Avis : Child's Play : La poupée du mal - Page 5

Un reboot de Child’s play était plus qu’espéré vu la qualité du dernier volet de Mancini et après, cela a fait un peu peur quand on a eu les premières images du film. Et finalement, ce Child’s play modernisé est plutôt plaisant et réussis. Entre modernité et hommage au film d’origine, le scénario respecte les codes mis en place même si cela met un peu de temps avant d’avoir un vrai film d’horreur dans la veine des premiers films. L’évolution de la poupée est réelle, et petit à petit, elle devient sadique, meurtrière et l’on retrouve la poupée à l’humour noir que l’on connaissait. Et même si l’on a vraiment du mal avec le nouveau design de la poupée et que le scénario a tendance à partir un peu trop dans la facilité à certains moments. Lars Klevberg nous offre une réalisation réellement soignée où le réalisateur offre des plans classiques, mais tout de même inventif avec un jeu de la colorimétrie et de la lumière offrant de très beaux plans. Petit regret également du côté du casting qui est un peu moins performant qu’un Mark Hamill présent uniquement par la voix. Un peu trop de facilité, mais le film se regarde sans difficulté.

Divertissement efficace qui trouve son rythme en assumant sons auto dérision et son côté série B. Chucky est plus drôle que flippant et ce n’est peut être pas si mal.

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Chucky se modernise mais l'ancienne poupée vient vite à nous manquer. Il y a pourtant du bon dans cette refonte et on s'en amuse volontier, mais n'oublions pas qu'il y eu meilleur épisode auparavant, s'amusant sans cesse de l'original à le rendre un jour amoureux. Un savoureux remake, très en place.

Un remake étonnant car supérieur à son modèle ! Déjà, le pitch de départ est bien plus réaliste (un bug sur un produit connecté) si bien que cela pourrait être un épisode de BlackMirror. Le contraste entre le jouet d'enfant qui cache un psychopathe sadique, ou même certains personnages craspec et le jeune Andy et ses potes (qui ramènent à l'ère Amblin) détonne... c'est drôle, gore, sale et méchant bref c'est jouissif !

Chucky est de retour dans un curieux remake, puisque j'ai eu l'impression qu'il ne conservait que 10 ou 15% de l'histoire original, et que tout le reste a été changé. En gros, une mère célibataire qui offre une poupée à son fils pour son anniversaire, sans se douter que cette poupée est malfaisante. Sinon, ça n'est plus un criminel sanguinaire qui se sert de la magie vaudou pour transférer son esprit dans la poupée : non, c'est juste une poupée connectée ultra moderne dont l'intelligence artificielle la rend autonome dans son mode de pensée.
J'ai vraiment beaucoup aimé ce film, et pourtant je sais qu'il n'a pas fait l'unanimité. C'est vrai que ce nouveau look de Chucky est particulièrement immonde, on se demande quelle enfant voudrait d'une poupée aussi moche.
Mais passée cette première appréhension, plusieurs bonnes surprises se dévoilent. Déjà la poupée est doublée par Mark Hamill, monsieur Luke Skywalker en personne. Et d'ailleurs, maintenant que j'y pense, la façon dont la poupée reçoit le nom de Chucky part d'une idée du jeune garçon qui fait directement référence à Star Wars.
Fini la poupée "Brave Gars" qui répète sans cesse qu'il aime bien qu'on le dorlote. En revanche, on a droit à une chanson qu'on trouve débile au début, et puis à force de l'entendre jusqu'au bout du film, elle devient de plus en plus flippante. Je vais vous dire, en me réveillant ce matin, je l'avait encore dans la tête!
Les crimes : il y en a peu, mais alors quelle violence! On est largement au dessus du film original en matière de gore.
Et ce qui est également réjouissant, c'est l'humour noir omniprésent dans le film.
Pour ma part, honnêtement, une très bonne surprise!

On avait très peur de ce reboot dont l’affiche était particulièrement hideuse, mais finalement, l’esprit de la franchise est conservée, alors que l’intrigue a subi de grands changements. Exit l’esprit maléfique qui s’infiltre dans une poupée. Ici, il s’agit surtout d’un robot détraqué à cause d’une sécurité enlevée par un ouvrier revendicatif. Du coup, l’esprit se veut plus critique et contestataire envers la société de consommation. Ce point culmine lors du massacre dans le centre commercial qui fait écho à celui de Gremlins. Car on songe beaucoup aux productions des années 80 devant cette œuvre. On y retrouve la bonhommie d’adolescents un peu paumés, mais éminemment sympathiques, ainsi qu’un style visuel très proche. On aime aussi les quelques passages gore qui montrent bien que le réalisateur est un amateur du genre qui ne cherche pas à nous vendre un produit frelaté. Bref, une bonne surprise.

alors que dire chaque scène est prévisible. le film vire plus au gore qu aux suspens . je met 3/5 car il ma bien fait rire . c est vraiment un films très kitch qui fait penser au films d horreur des années 80 très gore avec peut a attendre . cela dit on ne voit pas le temps passer c est quand même un films à voir si on veut bien rire entre amis et deconner sur les vieux films des années 80 .

