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Un visiteur
2,5
Publiée le 18 juin 2019
bon j'ai grandi avec ! ça fait plaisir de le revoir mais la franchise à perdue de sa superbe ... le premier reste intouchable.
pas un jumpscare , un bon humour avec quelques punchline qui aurait pu être largement approfondie . un peu plus de violence aurait pu être un gros plus .
point fort on s'attache beaucoup a ce si mignon Buddy .
Si tous les artisans des précédents numéros sont partis, la nouvelle équipe s’essaie ici à renouveler un peu les effets d’épouvante, mais elle a bien du mal à échapper à la routine.
Révulsant mais tout de même bouleversant. Une exaltation encore jamais contournée dans le 7i art. Il serait dur de faire plus jouissif. La salle a applaudi. Le sol tremblait. A ne surtout pas voir avec son chien. Conseillé pour les victimes du 13 novembre.
C'est suffisamment poignant, mais cela reste classy but not classic.
Une relecture intéressante de la genèse de chucky, qui a des faux airs d'épisode de Black mirror, ce qui est un compliment. Le film se tient et reste sympa.
Reboot déjà désavoué de Don Mancini, cette nouvelle version de Chucky est-elle réellement défectueuse ? Andy est un garçon qui ne sait pas se faire d’amis. Sa mère cherche à lui faire plaisir en lui offrant un Buddi, une poupée ultra connectée. Malheureusement, ce dernier est défectueux et va plonger Andy dans une crainte de plus en plus forte. Il est sûr que les fans avérés de Chucky risquent de grincer des dents en voyant ce qui a changé par rapport à la saga originale et son postulat d’origine. En effet, bien qu’il y ait quelques points conservés comme les noms, beaucoup de choses ont été modifiées et il est évident que cela va faire râler. Mais d’un autre côté, on pourra apprécier de ne pas avoir joué la carte du simple copier-coller assez facile et d’avoir voulu ancrer cette version un peu plus dans une époque bardée par la technologie, tel un épisode de « Black Mirror » avec plus de gore (ce qui devrait ravir les fans d’hémoglobine). En partant dans une autre direction, le film de Lars Klevberg se permet d’aborder d’autres thématiques que le « Jeu d’enfant » original. Dans le long-métrage de Tom Holland, la peur se nourrissait de plusieurs tabous ancrés dans les rapports conflictuels entre adultes et enfants ainsi que la manière dont le regard dit « rationnel » tombait petit à petit dans l’incrédulité de l’origine de la menace. Ici, on peut y voir une forme de capitalisme se retournant envers un schéma familial déjà en souffrance ainsi qu’une manière d’appréhender les relations toxiques avec ce qui devrait être le lien le plus fort et doux du monde : l’enfant et son jouet. S’il n’a pas autant de maîtrise que Tom Holland, Klevberg gère à souhait ses effets et procure beaucoup d’amusement dans les mises à mort ainsi que dans un climax assez plaisant. On notera que le nouveau look de Chucky procure des sentiments opposés nourrissant les sentiments que l’on peut éprouver envers celui-ci. Et si l’on apprécie de sentir la présence animatronique de la poupée, on regrette une construction narrative assez simple et tombant par moments dans la facilité, malgré quelques instants assez grinçants par le mordant de son humour. Ce « Child’s play » nouvelle génération est en cela une bonne série B assez appréciable et profitant des changements effectués pour avoir sa propre identité et permettre à Mancini de faire prospérer sa saga à sa manière. Sans doute pas le jouet de l’année mais un produit assez solide pour procurer du plaisir au public.
Ce remake de Chucky premier du nom est sorti dans une certaine indifférence. Pourtant ce reboot est très malin car tout en reprenant l'ambiance 80's de l'original il épouse notre époque, sa frénésie technologique et ses questionnements avec une grande habileté. Aussi bien très drôle et très glauque par moment, de plus le gamin est très bien incarné. Sa relation avec la poupée est très intéressante tant du côté de l'ambigüité que des sentiments.
Buddi ressemble à M3gan ou bien le contraire. Très bon film d'horreur, même si il y a un peu d'exagération à la fin de Buddi. Il ne s'agit que d'un film, mais un jour ou l'autre l'IA va nous jouer un sale tour. Il n'y a guère de temps morts et le scénario est bon, même si classique pour ce genre de film.
Un film pour un public de jeunes adolescents! Bien loin de l'épouvante que procurait le premier du nom, celui-ci est "remaké" à la sauce 2019, ce qui peut être une bonne idée, mais ici, plus le film avance, plus on trouve des incohérences. Les acteurs sont correctes, quelques scènes gores mais sans plus, de l'épouvante? Pas vraiment. Des scènes très clichées, un manque d'explication, aucune subtilité malgré une mise en scène plutôt satisfaite.
Revisite moderne d'un classique du genre "slasher", ce jeu d'enfants ne fait pas peur pour un sou, mais est fun, drôle et ne lésine pas sur l'hémoglobine. Alors, est ce qu'il sera votre nouveau meilleur ami ?
Ce film est une honte pour le chucky d origine ce film est un gros navet bon pour la poubelle je suis fan de chucky et sans Charles les ray ce film n a aucun intérêt une poupée possédée depuis le départ pq en faire mnt une poupée défectueuse qui choisis son nom c du grand n importe quoi ! Sans cette fameuse formule la poupée ne prend pas vie et en plus votre poupée est horrible si vous ne nous sortez pas un chucky qui suit les premier film nous perdrons chucky
Vu en avant-première. Je dois faire court mais ce film réalisé par Lars Klevberg est pour moi l'un des meilleurs de la franchise Child's Play; le meilleur restant pour beaucoup le Child's Play 2 de 1990. Le réalisateur essaie ici d'innover tout en essayant de respecter ces classiques du genre d'épouvante, on sent ici une volonté de bien faire même avec un temps d'écriture et un budget limité. Les origines de ce Chucky ne sont pas aussi badass qu'aurait pu être un Charles Lee Ray et sa personnalité n'est donc pas aussi accentué mais il était nécessaire de le faire évoluer doucement mais sûrement pour d'éventuelles suites. La tonalité se veut ici plus sérieuse même si on peut noter quelques scènes drôles pour les amateurs d'humour noir. Lorsqu'on voit un film Chucky, il ne faut pas s'attendre à un chef-d'œuvre mais à un film plutôt de type slasher et divertissant. Il mérite pour moi ce 3,5/5.
Humm comment dire, je penses que la notre parle d'elle-même, quand je penses à ma bon vieille poupée du diable qui me donnait tant de cauchemars... là j'ai plutôt l'impression d'avoir vu Barbie croisée avec ET dans un long métrage. Très déçu y'a quelques farces chukieste mais voila, autant j'avais aimé le coté complètement décalé de la fiancée de chucky qui s'assumait en tant que tel... là on sait pas d'où ça vient ni ou ça va... enfin... si vous avez 12 euros de trop...