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    La Vie scolaire
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    628 critiques spectateurs

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    Wylan
    Wylan

    20 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2019
    J'ai adoré ce film. Qui montre la réalité dans les ZEP et oui la vie n'est pas toujours aussi facile et simple pour tout le monde et ce film le montre et le traitre parfaitement bien sous forme de comédie dramatique. On en redemande, les acteurs adultes sont bons et les acteurs enfants sont tellement juste dans leurs jeux d'acteur pour la plupart novice chapeau à vous gamins.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    44 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2020
    Agréable chronique scolaire et sociale, le film est plaisant à suivre et bénéficie d'un bel effort d'écriture et d'une bonne réalisation. Il s'avère souvent drôle et même très pertinent, notamment dans le parallèle évident entre profs et élèves! Alors même s'il ne déjoue pas tous les clichés du genre, ni les scènes convenues ou situations attendues, il fournit un effort constant de sincérité qui finit par emporter l'adhésion! Il doit beaucoup à la sublime Zita Hanrot et à la galerie de personnages secondaires hauts en couleurs qui mériteraient néanmoins des enjeux plus conséquents qui donneraient au film davantage de consistance. Léger mais pertinent et sympathique!
    Benito G
    Benito G

    604 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2020
    Un film certes, légèrement cliché mais avec justesse montrant une certaine réalité. La ou d autres films vont accentuer le côté quartier et compagnie. Ici cela sonne juste et l ensemble tient le rythme avec une CPE jouant brillamment son rôle. Certains verront que les gens "visés " pour faire court. Sont avec des origines de base pas tous française. Mais musulman, français... Font partie intégrante de la population et non seulement une minorité de quelques pourcents. Tout comme les problèmes rencontrés. De la façon, le sujet tape un peu plus que si cela avait été dans le sens inverse meme si cela avait peut-être emmené à moins d echange de la part du public. Tout le monde interprète leur prestation avec justesse. Meme si la finalité s avère assez facilement prévisible. Mais le but n etait sans doute pas de nous sortir un twist final psychologique. C est dernier temps plusieurs films ont touché de près ou de loin (les misérables dans les derniers sortie par exemple mais d autre également ou le sujet des problèmes de société sont récurrents). La on ne tombe pas dans l exces a base de wech wech toute les 5 minutes et fort heureusement. Pour le coup, cette thématique que l on voit dans des productions françaises, fonctionnent pour le coup. Contrairement à d autres abordant des thèmes réussi plus souvent par des productions US ou autre. Bref on passe un moment sympathique que l on soit déjà au courant ou non du mauvais fonctionnement. Bref une bonne surprise ou je m attendais a quelques chose de toi much. A voir sans attendre !
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    151 abonnés 1 036 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2019
    Ce film n'a aucun mal à surnager parmi les nombreuses comédies traitant de l'éducation, toutes souvent médiocres. Sans complaisance ni angélisme La Vie Scolaire porte son regard sur ce bureau finalement peu connu ou se côtoient la peur et la frustration des professeurs, les rêves et les larmes des élèves, les doutes et la sollicitude des CPE et des pions. Naviguant facilement entre comédie et drame ce film laisse entrevoir la lumière d'un avenir moins sombre qu'il n'y parait et n'oublie pas d'être politique quand il s'agit de dénoncer les manquements de l'école de la République. A voir.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    601 abonnés 2 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2020
    La très grande force de La Vie scolaire réside dans sa propension à ménager pour chaque cliché mis en scène un retournement dramatique qui nous invite à questionner nos préjugés et à réviser nos convictions préconçues : voir un élève se saisir de plus de pommes que le règlement de la cantine ne l’autorise apparaît de prime abord comme un affront fait à l’autorité et à l’équité, mais devient rapidement le signe manifeste d’une situation familiale précaire ; subir les insultes proférées par un élève conduit à l’exclure, alors que ces attaques verbales traduisent un profond mal-être, un désarroi qui ne peut s’exprimer autrement que par la vulgarité. Nos personnages sont des êtres tiraillés entre une situation professionnelle exigeante et une vie de famille mouvementée : petit-ami et père sont des ombres à la fois absente physiquement et omniprésente dans leur conscience ; entre l’école et la rue, entre Saint-Denis et l’Ardèche, on ne sait que choisir. Nos deux protagonistes principaux fonctionnent en miroir l’un de l’autre ; nul hasard par conséquent s’ils s’épaulent comme ils le peuvent, en restant dans le cadre scolaire. De la même manière, le groupe des élèves et celui des professeurs se ressemble à plus d’un titre : des soirées similaires – en témoigne le plan-séquence un peu trop long et pompeux qui juxtapose les deux milieux – aux mêmes bassesses langagières, tous sont renvoyés dos à dos, ce qui a le mérite de renouveler en partie l’image véhiculée sur l’école. Pas de misérabilisme, mais une énergie qu’incarnent le corps de la conseillère principale d’éducation, le corps enseignant (notamment le professeur de mathématiques) et celui des élèves : une énergie de la discorde, de la chamaillerie, du heurt mais qui laisse voir en creux les difficultés à trouver un vivre-ensemble, les compromis à accepter, les limites à ne pas franchir. Le film montre très bien la fracture qui sépare les enseignants et les élèves : un sincère désir de transmettre et d’aider anime les uns, un besoin farouche d’indépendance et un refus de se soumettre à l’autorité guident les pas des autres. Au milieu, un mur d’indicible, de tensions qu’il faut canaliser, encore et encore. Alors on pourra reprocher un optimisme parfois proche du meilleur des mondes – le cours de musique se transforme en table de mixage son – et une tendance fâcheuse à gonfler artificiellement la voix des adolescents de propos à thèse que l’on sait ne pas émaner d’eux, mais on ne pourra pas enlever à La Vie scolaire sa vitalité et la qualité esthétique de sa mise en scène, redoublées par un acte de foi en l’école républicaine qui rappelle si besoin que celle-ci est une chance.
    maxime ...
    maxime ...

