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Huet Océane
1 critique
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2,0
Publiée le 2 mai 2021
Bon déjà on ne va pas se mentir, si vous aimez les films de SF avec d'incroyables effets spéciaux, alors il n'y a aucun intérêt pour vous à visionner ce film. Concernant le scénario, il n'est pas mauvais mais manque cruellement de détails. A la fin du film, spoiler: on sait juste que c'est une ferme qui élève des jeunes filles jusqu'à leur seizième anniversaire ou niveau seize pour ensuite prélever leurs visages pour le transférer sur des clients qui veulent obtenir une seconde jeunesse. Nous ne savons même pas où nous nous trouvons pendant toute la durée du film... Ainsi, on attend toute la durée du film qu'il se passe quelque chose d'intéressant, mais en vain.
film très bien produit, et dénonce la dure existence du Traffic d'être humain. j'en suis persuadé que ce type de réseau existe toujours. Magnifique ce film merci.
Un huit clos que se suit sans ennui, avec une intrigue qui suscite l'interrogation dès le départ mais qui hélas crame son secret bien trop rapidement (spoiler: le couple de vieux en visite dont la dame touche ses rides devant le miroir ), et c'est là mon plus grand regret, même si on a bien conscience dès les premières minutes que l'on est pas dans un simple orphelinat ou pensionnat mais plutôt dans un "élevage". A noter un casting féminin à la hauteur, avec une Sara Canning glaciale comme il faut dans son rôle de gouvernante, et un duo Katie Douglas / Celina Martin qui fonctionne parfaitement. Au final rien de bien révolutionnaire dans ce thriller, mais il mérite un visionnage, surtout que c'est le premier film de la canadienne Danishka Esterhazy en tant que réalisatrice ET scénariste.
On est dans mon moyenne car on se prends dans la survie de ce groupe mais il manque de peps aux acteurs qui gardent ce groupe enfermé et du coup vu le peu d'action de l'ensemble c'est assez "plat"
Assez ennuyeux par une mise en scène poussive. L'intérêt des premières minutes s'essoufflent rapidement dans ce huis clos. Des prestations caricaturales énervantes, des improbabilités pénibles et des comportements discutables parfois n'aident pas. Une fin bâclée. Reste le fond de l'histoire accrocheuse. 2/5 !!!
Le scénario est intéressant et on se laisse entrainé jusqu'au bout dans ce huit-clos malgré les lenteurs. Toutefois le manque de budget se fait sentir et certaines scènes du film font bâclées.
Une très très mauvaise copie de The island (avec Ewan McGregor et Scarlett Johansson) et un soupçon d'Equilibrium (côté vidéos d'endoctrinement et drogues anti émotions).
c'est lent, très lent, c'est nul (on n'avance pas du tout dans l'intrigue avant la fin et l'intrigue en question est juste ridicule). Il n'y a que 3 mecs dans le film : un médecin manipulateur et sadique, un gardien violeur et un gardien violent. Ça rappelle Wonder Woman 1984 mais sans le gentil et gentleman Steve Trevor.. Bref, film sans intérêt, tout est mauvais..
Spoiler alert : Petite info pour les scénaristes : actuellement en médecine on sait faire dupliquer des cellules de peau en laboratoire pour faire des auto greffes, nul besoin de créer des clones pour leur arracher le visage !!!
Des jeunes femmes sont élevés dans une école sans voir le jour. Leur enseignement étonne et dérange on sent de la tension et du mystère. On suit avec plaisir l'évolution de l'une d'entre elles qui s'interroge plus que les autres. On ne sait pas vers quoi l'on va, c'est ce qui maintien le suspens. Bon petit film.
Après visionnage de ce huit clos j'ai eu du mal à me convaincre qu'une réalisatrice canadienne avait pu être à l'origine d'un film qui semble avoir été l’œuvre d'un enfant de 6 ans. Il faudrait inventer une nouvelle catégorie pour ce genre comme par exemple "le cinéma de l'absurde". Les dialogues n'ont parfois ni queue ni tête, comme l'enchaînement des scènes. Le tout souffre d'une absence de budget qui règle définitivement la question de la crédibilité de l'histoire.
Level 16 (2019) est un thriller dystopique canadien se déroulant exclusivement au sein d’internat pour jeunes filles orphelines (l’académie Vestalis). Un lieu tenu secret où des filles sont élevées selon des règles très strictes où on leur apprend les « vertus féminines » telles que l’obéissance, la propreté et l’humanité, dans un but bien précis, être adoptées par une famille de la haute société.
On sent que le film de Danishka Esterhazy a été influencé par The Handmaid's Tale et toute la pléiade de films dystopiques à destination des adolescents qui ont pullulés au cinéma ces dernières années. On reconnaît aussi une certaine absence de moyen, un huis-clos qui se résume à trois couloirs lugubres et dont les propriétaires auraient oubliés de payer leurs factures d’électricité.
L’ensemble s’avère bien face lorsque l’on a compris le pot-aux-roses et qu’il nous reste encore une bonne heure à tenir avant d’en voir le bout. Prévisible et très convenu, tant dans le fond que dans la forme, en dehors de la présence de la ravissante Katie Douglas (une actrice à suivre) et celle de Peter Outerbridge, il n’y a franchement pas grand-chose à sauver et à retenir de ce petit thriller soporifique.
"Level 16" est une bonne dystopie comme on les aime. Pas de grosses surprises au niveau de l'intrigue. L'amateur de SF averti aura tôt fait de comprendre et deviner les tenants et auboutissants du scénario. La réalisatrice se rattrape sur l'ambiance du film en entretenant ce qu'il faut de mystère, de tension. Pas le temps de s'ennuyer et c'est là le plus important.
L'idée n'est pas mauvaise et le film se regarde sans déplaisir, mais le concept s'essouffle à mi-chemin et révèle la faiblesse technique et scénaristique de l'ensemble. Modeste et facilement oubliable!
Hélas, le budget est bcp trop serré, et c'est vraiment dommage parce que l'histoire tient parfaitement la route et aurait pu donner qq chose d'assez prenant mais en l'état, sans une équipe technique créative et bien dotée et des auteurs malins le film est plutôt mou et pas spécialement intéressant visuellement. La deuxième moitié sauve un peu le truc qd même.