Mon compte
    Tuer n'est pas jouer
    Note moyenne
    3,2
    3318 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Tuer n'est pas jouer ?

    206 critiques spectateurs

    5
    25 critiques
    4
    59 critiques
    3
    70 critiques
    2
    35 critiques
    1
    11 critiques
    0
    6 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Topaze87
    Topaze87

    6 abonnés 307 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2024
    Un James Bond correct au scénario cohérent et à la bonne mise en scène, malgré tous ces efforts Timothy Dalton n’a pas le charisme de ses prédécesseurs.
    Shawn777
    Shawn777

    461 abonnés 3 329 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 janvier 2024
    En 1987, John Glenn s’attèle une nouvelle fois à la réalisation d'une aventure de James Bond, ici la quinzième, et met en scène pour la première fois Timothy Dalton dans le rôle titre, qui ne restera malheureusement pas bien longtemps. Malheureusement en effet car si l'acteur ne fait pas partie des plus "beaux" de la franchise, il dégage un certain charisme, un humour assez acerbe mais pas aussi appuyé que les deux premiers, tout en restant assez froid et pragmatique ; incarnant ainsi à merveille l'icône James Bond. Bref, l'ère Roger Moore est derrière nous donc et si l'humour fait place à un peu plus de sérieux, on a également ici le droit à une histoire bien plus complexe que les précédents opus, enfin du moins c'est que l'on en ressent. En effet, même s'il est toujours question de géopolitique, de risque de guerre nucléaire et de course à l'armement, le scénario tente ici d'être un peu mois manichéen avec des agents doubles, voire même triples, des pays qui collaborent puis qui ne collaborent plus. Tellement riche finalement que ça en devient presque perturbant par moments, l'histoire perdant en effet assez rapidement son spectateur si ce dernier se déconcentre ne serait-ce que quelques minutes. Bon, ce n'est pas si grave, après tout, même si c'est plus riche, c'est un peu toujours la même tambouille et si on est perdu, on sait toujours à peu près à quoi s'attendre. En revanche, ça rend quelques-fois e film assez long. Nous avons effectivement de longues scènes de dialogues nous expliquant les intrications des uns et des autres dans toute cette histoire, amenant le film à plus de deux heures et ce sont deux heures que l'on sent passer ! Heureusement, le film a de très bonnes scènes d'action pour sauver le tout, notamment une excellente course-poursuite à la montagne et l toute la dernière partie du film se déroulant en Afghanistan, en plus d'être très bien réalisée.
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    15 abonnés 947 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Thimothy Dalton succédait à Roger Moore dans ce 16e épisode , où les gagdets et les filles se font plus rares. Scènes spectaculaires et humour sont heureusement de la partie.
    brianpatrick
    brianpatrick

    70 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2023
    Tuer n'est pas jouer. Il y a de très beaux jouets electroniques des années quatre vingt. Un beau petit James Bond d'époque. Un très bon acteur.
    Spider cineman
    Spider cineman

    113 abonnés 1 811 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2023
    Thimothy Dalton reprend un rôle bien rempli par deux acteurs passés pour des icônes dans ce costume... mais ça reste un plaisir pour ces actions et un scénario pas vraiment original
    Estonius
    Estonius

    2 496 abonnés 5 233 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 novembre 2023
    Voici un James Bond bien décevant et ce n'est pas la faute de Timothy Dalton, lequel endosse le costume de James Bond. Celui-ci n'a ni la classe de Sean Connery, ni l'élégance de Roger Moore, mais il est beau gosse, possède un certain charisme, un beau sourire et finalement s'en sort très bien. Non les problèmes sont ailleurs. Maryam D'Abo est mignonne comme un cœur mais à côté d'autres James Bond'girls elle est vraiment trop frêle (et ne joue pas très bien). On déplorera aussi l'absence de bons rôles secondaires et surtout d'un vrai méchant. Quant au scénario tout cela m'a paru fort embrouillé et pas très passionnant (on ne demande pas à un James Bond de nous faire du suspense, il n'y en a jamais, mais de nous passionner) Et puis Même si Glen n'y est pour rien, prendre le parti des moudjahid afghans qui deviendront les talibans, ça pique les yeux…. Et comme si ça ne suffisait pas les voilà qui se pointe comme des fleurs à l'Opéra de Vienne… au secours !
    Docteur No
    Docteur No