Voila un nouveau volet de la saga Chucky assez innovant et toujours aussi terrifiant. Le fait d'intégrer l'Intelligence Artificielle dans cet opus est bien vu et Chucky monte en intensité pour nous offrir des instants d'apnée pour certaines scènes. spoiler: Malheureusement, le film souffre d'un début et d'une fin assez convenus
. Un divertissement estival pas déplaisant.

Je suis un grand fan de Chucky. Mais je sens déjà que la note que j'attribue à ce reboot (et non remake) laisse les autres fans sceptiques. Et pourtant... Ok, le design de la nouvelle poupée est un peu... WTF. Mais il fallait bien changer un peu pour un reboot, et son visage atypique est inquiétant au naturel ! Ok, Charles Lee Ray a disparu pour laisser place à une intelligence artificielle. Mais pourquoi pas, j'ai envie de dire, et ça a permis au scénario de nous offrir de nouvelles perspectives. Ok, Chucky ne se limite plus à la simple utilisation de ses petits bras et jambes en plastique. Mais ce côté-là que je redoutais est finalement très bien maitrisé, le grotesque est évité. Enfin bref, mes appréhensions se sont envolées, j'ai réellement apprécié ce film qui redonne enfin un nouveau souffle à cette saga qui tombait peu à peu dans un gouffre sans fond (Le tout dernier "La revanche de Chucky" ou le plus abject volet de la saga. Sans compter le côté parodique et désolant de "La fiancée de Chucky" et "Le fils de Chucky"). A mon avis, le scénariste doit être un fan des films originaux comme moi.

D'abord dubitatif pendant la situation initiale du film, j'aurai finalement passé un excellent moment de détente devant cette proposition fraîche de film d'horreur tournant sur un objet tueur. Ici, il ne s'agit pas de placer l'action dans le passé où une poupée sensée être inanimée se retrouve dotée de vie par l'intermédiaire de forces obscures, mais dans le présent accès high-tech et intelligence artificielle, une "poupée" "vivante" capable de se connecter à toute une flopée d'objets via l'internet et d'apprendre voit son code changé par un programmeurs venant de se faire virer avant de se retrouver dans une famille et attaquer tout le monde à tour de rôle, si l'exposition d'une poupée à l'esthétique flippante dans la société actuelle peut paraître étrange (avouons le, visage flippant = cahier des charges du siècle précédent), outre le fait que les consommateurs du XXIe achètent un objet à l'esthétique creepy pour devenir "le meilleur ami" de leur enfant, cette proposition à l'aire de notre époque ouvre les portes vers des situations inédites et est bien exploité. Les personnages sont attachants, l'horreur imaginé fonctionne bien, l'horreur graphique (étonnamment explicite) fonctionne bien, l'humour, les séquences d'émotion, pour du divertissement au dessus des attentes.
un film que je recommanderais, bonne surprise.

Bonsoir,

Avec un peu de retard je vous pose ma critique du remake de "Chucky".

En effet nous sommes allés le voir jeudi. J'en attendais pas grand chose, la mode étant à refaire ce qui a déjà été fait, et bien malheureusement, en plus, la plupart du temps c'est vraiment raté.

Ce film est l'exception qui confirme la règle. Car en effet j'ai vraiment apprécié ce film et j'ai passé un super moment.

J'irai presque à dire qu'il est meilleur que le premier et bien sur bien au-dessus de toutes les suites qui ont déjà étés pondues et qui étaient toutes plus nulles les unes que les autres à part le deuxième épisode.

Bon au niveau scénario ont va pas se mentir c'est nul et tellement tiré par les cheveux que ça en devient du coup un film bourré d'humour. Je me suis vraiment marré plusieurs fois et certaines répliques de chucky sont vraiment hilarantes.

Le scénario est donc pour moi le seul point négatif car vraiment tout est téléphoné. Le plaisir est ailleurs, comme je le disais le film est marrant et il y a quelques scènes bien gores. Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu cela au cinéma. D'ailleurs petit avertissement je trouve même que l'interdiction aux moins de 12 ans est très limite. Il aurait presque mérité un moins de 16 ans pour deux ou trois scènes.

En bref c'est vraiment un bon petit film d'horreur à l'humour noir et plutôt bien fichu.

Par contre n'allés pas le voir en espérant le grand frisson car ce film ne fait pas peur du tout, c'est vraiment encore une fois je trouve plus une comédie horrifique.

