Mon compte
    Tuer n'est pas jouer
    Note moyenne
    3,2
    3322 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Tuer n'est pas jouer ?

    207 critiques spectateurs

    5
    25 critiques
    4
    59 critiques
    3
    70 critiques
    2
    35 critiques
    1
    12 critiques
    0
    6 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    T800
    T800

    25 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Plus dur, plus dangereux, je ne crache pas sur l'interprétation de Dalton... mais le film en lui-même ne m'emballe pas. Je le trouve mou, on dirait presque un retour en arrière niveau effets spéciaux, action ou même les bruitages. L'action elle-même peine a venir. Heureusement, la fin est à la hauteur de ce qui s'est fait précédement, mais globalement très décevant pour l'entrée en matière d'un nouveau James Bond. Timothy Dalton méritait mieux.
    JamesDomb
    JamesDomb

    82 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un Bond génial, retrouvant l'ambiguité du personnage de Fleming, Dalton est l'interprète idéal. Dur, cynique, Bond est dangereux. Séquences anthologiques à foison. Bémol : la chanson de A-HA pas terrible et un générique pas très beau non plus...mais un film d'action excellent !
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    212 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 octobre 2008
    "Tuer n'est pas jouer" est le premier James Bond que je suis consciencieusement et entiérement. Rétiçant aux incroyables aventures de l'agent britannique, j'avoue pour le coup ne pas avoir été déçu. Les gadgets et leurs utilisations sont plaisants et l'histoire ( même si elle traine un peu en longueur ) est intéressante à suivre. Ce James Bond, à l'image des autres, détourne l'actualité politique pour réaliser les fantasmes les plus fous, comme l'invasion d'un camp russe surprotégé par une troupe de nomade afghan aidé du beau Bond. Incroyable mais jouissif. On a beaucoup critiquer l'intérprétation de Dalton en tant que Bond. Je trouve qu'il incarne aisément la force tranquille de l'agent 007. Mais c'est dans l'intrigue que le bas blesse. On se mélange les pinceaux avec les intrigues, les secrets semi-dévoilés. Au final, on ne sait qui est avec qui. Le tout s'éclaircit dans les dix dernières minutes, sans qu'on ne comprenne comment on en est arrivé là. Hormis cette brume, "Tuer n'est pas jouer" est un film d'action dans ses rangs les plus nobles avec de l'amour, des batailles et des retournements de situations, pour le moins abracadabrantesques.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 mai 2012
    Inutile de se jeter sur ce film comme un vorace, vous risqueriez de vous trouer l'estomac... A éviter.
    Redzing
    Redzing