    203 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2021
    Bon, il ai difficile là tout de suite pour moi d'écrire une critique sur ce film. Pourquoi ? Il se trouve que j'ai bien du mal à démêlé ou du moins à me faire un même point de vue tant ce film possède de réelles qualités mais s'en contentent aussi parfois et ceux à tord.

    Loin du bon gros cliché comme le Cinéma Français aime nous y tenir parfois, toute la petite clique trouve une cohésion et s'harmonise à ravir pour au fond un grand plaisir. D'ailleurs je n'ai pas vu le film passé. Il y'a bien des grosses ficelles, très grosses même, néanmoins le point de vue plutôt bienveillant trouve de la nuance sans angélisme précaire. C'est fort, il faut le reconnaitre. On aime ces protagonistes sans guimauves, à leurs échelle, sans culte de la réussite ou de l'échec pour être dans le bon système. Il y'a une humanité remarquable dans le geste du binôme Grands Corps Malade / Medhi Idir. Merci et bravo là-dessus.

    Coté casting tout le monde comme je l'ai écris plus haut s'en sort à ravir. J'aurai par contre au vue de la floppé de personnages aimés une confection différente pour ne pas tomber dans le chacun fait sa petite vanne rapport qualité quantitatif exigé par le temps. Une série aurait pu être une bonne idée histoire de bien plus développé. Après, sa reste cool et divertissant. Je reconnais avoir quelques préférences à commencer par son actrice titre, Zita Hanrot. Fatima de Phillipe Faucon avais révélé les talents immenses de cette comédienne et elle ne déroge pas non plus ici à ses habitudes. J'avoue mettre coltiné Plan Coeur sur Netflix, du moins sa première saison en grande partie pour elle ! Soufiane Guerrab, Moussa Mansaly ainsi que touts les autres amènent eux aussi une contribution notable.

    J'ai un petit reproche à faire sur la mise en scène parfois un peu simpliste mais bon, rien ne sert de faire la fine bouche non plus ... Une comédie intéressante et un film qui en général trouve le bon ton pour s'exprimer, sans fioritures mais avec bon cœur.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    164 abonnés 2 790 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2020
    Le duo de réalisateurs captent encore l'essentiel. Le milieu scolaire semblent également leur appartenir, comme s'ils y traînaient encore les pieds; S'adressant aux jeunes d'aujourd'hui et d'hier, avec un regard vif et lucide.
    Alain D.
    Alain D.

    514 abonnés 3 217 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2020
    Un très beau film écrit et mis en scène par Grand Corps Malade et Mehdi Idir. La réalisation ressemble à un documentaire tellement l'immersion est réaliste dans cette classe de 3ème d'un collège en ZEP dans le 9.3. Les deux réalisateurs nous transmettent des émotions avec quelques très belles scènes, des cas émouvants lors de situations qui sentent le vécu.
    Le film nous offre également un bon casting avec des jeunes biens en place, Alban Ivanov en surveillant borderline et Zita Hanrot tout à fait crédible dans le rôle central.
    David B.
    David B.

