Certe la plus grande action du film, c'est quand il pleut. Mais que ce film est beau, touchant, émouvant. Une histoire d'amour tout en finesse et en retenue. MAGNIFIQUEMENT SUBLIME ou SUBLIMEMENT MAGNIFIQUE.
Grand Film, Chef-d'oeuvre, Emouvant, Magnifique. Que dire de plus? La passion, la Force, L'amour, la Vie, le Secret, la Nostalgie... C'est un film sublime, qu'on ne voit qu'une fois dans sa vie et qu'on oublit jamais.
Un film des plus envoûtant. Une histoire originale non par son thème, mais par sa manière de voir et faire les choses. Prenant le temps dévoluer au fils dun thème musical faisant léco dune douce plainte. Wong Kar-Wai se montre de surcroît maître de lesthétisme tout au long de son uvre. Où il nous bercera avec douceur et délicatesse pour tout simplement nous émouvoir et nous faire passer un moment des plus agréable.
Une musique envoutante et enivrante, des scènes clefs revenant tout au long du film, on dirait que le film fait une boucle. Et cette boucle se transforme vite en tourbillon, on est accroché à l'écran avec l'impossibilité totale de le lacher. Des décors et des textes en apparence simple renforce leur puissance, et notre implication dans un amour que les deux protagonistes se refusent. Un film à ne manquer sous aucuns pretextes
Toujours la même musique... Cette même musique ("Yumeji's Theme"), cette même musique qui revient, inlassablement, sans cesse enchantant nos oreilles et nos sens...
In The Mood For Love, un des plus beaux films existant sur le paysage cinématographique : un film tout en esthétique, tout en lenteur et en beauté. Chaque scène est une photo qui bouge, un plaisir des yeux et des oreilles, avec ces magnifiques musiques..
Un film envoûtant, enchanteur, tout en beauté... Un film de Wong Kar Wai qu'il ne faut pas rater !!
ATTENTION CHEF DUVRE ! Hong-Kong, les années soixante. Une intrigue simple mêlant deux couples qui sont voisins de palier. Le mari trompe son épouse avec la femme du voisin. On ne voit jamais le couple adultère, on ne suivra que la femme et le mari trompés qui vont fortuitement découvrir la vérité, et qui vont tenter de reconstruire ce qui sest passé entre leurs conjoints respectifs. Au cours de ce patient travail naîtra un sentiment amoureux. Une histoire simple, une totale réussite. Le charme nostalgique de la ville, Maggie Cheung éblouissante de grâce dans son rôle de femme trompée, Tony Leung simplement parfait, une musique envoûtante, et toute la magie de Wong Kar-Wai dont la caméra aussi légère quun il suit les déplacement des personnages dans un minuscule appartement hong-kongais et parvient a recréer chez le spectateur la sensation physique des esquives, des frôlements, de tout ce quimpose lexiguïté dun lieu. Voilà un film qui démontre quil nest nul besoin deffets spéciaux, de vacarme, de monstres ou de scènes de bataille avec vingt mille figurants pour réaliser une uvre dart. Voilà assurément lun des tout grands films de ces 20 dernières années.
Wong Kar-Waï nous offre un film d'une beauté époustouflante. On y découvre une histoire d'amour inédite et torturée par les événements. Les scènes tournées au ralenti accompagnées par Maggie Cheung vêtue de robes sensuelles vous transporte directement en Chine. Et que dire de la BO? Merveilleuse BO composée de titres envoutants. Le clin d'oeil au film 2046 nous donne toujours le sourire. Le petit plus de ce film = la mise en scène de WKW avec des plans indirects et les innombrables scènes de corridors.
Etre considéré comme lun des plus grands cinéastes de son temps ne suffit pas à faire de grands films. Car une fois encore ((ne pas) voir « Happy together ») Wong Kar-Wai a oublié que son rôle est de nous transporter et non nous anesthésier. Ainsi, « Lennui » pourrait être une traduction possible de « In the mood for love » tant il faut lutter âprement pour en atteindre le terme sans abdiquer. Comme cela arrive parfois, cette histoire damour est platonique - ce qui nenlève pourtant pas lespoir dentrevoir une issue étonnante - mais senlise dans un marasme redondant, soporifique et dénué dintérêt. Il ne faut cependant pas retirer à ce film sa seule qualité : la bande originale. Si un titre ne fait pas une BO complète, la mélodie qui accompagne le spectateur du début à la fin na pas fini de trotter dans les têtes parmi les plus grands airs de lhistoire du cinéma. A limage du maître décole qui laisse gracieusement quelques points à la copie dun cancre pour lencre gaspillée, la musique évite in-extremis le zéro pointé.
J'ai tellement adoré que je me suis inscrit pour le dire !!! il ne se passe pas grand chose, mais c'est magnifique, à l'image de Maggy Chang, superbe...
A lheure où lapologie de la vitesse est devenue synonyme de modernité et où nos relations dites humaines tendent au virtuel et à laseptisé, le suave In The Mood For Love de Wong Kar-Wai soulève quelques questionnements spirituels et remises en question nostalgiques qui tarabustent longtemps après visionnage. En situant son intrigue dans le Hong Kong des années 60, le réalisateur nous offre ici une ode douce-amère aux histoires dA (comme Amitié, Amour, Adultère, Acte manqué ), à un « ça a été » révolu et regretté qui procure malgré tout une chaleur réconfortante, preuve que le cinéma sait encore effleurer lhumain assoupi qui se terre en chacun de nous. Le tout filmé avec une pudeur exacerbée qui, paradoxalement, transpire de sensualité et dérotisme incandescents. Au-delà des mots, Kar-Wai filme linvisible (la solitude, labsence) en captant ses effets sur le visible, à fleur de peau, au sens littéral du terme. Aux couleurs pastelles et tape-à-loeil des décors, transposition acidulée de lépoque, répondent les robes de Mme Chan aux étoffes variées mais aux coupes sensiblement identiques, comme autant démotions débordantes mais tues qui habitent cet être contraint à rester le même au nom de la bienséance et didéaux contrariés. Le secret déposé à Angkor, dans la scène de clôture du film, est à limage du lieu en question. A labandon. Détruit. Anciennement beau. Le film acquiert, quant à lui, une spiritualité bouleversante et tend, par là même, à lintemporalité. La marque rare et précieuse des grands films de cinéma.
Basé sur une histoire plutôt originale, Wong Kar-Wai nous prouve sa virtositée dans la maitrise de la réalisation. Les personnages principaux sont bien présents et semblent se completer l'une auprès de l'autre. L& réalisation de Kar-Wai est très bonne. Il choisit bien ses cadrages, ses plans, et la photographie du film est superbe. La muqiue, répétotive et entrainante, reste dans les memoires après avoir vu le film. Rarement vu un film aussi maitrisé.