    946 abonnés 4 307 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2022
    Après sept opus et plusieurs faux départs, Roger Moore tire enfin sa révérence et quitte le costume de James Bond. Pour le remplacer, les producteurs jettent leur dévolu sur un certain Pierce Brosnan. L’acteur irlandais est en effet disponible car sa série « Remington Steele » n’est pas renouvelée.
    Enorme ironie de l’histoire, sa nomination comme le futur 007 fait parler de lui, booste l’audimat de « Remington Steele »… qui est donc finalement renouvelée ! Le dernier jour de validité de son contrat avec la série, Brosnan reçoit ainsi un coup de fil lui sommant d’honorer ses obligations pour une nouvelle saison. L’acteur, écœuré, doit renoncer au costume de James Bond… à charge de revanche.
    C’est finalement le Gallois Timothy Dalton qui est retenu. A la différence de Pierce Brosnan qui s’accrochera au rôle (au point d’être à ce jour le seul interprète de 007 à avoir été licencié par les producteurs), Dalton avait déjà refusé le rôle plusieurs fois. Et le refusera encore après la traversée du désert que subira la franchise au début des années 90… Malgré cette distance que l’acteur a pour le rôle, il se révèle particulièrement convaincant.
    Roger Moore campait un Bond flegmatique, exprimant peu ses sentiments si ce n’est pas un haussement de sourcil. Et se voulant détaché de l’action, par des petites blagues et remarques narquoises. Timothy Dalton, acteur shakespearien, se pose pratiquement en anti-Moore. Il n’hésite pas à exprimer davantage ses émotions (colère, air attendri…), tout en incarnant un 007 plus sobre et professionnel.
    Un choix culotté à l’époque où Roger Moore était monstrueusement populaire. Ce qui explique peut-être que Dalton a longtemps été mal considéré par une partie du public. La tendance s’est depuis inversée, Timothy Dalton étant parfois vu comme un proto-Daniel Craig en jouant un Bond plus humain.
    Néanmoins, il faudra attendre le film suivant pour voir le scénario intégrer le style de Dalton, le choix de l’acteur ayant été trop tardif pour l’écriture de « The Living Daylights ». Mais justement, quid du film ne lui-même ?
    On sent que la franchise commence à délaisser le film d‘aventure pour lorgner vers le cinéma d’action, genre qu’elle embrassera pleinement dans les années suivantes. Les racines d’espionnages sont néanmoins maintenues, avec une intrigue qui mène Bond à travers l’Europe, le Maroc et l’Afghanistan, sur fond de vente d’armes, assassinats, défection, et trafic de drogue. Un scénario intéressant, avec quelques surprises, qui comporte néanmoins deux défauts.
    D’abord, trop de méchants. Si Necros demeure menaçant, les antagonistes n’ont pas assez de temps de présence pour être pleinement exploités. Ensuite, une bond girl dont on dira gentiment qu’elle est très passive et nunuche. Le jeu un peu ahuri de Maryam d’Abo n’aidant pas (ce n’est pas un hasard si l’actrice n’a pas vraiment eu de grosse carrière ensuite…).
    Néanmoins, pour le reste, « The Living Daylights » est un Bond très plaisant. Le rythme est fluide, et le film propose plusieurs scènes d’action très efficaces. Sans toutes les énumérer, citons une bagarre dans une cuisine (chose trop rare au cinéma !). Une poursuite en Aston Martin, qui fait son retour à l’écran après des années d’absence. Et un duel derrière la soute d’un avion en plein vol, qui n’a aucunement vieilli (en même temps, ça aide quand on tourne réellement au-dessus du vide et pas derrière un fond vert !).
    Pour sa dernière BO sur la franchise, John Barry (qui s’offre d’ailleurs un joli caméo) mélange orchestration symphonique et électronique, chose originale à l’époque. Il livre plusieurs très belles compositions, et co-écrit la chanson titre avec le groupe A-Ha, plutôt réussie.
    Tandis que question acteurs, si les nouvelles versions de Felix Leiter et Moneypenny sont quelques peu transparentes, on retrouve des têtes sympathiques (Joe Don Baker, John-Rhys Davies, ou Jeroen Krabbé).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Bien meilleur que Roger Moore, Dalton endosse pour la première fois le costume de l'espion 007, et il s'en sort bien. Un scénario bien fichu et un Bond plus proche de celui de Flemming.
    Dernière participation de Barry pour la BO, dommage.... Du grand Bond tout simplement.
    PS: la Bond girl est un peu niant niant et Monaypenny est pas génial, mais on ne la voit pas beaucoup...
    Biehn
    Biehn

    11 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ce premier James Bond avec Timothy Dalton est bien. Il change de ceux avec Roger Moore. Bonnes interprétations de Timothy Dalton et de Maryam d'Abo. Bons effets spéciaux. Bon scénario. Bonne intrigue.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un très bon James Bond figurant parmi mes préférés et rattrapant le pire James Bond jamais conçu, Permis de Tuer qui arrivera sur les écrans 2 ans plus tard. Petit bémol : le fait que Timothy Dalton soit beaucoup trop sérieux par rapport à ses prédécesseurs, ce qui cependant n'atteint pas sa prestation.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un épisode attachant de la série, portée par une "Bonf girl" qui n'en ait pas une. Timothy Dalton est stupéfiant!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Sans doute le pire des James Bond...
    C'est filmé avec les pieds, la mise en scène est inexistante, le jeu des acteurs pitoyable, les décors en carton maché sont insupportables à regarder... Film à réserver à ceux qui se sont envoyes quelques bouteilles de don perignon
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un excellent James Bond, le passage avec la lotus est un moment d'anthologie du cinéma. Thimoty Dalton est plus anglais que Roger moore, plus proche du personnage voulu par Flemming, c'est un fait. Le scénario aurait peut-être pu être plus travaillé à la fin, mais il reste un Bond culte à voir .
    twingolot
    twingolot

    18 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juin 2010
    Un virage assez radical après la série des Roger Moore. C'est sûr, James Bond devient tout de suite moins marrant. Si la série perd en humour, elle gagne grandement en qualité avec un scénario plus travaillé, avec des personnages qui dépassent le simple cliché et des scènes d'action vraiment impressionnantes pour le coup (et originales !). Dalton a ses détracteurs, mais il s'acquitte parfaitement de son rôle. Tout cela sans pour autant trahir les bonnes vieilles ficelles de la saga : Aston Martin truffée de gadgets, décors exotiques, champagne et foie gras... La composition musicale de John Barry me paraît également être l'une des meilleures de la série. "The Living Daylights", c'est un peu la convergence du meilleur de Bond, pour un résultat plus que satisfaisant, même s'il est vrai qu'il aurait pu davantage se démarquer, histoire d'être... davantage reconnu.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top