    39 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 décembre 2019
    On se laisse entrainer dans ce film dans la vie quotidienne d'un collège de ZEP, marqués par les comportements déconcertants, insolents et souvent résignés des jeunes ados. Et puis, on est témoin des différentes façons de gérer ceux-ci par l'équipe éducative, une partie gère comme ils peuvent, d'autres frisent le burn-out, quelques-uns trouvent moyen de lutter avec ténacité contre le déterminisme social. Grand Corps Malade a décidemment beaucoup de talent...
    Arno M.
    Arno M.

    8 abonnés 277 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 octobre 2019
    Une année dans la vie scolaire d’un collège de banlieue… . Pour une fois, je vais à l’opposé des critiques. C’est poussif, plein de bon sentiments, de longueur et de politiquement correct ! Dommage !!!
    Virginie P
    Virginie P

    44 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2019
    Bon film, bons acteurs (adultes et enfants). Merci Grand Corps Malade pour cette comédie douce-amère et très drôle en même temps
    Ceiner M
    Ceiner M

    25 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2019
    Film vu après "chambre 212" et avoir vu "Patients" à la télé et avoir été étonnée par la qualité des dialogues, du scénario et de la mise en scène.
    Ici j'ai été déçue. Il manque ce souffle d'espérance et de combativité de "Patients" et surtout c'est beaucoup moins bien écrit et filmè, moins de poésie et d'humour intelligent...tout est bien plus plat.. Franchement déçue… la lecture de l'échec comme uniquement le manque de confiance en soi mais semble un peu court mais peut-être est-ce une leçon de chose pour faire comprendre aux jeunes de banlieue qu'il faut d'abord croire en soi….et en ses projets… Trop d'intentions moins de cinéma
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    702 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2019
    Réussir à alterner des fous rires et des moments touchants faisant monter les larmes aux yeux dans une même oeuvre traitant d'une école de banlieue, c'est le défi que parvient à atteindre ce long-métrage signé Grand Corps Malade et Mehdi Idir.
    Pas de filtre ni artifice ici, on plonge à 200% dans une année scolaire dans un collège de Saint-Denis où l'on va suivre l'arrivée d'une nouvelle conseillère principale d'éducation (CPE) fraîchement débarquée de Province qui va devoir s'acclimater à une ambiance éducative bien particulière et à des individus (élèves, surveillants et enseignants) aux attitudes plutôt éloignées des règles de base d'un établissement conventionnel.
    Tout sonne vrai dans ce film, les acteurs sont d'un naturel inouï, le rythme est bon sans un moment d'ennui, l'équilibre drame/comédie est habilement dosé.
    Les réalisateurs ont su éviter les pièges des clichés faciles en restant dans un ton plein d'espoir malgré la violence qui se dégage forcément de cette vie scolaire dans des quartiers défavorisés.
    Simplement excellent.
    Site www.cinemadourg.free.fr
    Chris58640
    Chris58640

