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    Portrait de la jeune fille en feu
    Note moyenne
    4,0
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    366 critiques spectateurs

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    Théo Pouillet
    Théo Pouillet

    4 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 octobre 2019
    Touché par la grâce, ce film est l'illustration même du désir et de la passion, au travers de deux femmes dont les destins vont se croiser. Un comte artistique dans un premier temps, puis une romance charnel par la suite. Bref, une pure merveille, remplie de beauté, de tendresse et surtout de deux actrices extraordinaires qui portent cette histoire comme rarement on à pu le voire.
    Supprim.
    Supprim.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 octobre 2019
    Bon bas ça va c'était sympathique, j'aime bien les actrices, je trouve qu'elles jouent pas trop mal mais par contre j'ai pas trop compris le film, j'ai pas compris pourquoi le personnage joué par Céline Siama embrassé une fille. Pourquoi une fille embrasse pas un garçon ? un peu limite..
    je trouve aussi que ça manque de mecs
    Sandy S
    Sandy S

    18 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 septembre 2022
    Mon Dieu que c'est chiant ! Je suis allé voir ce film après l'interview d'Adèle Haenel qui disait que ce film était important pour le regard féminin qu'il portait sur la séduction, au lieu de ce sempiternelle regard masculin.
    J'aurai du me méfier de cette pic féministe mais intéressé par le sujet du film, j'ai payé mon ticket.
    Verdict : je préfère 100 000 fois le regard masculin d'un Kechiche sur La vie d'Adèle que celui de cette réalisatrice qui nous a pondu un film ans aucune émotion. Ça patine dès le début; spoiler: les personnages sont comme éteins, le jeu est morne, on dirait que c'est récité en neutre.
    Bref, le sujet était en or et le traitement du film est d'un ennui académique dès plus plat.
    Je ne comprends pas la critique. Sans doute est-il amoral en 2019 de dire du mal d'un film d'une femme...
    pilpilbil
    pilpilbil

    2 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    SUPERBE ! les images passent et nous imprègnent de douceur et de sérénité, une très belle histoire d' amour, toute en retenue et pleine de pudeur, film touché par la grâce, Bravo !!!
    Sterwerze
    Sterwerze

    31 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2019
    portrait de la jeune fille en feu et un film intéressant ce n'est pas le genre de film où l'on peut réagir juste après la séance car vu le nombre de détails, de composition dans les plans et le fait que le script est magnifique. le jeu d'acteur est très bon et l'histoire est prenante c'est le genre de film il faut vraiment se pencher dessus.
    Mathieu H.
    Mathieu H.

    22 abonnés 290 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2019
    Film d'époque, soigneusement reconstitué, sans en faire trop, la dernière sortie de Céline Sciamma avait suscité beaucoup d'engouement à Cannes, et avec raison ! Porté par deux merveilleuses actrices, dont Noémie Merlant - la révélation du film ! - qui crève l'écran et habite ce film pendant toute la première heure, avant d'être rejointe par Adèle Haenel, toujours irréprochable, et qui sort progressivement dans sa carapace. Mis en scène comme un tableau, la caméra pose sur ses actrices le regard d'un peintre, qui, comme Marianne, doit peindre son modèle de mémoire, en retenir leur carnation, le moindre détail de leur visage, leurs expressions... Film léché et sensuel, "Portrait de la jeune fille en feu" nous laisse un souvenir fort, durablement gravé dans nos mémoires, notamment le dernier quart d'heure, avec ses détails troublants, qui laissent place à l’imagination, mais à peine, et "L'Eté de Vivaldi, comme un orage qui se déclenche, vient parachever une oeuvre sur l'amour, mais aussi, d'un bout à l'autre, sur la colère d'une femme !
    Nicolas S
    Nicolas S