    2 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    "La guerre a toujours été la principale préoccupation de l'homme" BRAD WHITAKER

    "Comment trouvez vous mon panthéon des grands chefs militaires ?" BRAD WHITAKER
    "Des bouchers " Général LEONID PUSKHIN CHEF DU KGB
    "Des chirurgiens ils enlèvent les chairs gangrénés de nos civilisations" BRAD WHITAKER

    LE TRANSFUGE VENU DU FROID

    Bond aide au transfert d'un général Soviétique le spoiler: général Koskov
    à Bratislava , peu après celui-ci informe le MI6 d'une opération anti-espion occidentale d'envergure au sommet du KGB via le spoiler: général Puskhin
    spoiler: hélas Koskov se fait enlever peu après.
    ..Bond reçoit de M l'ordre de neutralisé Puskhin cependant Bond doute de la véracité des informations de Koskov . Sa piste le ramènera à Bratislava auprès d'une violoncelliste Kara Milovy .

    Premier Bond de Timothy Dalton ramenant de la fraîcheur à la franchise après une période Moore importante s'étendant de 1973 à 1985 parmi les acteurs envisagés Sam Neill , Pierce Brosnan étaient sur les rangs pour la succession...Brosnan échappe de peu au rôle à cause d'un contrat pour la série Remington Steele . Le rôle échoit finalement à Timothy Dalton acteur plutôt Shakespearien et c'est un bon (d) Choix , Dalton amène de la profondeur au rôle de la dureté parfois et un soupçon de légereté .

    Coté action il y a de quoi faire avec le retour de l'Aston Martin sur lac glacé , un combat aérien impressionnant , un pré-générique dynamique , attaque de base soviétique en Afghanistan et un final assez atypique .
    Coté James Bond Girls il y a Kara Milovy Maryam d'Abo , une violoncelliste prise (bien malgré elles dans un complot mondial c'est assez sympathique sans être trop sexy .

    spoiler: Côté méchant celui qui tire son épingle du jeu c'est Necros alias Andreas Wizniewski un tueur implacable froid , de l'autre côté il y a le général Koskov - Jeroen Krabbé un général soviétique corrompu et Brad Whitaker -Joe Don Baker un trafiquant d'armes les deux sont un peu en deça - comparativement à un Franz Sanchez par exemple - mais cela n'altère en rien la qualité du film .


    Coté musique c'est A-HA qui s'en charge avec the living daylights musique pop entraînante dans l'air du temps des années 80 à noté le remake du Bond Theme du film version 80 .

    Les paysages sont pas en reste avec l'Autriche-Vienne (le Prater) , l'Afghanistan - Tunisie , Tanger Bratislava Gibraltar (pré-générique) .

    VOUS AVEZ TIRE VOS 8 COUPS A MOI DE TIRER MES 80 - BRAD WHITAKER

    Tuer n'est pas Jouer allie le coktail Bondien classique avec la géopolitique de l'époque déliquescence de l"URSS et de ses dirigeants (film datant de 1987) , les méchants sont un peu moindres Jeroen Krabbé joue plus une crapule grand style qu'un grand méchant mégalomane - Joe Don Baker joue bien également...l'intrigue est resseré sur de l'espionnage pure et cela fait du bien aussi . Bref je recommande ce film , un bon coktail à re-découvrir .
    OMTR
    OMTR

    7 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 septembre 2023
    « spoiler: Nous avons eu quelques problèmes à l'aéroport.
    »

    La qualité du scénario, de la conception de la production et du jeu des acteurs ont toujours été les points forts des films de James Bond.

    Et la grande première de Timothy Dalton ne fait pas exception à cette tradition. Car, comme ses illustres prédécesseurs, il excelle dans le rôle de l'agent 007.

    De la spoiler: Tchécoslovaquie à l'Autriche, puis à l'Afghanistan en passant par l'Angleterre et le Maroc, "The Living Daylights" dépeint avec talent la fin de la guerre froide, la guerre en Afghanistan et tous ceux qui en profitent sans scrupules
    .

