Avis : J'irai où tu iras - Page 6

Un film à voir absolument, génial, les acteurs sont exceptionnel et revoir Géraldine Nakache et Leïla Behkti ensemble est toujours un plaisir

Déjà vu, caricatural, un peu bête et décevant..
Quelques moments sympas, mais franchement tout est dans la bande-annonce ! Dommage :/

j'aime cette réalisatrice et ce duo de comédienne mais dans ce film ça ne fonctionne pas. dommage pour Patrick timsitt que lui par contre je n'aime pas mais qui se révèle bon dans ce rôle et pour le personnage de la maman abandonnée par ses quatres filles qui m'a touchée. le scénario n'est pas intéressant et même si cela n'est pas mal joué on s'ennuie vite.

Hyper déçue...j'aime les 2 actrices principales mais j'ai eu du mal à finir le film tellement c'est lourdingue 😔.

Du rire, des larmes, un scénario sympathique, un très bon jeu d'acteurs, félicitations pour cet excellent film, dommage pour la fin peut-être un poil trop courte...

Je m’attenDais à un film aussi reussi que tout ce qui brille. C’etait plat, dialogues nuls, tellement stupide la sequence avec les fans de Céline... et pourtant je suis fan. Lourd, ennuyeux. Heureusement que Leila Bekhti a du talent et Timsit tres bon. Des scènes inutiles. Tres tres bof. Mais on s est vraiment ennuyés pendant 1h30.... grosse perte de temps.

film vu en avant premiere sur invitation, tres decue sans grand interet. quelles sont les raisons de la brouille, gros manque d approfondissement sur la vie des heroines

Film sans prétention, avec un casting sympa et efficace. Un film français qui n'en fait pas des tonnes, avec quelques passages qui font rire, et de l'émotion par moments. Rien d'incontournable et vite oublié certes, mais agréable pour une petite soirée film.

Leïla Bekhti... je ne vais pas vous le cacher : ce nom-là, me fait peur, vraiment. Parce que l'ami Leïla, en tant qu'actrice, elle ne m'a fait que deux impressions jusqu'à présent. Complètement transparente dans "Nous York", "Maintenant ou jamais" ou encore "Mains armées" (en plus d'être difficilement audible ou alors, tout bonnement insupportable. Sa prestation dans "Lre grand bain"... mon Dieu... Dommage que les Gérard du cinéma n'existent plus. Elle aurait été une candidate plus que crédible. Bon, quid de ce "J'irai où tu iras" ? Ben non, juste non, en fait. Moi, des films comme ça, j'en ai ras-la-frange. Une énième histoire de famille. Une énième histoire de frangines qui ne s'entendent pas mais qui, au fond, s'aiment, mais ne parviennent pas à se le dire. Et bien sûr, à la fin, ça va se rabibocher sur un claquement de doigts et limite se rouler des galoches. Tout est plat, sans intérêt, convenu, sans vie, sans rien quoi. Il arrivera le moment où même le spectateur le plus bon public qui soit, finira par se lasser de ce genre de navets. Mais alors, pourquoi regarder ça puisque j'en ai plein le dos de ce genre de films ? Tout simplement parce que j'ai une perversion que je partage avec bien d'autres amoureux du cinéma : certains aiment, de temps à autres, s'injecter du nanar dans les veines, là où d'autres, toujours de temps en temps, aiment s'injecter du navet. Et d'autres, aiment s'injecter les deux. Je fais partie de ceux-là.

Une jolie histoire de famille pour une film plein de bienveillance et de positivité. P. Timsit en papa poule un peu benêt hyper gentil, G. Nakache dans le rôle de la soeur complètement egocentrée qui fait aux autres les reproches de sa propre superficialité, et surtout L. Bekhti au sommet de son art avec une interprétation impeccable de la soeur terre à terre, un peu trop rationnelle, qui "porte sur ses épaules" ce trio familial. Même si la plupart des personnages secondaires sont volontairement très caricaturaux ce qui peut en agacer certains, il en demeure un film hyper pertinent dans sa critique de la famille, et plus généralement de la société (comprendre l'individu) dans son rapport aux autres

" J'irai où tu iras " donne une nouvelle occasion de voir jouer ensemble Géraldine Nakache et Leïla Bekhti, et rien que ça, ça fait plaisir ! Les actrices sont en forme, jouent bien et surtout donnent voix à des dialogues absolument tordants de justesse (typiquement sortis de la vraie vie).
Le film n'est pas un chef d'oeuvre, mais un bon film, sans prétention et qui touche. Un bon moment donc qui mérite mieux que les critiques qu'on peut en lire...

" J'irai où tu iras " : Une comédie dramatique mise en scène et écrite par Géraldine Nakache. Après un début très prometteur, son scénario perd grandement en intensité pour tomber dans la banalité et les conversations téléphoniques et SMS à l'écran. Seule la présence optimiste de Patrick Timsit et une touche finale d'émotion sauvent cette réalisation de l'ennui.

Plus puissant que "tout ce qui brille". Géraldine Nakache à la réalisation, c'est propre, tout en emotion, muni de moments forts, c'est assez touchant. Bien entendu Leila Bekhti est en oreille une fois très forte, cest vraiment une grande actrice. Géraldine Nakache qui chante du Celine Dion cest assez fou et bien interprété et Patrick Timsit est drôle en papa gateau. J'ai beaucoup aimé.

Leila Bekti et Natacha Nakache est un duo qui fonctionne tellement bien! J'adore!
Cet comédie dramatique est émouvante et jouée avec une justesse fascinante.
Un joli film composé d'un excellent tandem

C'est un film convenu qui est artificiel voire maladroit et parfois même lourd. Je suis d'autant plus sévère que j'avais beaucoup aimé à l'époque le premier film du duo Géraldine Nakache et Leïla Bekhti Tous ce qui brille. Dans J'irai où tu iras tout sonne faux du personnage de gentil papa protecteur blagueur et cancéreux qui radote sur ses gâteaux (Patrick Timsit) à l'attachement irrationnel du docteur pour son patient atteint d'Alzheimer en passant par la troupe de choristes outrageusement caricaturales. A la limite la relation entre les deux sœurs reste l'élément le plus réussi grâce à la complicité des deux comédiennes car elles sont amies dans la vraie vie sauf que leur réconciliation finale est convenue et fait fi de toute logique psychologique et comportementale. Quant à l'humour du film il fonctionne presque exclusivement sur un seul procédé l'apparition ponctuelle de casse-pieds ultra lourds et stéréotypés (l'auto-stoppeur, le vigile, la fille aux dents pourries, la choriste topless, le marié asiatique) qui sont censés provoquer le décalage et l'amusement alors que pour ma part cette mécanique répétitive n'aura suscité que de l'agacement. Sans oublier que la bande musicale originale à base de Céline Dion et Dr Alban fait plutôt mal à la tête qu'autre chose...