    40 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 octobre 2019
    Porté par trois actrices exceptionnelles, ce 'Portrait' raconte la naissance du désir entre deux jeunes femmes avec une extraordinaire intensité. On pense à 'Barry Lyndon' pour le travail sur la lumière et à 'La Belle noiseuse' pour les scènes de peinture, sauf qu'ici le modèle, Héloïse, est tout autant muse qu'artiste elle-même. Quelques scènes sont inoubliables : celle du grand feu, presque onirique, et la scène finale, qui répond en miroir aux premières minutes du film et qui crée un sentiment d'attente presque insoutenable.
    Stéphane R
    Stéphane R

    19 abonnés 325 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2019
    œuvre d'art totale. Picturale, littéraire, mythologique, émotionnelle, cinématographique et musicale...
    Noémie Merlant et Adèle Haenel sont magnifiques et intenses.
    Céline Sciamma sait générer des effets qui paraissent naturels, en sachant ne pas aller trop vite.
    Et ne vraiment pas omettre le son et l'utilisation, plein volume et en durée de la musique, au travers d'une composition vocale aux polyphonies puissantes et d'un bel été avec Vivaldi sur un long plan cadrant les émotions vives sur le visage d'Adèle Haenel.
    Bravo et merci.
    Isabelle R.
    Isabelle R.

    11 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 octobre 2019
    Il est des films que l'on garde en soi. Des films qui, malgré leur côté dramatique, vous emplissent les yeux et le coeur d'étoiles. "Portrait de la jeune fille en feu" est un de ces films.
    spoiler: Loin des happy ends à l'américaine, il montre tout simplement que l'amour véritable, même contrarié, ne s'éteint jamais
    . Sans oublier une terrible vision, mais tellement réaliste, de la condition féminine au XVIIIème siècle.
    Et que dire de ces décors, ces paysages, ces jeux d'actrices qui servent à merveille ce magnifique scénario?
    Un très bon moment de cinéma!!!
    nada r.
    nada r.

    5 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2019
    Film respectant énormement la période historique jusque dans les details. Jolie histoire d'amour très vrai. Ca fait du bien de vouloir les relations entre les femmes enfin bien representées
    Agnès J.
    Agnès J.

    11 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 octobre 2019
    Rarement un film aussi ennuyeux. Ca n’en finit pas. J’auraid dû partir avant la,fin. Aucun intérêt et les scenes un peu vivantes au milieu de ce pensum (avortement, amours les biennes) sont plates et sans émotion.
    Carole Laure C.
    Carole Laure C.

    3 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 octobre 2019
    Est-ce un Barry Lindon lesbien, un La vie d’Adele «  au XVIIIeme ? En choisissant le périlleux film en costume, la réalisatrice aurait dû nous embarquer grâce à l’histoire, au jeu des actrices, à l’imagination. À la différence de « Melle de Jonquieres », les joutes verbales sont ennuyeuses, l’intrigue inexistante, les enjeux absents. Il ne reste que les visages, trop maquillés et finalement pas assez expressifs de 2 actrices que l’on fait haleter comme tous les poncifs en corset.
    La naissance des sentiments est un événement difficile à filmer... et le passage de la colère à la joie en passant par l’amour un pari quasi impossible
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 octobre 2019
    Céline Sciamma offre l'un de meilleurs films français de l'année. L'alchimie entre les 2 actrices est incroyable. La séance de fin ne peut que vous émouvoir.
    Top of the World
    Top of the World