    John Glen et John Barry font ce qu'ils font de mieux pour notre plus grand plaisir.

    Maryam d'Abo est aussi belle intérieurement et extérieurement, et talentueuse, que Kara Milovy est spoiler: sincèrement amoureuse de James Bond
    .

    Timothy Dalton spoiler: éloigne le personnage de Bond du style léger de Sir Roger Moore, en rappelant le réalisme brut d’Ian Fleming
    .

    4.7/5
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 172 abonnés 3 973 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2023
    On en a enfin terminé avec les James Bond parodiques grâce au nouvel agent 007 : Timothy Dalton. Le comédien impose dès à présent sa stature et ce, même s'il ne jouera Bond que deux fois. Plus sombre et mieux ficelé, "Tuer n'est pas jouer" est un très bon cru baigné dans une bande originale relevée.
    léo
    léo

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 février 2023
    le plus mauvais des James bond dalton le joue très moyen le scenario inexistant même si le generique et assez bien la meilleure scène spoiler: doit être celle de la poursuit sur le violon quand ils passe la frontière
    bref a eviter
    Kymani Alger
    Kymani Alger

    12 abonnés 499 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 novembre 2022
    on est sur un bon film avec un acteur qui va montrer au téléspectateurs que 007 a un coter humain sinon j'ai beaucoup aimé l'histoire et les scènes de combats dommage que le méchant est nul
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2022
    Timothy Dalton prend les commandes d'un personnage embourbé dans Roger Moore depuis 7 ans. Si le glamour était irréprochable, la crédibilité et le côté kitsch commençait à trop se voir. Dans l'histoire bondienne, il préfigure comme un mal-aimé, mais comme George Lazenby avant lui, c'est galvaudé. Il opère un tournant plus brutal et moins jovial d'un Bond plus en lien avec son époque. Bref, on y croit davantage. Tuer n'est pas jouer en lui même est un peu ronronnant dans son ossature, John Glen ne prend pas de risque de mise en scène. On y découvre néanmoins une des plus belles James Bond Girl : Myriam d'Abo et son sourire irrésistible. Jeroen Krabbé en agent triple vicieux est un méchant crédible. On y visite Gibraltar dans le pré-générique, un tour par Tanger en passant par Vienne. Point gadget : l'Aston Martin V8 Volante est sublime, tout comme son attirail d'équipements.
    Samiori
    Samiori

    5 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 septembre 2022
    Un très bon James Bond, plus réaliste et violent que les précédents avec Roger Moore. Timothy Dalton endosse parfaitement le rôle de James Bond. Sans oublier les superbes musiques de John Barry et la musique du générique par Aha.
    Je l'avais vu au cinéma l'époque, et j'avais acheté quelques jours après la cassette audio de la BO.
    Ce n'est pas un film culte, mais il fait parti des meilleurs James Bond.
    Roub E.
    Roub E.

    735 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juin 2022
    Premier film de la trop courte période Timothy Dalton, « Tuer n’est pas jouer » est un Bond qui délaisse le côté loufoque de la période Roger Moore pour un peu plus de premier degré et surtout s’orienter clairement dans l’action typique des 80’s. Et ça marche plutôt bien, le ton trouvé fonctionne entre grand spectacle et une histoire qui tient plus ou moins la route. L’acteur lui aussi arrive à trouver le bon ton entre premier degré là aussi et une légère dérision qui arrive à faire passer le côté n’importe quoi de l’univers Bondien. Dommage que la James Bond Girl ne fasse ici vraiment cruche car dans la plupart des figures imposés de la saga ce Tuer n’est pas jouer s’en sort très bien.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    C’est là, le 15ème épisode signé John Glen. Son quatrième de suite.
    Je ne l’avais encore jamais vu ! (11 sur 15).