Je vous conseille donc d'allé le voir surtout si vous êtes fan des deux premiers épisodes, je suis sur aque vous passerez un bon moment.

A bientôt...

En 2019 le défilé apparemment interminable de redémarrages, de réimaginations et de révisions est un rafraîchissement de la comédie d’horreur Child’s Play, un classique de la comédie d’horreur. Bien que cette version n’ajoute pas grand-chose à la mythologie de Chucky et enlève certains des morceaux les plus juteux de sa légende, elle refuse aussi de se prendre trop au sérieux.

Certaines scènes de films résument parfaitement le ton et l’intention du cinéaste. Nous arrivons à mi-chemin du nouveau Child’s Play. Andy (Gabriel Bateman) vient de se faire deux nouveaux amis après un déménagement, et le trio regarde un film avec la dernière acquisition de jouets d’Andy, Chucky. Ils regardent The Texas Chainsaw Massacre 2 de 1986 dans toute sa gloire sanglante. Ils rient tous avec plaisir de la violence caricaturale et des scalpings alors que Chop-Top et la famille Sawyer se fraient un chemin à travers une bande d’adolescents. Les enfants humains dans la pièce disent (je paraphrase ici), « Ce n’est pas comme ça que le scalping fonctionne » et continuent à aboyer. Chucky regarde toute cette situation avec un grand émerveillement. Non seulement il s’amuse dans ce chaos, mais il est aussi incapable de comprendre la différence entre la violence dans les films et les dommages réels causés aux humains. Pour notre chance, Chucky n’existe qu’à l’écran et il est capable de reprendre là où Leatherface s’arrête. Plus tard, quand Chucky présente un visage scalpé qui contient à la fois des yeux et des dents, nous sommes maintenant le public qui hurle de rire devant le fait que la peau du visage ne fonctionne pas vraiment comme ça. Ne dites pas que Child’s Play ne vous a pas prévenu explicitement – c’est un film idiot.

Le remake de The Child’s Play imite l’original de 1988 de quelques façons importantes, mais l’ignore complètement dans d’autres. Chucky est une poupée tueuse qui appartient à un jeune garçon du nom d’Andy. Le design de la poupée est généralement le même, avec chemise rayée et salopette. Cependant, cette version mise à jour de Chucky est souvent évidemment CGI, plutôt que de maintenir les charmes des effets pratiques originaux de la marionnette. Le changement le plus marqué d’une version à l’autre est la racine des mauvaises manières de Chucky. Dans les années 80, Chucky était possédé par l’âme d’un tueur en série qui l’a transformé en poupée tueur en série. Dans cette version, un ouvrier mécontent de l’usine a supprimé tous les programmes de sécurité de l’IA de la poupée. Ça ne devrait pas forcément rendre une poupée maléfique, mais Chucky y arrive.

Le méchant affaibli, ou du moins moins moins menaçant à l’origine, aurait pu se prêter à un film d’horreur moins divertissant, et il l’est, mais pas au point que vous pouvez craindre. Le refus du film de se prendre au sérieux ajoute au plaisir de la prémisse ridicule. Pour la plupart, c’est une farce idiote. Aubrey Plaza s’amuse à jouer la mère sarcastique et attentionnée. Mark Hamill est la voix parfaite de Chucky. Et même les enfants acteurs sont tous parfaitement utilisables comme amis d’Andy.

Note : 8/10

Chucky ; cette saga qui était pourtant si culte et ayant terrorisé les enfants des années 90 n'a pas cessé de s'empirer avec les nouveaux volets. Ce fut la dégringolade totale avec les 2 dernières suite. Ce remake prenait un grand risque comme toute réadaptation de grands classiques de l'horreur. Mais en plus on change l'origine de l'histoire (la poupée possédée par un serial killer) en voulant la moderniser (la poupée est formatée dans son usine de construction pour tuer), ça perd tout son "charme", aucun intérêt.

Je m’attendais à quelque chose de vraiment bidon, mais j’ai passé un très bon moment devant ce film! Aubrey Plaza est parfaite, les acteurs
qui jouent les enfants se débrouillent bien. Le nouveau design de Chucky tout en CGI est bof mais ça apporte un côté humoristique. Gore à souhait, les personnages sont attachants, en bref ce film est meilleur que ce qu’on pourrait imaginer d’un remake de Chucky des temps modernes.

Le slasher high tech de Lars Klevberg se laisse visionner comme une agréable série B à l'ancienne, boostant une franchise d'un petit coup de sang neuf. A l’heure où les films d'horreur sortent de moins en moins souvent dans les salles obscures, relayés directement sur des plates formes comme Netflix, on ne s’en plaindra pas.