    185 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2019
    Evoquer des problèmes lourds avec un ton léger, Grand Corps Malade et Mehdi Idir avaient déjà réussi ce challenge sur le handicap avec leur premier film, « Patients ». Ils remettent ça aujourd’hui avec un autre sujet, tout aussi difficile, l’échec scolaire. Cette fois-ci, et c’est assez rare pour être souligné, le sujet n’est pas vu au travers de professeurs ou d’élèves mais essentiellement au travers d’une jeune CPE. Ce métier essentiel et mal connu, chargé de réguler et d’animer « La Vie Scolaire », bien au-delà des questions de disciplines. On est loin de l’ancien « Surveillant Général » (tellement ancien que je ne l’ai pas connu). Mehdi Idir et Grand Corps Malade réussissent un joli film dans la forme, bien filmé et soigné du générique de début (malin) au générique de fin (avec un clin d’œil à « Esprits Rebelles »). Des plans bien travaillés, des plans séquences parfaitement maîtrisés, un film qui a un vrai rythme, qui ne connait pas de baisse de régime. Il y a aussi un chouette moment, un parallèle entre une fête d’élèves et une fête de profs, qui se déroulent en même temps et il se passe plus ou moins le même genre de choses, bêtises comprises. Les coréalisateurs s’amusent aussi avec le hors champs, comme dans la scène de rentrée scolaire ou le principal cherche vainement à obtenir le silence… spoiler: en salle des profs, ce qu’on ne comprend pas d’emblée !
    Et puis, il y a la bande son, forcément très pensée, avec des musiques bien choisies qui tombent bien, sans écraser l’image, sans prendre tout l’espace, sans écraser le propos. Non, vraiment, dans la forme pas grand-chose à redire, sauf peut-être quelques toutes petites longueurs sur la fin, mais ce n’est pas grand-chose. Le casting est pléthorique et avant de parler des deux premiers rôles, j’insiste sur le fait que les seconds rôles sont nombreux, biens écrits et parfaitement tenus, que ce soit par Alban Ivanov (dans une rôle au moins aussi décalé et casse-bonbon que celui tenu dans « Patients »), Soufiane Guerrab en prof de math (option philo) et visiblement sous le charme de la CEP, Antoine Reinartz en prof dépassé ou Redouanne Bougheraba en prof de sport (très inspiré par le prof de sport de « P.R.O.F.S. » incarné à l’époque par Laurent Gamelon). C’est pareil du côté des élèves avec par exemple le mytho Hocine Mokando. Ce sont des rôles écrits, avec une vraie profondeur, et ils ne sont jamais caricaturaux, ou pas trop… Dans le rôle de Samia, Zita Hanrot trouve là un vrai beau rôle de femme forte, amoureuse et humaine, déterminée, pleine de doutes et de faille, un vrai beau rôle pour cette actrice qui confirme de film en film tout son potentiel. Et puis il y a Liam Pierron, dans le rôle de Yanis. Ce jeune comédien, (qui ressemble étrangement à Kylian MBappé !) aurait pu en faire des tonnes, singer ce rôle de petit mec de banlieue qui dérape doucement, chambreur, plein de bagout mais très mal dans sa peau, dans sa vie. Il se cherche sans jamais se trouver et ce désarroi à fleur de peau, Liam le fait très bien passer à l’image. Je peux prendre le pari que ce jeune acteur se retrouvera sur une liste de pré sélection ou de sélection aux Césars 2020, « Meilleur Espoir Masculin », on verra. Il forme avec Zita Hanrot un sorte de personnage double, l’un étant un peu le négatif de l’autre alors qu’ils sont bien plus de points commun qu’on ne l’imagine. Leurs routes sont des routes parallèles qui se croisent à intervalles réguliers. Le scénario joue beaucoup sur cette mise en parallèle de deux enfants de l’immigration, chacun d’un côté du bureau. « Entre les Murs » ou « Esprits Rebelles », entres autres, ont déjà exploré la question de la vie dans un collège ou un lycée, de l’échec ou de la rédemption scolaire. « La Vie Scolaire » s’inscrit dans une démarche plus légère, plus optimiste aussi. Le film trace son sillon, sans catastrophisme, en évitant les poncifs mais sans éluder non plus certains problèmes lourds de gamins sur le point d’être perdus par le système, de profs en souffrance, d’élèves qui ne mangent pas toujours à leurs faim, de parents démissionnaires ou tout simplement de bonne volonté mais dépassés. Evidemment, ce n’est pas le premier film à jeter la lumière sur un collège de banlieue et comme tous les autres avant lui, il va essuyer les remarques des pisse-froids, adeptes d’un système scolaire phantasmé plein de blouses grises et de porte plumes mais ce sera injuste. Le film sera qualifié de naïf alors qu’il ne l’est pas tant que cela, la fin étant d’ailleurs pas du tout un happy end, juste une fin nuancée et raisonnable. Bien-sur c’est truffé de bons sentiments mais les bons sentiments ne font pas de mal s’ils sont dosés intelligemment. « La Vie Scolaire » ne fait ni dans le naïf, ni dans le pathos. Dans ce collège, on rit, on se bat, on réussie, on échoue, on souffre, c’est un petit microcosme fermé à l’image de toute la société et de toute la vie. Il n’y a pas à proprement parler d’intrigue, c’est une sorte de fresque calée sur une année scolaire, le parcourt parallèle de deux débutants, l’une dans son métier en banlieue l’autre dans la Vie avec un grand V. « La Vie Scolaire » enfonce le clou de « ¨Patients », il installe Medhi Idir et Grand Corps Malade dans la paysage du cinéma hexagonal avec leur ton propre, leur vision amusée mais réaliste des choses, et c’est une vraie bonne nouvelle pour le cinéma français.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 septembre 2019
    Non ce film n'est pas une caricature ou ancré dans les clichés. Il est le juste reflet du quotidien des équipes scolaires et de la vie des élèves de REP.
    Il est joué avec un naturel déconcertant et extrêmement bien filmé. La caméra qui passe d'un personnage à l'autre, les transitions d'une soirée à l'autre, la musique, les regards captés, la tristesse, les sourires, les moments de solitude, tout est sur la pellicule avec une rare justesse. Entre humour et drames, ce joli film nous touche et nous fait rire, en nous dévoilant l'envers du décor, à l'école et dans la cité.
    Un établissement scolaire en REP, c'est exactement cela, même si je déplore l'absence de l'infirmière scolaire et de l'assistante sociale.
    Je suis ressortie de ce film en me disant que je savais pourquoi je faisais ce métier. Merci de me l'avoir rappelé.
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