    Timothy Dalton succède à Roger Moore. Avec ce nouveau James Bond, on retrouve l’Aston Martin vue pour la dernière fois avec George Lazenby, si mes souvenirs sont bons.
    Ça nous ne rajeunit pas !
    Le cigare de Roger Moore s’efface pour de nouveau faire place à la cigarette.
    Moneypenny n’est plus Lois Maxwell. Après 25 ans de bons et loyaux service, elle tire sa révérence pour Caroline Bliss.
    Bref, on rajeunit l’effectif, Felix Leiter compris, à l’exception de M (Robert Brown) et de Q, toujours assuré par Desmond Llewelyn. Ce dernier est dans l’action puisqu’il participe à l’évacuation d’un officier russe par voie pipeline !
    Ce n’est pas la première fois qu’il s’émancipe sur le terrain, dans « Octopussy », il péchait pour observer les activités du palais flottant d’Octopussy.

    Par contre, le générique n’annonce rien de nouveau même si on voit explicitement le corps d’une femme nue aux seins et au pubis peints.
    A noter : spoiler: plus tard dans le film, la maîtresse de Pushkin (John Rys-Davies) dévoilera un sein, vu de profile.

    Oui, la franchise s’émancipe toujours aussi chastement, pour mon plus grand plaisir !

    La mise en scène ne fait preuve d’aucune originalité pour nous présenter le nouveau visage de James Bond.
    Quand celui-ci se présente pour la première fois « My name is Bond, James Bond », le débit est rapide.
    Timothy Dalton n’est ni Sean Connery, ni Roger Moore, un humour plus maîtrisé, moins de légèreté dans ses propos, un tantinet plus sérieux et ne badine pas autant que ces prédécesseurs.

    Le méchant de service n’est pas celui que l’on croit et me garderai bien de le nommer.
    Toujours est-il, l’adversaire de James Bond ne souffre pas de mégalomanie psychopathe, obsédé de dominer le monde !
    Le récit nous offre un scénario bien ficelé, assez réaliste, et bien rythmé.

    L’extravagance fait place au spectaculaire comme cette séquence où 007 affronte Necros, le bras droit du méchant de service à l’arrière et à l’extérieur d’un avion militaire cargo. spoiler: Ils se battent sur des sacs d’opium enserrés dans un immense filet qui flotte dans le vide.


    Je sais bien que Bond va s’en sortir mais comment ?
    Depuis le début de la saga, tous les tirs n’atteignent pas l’espion 007, ce qui a pour conséquence, que je ne m’inquiète jamais pour lui. Parfois, c’est risible tant la maladresse des tireurs est grossière.
    Par contre, c’est bien la première fois, avec ce James Bond - Timothy Dalton, où j’ai été captivé par cette cascade spectaculaire. Je me suis surpris à craindre pour sa vie !
    Comme quoi, à travers cette séquence, j’ai oublié à qui j’avais affaire, tellement baigné par l’action.
    D’habitude, je me laisse aller attendant comment le « comment » va s’achever.

    Un James Bond sur fond de Guerre Froide encore et toujours, bien que l’on parle de détente.
    En sous-texte, James Bond, en aidant les Moudjahidines, permet aussi de ridiculiser l’Union soviétique, l’envahisseur de l'Afghanistan.

    Côté James Bond Girls ? Une !
    Maryam d’Abo dans le rôle de Kara Milovy, une violoncelliste. Une Girl qui ne fond pas suite dans les bras de l’agent 007. Il faut dire aussi que ce dernier ne lui bondit pas dessus tout de suite.
    Si Bond s’amuse (ou pas) de ses conquêtes, Kara semble sincèrement éprise de l’agent 007.

    Là où Sean Connery et Roger Moore badinaient au premier regard, Timothy Dalton semble plus sage et plus préoccupé par sa mission.

    Bref : « Tuer n’est pas jouer » paraît s’inscrire dans une ère de modernité en terme de récit, abandonnant toute excentricité, toute outrance ou tout excès ; quant aux cascades, l’excès est au service du spectaculaire, déjà amorcé dans l’épisode précédent « Dangereusement vôtre » me semble-t-il.
    Les cascades des premiers James Bond et surtout avec Roger Moore divertissaient ; comme celles avec Belmondo ou Indiana Jones ; avec Timothy Dalton, on est dans le domaine du spectaculaire.
    Ça n’engage que moi.

    « Tuer n’est pas jouer » s’empare de la seconde place et je garde toujours ma préférence à « Bons Baisers de Russie » !

    A voir en V.O pour Timothy Dalton.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top