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Dominique V.
15 abonnés
221 critiques
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2,0
Publiée le 13 septembre 2019
Un peu light dans le sujet et beaucoup trop long, avec une succession de scènes répétitives. Une demi-heure en moins aurait sans doute donné un peu de peps au film.
Après « Fête de famille » on pourrait avancer avec « Deux moi » un nouveau film sur le psychique de nos concitoyens, la donne ici se résumant aux regards d’une psychiatre et d’un psychothérapeute ( à la place des somnifères ) sur le comportement de nos trentenaires. Mais tout en élaborant cette consultation mentale Klapisch retrouve sa prime jeunesse et un allant dans la mise en scène sur laquelle tous ses personnages, des héros aux secondaires, forment une grande famille de cinéma. On a plaisir à les voir et revoir, de l’épicier oriental ( Simon Abkarian ) aux deux psys ( Camille Cottin et François Berléand ) que consultent ce jeune couple de comédiens parfaits Ana Girardot et François Civil. Comme le sujet du film au milieu de celui de nombreux thèmes filigranes ( économie collective, métissage, réseaux sociaux … ) est celui de l’évidente rencontre entre nos deux héros, celle-ci tarde peut-être un peu à venir et nous fait un brin languir. Mais c’est aussi la force de ce film . On patiente avec beaucoup d’intérêt ( des scènes magnifiques, comme cette fête de Noël entrevue depuis une fenêtre … ) et de plaisir. Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
C'était tellement long et il ne se passe pas grand chose, je ne pensais pas que le film allait se dérouler comme cela, donc je suis quand même super déçue, à éviter car c'était soporifique.
Je suis un peu partagé quant à ce film. Les personnages sont attachants, François Civil est magnifique et le tableau de la solitude urbaine contemporaine est réussi, mais la fin est vraiment à l'eau de rose et le plus affligeant est encore la démonstration des miracles de la psychanalyse, qui ne convaincra que ceux qui, à l'âge adulte, croient encore aux contes de fées.
François Civil et Ana Girardot nous offre un tendre moment de cinéma dans cette histoire finalement assez triste mais porteuse de futures joies. ces deux trentenaires paumés dans cette grande métropole qui les étouffe vivent un quotidien assez morose. les deux psys apportent quelques moments drôles. le rythme est lent mais on ne s'ennuie pas.
comédie sentimentale qui joue sur les contrastes de deux voisins inconnu l un de l autre.les scènes comiques avec les psy , pierre minet, les Tinder match....et des longueurs sur leur vie et leur nuit au quotidien....et leur croisement répétitif a l'épicerie..qui peut porter a réflexion ou l ennui .
Retour à Paris pour Klapish qui propose un film (en gros) sur le thème de la solitude des grandes villes et de l’impact du numérique sur nos relations humaines. Sans doute un film intéressant pour Les dossiers de l’écran, mais un thème archi rebattu que l’on retrouve chaque semaine ou presque à la une de nos hebdomadaire. Un film didactique au possible, avec un discours ultra balisé en pétri de clichés de toutes sortes sur le connais toi toi-même, les nouvelles formes d’esclavage (pardon, de travail), le vivre ensemble, l’amour, le sentiment de culpabilité, la superficialité des réseaux sociaux, les traumas de l’enfance, etc… Le film est long, très long, très sérieux aussi, et souvent bien prévisible dans son déroulement, avec deux acteurs sympas (François Civil et Ana Girardot) mais qui ne sont pas vraiment aidés par leurs personnages finalement assez peu attachants. Il y a quelques bonnes idées ici et là mais tout est traité avec superficialité. Klapisch a sans doute voulu faire un portrait des trentenaires urbains d’aujourd’hui, en voulant aborder plein de choses, mais malheureusement en enfonçant pas mal de portes ouvertes, en restant en surface, ne faisant que survoler son sujet sans vraiment trouver un angle intéressant.
Ce film aurait pu s'appeler "J'aime mon psy". C'est une vraie déclaration d'amour de Cédric Klapisch. Pourquoi pas ? Mais on ne retrouve pas le Klapisch subtil qui décortiquait si finement les ressorts complexes des relations humaines. Ici tout est dit. Tout est explicite. Les séances de psychothérapie sont un prétexte pour expliquer le film. Du coup, que reste-t-il à découvrir pour le spectateur ? D'autant que l'intrigue n'est guère complexe ; c'est du niveau introduction du premier chapitre de "la psychothérapie pour les nuls". Heureusement, François Civil et Ana Girardot sont formidables et passent beaucoup mieux à l'écran que Jacques Lacan.
Le scénario est intéressant. Ça dénonce grandement la société actuelle en ce qui concerne les réseaux sociaux, les couples ... Malgré un casting plutôt cool je me suis ennuyé a un point que je n’en voyais pas la fin et ça en devenait pénible.
Je suis partagée. J adore les 2 acteurs principaux et le realisateur. Les seconds roles sont geniaux. Mais le film est lent. J ai commence a l apprecier a la sortie en discutant avec ma fille en reflechissant sur les nombreux sujets abordes. Il est dommage que la bande annonce ne reflete pas le film. Je pensais voir une comedie romantique alors que c est plutot dramatique.
Klapish est de moins en moins inspiré, mais comme il est parti de haut, son dernier film se regarde. Deux solitudes, trentenaires parisiens, sont voisins et au bout de 2h, se rencontrent enfin, sans que l'on connaisse la finalité de leur rencontre. Ils dépriment, font partie de ces gens qui ne voient pas d'issue en dehors du couple, voient des psys qui sont des personnages truculents, mais finalement on ne voit pas bien le propos du film : la solitude des grandes villes? le fait de s'aimer soi-même avant d'aimer quelqu'un d'autre? Klapish continue de filmer les jeunes adultes, en témoin d'une génération.
Il y a de bons moments, quelque fois on rigole mais le rythme est trop lent en général, on frôle l'ennui. L'état morose des personnages est trop présent sur la longueur. Mention + pour spoiler: les psys .
Le nouveau Klapisch est de retour dans la ville lumière et pourtant son nouveau film n’est que déception et bâillement profond. Tristesse dans les têtes et à l’intérieur même du cadre, où tout semble bien fade et tellement prévisible. La sensation d’assister à un ensemble de scènes de vie banale mise bout à bout sans conviction, même le passage chez les psychothérapeutes n’arrange en rien le destin du film. Bien au contraire, tout cela reste assez malaisant, rien ne vient sauver le scénario pas même l’interprétation d’Ana Girardot et François Civil. Le tout accompagné d’une bande originale la plus indigeste de l’année, le film tente sur la fin un dernier ralenti. Dernier pas de danse, hélas il est déjà trop tard. Pour ma part je préfère rester assis à « Ce qui nous lie » vraiment.
Film très psychologique un peu longuet parfois on s spoiler: attend à ceux que les deux protagonistes se rencontrent plus tôt néanmoins !!! Je ne sais pas quoi penser de ce film je n ai pas été transcendé ni ennuyé