent trop de mortadelle, ont des voix trop rauques. Malgré ces caricatures, le plaisir nostalgique fonctionne.
Les Inrockuptibles
On navigue en eaux troubles, quelque part entre un ersatz de The Irishman et le prequel de La Vérité si je mens.
Cahiers du Cinéma
L’enchaînement de scènes brèves, parfois sans autre consistance qu’un bon mot, relève aussi largement de l’écriture sérielle, mais sans ce qui en fait la beauté – l’inscription dans l’ordinaire des existences et la longue durée. En voulant donner une jeunesse à tant de figures connues, Many Saints of Newark se mord la queue.
Critikat.com
The Many Saints of Newark, c’est la définition même du cinéma en train d’imiter la télévision imitant le cinéma, une étape de trop dans la fascination réciproque qu’entretiennent les deux mediums.
Positif
De labyrinthique, l’intrigue devient plate : elle manque d’espace et de durée pour prendre sa dimension. [...] Le scénario se retrouve aux dimensions d’une histoire de mafia au parfum de déjà-vu.
Libération
Many Saints of Newark est triste et raté, triste parce que raté sur toute la ligne.
Télérama
Le point de vue du garçon, hélas, se dilue parmi tous les autres, à commencer par celui de son oncle et modèle, Dick Moltisanti (Alessandro Nivola), antihéros de Many Saints of Newark.