    58 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Attention, spoilers. Le titre du nouveau film de Céline Sciamma, qui fait référence à un tableau peint par son héroïne, a évidemment une valeur de note d'intention implicite, et la mise en scène ne cherche pas à cacher son inspiration picturale, avec des plans rigoureusement composés et de séduisantes couleurs bleues pâles. Heureusement, la réalisatrice va plus loin que cette redondance première entre fond et forme et donne vie à son histoire par la grâce d'un montage d'une sécheresse et d'une précision qui parviennent à rendre chaque scène incarnée et étouffent l'académisme qui semblait menacer. Mais si la puissance formelle du film est incontestable, on peut quand même regretter que le scénario s'éparpille quelque peu dans une partie centrale dans laquelle l'élargissement de l'intrigue vers une dimension ouvertement féministe, en montrant la solidarité d'un groupe de femmes, fait perdre de vue le thème central de l'œuvre : l'amour et sa pérennité via la représentation artistique. Les deux héroïnes, qui savent leur passion impossible à exposer publiquement en cette fin de XVIIIème siècle, doivent donc chacune garder une image de l'autre : le portrait éponyme pour Marianne (Noémie Merlant, magnifique), et un autoportrait de celle-ci pour Héloïse (Adèle Haenel, plus à l'aise avec les silences que les dialogues). Et c'est d'ailleurs parce qu'elle sait qu'elle risque de ne jamais revoir la seconde que la première voit à deux reprises son fantôme (dans un procédé un peu appuyé), comme si le présent de leur relation n'était déjà presque plus qu'un souvenir. Cette question du souvenir et de l'image mentale est en fait présente dès le début du film, puisqu'Héloïse refuse d'abord de poser : Marianne doit donc la regarder pendant leurs promenades pour ensuite la peindre à partir des images conservées par sa mémoire (en utilisant tous les moyens possibles, comme dans la belle séquence où Sophie pose dans la robe d'Héloïse - telle la doublure d'une actrice). Sciamma filme donc avec beaucoup d'attention les expressifs regards de ses deux actrices principales - regards qui constituent le principal vecteur de sensualité du film, qui est assez chaste, mais dont les quelques plans de nudité ou de baisers sont puissants, comme des éclairs de chaleur fendant la glace. Le film retient ainsi une émotion qui reste longtemps sous-jacente, avant de la laisser éclater dans la saisissante scène finale, certes sur la corde raide par son côté "coup de force", mais qui emporte la mise par sa manière d'assumer totalement sa dimension mélodramatique et de stimuler notre imagination : Héloïse est-elle seulement bouleversée par l'écoute de "L'été" de Vivaldi qui lui rappelle Marianne, qui le lui avait fait découvrir ? Ou bien fixe-t-elle aussi ardemment la scène du théâtre pour ne surtout pas croiser le regard de cette dernière, qu'elle aurait donc vu (rappelant ainsi le mythe d'Orphée et Eurydice, qui avait été un peu trop explicitement mis en relation avec leur propre histoire, plus tôt dans le film) ? D'ailleurs, la musique de Vivaldi est-elle vraiment jouée sur scène ? Ne se serait-elle pas imposée à l'imagination d'Héloïse après que celle-ci aurait remarqué la peintre ? Autant de questions qui renforcent l'émotion et achèvent de faire de Portrait de la jeune fille en feu une œuvre inspirée bien qu'imparfaite.
    Nisrine A
    Nisrine A

    23 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 octobre 2019
    Céline Sciamma (ce talent derrière "La naissance des pieuvres", "Tomboy" et j'en passe), prix du scénario au dernier festival de cannes, Adèle Haenel qui est mon actrice française préférée, une histoire de femme faite par des femmes, nul besoin au vu de tous ces éléments de vous décrire mon emballement en allant voir "Portrait de la jeune fille en feu". Malheureusement, la déception n'a pas tardé à montrer le bout de son nez. En un mot, je me suis ennuyée. Malgré l'esthétisme très travaillé de l'image, l'histoire pourtant prometteuse ne démarre pas. C'est lent, prévisible et plat. A ma grande surprise, j'ai détesté le jeu d'Adèle Haenel qui semblait limite anachronique avec son personnage. La seule belle découverte de ce film est finalement Noémie Merlant qui est juste magnifique de vérité. "Portrait de la jeune fille en feu" est malheureusement film sans chaleur qui nous laisse de marbre.
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