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    The Mountain : une odyssée américaine
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    3,3
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    8 critiques spectateurs

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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 169 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Situé dans les années 50, “The Mountain : une Odyssée Américaine” nous plonge dans un hôpital psychiatrique des Etats-Unis. Le Docteur Wallace emploie un jeune homme introverti comme photographe pour documenter sa méthode de lobotomie de plus en plus controversée. Le photographe toujours silencieux va assister aux méthodes inhumaines utilisées sur de nombreuses femmes lobotomisées. Dans une ambiance taiseuse, le film propose une photographie visuellement intéressante avec des cadrages presque somptueux en opposition totale avec les laborieux actes auxquels nous assistons.Un film magnifiquement déprimant.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    590 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2019
    Un long métrage étonnant, perturbant, composé de silence, et de quelques monologues envoûtants. The Mountain est un long métrage déroutant dans lequel le trio d’acteurs est absolument envoûtant.

    https://www.facebook.com/la7emecritique/

    https://www.cineserie.com/critiques/cine/the-mountain-une-odyssee-americaine-metaphore-dune-societe-lobotomisee-2618089/
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    151 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2019
    The Mountain n'est sans doute pas la réussite que les deux teasers annoncent, mais c'est un film ambitieux et plastiquement très réussi. Il semble que certains critiques attendaient un film à thèse du type Shock Corridor, mais il s'agit plutôt ici d'un nouveau Mulholland Drive. L'opus se distingue par sa croyance en l'image, contre la parole. Les personnages parlent extrêmement peu. A contrario, la photographie est riche de sens, par ses couleurs, sa lumière, ses décors, etc. Sur le fond, on découvre un moment de transition entre deux traitements de la folie. La froide brutalité des électrochocs suivis de trépanation est remplacée par la prise de médicaments. Le médecin au centre du film s'en trouve dépité. Mais le récit nous emmène aussi ailleurs, dans l'irréalité des rêves et visions d'un jeune homme pour qui le réel et son double fusionnent. Ce film très courageux par sa recherche d'une nouvelle esthétique, n'est pas pleinement réussi. Le jeune comédien joue particulièrement mal, sans doute sous la direction du cinéaste : il ne prend qu'une seule et même attitude pendant près de 2h. ça ne fonctionne pas. Denis Lavant alterne les saillies admirables et le grand n'importe quoi, à nouveau à la demande du cinéaste ou du scénariste. Un peu dommage. Le semi-échec de ce film était déjà perceptible dans sa diffusion totalement anecdotique (quelques cinémas à Paris) ; c'est sans doute trop sévère car cela reste une expérience cinématographique intéressante.
    war m
    war m

    21 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2019
    Les méandres de la folie humaine et de ses traitements indignes, où Jeff Goldblum incarne cette fois-ci un dinosaure.
    Yaël R.
    Yaël R.

    3 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juin 2019
    Rick Alverson a voulu faire un film politique et formel. En racontant l’histoire de la fin de la vie de cet homme, Walter Jackson Freeman, inventeur de la lobotomie joué parfaitement par Jeff Goldblum, le metteur en scène nous entraîne dans une histoire souvent incompréhensible.

    De ville en ville, le médecin propose ses services aux familles pauvres et aux asiles comme un prêcheur fanatique, assisté d’un jeune homme perdu joué par Tye Sheridan (acteur de « The Tree of life » de Terence Malick). La prestation de Denis Lavant est impressionnante.

    Rick Alverson insiste sur la forme au cinéma. Elle a selon lui disparu au profit du sens. Inspiré par Robert Bresson et de l’imagerie de Norman Rockwell, le metteur en scène bouscule le spectateur et nous laisse dans l’incompréhension et le questionnement.
    Evacaro.
    Evacaro.

    3 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 juillet 2019
    Je m'y suis ennuyée comme jamais ...le sujet m'intéresse pourtant et l'univers de la maladie mentale à cette époque que ce soit aux states ou en France ne m'est pas étranger.
    Mais ce film est plat les scènes y sont répétitives à l'envi....les acteurs sont aussi éveillés que des zombi et ce m^me avant la lobotomie...bref à éviter
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 juin 2019
    Du jeu d'acteur magistral à la composition millimétrée, chaque plan est un véritable tableau et ce film est une véritable œuvre d'art.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 août 2019
    Le film réussit à nous faire nous identifier au personnage : comme lui on se fait trimbaler sans comprendre grand chose. Le film est constitué d'une longue succession de scènes séparées par des ellipses, ce qui lui donne un aspect décousu. En rajoutant la quasi-absence de dialogues, on obtient un film fort ennuyant. J'ai hésité plus d'une fois à partir avant la fin du film et cela aura peut-être été mieux.
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